Forte pour vous !

By SayuriElendil

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Mon nom est Astrid. J'avais une vie merveilleuse, une famille merveilleuse et j'étais des plus heureuses. J'é... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Petit contretemps ?
Chapitre 12
Chapitre 13

Chapitre 4

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By SayuriElendil

Salut !

Voici le nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plaira. N'hésitez pas à donner vos avis !

Bonne lecture !

******

Cela allait faire maintenant plusieurs semaines qu'Ace avait officiellement rejoint l'équipage. Il avait intégré directement la deuxième flotte et était sous les ordres de Marco le temps qu'un nouveau commandant soit désigné. Il s'était bien intégré et son équipage aussi même s'ils étaient répartis dans les différentes flottes, certains avaient bien rigolé quand ils avaient appris qu'il allait être dans la même division que moi. Tous y voyaient un "coup du sort".

Depuis son intégration et sa conversation avec père et Marco, il était un peu plus ouvert, détendu et riait beaucoup surtout de ses frasques. Thatch avait aussi été obligé de faire faire des verrous plus fort pour que le voleur de nourriture arrête. Bizarrement on les retrouvait le lendemain tous fondu. Ace était un gros morfal. Il avait même pris l'habitude de piquer des roupillons dans son assiettes, sur ses voisins ou même sur le sol de façon aléatoire et sans que cela prévienne.

Comme toujours, même si cette mauvaise habitude c'était calmée le temps que je partage la chambre de Thatch, je me réveillais tard durant le temps de midi et rejoignais directement ma famille à table. Aujourd'hui, j'avais opté pour un baggy noir, une brassière de la même couleur, une paire de chaussures quel conque et mon éternel collier. Je n'avais pas coiffé mes cheveux étant encore bien trop endormi pour essayer de dompter ma tignasse.

Je m'installais à ma place habituelle mais Teach avait laissé place à Ace ce qui était bien plus agréable pour moi. Une fois sur ma chaise je me laissais aller contre l'épaule de mon nouveau camarade pour comater le temps de trouver l'énergie nécessaire pour tendre le bras vers les plats qui n'attendaient qu'à être mangé.

Encore une nuit blanche ? Me demanda Félix.

Pas vraiment, j'ai dormi.

- Combien de temps cette fois ? Continua Ace en remplissant l'assiette en face de moi.

Je dirais trois heures en micro siestes..., répondis-je évasivement.

Faut vraiment que tu dormes. Tu vas finir par tomber malade et gravement, s'inquiéta Félix.

Surtout que de ce que je sais la deuxième te voudrait comme commandante, mais ne veulent pas te demander de peur que tu te prives encore plus de sommeil.

Ace devait venir de gaffer vu le nombre de "chut" et "tais-toi" qui avaient fusé suite à sa phrase de la part des membres la deuxième et le regard blasé de Félix. Je mis tout de même bien plusieurs minutes avant de comprendre ce que les autres voulaient. Quand la phrase fit enfin le tour de mon cerveau, mes yeux s'agrandirent, ma bouche s'ouvrit, je me redressais et les regardais tous à tour de rôle. Ils voulaient que je sois leur commandante ?

Les gars... C'est vraiment gentil mais même si je n'avais pas eu mes problèmes d'insomnies j'aurais refusé, leur dis-je sérieusement en me reprenant.

Hein pourquoi ?! Si c'est à cause de père on a déjà vu avec lui et il est d'accord pour faire une exception ! M'assura la voix d'un de mes camarades. Il a compris que le combat était quelque chose qu'on ne pouvait t'enlever !

- Non, ce n'est pas ça. Je sais que vous êtes adorable et ce n'est pas à cause de vous, mais je n'ai pas la carrure pour être commandante c'est tout aussi simple.

- Tu rigoles ?! Marco nous donne les ordres le temps que tu dormes mais dès que tu es opérationnelle tu prends sa place et assure à ce poste ! Tu es vraiment doué pour commander, la preuve tu es la seconde du commandant de la deuxième et c'est pas un cadeau !

- Là n'est pas le problème, seconder un commandant ce n'est pas la même chose qu'être un commandant. Je ne peux pas. Je refuse d'avoir vos vies entre mes mains, je suis bien trop solitaire pour cela et pas assez forte pour vous protéger, refusais-je catégoriquement.

Astra, honnêtement à part ton problème de sommeil, tu es la meilleure pour être à ce poste, insista mon ami roux.

Félix, c'est un non catégorique, je resterais la seconde du commandant mais hors de question que je le devienne. Le sujet est clos et pour info vous avez un nouvel arrivant à mettre à l'épreuve qui sera bien plus efficace que moi à ce poste.

