Mon Rantbook aussi bien rangé...

By _CrazyCathy_

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Bah tout est dans le titre ! Ici je vais vous parler de moi, raconter des anecdotes de ma vie... J'espère que... More

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J'ai évolué 😂😂😂 (comparaison entre l'ancienne et l'actuelle version...

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By _CrazyCathy_

...du premier chapitre de mon roman) (c'est pas ma faute le titre était trop long il rentrait pas !)

Ancienne version :

« Il était une fois une petite fille qui avait peur du loup... »

« Il était une fois le monde merveilleux de Xalana... »

« Il était une fois... »

Océane avait douze ans. Elle adorait inventer des histoires pour Susan, sa petite sœur, elle passait ses journées a les créer et à les écrire. Puis, une fois racontées, les deux sœurs les rangeaient dans leur ''Boîte à histoires'' ainsi elles pouvaient les relire quand elles le voulaient. Un soir, alors que Susan avait demandé « Encore l'histoire de la princesse Kyimtza de Xalana ! » Océane alla chercher la ''Boîte à histoires'' et l'ouvrit. Un tourbillon de feuilles en sortit et les deux sœurs disparurent dans un éclat de lumière...

Un peu court 😂😂😂 (113 mots)

Et maintenant la version actuelle :

Suzanne commençait à trouver que compter les nœuds de bois du sommier du lit du haut, blottie sous sa couette en attendant le réveil de sa sœur qui dormait au-dessus, n'était pas la chose la plus intéressante à faire au monde. Avant de s'adonner à cette activité, ce qu'elle faisait depuis moins de deux minutes, elle en avait essayé plusieurs autres : faire semblant de dormir, chanter dans sa tête, donner des prénoms à ses orteils, jouer à la statue, imaginer qu'elle était un ours en hibernation...

Elle commençait à se demander si, toute ronchonne que puisse être sa sœur quand on interrompait son sommeil, ce ne serait quand même pas plus amusant d'aller la réveiller.

Après moins de cinq secondes d'hésitation, elle décréta que c'était la meilleure chose à faire si elle ne voulait pas mourir d'ennui, et de toute manière, elle commençait à avoir faim.

Elle se leva sur la pointe des pieds, ce qui n'avait pas grand intérêt étant donné que les seules personnes qui restaient dans leur dortoir étaient elle-même et sa sœur, qu'elle avait l'intention de réveiller.

Elle gravit l'échelle de leur lit superposé afin d'obliger son aînée à se lever. Sa tête recouverte d'un carré blond cendré en bataille reposait de côté sur son oreiller, et sa respiration était calme et profonde. Elle la secoua sous sa couette.

Lorsqu'Océane ouvrit les yeux, elle vit au-dessus d'elle le visage de sa petite sœur, arborant son sourire de chipie fétiche.

– Debout ! Debout ! Réveille-toi ! piaillait sa cadette.

– Hum... Laisse-moi dormir encore un peu... grommela l'adolescente, refermant les yeux et plongeant sa tête dans son oreiller.

Voyant bien qu'elle n'obtiendrai rien ainsi, Suzanne changea de stratégie.

– Tu vas être en retard au collège !

– Hein ? Collège ? Retard ? sursauta la blonde, écarquillant les yeux. Viiiite !!!

Elle bondit littéralement au bas de l'échelle, manqua de trébucher sur M. Lapinou, l'ours en peluche sans lequel Suzanne ne pouvait dormir et qui, une fois de plus, traînait par terre, et se précipita devant son armoire. Elle en sortit un t-shirt gris large, un jean noir et des sous-vêtements.
Alors qu'elle commençait à enfiler ses chaussettes, qu'elle mettait toujours en premier, elle entendit sa sœur rire.

– C'était une blague, on est dimanche !

– T'es sérieuse ? elle lui lança un regard mi-blasé, mi-énervé.

– Mais t'étais la dernière du dortoir à dormir et je m'ennuie et j'ai faim, moi ! se justifia la cadette.

– Bon, passe pour cette fois... soupira Océane, une main sur le front masquant ses yeux.

– Vraiment ? demanda Suzanne, qui n'y croyait pas trop.

L'aînée ôta sa main et laissa voir une expression qui se voulait machiavélique.

– Je rigole ! T'y as vraiment cru ? Je vais t'attraper petit monstre !

– Aaah !

La petite s'enfuit en courant et riant tandis que sa sœur la poursuivait, riant aussi entre deux rugissements de "grand méchant monstre".

Elle laissait sa cadette prendre de l'avance, puis elle la rattrapait en deux temps trois mouvements.

