Comment (ne pas) se faire oub...

By miss-red-in-hell

10.4K 1.4K 719

Rey n'a qu'un problème dans la vie : qu'on lui parle sans cesse de sa vie sentimentale qui est inexistante de... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26 - Ben
Chapitre 27 - Rey
Chapitre 28 - Ben
Chapitre 29 - Rey
Chapitre 30 - Ben
Chapitre 31 - Rey
Chapitre 32 - Ben
Chapitre 33 - Rey
Chapitre 34 - Ben
Chapitre 35 - Rey
Chapitre 36 - Rey
TOME 2 || Chapitre 1 - Rey
Chapire 2 - Rey
Chapitre 3 - Ben
Chapitre 4 - Rey
Chapitre 5 - Ben
Chapitre 6 - Ben
Chapitre 7 - Rey
Chapitre 8 - Ben
Chapitre 9 - Rey
Chapitre 10 - Ben
Chapitre 11 - Rey
Chapitre 12 - Ben
Chapitre 13 - Rey
Chapitre 14 - Ben | tw
Chapitre 15 - Rey
Chapitre 16 - Ben
Chapitre 17 - Rey | tw
Chapitre 18 - Ben
Chapitre 19 - Rey
Chapitre 20 - Ben
Chapitre 21 - Rey
Chapitre 22 - Ben
Chapitre 23 - Rey
Chapitre 24 - Ben
Chapitre 25 - Rey
Chapitre 26 - Ben

Chapitre 23

227 29 11
By miss-red-in-hell

Dès que mes yeux papillonnèrent, je m'attendais à me réveiller seule dans le lit et à retrouver Ben probablement en train de préparer un quelconque petit-déjeuner. Mais j'avais encore ma tête sur mon torse. En croisant son regard, je me levai d'un bond, par pur réflexe. Il rit aussitôt à ma réaction un peu exagérée.

— On dirait que je t'ai surprise, me fit-il remarquer en riant.

— Un peu... Je me rappelle même pas m'être endormie hier...

— À croire que mes bras étaient confortables.

— Je crois bien, rétorquai-je, un sourire en coin.

Je m'assis à côté de lui, en tailleur, et il se redressa légèrement, prenant appui contre le mur. Il avait encore ses vêtements de la veille, cette même chemise noire avec quelques boutons ouverts pour laisser apercevoir son torse.

— De quoi as-tu faim mis à part de mon corps ? me demanda-t-il, un peu trop sûr de lui.

J'avais envie de le contredire mais il ne me laissa pas le temps.

— Rey... Je le connais ce petit regard.

— Quel petit regard ? le provoquai-je dans un murmure.

— Celui avec lequel tu me dévores quand tu as terriblement envie de m'embrasser et peut-être bien plus...

Je baissai mon regard, un sourire malin sur les lèvres. Évidemment que je ne pouvais pas cacher à quel point j'avais envie de lui. Je repensais alors aux évènements de la veille, où nos corps avaient été si proches. Nous n'étions pas allés extrêmement loin mais c'était suffisamment satisfaisant. Nous avions pris le temps de nous connaître.

Il se rapprocha de moi et, de son index, il me caressa la lèvre inférieure. Ma langue vint à la rencontre de son doigt et mes lèvres vinrent le sucer délicatement.

— Tu voudras un autre petit-déjeuner en dehors de mon doigt ? me demanda-t-il de plus belle.

Un sourire se dessina sur son visage et il s'agrandit quand il me vit rire.

Alors, je le chevauchai pour prendre son délicat visage entre mes mains. Juste les yeux dans les yeux. Dans le silence.

Il avait ses cheveux en bataille et je ne saurais dire pourquoi, mais ça la rendait d'autant plus adorable.

— Peut-être que je prendrai un café... À moins que tu aies prévu autre chose.

— Tu es mon invitée ici, alors je vais juste te suivre.

Mes lèvres se posèrent doucement sur les siennes, juste le temps d'un bref baiser. J'avais l'impression que c'était bien plus un besoin qu'une simple envie, mais c'était toujours aussi plaisant.

— Est-ce que tu veux faire quelque chose de particulier aujourd'hui ? s'enquit-il.

— J'en sais rien... Tu as une idée ?

— Au pire, on verra...

Ses mains glissèrent jusqu'au bas de mon dos et je me cambrai légèrement à ce contact.

— Allons prendre un café sinon je sens qu'on va rester à se regarder toute la matinée, lançai-je à demi-voix.

— Est-ce vraiment un mal ?

— J'aimerais bien prendre un café, histoire de ne pas avoir l'estomac totalement vide...

— Je vais te préparer ça... Mais tu me coinces un peu petit.

