J'étais la dans cette chambre froide et inpersonelle espérant du réconfort de la par de mon journale la seule chose qui me restait.Le temps passa et je fis que pleurer dans cette oreiller a l'odeur du savon industrielle.
J'étais la dans cette chambre froide et inpersonelle espérant du réconfort de la par de mon journale la seule chose qui me restait.Le temps passa et je fis que pleurer dans cette oreiller a l'odeur du savon industrielle.
Il est tombé pour moi comme moi qui suit tombée pour lui
Il reste et il restera ma plus belle histoire à raconter.
Chronique réelle avec quelques passages fictifs