Sur ses mots un gémissement s'échappe d'entre mes lèvres, il embrasse mon menton et remonte sur mes lèvres en traçant un chemin invisible avec ses lèvres. Il ferme les yeux et observe mon visage. Soudain l'air me manque, je sens que les phéromones de Damen on remplit la pièce, je me sens durcir sous cette odeur ensorcelante. Je plonge mon regard dans le sien mais les yeux de mon amant ne sont plus les mêmes d'ordinaire marron ils sont désormais d'un ton violet.
- Da... Damen ?!
Il ne me répond pas et toute ça douceur semble avoir disparu il colle nos lèvres violemment et enroule sa langue à la mienne, je ne peux plus respirer mais ça ne semble pas déranger Damen qui semble être une autre personne.
- Tu es à moi, dit le brun d'une voix grave.
Il ouvre une des tables de chevet d'où il en sort une dizaine de capote, il avait déjà prévu le coup, il me retourne, je n'avais jamais remarqué que Damen était aussi fort. Il glisse ses doigts sur mon torse et pinces mes tétons, je mords ma lèvre inférieure sous son exquise torture. Je commence à avoir plus chaud que je ne le pensais, je me sens trembler et une sensation familière m'envahie, ne me dîtes pas que j'ai mes chaleurs ! Sans plus de réflexion, je l'entends retirer sa ceinture, j'imagine la suite des évènements et je sens un liquide glisser de mon cul. J'ai eu plusieurs fois mes chaleurs mais jamais je n'avais ressenti ce genre de chose. Je me retrouve nue devant Damen, mes yeux priver de son visage. Il entre deux doigts en moi et je plisse mon visage sous son geste, c'est désagréable. Mais plus ses mouvements s'accentuent plus mes gémissements s'accentuent. Il retire ses doigts. Mais je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle qu'il relève soudainement mon bassin, ma poitrine contre le matelas, mes doigts serrés autour des draps. Ses doigts de part et d'autre de mes fesses, je ne comprends que trop tard ce qu'il veut faire, sa langue entre en moi, mes yeux s'écarquillent et je gémis sous cette nouvelle sensation, j'agrippe mes doigts au drap aussi fort, je ferme les yeux et les sensations s'accentuent, je le veux et il sait se faire désirer. Il se retire et je sens son sexe gorgé de sang à mon entrée, il entre en moi et tape au fond de moi. C'est bon, si bon, un frisson parcourt ma peau sensible à ses caresses. Il continue ses mouvements plus rapide, plus profond. Je sens le regard scruteur de Damen qui parcourt mon dos. Je respire difficilement et je sens la langue de Damen lécher mon omoplate puis je sens ses dents, il me mord.
- Haaa !
Il mord mon cou, puis y laisse un suçon il continue sa torture dans mon dos tout en continuant ses mouvements de va et vient, mon dos me lance tandis que je jouis quand son sexe entre une nouvelle fois en contact avec ma prostate. Damen jouis aussi, il se retire de moi et remet une capote. Je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle que Damen me retourne et entre en moi. Le brun s'accroche à mes hanches et continue ses mouvements frénétique, je gémis à en perdre haleine, mes doigts crispés sur les plis des draps je profite de tout ce que me fais ressentir mon brun. Je sens les yeux de Damen s'accorder au mien il passe sa langue sur ses lèvres comme hypnotisé devant mon visage rouge de ses mouvements intense, de la sueur qui surement devait parsemer mon front, et de mes lèvres devenues rouges sous les morsures de mes dents. Il m'embrasse soudainement et lèche la goutte de sang sur mes lèvres provoquer par toutes les morsures que lui provoquaient mes dents. Je sens que Damen grossit en moi, je me cambre sous lui, comment peut-il grossir ? Il continue ses mouvements et me fait jouir encore une fois malgré la douleur que me produis son sexe. Un filet de bave glisse d'entre mes lèvres, je devais être pitoyable mais au lieu d'être refroidis je sentis le sexe de Damen devenir encore plus gros, je serre les dents sous la douleur que me provoque ce changement inhabituel .