Son regard se posa sur mes cuisses qui coinçaient les siennes. Je les resserrai dans l'unique but de le provoquer. Ses mains se dirigèrent vers mes hanches et il empoigna ma chair en approchant son visage du mien.

— Tu veux jouer à ce jeu et m'emprisonner comme ça ? me taquina-t-il.

— Qu'est-ce que tu comptes faire pour m'en empêcher ?

Il prit mes poignets avec beaucoup de délicatesse et toujours en jugeant ma réaction. Il prit quelques secondes pour comprendre que j'étais totalement prête à lui laisser les devants. Il me fit alors basculer, m'allongea sur le lit et bloqua mes poignets aussi de ma tête.

— Je deviens donc ta prisonnière ? m'enquis-je en arquant un sourcil.

— On dirait bien. Et une aussi belle prisonnière que toi va devoir subir un traitement spécial...

Ses lèvres se frayèrent un chemin jusqu'au lobe de mes oreilles pour l'embrasser délicatement. Je pris alors une grande inspiration, ce qui sembla l'inquiéter un instant.

— Tout va bien, le rassurai-je, haletante. C'est juste que c'est un drôle de traitement pour une prisonnière...

— L'attaque de petits baisers est une de mes spécialités, me susurra-t-il.

Son souffle chaud sur cette zone était extrêmement intense pour mon corps, ce que je ne m'y attendais pas. Puis, il y avait ses cheveux qui frôlaient ma peau et qui me laissaient échapper un bref frisson.

Ses lèvres descendirent le long de mon cou pour y déposer de nombreux baisers tout en maintenant toujours mes mains au-dessus de ma tête. Mon dos se cambra alors qu'il intensifiait ses baisers jusqu'à ma clavicule.

— Combien de temps vais-je rester ta prisonnière ? demandai-je dans un soupir.

— Tu peux t'en délivrer quand tu veux... Simplement en me le demandant.

— D'accord... Attention, je vais utiliser une technique de persuasion très compliquée, rétorquai-je, joueuse, tandis que ses lèvres s'approchèrent des miennes.

— Je t'en prie...

— Tu vas libérer mes poignets et tu vas me laisser prendre le dessus, lui ordonnai-je en effleurant ses lèvres.

Un léger sourire illumina son visage et il relâcha mes poignets et mit ses mains en évidence.

Immédiatement, mes lèvres se plaquèrent aux siennes, mon corps contre son torse et mes bras s'entrelacèrent derrière sa nuque. Je pris appui sur lui pour me relever puis mes mains se dirigèrent vers sa chemise que je commençai à déboutonner.

— Je vais te libérer de cette chemise, le relançai-je entre quelques respirations.

— Tu as vraiment une dent contre cette chemise...

— Ouais... Il est hors de question que tu me prépares un café avec cette chemise.

Il sourit à ma remarque alors que sa main se posa sur mon épaule droite. Son index commença à jouer avec les bretelles de ma robe et de mon soutien-gorge.

— Est-ce que tu enlèveras quelque chose à ton tour ? m'interrogea-t-il, l'air provoquant.

Je pris une longue et lourde inspiration. Il connaissait en partie mon corps, parce que nous avions appris à découvrir celui de l'autre, mais ça n'avait toujours été que de simples caresses. Il avait beau avoir touché mon corps à certaines zones sensibles, ce n'était rien par rapport à la nudité.

Se mettre à nu devant une autre personne c'était parfois un pas important à franchir et même si je n'avais jamais réellement été complexée par mon corps, je ressentais quand même cette pression en partie actuellement.

Parce que je n'étais pas cette femme complètement photoshopée qu'on pouvait croiser quelques fois dans la presse ou autres médias. Je n'avais pas une taille extrêmement marquée, je n'avais pas une poitrine qui dépassait le bonnet B ou encore des hanches extrêmement larges. Néanmoins, j'avais un corps tout à fait dans la norme, mais même dans la norme, ce n'était pas toujours suffisant pour quelques personnes.

— Ne te force surtout pas, me lança-t-il en voyant mon hésitation, brisant un instant notre jeu. Tu as totalement le droit de me déshabiller avant sans que ça implique quoi que ce soit en retour...

— Je m'en doutais... Mais ça fait un bon bout de temps que je ne me suis pas mise à nu devant quelqu'un... Et même dans d'anciennes relations, je ne me déshabillais pas toujours quand on faisait l'amour...

— Encore une fois, fais comme tu le sens, me murmura-t-il d'une douce voix.

Je posai ma main sur la sienne pour repousser la bretelle de ma robe puis l'autre bretelle, dévoilant ma poitrine avec un simple soutien-gorge noir sous ses yeux. Ma respiration s'accéléra brusquement et ses mains revinrent vers mes épaules, caressant délicatement mes clavicules.