Je ne leur laissais pas le temps de répondre que je pris mon assiette en ajoutant un peu plus de choses que je mis sur un plateau, sur lequel j'ajoutais des fruits rouges dans un bol et sortais pour manger dans la bibliothèque. C'était bien le seul endroit où j'étais tranquille, il y avait peu de passage et surtout un petit coin avec une chaise et une table à l'écart et bien cachés. J'attrapais le premier livre qui me tombait sous la main, soit un carnet de bord d'un pirate inconnu et le lisais en mangeant. J'avais besoin d'un peu de calme pour réfléchir, je ne me sentais pas capable de commander des hommes, autant seconder quelqu'un oui, mais pas commander... Ma confiance pour faire cela c'était envolé avec mon pays. Je n'avais même pas vu la trahison d'un de mes hommes et meilleur ami, alors comment pouvais-je gérer autant de personne ? Impossible.

Dès que mon plateau fut vide, je rassemblais mes affaires et glissais mon livre sous le bras pour aller rendre le plateau aux cuisiniers. Quand je fus dans le réfectoire je fus surprise de constater que les commandants encore présents sur le navire, soit Marco, Haruta, Thatch, Izou, Blamenco et Namur, ainsi que père étaient toujours à leur table et semblaient attendre quelque chose. Dès qu'ils me virent, ils me firent signe de venir les rejoindre. Je m'exécutais dès que j'eus déposée mon plateau aux plongeurs.

Que se passe-t-il ? Pour info j'ai rien fait de mal aujourd'hui, me défendis-je automatiquement en m'installant à leurs côtés.

Je le sais ma fille. Rassure-toi, nous voulions te parler de ce que veulent tes frères de la deuxième, commença père.

Ma réponse n'a pas changé et ne changera pas. Je RE.FU.SE.

- Astra, tes frères ont besoin d'un commandant et ils n'ont pas tort, dès que tu es réveillée tu t'occupes bien de tes hommes, yoi. Tu donnes de bons ordres, yoi. Ils sont réfléchis et sage, je ne ferais pas mieux moi-même, yoi.

- Marco, j'ai dit non. Je ne peux pas être commandante. Je suis la seconde c'est tout, je suis incapable de les gérer, la preuve je n'ai pas confiance en mes hommes et surtout en Teach ! Hors de question que je m'occupe d'eux !

- Pourquoi ma fille ? Qu'a fait Teach pour avoir autant ta méfiance ?

- Père, il est bien trop... mielleux, bien trop... gentil pour que ce soit normal. Il cache quelque chose. Bref, là n'est pas la question. Le fait que je n'ai pas une confiance totale en eux prouve que je ne suis pas faite pour cela.

- Tu peux ne pas faire confiance à tout le monde, chérie, me rassura Izou.

Izou, le rôle d'un commandant est semblable à celui du capitaine : avoir une confiance totale envers ses hommes jusqu'à preuve du contraire. Le rôle du second c'est de se méfier de tout le monde pour éviter les coups en traitre, argumentais-je.

Elle n'a pas tort père, elle ferait une bonne seconde. La deuxième flotte c'est des bourrins qui foncent dans le tas, se méfier c'est pas leur politique. Un commandant trop méfiant c'est pas positif, c'est au second de l'être pour deux.

- Je dois dire quoi moi, yoi ? Je suis commandant et second de père, yoi, rigola Marco.

Ma fille, pour toi, qui ferait un bon commandant pour la deuxième ?

- Ace, répondis-je du tac au tac. Mais je ne t'apprends rien, vu que c'est ce que tu espérais, n'est-ce pas ?

J'avais un sourire en coin et père se mit à rire, de son rire si caractéristique. Je l'avais démasqué et tous avaient compris ce qui les fit rire. Père n'avait pas toujours le dernier mot, surtout avec moi. Je ressortis l'air de rien pour atteindre le pont pour faire mes corvées, je devais nettoyer les armes et faire quelques rapports. J'avais décidé de les faire étant donné que c'était mon rôle en attendant un nouveau commandant et je n'avais plus aucune excuse pour laisser Félix et Marco les faire. On se plaignait encore beaucoup de mon orthographe et mon écriture mais je m'étais beaucoup améliorée.

Je restais toute la journée dehors pour faire ces rapports. Personne n'était venu me déranger à mon plus grand étonnement, enfin les trois premières heures. Izou était venu s'installer derrière moi pour me brosser les cheveux et les assembler dans une tresse lâche. Le commandant originaire de Wano adorait s'occuper de mes cheveux et aussi de mes vêtements. Il s'occupait ensuite de me faire une nouvelle veste kimono, la précédente ayant brûlée, à côté de moi pour profiter du soleil et pour reprendre mes mensurations au fur et à mesure de la confection.

