365 jours s'étaient écoulés depuis que j'avais quitté Nashville. Etant fille de militaire j'étais habituée aux départs. Mais pas à ceux qui me séparaient de lui. De retour à Nasvhille et si impatiente de le revoir, aurais-je pu penser que mon retour serait loin d'être celui que j'imaginais ? 365 jours avaient-ils suffit à tout faire basculer ? "Le retour fait aimer l'adieu" eut dit Alfred de Musset...Et s'il nous faisait regretter d'être revenu ?
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