Son regard ne me quittait pas, ne s'étant pas détourné un instant vers ma poitrine, ce qui me rassura un peu, naïvement. Puis il vint embrasser mon cou, descendant jusqu'à mon sternum.

Il avait sa tête entre mes seins et c'était extrêmement plaisant. Ses lèvres humides caressaient ma peau tandis que je pouvais sentir quelques mèches de ses cheveux frôler mon cou. Puis son regard revint vers moi, l'air innocent.

— Est-ce que c'est trop ? me demanda-t-il dans un murmure.

— Non... Pas du tout... C'est extrêmement doux...

— J'espère bien que c'est doux.

Je m'emparai de son visage pour l'embrasser de nouveau et en profitai pour faire valser sa chemise.

— Est-ce que je vais pouvoir maintenant avoir mon café ? le taquinai-je entre quelques rires.

— Avec plaisir...

Ses lèvres étaient de nouveau dangereusement proches des miennes et nos souffles se mêlèrent un instant. Je mourrais d'envie de l'embrasser une énième fois, mais je savais que si je le faisais, jamais on ne bougerait de cette position.

— Tu le veux avec quelque chose ton café ? me demanda-t-il dans un murmure.

— Juste un sucre...

Ses mains se posèrent sur mes épaules tandis que son regard ne me quittait plus. Il se leva alors d'un bond et me fixa, tendrement. Il me tendit sa main pour m'aider à me relever, je remis ma robe en place avant de l'accepter.

*

J'avais passé une grande partie de la matinée aux côtés de Ben. Nous n'avions pas beaucoup parlé. Nous nous étions surtout échangé de nombreux regards et j'avais osé à plusieurs reprises le prendre dans mes bras.

Puis nous nous étions séparés après le repas, le temps qu'il fasse un peu de sport, tout en me proposant qu'on se revoie dans la soirée, pour manger ensemble.

En attendant son arrivée, je m'étais connectée avec Finn sur un jeu en ligne. C'était, d'après ses dires, tout nouveau et on put le constater aux nombreux bugs que nous croisâmes au cours de notre partie.

— Je crois que ton personnage est rentré dans un mur, m'annonça-t-il en riant.

— Mais non... Ah si en fait, me repris-je dès que le jeu se remit à charger. Pourquoi on joue à ça déjà ?

— Arrête c'est tellement bugué que c'en est drôle !

Et je ne pouvais le contredire.

Il laissa planer un silence un peu trop long à mon goût. Je sentais qu'il avait quelque chose d'assez compliqué à aborder. Je tentais de le rassurer en le poussant à prendre la parole. Il hésita un peu avant de finalement se lancer :

— T'as finalement parlé avec Ben ?

— Ouais... Et tout va mieux... voire plutôt bien.

— Tu as parlé de son travail ?

— Ouais... On en a parlé. Pas trop en détail, mais suffisamment pour que ça ne m'inquiète plus autant qu'avant.

— Il a détourné ça comment le fait qu'il protégeait des violeurs ?

Son ton était acerbe, beaucoup trop, alors mon soupir fut assez bruyant, suffisamment pour le calmer aussitôt.

— D'accord ! Si tu lui fais confiance, très bien. Mais tu ne pourras pas m'empêcher de douter de lui...

Malheureusement, je ne pouvais pas lui en vouloir de rester méfiant. Après tout, j'avais utilisé Ben pour une histoire de faux couple. Rien n'allait dès le début et étonnamment, ça prenait une direction assez particulière et plutôt positive...

— D'ailleurs, il ne devrait pas trop tarder. On a prévu de manger ensemble chez moi.

Il laissa échapper un simple petit "oh". Il y avait toujours un brin de jugement dans sa voix, mais bien moins qu'avant.

Évidemment, ce fut à ce moment qu'on sonna à ma porte et je m'éclipsai un instant pour ouvrir à Ben. J'hésitai pendant un instant entre l'embrasser à pleine bouche ou juste le prendre dans mes bras. En apercevant ma mine dubitative, il déposa un doux baiser sur ma joue, un contact suffisamment proche mais pas trop intrusif non plus.

Je lui proposai de s'installer le temps que je finisse ma partie avec Finn. Je revins rapidement à mon ordinateur en espérant ne pas avoir loupé un énième bug du jeu.

Ben s'incrusta dans la pièce au bout de quelques minutes, ayant posé sa veste dans le salon. Désormais j'apercevais bien mieux son t-shirt noir qui mettait vraiment son torse en avant.

Via l'intermédiaire de la webcam, Finn le remarqua et le salua. Ben fit de même en retour, d'un simple geste de main.