Au bout de cinq minutes de course-poursuite à travers tout l'étage, elle l'attrapa, la porta en "sac à patates", comme disaient les deux sœurs — les genoux pliés par-dessus son épaule et la tête en bas — et la ramena dans leur dortoir. Elle la jeta sur son lit et se mit à la chatouiller, prenant garde à ne pas se cogner la tête sur le sommier du sien, juste au-dessus. S'ensuivit un concert de rires. Lorsque l'estomac d'Océane se mit à gargouiller, elle questionna sa cadette.

- Tu n'avais pas dit que tu avais faim, toi ? Allez viens, on va petit-déjeuner.

Elle regarda l'heure sur l'horloge du dortoir. Il était neuf heures vingt, le troisième service de petit-déjeuner serait servi dans dix minutes. Elle fit s'habiller Suzanne et enfila les vêtements qu'elle avait sortis précédemment.

Elles dévalèrent les trois étages de marches qui les séparaient du rez-de-chaussée afin de gagner le réfectoire où s'installait une demi-douzaine d'enfants désirant profiter du dernier service de petit-déjeuner.

Les deux sœurs s'assirent seules à une table. Depuis leur arrivée dans l'établissement trois ans auparavant, lorsque Suzanne avait deux ans et Océane neuf, elles se mêlaient peu aux autres orphelins. Après le décès de leur grand-mère qui s'était occupée d'elles durant deux ans, suite au tragique crash d'avion qui avait emporté leurs parents, Océane avait décidé que, désormais, elle devrait protéger Suzanne. Aussi, à leur arrivée à l'orphelinat, elle n'avait parlé à aucun autre enfant. Depuis, les choses avaient un peu évolué, mais elles restaient tout de même entre elles la plupart du temps, chose étrange étant donné qu'elles étaient toutes deux très sociables en dehors de l'orphelinat, bien qu'elles n'aient pas d'amis particulièrement proches, excepté Joe, le meilleur ami d'Océane, qui était comme un frère pour elles.

Éclatant de rire chaque fois que l'une croisait le regard de l'autre, elles burent leurs chocolats chauds, leurs jus d'oranges et engloutirent leurs tartines beurrées.

Une fois leurs assiettes, verres et bols débarrassés et leurs dents brossées, elles décidèrent de sortir dans le parc de l'orphelinat, le dimanche étant une journée relativement libre.

Elles gagnèrent leur coin préféré, tout au fond du parc, où peu d'enfants allaient, préférant rester aux abords du bâtiment, où on trouvait des cages de football, des paniers de basket, une marelle et des balançoires.

Océane s'assit à l'ombre de leur arbre favori, un chêne centenaire, et Suzanne se mit à l'escalader. L'aînée restait aux aguets au cas où sa cadette chuterait. Elle avait amené son cartable afin de faire ses devoirs. En ayant fait une partie la veille, il ne lui restait que son devoir maison de mathématiques à faire. Elle ne haïssait pas cette matière, mais son professeur, oui. Et c'était réciproque. Il suffisait qu'elle aie bon à un exercice pour qu'il l'accuse de tricherie.

Une fois son devoir terminé, elle s'attela à écrire l'histoire qu'elle avait juré à Suzanne d'inventer deux ans auparavant, une histoire dont leur chêne serait le héros. Cependant, en deux ans, elle n'avait toujours pas trouvé l'inspiration. Elle en avait écrit des dizaines, mais Suzanne réclamait presque toujours la même : l'histoire de la princesse Kyimtza du royaume de Xalana.

Océane n'était pas sûre que sa sœur comprenne tout à l'histoire, qui parlait tout de même de révolution et de mage noir, mais elle savait que Suzanne admirait cette princesse forte et courageuse.

Elle fixait sa feuille vierge quand la bouille souriante de sa cadette surgit devant ses yeux. Elle sursauta. Suzanne était suspendue la tête en bas, sa robe et ses nattes, qu'Océane avait tressées après l'avoir fait s'habiller, pendaient vers le bas, attirées vers le sol par la gravité.

- Coucou ! Tu fais quoi ? demanda-t-elle en riant.

- J'essaie de trouver des idées pour l'histoire de notre... Eh ! Fais un peu attention ! Tu pourrais tomber !

La petite avait commencé à se balancer, toujours retenue par les genoux seulement, ce qui inquiétait fort son aînée. Cette dernière se leva, bras tendus, prête à la rattraper en cas de chute ou si la branche cassait.

Suzanne n'en avait pas besoin ; elle se redressa d'un coup et, avec l'agilité d'un singe, grimpa deux mètres plus haut en l'espace d'une seconde. Son aisance dans les branches bluffait toujours Océane. Elle avait toujours eu du mal avec ce type d'escalade non sécurisée, bien que, pratiquant la gymnastique depuis l'âge de cinq ans, elle ne manque ni de souplesse, ni de réflexes, ni d'agilité.

- Tu m'as fait peur andouille ! s'exclama Océane. Imagine si tu étais tombée sur la tête ! Ne recommence plus jamais ça !

