Coucou
Oui je sais nous ne sommes pas samedi mais je me disais que vous faire attendre alors que le chapitre est tout frais fini est assé cruel.
Sachant que je n'ai pas publié depuis plusieurs semaines j'ai essayé de ralonger au mieu ce chapitre.
Bonne lecture !
Vue de corentin
Je me retrouve, alongé sur mon lit à moitier nu contemplant le plafond beige.
Un vent frais arrive lentement sur mon corps chaud comme pour mettre un terme à ma somnolence. Mon jean vien se rabattre sur ma peau puis je me me relève brusquement songeant à ce que je vien de faire.
Je revois le visage de Manon m'envoutant une nouvelle fois. Ses yeux noisettes et son teint rosé. J'ai bien remarqué ses blessures mais, de peur qu'elle me rejette, ne lui en ait pas parlé.
Que pourrais je bien lui dire ? Il est vrai qu'un professeur doit aider son élève quand il voit que celui ci n'est pas bien, Mais comment ? Voila mon problème. La timidité. Ou bien la peur.
Plus jeune, je me disais qu'être prof me donnerais du courage. Etre celui qui prends les choses en main, celui qui eseigne, celui qui donne, celui qui aide me m'ettrais en confiance mais élas la réalitée me rattrape à grands pas.
Dehors, les nuages ne disparaissent pas. La pluie continue de battre et j'aperçois, dans ma rue, les quelques passants s'abriter du mieux qu'ils peuvent sous leurs parapluies. Au coin de la rue, j'observe une petite fille - qui ne dois pas avoir plus de quatre ans - marcher du mieu qu'elle peut tirée par sa mère. Celle ci, possédant de grandes jambes ne se préocupe pas de sa fille mais plutôt de son broshing. Elles avancent quelques mètre, longeant le mur, quand d'un coup, la petite glisse et tombe le tête la première dans une flaque d'eau. Ma vitre coupe le son mais je peux désormais imaginer le bruit des sanglots de la petite fille. Elle se relève maladroitement dans sa grosse doudoune rose tandis que sa mère indiférente, la tire plus fort.
L'horloge sonne quinze heure tandis que je sursaute surpris. Je me retourne et prends la direction de mon bureau gardant en tête l'image abrupe d'une mère désolante.
Retrouvant mon ordinateur j'ouvre facebook et décide de taper le nom de mon fantasme soudain mais pas si déplaisant.
Après quelques secondes de recherches je tombe sur une charmante demoiselle habillée d'une casquette plate et d'un noeud papillon bleu foncé. Sa chemise, d'une couleur similaires, mais cette fois si plus claire, dévoile une paire de bretelles rouge sang. Son acoutrement garçon manqué me fait monter le rouge aux joues. Dans un monde où toutes les filles sont faitent de bottes, de jupes et de maquillage celle ci illumine mon regard.
J'aperçois le sourire de Manon accompagné de ses cheveux blonds prèsque châtains. Ses publications ne sont pas visibles mais ses mentions jaime sont impécablement misent sur la rangée de gauche.
Je remarque rapidement que la plus grosse partie est entièrement composée de musique. Allant du simple groupe de rock au musisciens de jazz les plus performants en passant par tout styles. Je vois également le nom d'un bar situé près de chez moi - sans doute un des seul du village-.
Ne voulant pas la demander en ami ni lui envoyer de message, regrettant ma situation de prof, je fini par attraper ma veste et afronter la pluie espérant qu'elle se trouve à quelques rue de chez moi.
Vue de Manon
Je sort rapidement de la "chambre" de Jean claquant derrière moi la porte. Ne sachant vraiment que faire je déscent les escalier suivant le chemin que choisit mon esprit.
La pluie s'écrase sur ma pauvre tête tandis que je travers la rue. Mes pied me dirigent vers le bar à quelques mètres de chez moi pour se stopper devant le comptoire suportant un jeune homme un verre à la main.
- Tien ! Manon ! Tu vas bien ? Devant moi, une femme brune me fixe le sourir aux lèvres.
Je réponds un petit oui évasif puis commande un demi.
- Tu est mineur Manon ! Elle lache un petit rire tout en essuyant un verre. Je ne peux pas te servir d'alcool tu le sais.
- Et un monaco ça passe ?
Elle penche la tête sur le coté ne me lachant pas du regard.
- tu n'à pas l'air en forme toi ! Bon ! On va dire que ça passe mais un seul !
J'attrape rapidement mon verre et file m'assoir au fond de la pièce.
Les minutes passent sans que je m'en apperçoive. Je scrute sans grande attention le bar et ses occupant la musique encrée dans les oreilles.
Je revois le visage de mon professeur a quelques centimètre tandis qu'un long soupire m'échappe. Peu à peu mes yeux se ferment tandis que j'inspire imaginant son parfun m'enhivrer.