- Arrête de bouger ! Tu me fais mal... Dis-je difficilement.
Les larmes dévalent violemment mes joues, il embrasse celle-ci comme pour m'apaiser de cette douleur qu'il me provoque mais malgré tous ses mouvements de bourrin ne cessent pas. Il me retourne nous m'étant face à face, il m'embrasse tout en baissant et en relevant mes hanches. Il mord ma clavicule qu'il lèche juste après, il parsème mon torse de suçon plus ou moins marqué, j'atteins l'orgasme sous un de ses nombreux mouvements de butoir. Je griffe son dos sous ce plaisir qui parcourt tous mes muscles, je colle nos lèvres et je le sens jouir une fois encore en moi, il retire la capote mais dans un mouvement rapide en remet une et me pénètre, mon corps s'est habitué à sa grosseur nouvelle mais n'en restait pas moins marqué. Je pense que je vais en avoir pour encore un long moment mais je suis heureux d'être la personne qui aide Damen. Je le serre dans mes bras pendant que ses mouvements de butoirs me procurent mille et une sensations, des frissons me parcourent l'échine tandis que mon corps entier hurle de plaisir sous ses assauts, c'est avec la voix essoufflée que je susurre à Damen:
- Je t'aime.
Je sens ses lèvres comblées les miennes, ses lèvres sont rosies par le nombre de baiser échanger.
- Nils tu es incroyable.
L'homme que j'aime me sourit de toutes ses dents, mon cœur se serre devant son visage, une larme de joie dévale ma joue et comme un manque soudain je recolle nos lèvres. Il continue à taper au fond de moi et je jouis encore, si possible. Je suis comblé de toutes les manières possibles et imaginables.
Je me sens vide de toute énergie, mon dos contre le matelas je sens Damen me prendre tandis que mon ventre est couvert de sperme, je sens Damen jouir en moi. J'ai perdu le nombre de ses assauts mais les capotes ont vite manqué et impossible d'aller en chercher d'autre. Damen sort de moi et se redresse il en profite pour me regarde haute en bas. Je commence à m'adosser sur mes coudes mais Damen plonge sur moi. Il colle une énième fois nos lèvres mais avec toujours la même passion, je me laisse glisser dans toutes ses sensations que me crée Damen. Il entre en moi en même temps que sa langue entre en contacte avec la mienne. Des frissons incontrôlables parcours ma peau rougie par ses caresses. Tel un expert il touche une par une mes zones érogènes. Je griffe son dos lui en demandant plus, j'ai passé la journée dans ses bras mais je ne suis pas lassé de ces caresses. Comment peut-il avoir encore de l'énergie ? Si Damen n'était pas au-dessus de moi il y a longtemps que je me serais endormi. Il descend ses lèvres sur mes tétons mais ne ralentit pas la cadence frénétique qu'il impose à mon corps. Il lèche et mordille mes tétons tandis que mes ongles martèlent son dos.
- Damen.... Je vais .... jouir.
Et sur son mouvement de rein je jouis, entre nous et lui en moi. Il semble se calmer car il m'embrasse plus doucement. Il se couche à ma à droite et me fais basculer sur lui, il ignore nos états lamentables et me serre dans ses bras et nous nous endormons ensemble.
** PDV: Damen **
Mes yeux me piquent et une masse me plaque fermement contre le lit. Je me sens poisseux mais je ne veux pas quitter cette sensation de bien-être. Malgré tout j'ouvre les yeux poussées par la curiosité de cette masse sur mon torse. Des mèches brunes me chatouillent le nez, je plisse les yeux, il fait sombre mais je perçois des petits rayons lumineux percés dans la maison. Je reconnais alors les cheveux de Nils, qui lui dort paisiblement sur mon torse, je ne dois pas être le meilleur oreiller mais Nils semble s'y sentir bien. J'admirer mon brun, son cou est parsemé de suçons et de morsure. Je peux alors admiré le dos de mon amant qui est complètement couvert de mes suçons et de mes morsures, il est tellement sexy. Je sens qu'il me fait de l'effet. Un sourire en coin germe sur mon visage, il est à moi, il m'appartient corps et âme et rien que cette réflexion me donne terriblement envie de le prendre. Je le sens bouger et relever sa tête, son menton contre mon torse. Il a les yeux plissés, et quelques mèches sont collées à son front. Ses joues sont toujours rouges et sa lèvre couper me donne une terrible envie de l'embrasser.