Je fus déconcentrée à un moment par un Ace qui était poursuivi par un roux en colère. Félix avait de la mousse à raser plein le visage. Le pauvre avait dû s'endormir au mauvais moment et au mauvais endroit et le brun en avait profité. Les gamineries d'Ace me faisaient toujours sourire tendrement. Son côté gamin m'attendrissait, en fait tout l'équipage me rendait plus douce. Je les aimais tous ces pirates qui n'avaient pas perdu leurs côtés enfantins.

Je me laissais aller contre l'épaule de mon ami travesti et regardais ce qui se déroulait devant moi. Félix avait fini par attraper Ace en lui lançant un seau d'eau savonneuse le faisant tomber et perdre des forces. Mon ami avait étalé de la mousse à raser sur tout le crâne du blagueur et surtout dans les cheveux. Je crois même l'avoir vu en mettre dans son short !

Je finis sans m'en rendre compte par m'endormir sur l'épaule de mon ami aux cheveux long. Comme toujours je faisais ma sieste de l'après-midi, ou plutôt ma micro sieste qui fut vite interrompue par mon blond préféré. Je voyais à son visage que cela ne lui plaisait pas. J'avais conscience que personne sur le Moby Dick ne venait me déranger lorsque je dormais sauf danger ou choses importantes et je les en remerciais.

Se passe quoi Coco ? Lui demandais-je en frottant mes yeux et m'étirant en même temps.

Désolé de te réveiller miss mais on va partir en mission de reconnaissance, yoi. On part cette nuit, yoi. Va prévenir ceux de la deuxième et faites vos affaires pour deux semaines voire plus, yoi.

- J'y vais, lui répondis-je en me relevant et en m'étirant les jambes avant de prendre la paperasse qui était à mes pieds. Tu peux juste prendre les rapports ?

- Merci, je vais les transmettre à père, yoi.

- Astra ! Attends, m'ordonna Izou en se relevant également.

Il me retourna pour me mettre dos à lui et me fit revêtir le vêtement qu'il avait confectionné pour moi. J'avais une nouvelle veste de kimono noire avec l'emblème de père sur le dos en jaune entouré de flamme. J'aimais beaucoup. Je le remerciais en lui embrassant la joue et partais en direction d'un groupe de la deuxième pour les prévenir de notre nouvelle mission. Je constatais que ceux de la quatrième remplissaient les cales d'un des navires annexes du Moby Dick, je voyais aussi des chaines et des cadenas être mis en place sur les caisses. Je ne pus retenir un petit sourire en coin fleurir sur mes lèvres.

Je prévins tous les membres de ma division et fis mes bagages pour la semaine et pris mon arc et mes flèches, sans oublier mon bouclier et mon marteau dans un autre grand sac. Je les prenais au cas où, mais je ne comptais pas les utiliser sauf en cas de force majeure. J'avais un mauvais pressentiment, quelque chose allait arriver, quelque chose d'important. C'est la boule au ventre que je me rendis sur le navire pour y déposer mes affaires mais à mon grand étonnement des affaires se trouvaient déjà dans la chambre que j'occupais en temps normal, c'est donc avec incompréhension que je ressortais et que je refis le chemin pour retomber sur la même pièce avec les mêmes affaires. Je décidais donc de chercher Marco pour lui demander où j'allais crécher. Je comprenais qu'avec l'arrivée des Spades il y aurait moins de place dans les navires annexes mais cela m'étonnait que toutes les pièces soient prises.

Coco ! Criais-je pour l'appeler.

Mon ami mit seulement quelques minutes pour rejoindre sous forme de phénix sur le pont du bateau de mission.

Qu'est-ce qu'il y a, yoi ? Me demanda-t-il.

Je dors où ? La chambre que j'occupe habituellement est prise, du coup je sais pas où mettre mes affaires, lui expliquais-je.

Va dans ma cabine, on va partager ma chambre, yoi.

- Mais je vais t'empêcher de dormir avec mes cauchemars à répétition... Non, je vais dormir dans la salle d'entrainement, c'est plus sage.

- Non, tu dors avec moi, yoi. Ne t'en fais pas pour tes cauchemars et quand tu étais avec Thatch, ça c'était calmé, non, yoi ? Alors tu dors avec moi pour passer une bonne nuit, yoi. Si tu ne veux pas tu dormiras dans la chambre habituelle mais avec Ace, à toi de voir, yoi.

Je soupirais et finis par accepter sa proposition et déposais mes affaires dans sa cabine. Je rangeais mes vêtements dans son armoire avec les siennes, je gardais avec moi mon carquois avec mes flèches, mon couteau accroché à ma cuisse. Quant à mon bouclier et mon marteau je les posais le long de l'armoire loin des regards indiscret.