— D'ailleurs, Rey, depuis que t'es en couple avec lui, ta bouteille de shampoing s'est pas vidée beaucoup plus rapidement ? me taquina mon ami.

Ben sourit un instant et leva les yeux au ciel à cette remarque puis se rapprocha de l'écran pour m'observer en train de jouer, tandis que je ne relevai toujours pas.

— Finn, je répondrai à cette question si tu me dis quel ingrédient Rey ne supporte pas dans sa pizza.

— Hé ! C'est de la triche ça ! ripostai-je en me tournant vers lui.

Il souriait, tout comme Finn. Ces deux-là avaient décidé de soudainement s'unir pour se retourner contre moi. Peut-être qu'ils étaient mieux à se taper dessus... Quoique.

— Je préférerais te poser une autre question, proposa Finn, l'air sérieux.

— Je suis déçu que tu ne veuilles pas de cette question...

— Si tu viens vendredi prochain, ça me laisse une semaine pour réfléchir.

— Ok, vendu ! céda Ben en levant les yeux. Tu es vraiment dur en négociation pour cette fois-ci.

— Ça dépend avec qui.

Ben avait un air un peu trop sûr de lui, probablement pour masquer gentiment sa défaite passagère. Lui et Finn ne s'étaient jamais réellement expliqué et ils ne le feraient certainement pas pour le moment. De toute manière, tant qu'ils ne se lançaient pas dans une grande guerre destructrice, tout devrait aller pour le mieux.

— Finn, tu ne veux quand même pas me dire ce que Rey détesterait sur une pizza ?

— Le marché n'englobe pas ça. Donc débrouille-toi.

Ben laissa échapper un petit rire puis il déposa un bref baiser dans ma chevelure tout en m'annonçant qu'il partait en cuisine pour préparer le repas. Finn sembla assez dubitatif quant à cette marque d'affection mais ne fit aucune remarque.

— Je ne devrais pas trop te retarder, finit-il par dire.

— Oh non ! T'en fais pas, il saura attendre...

Il y avait un air malin sur son visage, peut-être un peu trop plein de sous-entendus. Mais étant donné que mon son était sur haut-parleurs et qu'ainsi Ben pouvait nous entendre, je n'allais pas relever.

Au bout de quelques minutes à s'acharner à trouver de nouveaux bugs hilarants, on mit fin à notre partie et chacun partit vaquer à ses occupations.

Étrangement, je me sentais un peu plus légère que d'habitude et je souris naturellement en entrant dans la cuisine, apercevant alors Ben en pleine cuisine. Je pris appui contre le cadre de la porte pour l'observer. Il n'avait toujours pas daigné tourner son regard vers moi, bien trop concentré dans chacun de ses gestes.

— Je t'ai mis tes immondes ananas sur la pizza, me lança-t-il pour se moquer gentiment de moi.

Ses yeux rencontrèrent les miens et j'eus l'impression d'y croiser un brin d'étincelle. Silencieusement, il se mit à sourire.

— Qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je, ayant eu la sensation de percevoir quelque chose de travers.

— Rien du tout... C'est juste que t'as l'air assez... calme. Un peu comme un arc-en-ciel après un orage.

Pendant un instant, je souris à sa remarque, instinctivement, sans trop y réfléchir. Puis je laissai échapper un petit rire gêné.

— Peut-être parce que ça a été assez mouvementé ces derniers jours... Voire même ces dernières semaines.

— Et il y a très peu de chances qu'il n'en soit pas ainsi pour la suite, ajouta-t-il, toujours un peu amusé.

Je croisai mes bras, craignant un peu ce que le futur pourrait nous réserver. Mais je me sentais un peu plus prête pour l'affronter désormais... Peut-être que c'était ça ce qu'avait vu Ben sur mon visage. Peut-être bien...

Continue Reading

You'll Also Like

81.6K 4K 45
𝙅'𝙖𝙫𝙤𝙪𝙚, 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙖𝙞𝙢𝙚𝙧 𝙦𝙪𝙚𝙡𝙦𝙪'𝙪𝙣 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙨, 𝙞𝙡 𝙛𝙖𝙪𝙩 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙛𝙤𝙪. mars 2022, Max, de son réel prénom Maxime...
149K 9.1K 33
Charlie Rousseau a fait une promesse. À 23 ans et des rêves plein la tête, elle est déterminée à passer la meilleure année et sa vie. À bord de son v...
16.4K 731 28
La Star Academy est de retour en cette année 2023 pour une 11ème saison. 13 élèves vont ainsi intégrer le château mythique de Dammarie-les-Lys. Parmi...
318K 10.7K 58
« Plus personne n'aura la capacité de me blesser, plus personne n'en aura le pouvoir. » Vivre seule, être indépendante et ne jamais baisser sa garde...