Nos deux jeunes hommes se réveillaient tous les matins soit en position cuillère soit avec la tête se l'un sur le torse de l'autre. En tout cas, ils étaient toujours l'un touchant l'autre car leurs corps avaient besoin de ce contact. Ils ne pouvaient pas s'empêcher de se toucher, de se caresser, de se câliner. Ils étaient devenu très tactile. C'était un besoin primaire pour eux. Même s'il n'y avait pas d'ébats sexuels, ils devaient sentir l'autre avec le toucher. Nos amoureux étaient donc comblés dans leurs nouvelles vies ensemble. Cela jaillissait aussi dans leur travail. Ils étaient très efficace et ils avaient que des bonnes nouvelles. Ryan gagnait de nouveaux marchés et il développait sa branche haute technologie. Il envisageait de se lancer dans la branche robotique médicale d'ailleurs. Justin, lui, avait fait sa place dans le service neurologique comme titulaire. Son chef avait appris qu'il était ingénieur en robotique médicale. Il lui avait donc demandé un projet de recherche dans ce domaine. Il allait alors pousser ce dossier au conseil de l'hôpital afin d'avoir leur accord pour le financement.
Justin travailla donc d'arrache-pied pendant des jours pour ficeler son dossier. Il avait tout prévu sur les différentes étapes des recherches et sur les possibles retombées. Il avait préparé tous les scénarios possibles au cas où. Ryan n'était pas trop au courant du dossier car nos amants parlaient très peu de travail. Ce n'est pas que c'était tabou mais ils n'avaient pas l'habitude de le faire. Lorsqu'ils étaient ensemble, ils se faisaient l'amour puis ils discutaient de pleins de choses comme la politique, le sport, le cinéma. Ils avaient l'impression que leur travail ennuyait l'autre. Ce qui était vraiment ridicule. Justin présenta son dossier devant le conseil en compagnie de son chef. A la sortie, ce dernier était ravi et persuadé de la réussite. Quelle ne fut pas sa surprise en ayant la réponse le lendemain !
- Ils ont refusé pour une question de budget car cela coûtait trop cher. Je n'y crois pas ! On pense aux profits dans un hôpital public, où vas-t-on ?
- Vous avez raison chef, mais c'est le système. Il pense aussi à l'argent public.
- Non, c'est d'abord le profit car avec un budget qui est en équilibre, ils vont toucher des primes pour cela. On tourne en rond.
- Si on diminue leurs investissements ?
- De quelles manières Justin ?
- Avec des partenariats privés. C'est possible ou pas dans le système public ?
- Je vais faire la demande au conseil. Je pense que cela est possible.
- Je vais chercher des partenariats privés alors.
- Tu as raison Justin.
- Au faites, pourquoi m'aidez-vous ? Il y a d'autres médecins réputés et expérimentés que moi non ?
- Tu as du talent Justin et de la volonté. Tu es médecin et ingénieur. Tu va alors comprendre où je veux en venir au niveau médical tout en agissant immédiatement au niveau ingénierie. C'est parfait et excellent pour mes recherches. Je peux même te dire, je pense te confier ma suite ou même créer un département en ingénierie robotique médicale avec toi à la tête. C'est pour cela que je t'ai recruté. Tu es une chance pour cette hôpital. J'espère vraiment qu'ils vont s'en apercevoir avant de te perdre.
- Merci beaucoup pour ta confiance en moi. Je vais m'occuper du financement privé.
- Autre chose Justin. Certes, je suis ton chef mais tu peux m'appeler Jeff.
- Oui monsieur... Jeff.
- Je te tiens de suite au courant dès que j'ai des nouvelles.
- Moi aussi.
Justin commença à chercher les possibles partenaires. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il apprit que la holding Johnson souhaitait développer sa branche haute technologiquie vers la direction de la robotique médicale. Il alla donc dans l'entreprise de son homme afin de discuter de cela. Il monta à l'étage concernée car à la sécurité se trouvait le chauffeur qui le reconnût. Ce ne fut pas la même chose avec le secrétaire.
- Monsieur Johnson n'est pas disponible et en plus vous n'avez pas de rendez-vous.
- Dîtes-lui que Justin est là.
- Qui est ce Justin pour lui ?
- C'est moi, son petit-ami.
- N'importe quoi, il n'est pas gay.
- Je croyais que les réseaux sociaux disaient le contraire et qu'il m'embrassait non ?
- On l'a vu embrasser un homme. C'était pour tester et même il n'aurait pas embrassé une personne comme vous !
- Comment cela ?
- Vous êtes habillé comme tout le monde. Vous ne le méritez pas. Il faut avoir un certain standiypour être avec lui. D'ailleurs, cette
phase va lui passer d'après son père.
- Appelez-le avant d'avoir de sacré problèmes.
- Le peckno arrêtez de m'énerver ou j'appelle la sécurité.
