Damen remonte dans sa voiture et me quitte. J'aimerais le retenir mais, il faut que je me rende à l'évidence Damen et moi n'avons qu'une relation physique. Ni plus, ni moins. Je verrouille la porte et m'adosse contre celle-ci. Je l'aime. Un grand bonheur se fait ressentir dans tous mon corps, mais la peur de me faire rejeter prends le dessus, il ne faut en aucun cas que Damen l'apprenne se serais. . . Pire que tout. Oui, il faut que je trouve un moyen de faire disparaître ses sentiments.
Toute la semaine, j'ai fait le maximum pour rester loin de Damen. À chaque fois que je le voyais, mon cœur se mettait à battre plus rapidement. Eric, c'est excusez et j'ai fait de même, je n'aurais pas dû crier. Il voulait m'aider, même si ce n'est pas de la bonne manière. Nous sommes vendredi et je crois que Damen s'est rendu compte de mon soudaine éloignement. En même temps, je n'étais pas particulièrement discret. Je me dépêche d'attraper mes affaires et me dirige vers l'ascenseur. Mais Damen, anticipe et me demande dans son bureau. Je marche le plus lentement possible, en espérant que mon cœur, qui bat la chamade, va se calmer. J'entre dans le bureau familier et me place devant le bureau de Damen, qui lui, à les yeux rivés sur moi. Il semble lire en moi comme dans un livre ouvert.
- Monsieur Gray. . .
- Nils ! Me coupe-t-il, appelle moi par mon prénom quand nous sommes seul s'il te plaît.
Sa voix se radoucit à la fin de sa phrase.
- D'accord.
Il me sourit.
- Nils, pourquoi tu m'évites ?
Je fais semblant d'êtres perdue, même si mon jeu d'acteurs ne mérite pas un oscar, je ne veux pas le blesser et je veux cacher mes sentiments.
- Moi t'éviter, tu es sûr ?
- Nils ne me prend pas pour un idiot, je sais quand tu m'évites.
Il se rapproche de moi et chaque pas de Damen s'approchant de moi me donne envie de l'embrasser, qu'il m'enlace, que nos mains se lies. Je ne bouge pas, je ne veux pas lui donner la preuve que je l'évite quitte à ce qu'il entendent mon cœur battre, tellement que j'ai l'impression qu'il veut s'extirper de ma cage thoracique.
- Nils, je vais êtres plus claire tâche de comprendre.
- D'accord.
- Je veux faire partit de ta vie.
À cet instant, mon cœur loupe un battement, quoi ? Mes sourcils se froncent, c'est une déclaration ? Une bouffée de chaleur s'empare de mon corps, mais je ne le relève pas. Je ne veux pas mal interpréter ses mots, je veux qu'il dise si mes sentiments sont réciproques où s'ils ne le seront jamais. Je souris et ajoute :
- Tu en fais déjà partit.
Je me rapproche de lui, dois-je lui dire mes sentiments ? Non, il ne pense peut-être pas de cette façon. Alors que j'attends avec impatience ses deux simples mots qui sont si difficiles à entendre. Je sens les phéromones de Damen.
- Damen, tu relâches tes phéromones ?
- Non, du moins comme d'habitude.
La chaleur de mon corps augmente encore, je peux à peine respirer tellement, j'ai l'impression que je me consume de l'intérieur. Quand on dit que l'amour nous consume, je n'ai jamais été autant proche de cette phrase, mais c'est loin d'être aussi agréable. Je sens mes jambes trembler et perdre de leur force. Damen panique.
- Nils, tu n'as pas pris tes inhibiteurs ?
- S. . .Si !
Non pas maintenant, je veux entendre ce que Damen avait à me dire, mais mon corps lui ne semble pas disposé à les entendre. Pourquoi maintenant ? pourquoi aujourd'hui ? Damen me prend dans ses bras et m'emmène dans le salon adjacent à son bureau.
- Mes inhibiteurs son dans . . . mon manteau.
Mon esprit s'embrume et ma gorge est sèche. J'ai la tête qui tourne comme si j'allais tomber dans les pommes, mais je n'ai pas cette envie si irrépressible de sexe, non, c'est tout autre chose. Une sensation de manque intense, je veux avoir Damen à mes côtés, je veux sentir, son odeur, je veux voir son visage, le toucher, mon cœur semble se déchirer à chacune de sens envies qui ne sont pas combler.
** Flashback **
Nils 12ans.
Si ennuyant, je ne retiens pas un soupire, je n'ai qu'une hâte, c'est de travailler ! Pouvoir faire ce que je veux de mon argent et vivre un amour passionné avec la personne de mes rêves. Mais non, je dois encore rester dans mon collège à écouter des cours barbant qui pour la moitié ne me serviront jamais. La professeur, madame Dubois, parle, mais je préfère regarder dehors. Je compte les voitures jaune.