- Bonjour, me dit Nils de sa voix du matin.
Je me contente de l'admirer, je pose ma main dans ses cheveux et profite de cette sensation. Le brun tente de se lever du lit mais je le vois basculer, je le rattrape juste à temps, ça tête n'a pas toucher le sol, ce n'est pas un enfant mais j'avais cette impression que s'il tombait il pourrait se briser en mille et un morceaux. Je tiens Nils, mes bras sous les siens.
- Toujours aussi maladroit, ajoutais-je.
Il se relève et je peux voir que ses fesses sont rougies et qu'un liquide y glisse. Mon cœur se serre, ça a l'air douloureux. Je le tire sur le lit et le serre dans mes bras.
- Désolé Nils.
Je peux voir qu'il a un frisson.
- Pourquoi ?
- Je n'ai pas su me contrôler.
Ma tête contre son dos, je ne veux pas voir son visage. Je ne me rappelle que de quelque petit évènement d'hier mais j'ai la peur au ventre à l'idée de l'avoir blessé. Il se retourne dans mes bras et mon visage se retrouve devant une de mes nombreuses marques de morsure. Les mains de Nils se posent sous mon menton et le relèvent, je peux voir son visage sur lequel est dessiné un de ses si beaux sourire.
- Tu ne m'as faits aucun mal, j'ai passé une très bonne journée.
Tous ses mots semblent tellement vrais. Je lèche la morsure devant moi et je le vois se raidir.
- Menteur, murmurais-je.
- J'avoue tu étais un peu nul.
Je le pousse subitement, moi sur lui, lui sous moi. Je lui souris et il y répond.
- Tu ne sais pas mentir Nils.
Je pose mes lèvres sur les sienne, et lèche sa blessure. Je le vois manquer d'air, ses joues prennent un ton pourpre pour mon plus grand plaisir. Sa peau semble tellement sensible au moindre de mes toucher. Je commence à suçoter son cou quand Nils me coupe dans ma lancer en me repoussant.
- Je... Je vais me doucher.
J'arque un sourcil. Et continue sans sa réponse, mes baisers dessinant sa mâchoire. Ses petits gémissements m'incitent à continuer.
- Si on continue sur cette lancer je vais devenir fou, ajoute mon brun faisant référence à notre journée d'hier.
- Et moi je vais devenir fou si je ne te fais pas l'amour tout de suite.
Ses yeux s'écarquillent et il devient rouge pivoine, ce que j'aime le taquiner. Il ne m'empêche pas de descendre mes baisers à son torse, redessinant ses muscles. J'arrive à son bas-ventre et je peux le voir trembler, j'arrive à son sexe, légèrement dur. Je jette un regard à Nils, qui mord sa lèvre inférieure pour faire le moins de bruit possible. Un sourire en coin marque mon visage, malgré moi, je veux le faire gémir, l'entendre prendre du plaisir savoir que c'est moi qui le mets dans cet état second. Je prends son membre en bouche ce qui a pour effet de lui faire cambrer le dos. Ses doigts s'agrippent aux plis du drap, des gémissements s'échappent de ses lèvres rougies. Je continue mon mouvement et des larmes perles à ses yeux. Magnifique. Je continue mes mouvements me concentrant sur ma tâche érotique.
- Da.... Damen.
Ses supplications m'excitent davantage et je le prends totalement en bouche. Ses muscles se contactent, son dos se cambre et il jouit sous ma douce supplice.
À suivre. . .