Marco m'attendait pour aller manger avec les autres avant notre départ. Nous préférions partir de nuit pour éviter que les marines, qui nous surveillaient, soient au courant de nos déplacements de trop près. Lors du diner, père me demanda de manger avec les commandants pour qu'il puisse me parler de la mission étant donné mon poste auprès de mes frères d'arme. J'appris donc que nous allions sur une île que nous n'avions encore jamais visité, les flux entre les îles étaient véritablement un vrai mystère pour moi, mais j'adorais partir à l'aventure et tous l'équipage le savait.

J'appris donc qu'il fallait qu'on explore l'île pour savoir s'il y avait des habitants et s'il y avait des marines de présents. Nous devions également faire un ravitaillement de nourriture et autres fournitures. Nous avions donc du pain sur planche. D'après Marco nous allions mettre au minimum deux jours avant de pouvoir accoster là-bas. Père nous demanda de faire attention et de prendre soin de nous et surtout de bien nous amuser.

Une fois le repas terminé nous prîmes la mer en direction de la nouvelle l'île. Comme toujours je pris les premiers quarts de surveillance mais cette fois avec Marco, après tout nous étions les responsables, il fallait bien que nous jouions notre rôle. Tout était calme, enfin, avant qu'une flammèche décide de lancer un poing ardent dans le ciel histoire de s'amuser et de saluer nos camarades de loin. Nous nous regardâmes désespérer avec Marco avant de nous frapper le front avec la paume de notre main. Il n'en manquait pas une ! C'est ainsi que nous dûmes nous battre et faires couler quelques bateaux de la marine. Pour la discrétion, il fallait repasser.

· Astra, c'est ton boulot de gérer ceux de la deuxième, yoi, dit Marco de but en blanc.

· Marco, je suis la seconde pas le commandant. Pour information, tu es le commandant remplaçant de la deuxième division, tu dois assumer aussi.

· Sauf que tu es assez proche de devenir commandante, yoi.

· J'ai refusé catégoriquement de l'être, n'oublie pas ça. Par contre je vais te laisser un moment pour aller frapper cette tête brûlée qui ne sait pas restée discrète !

Je le laissais donc seul alors qu'il riait car il savait que le brun allait passer un mauvais quart d'heure. Nous l'avions prévenu que nous devions rester discret le temps de dépasser les navires de la marine ne voulant pas qu'ils sachent où nous allions mais cet idiot avait révélé notre position. Si la discussion ne fonctionnait pas avec lui, j'allais lui faire rentrer ce principe de force dans le crâne.

Ace était en train de rire avec les autres de la flotte, heureux de s'être battu et se demandant de combien allait augmenter sa prime. Il se vantait tellement qu'il ne vit pas ses camarades se figer de peur et pâlir à ma vue. Je les vis se déplacer le plus discrètement possible de mon chemin pour ne pas subir mon courroux et aussi s'éloigner d'Ace pour ne pas être des dommages collatéraux.

Sans lui laisser le temps de réagi, je lui saisissais la cheville et le plongea dans la mer tout en le tenant fermement. Je le tirais ensuite sur le pont où il recracha l'eau qu'il avait avalé. Il allait rétorquer quelque chose mais se ravisa en me voyant.

· Ace, le principe de ne pas attirer l'attention sur notre départ, c'est justement de faire profil bas ! L'engueulais-je en lui frappant la tête avec mon poing.

· Hein ?! Mais se débarrasser d'eux c'est plus simple ! S'écria-t-il en se tournant vers moi tout en se tenant la tête là où la bosse commençait à apparaitre.

· Non, le but est que personne ne sache qui est partit où et surtout que personne ne sache quelle division est absente du Moby Dick et tu viens de leur annoncer qu'une ou plusieurs divisions venaient de partir et qui plus est celle de Marco. Car pendant que tu t'amusais ils ont eu le temps de faire remonter l'information à leur QG. En conclusion, ils savent qu'il manque le commandant le plus chiant à combattre et surtout le médecin de bord et la division médicale !

Je constatais à sa tête qu'il avait compris qu'il venait de faire une grosse bourde, il s'excusa automatiquement pendant que je prévenais le responsable des communications de dire à père que nous avions été repéré et donc de faire attention à lui. Bien entendu la seule réponse que nous eûmes fut : "Je ne suis pas un enfant et je ne crains rien mes enfants. Cessez de vous en faire pour moi !"

Je soupirais un coup et ébouriffais les cheveux d'Ace en m'excusant auprès de lui, après tout j'aurais dû prévoir qu'il allait réagir comme ça. Bien entendu, je lui donnais plus de corvées pour le lendemain et lui demandais de rester avec Marco et moi-même cette nuit. Je préférais l'avoir à l'œil, tout comme Teach qui était en contre bas, comme on dit : "sois proche de tes amis, sois le encore plus de tes ennemis".

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