- Bonjour, intervient une voix douce qui ne ressemblent en rien à la voix érailler de madame Dubois.
Je quitte mes yeux de la route pour se poser sur l'inconnu. Elle se tient droite, ses cheveux blonds sont retenus dans une queue-de-cheval fais à la va-vite. Elle à des yeux marron presque noir et un sourire professionnelle sur les lèvres. Elle est vraiment belle, pour cause tout le monde à les yeux rivé sur elle. Même les voitures jaunes sont fades en comparaison.
- Bonjour, je m'appelle Camille et je suis avocate. Vous devez sûrement vous demander pourquoi une avocate est là et bien, c'est tout simplement parce que je remplace l'animatrice qui devait venir. Donc, je vais vous parler en détails de la vie d'un Alpha et d'un Oméga. Comme vous le savez déjà vos résultats sur votre appartenance son arrivée.
Tout le monde se regarde, comme si c'était un choque ! La blonde souris et regarde sur une feuille, sûrement un compte rendus de nos "genres" dans la classe.
- Dans votre classe, il y a deux Alphas et un oméga.
Alors que chacun regarde autour de lui stresser, moi, je me contente de recompter les voitures jaunes qui ont retrouvé grâce à mes yeux. Pas besoin de m'inquiéter, je sais déjà quel genre je suis, avant même d'avoir fait le teste. Je suis certainement un bêta comme Maman et Papa.
- Je vais vous donner vos résultats, vous pouvez le dire à qui vous voulez ou le gardez pour vous. Moi, je suis Bêta et je ne le cache pas.
Elle donne par ordre alphabétique un dossier couleur crème à chaque élève de la classe. Elle me donne le mien que je n'ouvre pas sachant déjà la réponse.
- Je vais vous parler tout d'abord des chaleurs. Votre professeur de biologie vous expliquera comment cela fonction, c'est trop théorique pour, certains rigole, mais ils reprennent vite leur sérieux, moi, je vais vous dire comment cela peu se déclencher.
Ne me sentant pas visez, je n'écoute pas, jusqu'au moment ou elle accentue fortement sa voix pour avoir note intention, toute notre attention.
- Les chaleurs peuvent être irrégulières ! Dans ce cas, malheureusement, on ne peut rien faire et prendre des médicaments pour les rendre régulières peuvent rendre malades. Il y a cependant des chaleurs un peu rare et complexe, c'est une chaleur peu être déclenchez lorsque le corps se trouve en contact avec les phéromones de celui qu'il aime, quand cela arrive aucun médicament ne fera effet, juste l'être aimer.
C'est assez romantique, mais si jamais ça se déclenche envers quelqu'un qu'on aime, mais qui nous déteste ça doit être dure.
- Cela peu se produire avec les alphas ? Demande Tim, mon voisin.
- Oui, néanmoins étant donné que les chaleurs pour un Alpha ne dure qu'un ou deux jours, c'est très rare, voir quasi inexistant.
La femme continue de parler et finalement, j'ouvre le dossier contenant mon appartenance. Je regarde le résultat.
" Type de l'individu : Oméga. "
*Fin Flashback**
Ne me dis pas que c'est à cause de l'être aimer ? Je soupire que vais-je dire à Damen ?
Damen revient avec un flacon blanc.
- J'ai ramené de l'eau.
- Damen, il quitte le verre des yeux pour me regarder moi, ça n'aura aucun effet.
Damen se décompose, sûrement inquiets.
- Heu Damen mes inhibiteurs marche toujours, seulement là ça ne serre à rien.
- Pourquoi ?
Il ne doit pas se rappeler de ce cours ou alors contrairement à moi, ne la pas eu.
- Car ce sont tes phéromones qui on déclencher mes chaleurs, heureusement, elle sont moins violente de d'habitude.
- Je fais quoi ?
Je sais quoi faire et cette pensée me calme.
- Allonge-toi près de moi.
- Nils ça ne va pas empirez ?
- Non, Damen, je veux que tu me serres dans tes bras, s'il te plaît.
- D'accord.
Il se rapproche doucement et se couche à mes côtés. Je le serre dans mes bras et le sentiment d'abandon qui était dans ma poitrine disparaît. La chaleur devint douce, mais reste légèrement désagréable. Il manque quelques choses, mais je ne sais pas, je réfléchis malgré le bien-être qui m'envahis.
- Damen, je veux sentir ton odeur, murmurais-je.
Il libère ces phéromones et c'est comme si j'étais sur un nuage, la température descend et devient apaisante, mais je ne veux pas le lâcher, je suis si bien là maintenant. Il embrasse mon front et je souris. Mon cœur tambourine, mais je suis heureux de l'entendre battre pour Damen, finalement ce n'est peut-être pas une mauvaise chose d'aimer Damen. Je suis sur lui, ma tête sur ses pectoraux. Ses bras m'entourant.
À suivre. . .