- Le peckno t'emmerde. Appelle la sécurité, je n'ai pas peur.
Elle appela la sécurité et Justin en fit de même avec Ryan.
- Chéri ta secrétaire ne veut pas me laisser te voir et elle a appelé la sécurité.
Ryan sortit du bureau en trombe.
La secrétaire devint toute blanche et bégaya des excuses.
- Vous voyez, le peckno est bien le petit-ami de Monsieur Johnson qui teste tous les jours sa sexualité avec lui et qui aime bien qu'il soit habillé comme tout le monde.
- Que veux-tu dire Justin ?
- J'ai tout dit avec mon ironie, j'ai ressorti toutes les insultes de ta chère secrétaire qui devrait réfléchir à arrêter de juger les gens sur leurs physiques et les habits qu'ils portent. L'apparence ne fait pas tout.
- Tu as raison mon cher docteur ingénieur de petit-ami. Tu es tout pour moi. Je ne te mérite pas.
- Mais, je suis...
- Ne dis plus rien. Tu en as assez dit. Ton sort est entre les mains du peckno. On y va mon ange ?
Justin l'embrassa langoureusement puis accompagna son homme qui le prit par la main.
Ils entrèrent dans le bureau. Justin s'assit en face de son homme.
- Je suis désolé pour ma secrétaire. Son sort est vraiment entre tes mains.
- Est-elle efficace dans son travail ?
- Elle l'était jusqu'à aujourd'hui.
- Mets les choses au clair avec elle.
- Ne t'inquiète pas.
Il demanda à cette dernière de ne plus les déranger sous aucun prétexte.
- Que me vaut ta visite mon ange. C'est la première fois que tu viens ici.
- J'aurais dû venir avant, je me suis bien marré par ce magnifique accueil.
- On va faire les présentations en bonne et du forme je pense.
- Donc, j'ai une demande à faire non pas à mon amoureux mais plutôt au pdg.
- Je vous écoute.
- Regarde cela.
Il lui tendit son dossier de projet de recherches.
- Montre cela à tes collaborateurs. L'hôpital refuse de tout financer. Il me faut un partenariat.
- C'est ce que tu as préparé dernièrement ?
- Je me suis beaucoup investi. Je veux une réponse sincère, sans passe droit. Tu es le premier que je démarche.
- Le directeur de ma branche recherche va y jeter un coup d'œil.
- Cool. Je dois y aller.
- Mon ange, j'ai envie de toi depuis que tu es entré dans la pièce.
- Le fantasme du bureau voyons. Trop cliché vraiment.
- Je m'en fou. Regarde je bande comme un âne.
Il recula sa chaise et montra son entrejambe. Justin contourna le bureau et il se pencha pour embrasser Ryan. Il s'assis sur lui et prit sa tête par l'arrière pour mieux approfondir le baiser avec sa langue qui pénétra à l'intérieur de la bouche du blond pour jouer et danser avec sa jumelle. Il passa ses jambes autour des hanches du blond et sentit sous ses fesses l'érection douloureuse de son amant.
- Besoin de mon aide ?
Ryan frotta son érection sous les fesses de Justin qui lécha la machoire du blond puis descendit vers l'oreille. Il ondula ses fesses sur l'entrejambe du blond qui était tout dur.
- Putain mon ange gemit Ryan. Aide-moi !
- Avec plaisir chéri !
Justin s'accroupît et baissa la braguette du blond puis le pantalon. Sa main se saisit alors du boxer noir pour le malaxer et faire ainsi ressortir l'érection de son amant qui avait du mal à etre contenu dans le sous-vêtement. Il humidifia le tissu avec ses coups de langue. Il baissa l'entrave afin de libérer la verge bien dure de son partenaire. Il se saisit des bourses avec une main afin de tenir le membre du blond. Il le regarda lubriquement tout en mettant des coups de langue sur le gland. On aurait dit qu'il léchait une glace.
- Mon ange grogna Ryan.
Il le fixa du regard tout en léchant la queue de son amant de tout son long. Il suçota ensuite le gland puis prit la queue du blond en bouche tout en creusant ses joues. Arrivé au pubis, il fit taper le gland au fond de sa gorge. Il imprima un rythme de fellation assez soutenu. Sa langue fit le tour du gland de temps en temps entre deux prises en bouche. Il relécha la verge de tout don long par le côté puis descendit sa langue vers les bourses qui furent léchouillées à leurs tour. Il prit dans sa bouche chaque couille tout en masturbant le sexe du blond qui grognait de plus en plus fort.
- On va t'entendre chéri !
- On s'en fou mon ange. C'est trop bon. L'amour avec toi est un délice !
Justin se leva et descendit son pantalon avec son boxer rouge en même temps. Il mis son ventre sur le bureau et offrit ainsi son cul au blond en écartant les fesses. Sa rondelle était en évidence, totalement offerte à son amoureux.