- Méééeuh ! protesta Suzanne. J'aime bien moi ! J'ai envie de me balancer ! Et puis je tombe même pas d'abord ! Regarde !

Elle se suspendit une fois de plus, et, pour illustrer ses propos, se balança de nouveau.

Son aînée allait la gronder quand elle eut une idée.

- Tu as bien dit que tu voulais te balancer, hein ? lui demanda-t-elle, faisant mine de réfléchir, le menton dans la main droite.

- Oui ! répondit sans hésiter une fraction de seconde la cadette, toujours la tête en bas..

- Alors, si on allait plutôt à la balançoire ?

- Beuh... Elles sont nulles les balançoires... Elles vont même pas haut et elles grincent... râla Suzanne, boudeuse. Et puis y a toujours plein de monde et on doit faire la queue méga longtemps et on doit laisser sa place méga vite et...

Elle allait poursuivre son argumentation mais sa sœur la coupa.

- Je n'ai pas dit aux balançoires, j'ai dit à LA balançoire. Je parle de celle sous l'arbre pleureur, où personne ne va jamais !

Elle vit que sa cadette fronçait les sourcils, ne semblant pas comprendre.

- Je t'y ai déjà emmenée, quand tu avais trois ou quatre ans , tu te rappelles ?

La petite ouvrit grand les yeux. Elle s'en souvenait.

- Aaah ouiii c'est vrai ! Je me souviens !

Elle sauta au bas de l'arbre, effrayant son aînée au passage.

- On y va steuplaît steuplaît steuplaît ! la supplia Suzanne, trépignant sur place.

Elles s'y rendirent et Océane poussa sa petite sœur qui riait aux éclats. "Ouais ! Plus haut ! Je vole !" s'exclamait-elle.

Elle ne s'en était toujours pas lassée quand elles entendirent que l'on appelait à table.

Elles déjeunèrent puis vint l'heure du temps calme, moment de la journée où on demandait aux enfants, comme son nom l'indiquait, de s'adonner à des activités calmes, telles que la lecture, des jeux de société...

Les deux sœurs s'installèrent sur la descente de lit de Suzanne avec quelques coussins et leur boîte à histoires, où elles rangeaient tous les récits écrits par Océane. Dès que l'aînée sortait cette boîte, qu'elle rangeait dans un tiroir de sa table de chevet, sa cadette, habituellement courant et sautant dans tous les sens, devenait sage comme une image et écoutait avec attention sa sœur lui conter des histoires toutes, selon elle, plus merveilleuses les unes que les autres.

- Alors... Laquelle lit-on... Xalana, je suppose ? demanda Océane.

- Non ! On la garde pour ce soir ! Une autre !

- Laquelle ? Kali, fille des ours et Birzal, le chasseur de légumes ? Mori et la forêt aux arbres mauves ? Kigo le lapin de la rivière orange ?

La petite choisit l'histoire de Kigo le lapin. Océane avait écrit cette histoire trois ans auparavant, quand Suzanne avait deux ans et demi, en conséquence de quoi le contenu correspondait à ce qu'elle pouvait comprendre et aimer à l'époque, mais elle l'appréciait toujours malgré cela.

Le temps calme terminé, Suzanne alla jouer à chat perché dans le parc avec des enfants de son âge, tandis qu'Océane jouait les coachs pour une demi-douzaine d'enfants de sept à dix ans qui voulaient faire un match de handball. Comme elle en faisait depuis quatre ans, elle s'y connaissait. L'orphelinat proposait aux enfants de s'inscrire à des activités extrascolaires, et elle avait choisi de continuer le handball et la gymnastique.

Vint l'heure du goûter après quoi elles retournèrent à leurs activités précédentes, puis celle du dîner.

Tandis que la plupart des enfants préféraient profiter du temps restant avant l'extinction des feux ensemble dans la salle commune, les deux sœurs se rendirent dans leur dortoir pour leur rituel de l'histoire du soir. Ce rituel et la boîte venaient de leur grand-mère ; elle leur inventait des histoires et les mettait dans leur boîte. À sa mort, Océane avait pris le relais. Elles avaient toujours les histoires de leur aïeule, mais Suzanne, qui ne se souvenait que très peu d'elle, leur préférait celles d'Océane.

Cette dernière sortit la boîte du tiroir, afin de conter son histoire préférée à Suzanne. Quand elle l'ouvrit, un tourbillon de feuilles de papier en sortit et elles disparurent dans un éclat de lumière.

Beaucoup plus long 😂😂😂 (1929 mots, soit environ 17 fois plus)

Vous préférez quelle version ? (Perso l'actuelle y a pas photo mais on sait jamais, peut-être que certains d'entre vous préfèrent l'ancienne)

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