- Fais-moi l'amour le boss !
- Tout ce que tu veux.
Ryan lécha ses doigts et commença à doigter son amoureux qui était encore ouvert grâce à leurs ébats du matin. Il se redressa et fit passer sa verge sur la raie du bouclé le pénétrer.
- Putain, tu attends quoi ?
Ryan refit le même mouvement plusieurs fois : sa queue passa entre les deux lobes des fesses du blond et remonta pour sortir entre les deux chaires tout en ayant frotter la rondelle de son amant qui gémissait de plaisirs. Il enleva le t-shirt de son partenaire et se saisit des hanches du bouclé et le pénétra petit à petit alors que ce dernier serra le bord du bureau avec ses mains. Arrivé à la garde, il attendit. Un coup de fesses du bois vers l'arrière fut le signal. Le blond commença ses vas-et-viens dans le fourreau de son amant qui gémissait de plus en plus fort. Cela se transforma en grognements lorsque les coups de bassins du blond furent plus secs et profonds. Le bureau du blond résonnait du bruits de leurs grognements, de leurs peaux qui entraient en contact et du bureau qui bougeait avec le poids du bouclé et l'intensité des coups de bites du blond. Ryan se saisit de sa queue et Justin se cambra davantage. Le blond entra et sortit son membre de toute sa longueur en faisant un coup de bite pour pénétrer entièrement le bouclé qui criait de plaisir. Il refit l'action plusieurs fois tout en regardant son sexe apparaître et disparaître d'entre les fesses de son amant puis reprit son pilonnage de l'anus du bouclé. Nos deux hommes prenaient leurs pieds, leurs yeux se révulsèrent et ils jouirent mutuellement : le blond dans l'anus de son amoureux et le bouclé sur le bureau de son amant. Ils étaient en sueur et en nage. Ryan retourna Justin et lécha son sperme sur son ventre. Il prit un mouchoir et nettoya son bureau. Ils s'embrassèrent, se rhabillèrent, arrangèrent leurs vêtements froissés puis Ryan accompagna son petit-ami vers les ascenseurs. La secrétaire baissa la tête à leurs passages. Le blond la convoqua à son bureau pour mettre les choses au clair avec elle et lui expliquer qu'à la moindre réflexion sur son homme ou sur le fait que ce n'était qu'une phase, elle prenait la porte. Elle devait remercier la bonté du bouclé car lui, il ne lui aurait jamais pardonné cela.
L'hôpital accepta les partenariats privés et Ryan convoqua quelques jours plus tard son copain à son entreprise. Cette fois-ci, il arriva facilement à entrer dans son bureau et il s'adressa à la secrétaire avec le minimum de politesse tout en écoutant ses excuses les plus plates.
- Monsieurs Matthews, voyre dossier a été accepté par mes collaborateurs qui sont en ce moment en train de négocier les arrangements juridiques entre la holding et l'hôpital.
- Merci. C'est vraiment leurs choix ou tu es pour quelque chose ?
- Je n'y suis pour rien. Le directeur de la branche recherche est hyper enthousiaste. Tu vas le rencontrer, tu verras par toi-même. Evan négocie avec l'hôpital. Je te signale que sur le dossier que tu m'as donné j'ai fait enlever ton nom et seul le nom de ton chef apparaît dans ce qu'ils ont étudié.
- Je suis ravi de pouvoir travailler avec toi.
- Moi aussi.
- Nous allons travailler ensemble.
- Justin, je dois te demander quelque chose. C'est une requête de travail.
- J'écoute ta demande chéri.
- Prends-moi mon ange. Mon fantasme sera entièrement accompli lorsque tu me feras l'amour à ton tour sur le bureau.
- C'est une façon de sceller notre partenariat.
- Il faut le faire souvent alors mon ange.
Justin fit l'amour à Ryan sur le bureau qui résista à leurs ébats malgré avoir été intensément malmené par la passion de notre couple. Cela devint une habitude pour eux. Chacun venait sur le lieu de travail de l'autre et entre deux discussions, réunions, exposés ou autre choses, il s'envoyait en l'air. Tous les collègues de travail de chacun d'entre eux connaissait le petit-ami de l'autre. Les recherches du bouclé avançaient donc rapidement grâce à la grande collaboration entre, certes Ryan et Justin, mais aussi entre le directeur de la branche recherche de la holding, le chef Jeff et les assistants de Justin qui avait un interne et un résident avec lui. Donc les discussions de travail furent ainsi de nouveaux sujets d'échanges à la maison au sein de notre couple. Les premiers résultats furent fêtés dans une orgie de sexe où le corps de nos amants mirent du temps à refroidir tellement ils avaient chauffé et explosé de plaisirs. La collaboration au travail avait donc pimenté la vie de notre couple.