Je reste sans bouger laissant mon verre à moitier plein sur la table. La fatigue prend tout d'un coup le dessus acompagnée d'un morceaux de piano concé entre mes oreilles. Mon corps avachie sur la banquette, une main toujours sur la table je ne pense plus à rien laissant ma playlist choisir aléatoirement les morceaux qu'elle veut distribuer.
Tout à coup, je sent une main chaude se poser sur la mienne. Un vent frais caresse ma peau. Mes yeux s'ouvrent instinctivement face à l'inconue et je découvre stupéfaite Mr Soiteur près de moi. Mes joues pales deviennent subitement rouges face à son regard et son sourire ravageur.
- Manon ? Je peux m'assoire ?
Sa voix resonne à peine à travers mes écouteurs que je retir immédiatement.
- Bien sure ! Je ne pensait pas vous trouver ici.
- Je...je faisait un petit tour voila tout. Il plaque sa main derrière sa nuque humide. Je voulais aussi m'excuser d'être partis si vite, je... je devais...
- Ne vous inquiétez pas, c'est pas très grave.
- daccord. Alors, j'ai appris que tu aimais la musique ! Je le vois toujours indécis bégaiyant prèsque à chaques phrases.
Je sent soudain chez lui une grande fragilité. Je ne le vois plus comme le professeur qui, face à sa classe, fait preuve d'autorité mais à un garçon timide et reservé à qui il faut donner la meilleur des attention.
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La pluie a miraculeusement disparut. Je marche en direction de la maison me remémorant mon après midi. les dernières heures, en compagnie de monsieur Soiteur ont été les plus courtes de ma vie. Nous avons passé prèsque deux heures à discuter musique en passant sur chacun de nos groupes et artistes favoris. Joy division, pink floyd, métalica, radiohead...
Je n'ai cette fois plus besoin d'écouteurs imaginant la douce voix de mon professeur.
Je sort de ma poche mon téléphone pour envoyer un message à Romane évitant de mentionner mes précédentes activité, elle s'en réjoura bien mieu demain.
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Vue de Corentin
Je me réveil après une courte nuit. La pile de copie n'a pas avancée mon someil qui se rebelle brandissant un long bâillement.
Je n'ai pas Manon en cour aujourd'hui mais espère bien la croiser.
Le soleil brille refletant mon humeur de ce matin.
Après un bref petit déjeuné, je saute dans ma voiture retrouver le lycée.
La journée passe assée rapidement. J'essaie à chaques intercours de sortir de ma salle et faire un petit tour dans les couloirs prétextant, à mes collègues de science, vouloir me dégourdir les jambes.
Il est environs dix heures quand je croise pour la première fois de la journée le regard de Manon. Lui aussi semble légèrement fatigué mais brille autant qu'il peut. Ses bleus sont bientôt disparut et je redécouvre son sombtieux visage.
Notre échange ne dure que quelques secondes mais déjà, j'heberge un sourire que je ne peux ôter.
Je retrouve rapidement ma classe suivante sans savoir qu'il me faudra encore patienter cinq heures pour la revoir.
Vue de Manon
Je sort lassée de mon cour de Français qui n'a fait que m'assomer lourdement.
Je rejoins ma salle suivant au deuxième étage songeant encore et toujours à mon professeur. Réflechissant à un nouveau statagème pour lui parler. En dehors du lycée serais bien plus intime mais retourner au bar serais également bien trop risqué. Beaucoup d'élèves s' y rejoignent à la fin des cours.
J'avance lentement réflechissant à un endroit sure où nous pourrions nous retrouver mais faudrait-il d'abord qu'il accèpte et cela n'est, je pense, pas gagné.
Les colines sont généralement envahis par les collégiens pour y lancer des pétards et le bois serais un endroit idéal si la chasse ne s'y faisait pas toute l'année par certains rebelles. Mon esprit glisse dans chacuns des recoins de ma mémoir tandis que je trouve enfin l'endoit idéal.
Le lac. Il se trouve à une dixaines de minutes en vélo. L'endroit, paradisiaque est souvent désert car, peut connu. Pourtant, le lieu, emmitouflé dans un amas d'arbres et de roches nous laisse frémir de plaisir quand un soleil d'été vien le bercé.
Je relève la tête pour trouver mon chemin et découvre à quelques mètres la silhouette fine de mon professeur.
- Bonjour
- Bonjour Manon, comment va tu ?
- Bien ! l'idée de voir ce garçon près de moi, alongé, aux cotés du lac m'enhivre de bonheur. Je trépigne d'impatiente d'avouer ma demande mais décide de lui proposer ce rendez vous autre part qu'entre une multitude d'élèves.
- tu à écouté les groupes que je t'ai passé hier ?
- quelques uns mais pas tous. J'essaierai de finir ce soir.
- Daccords.
Je le sent également géné face à la foule relevant plusieurs fois ses regards inquiet envers les élèves.
- Bon he bien, a demain monsieur !
Je lui adresse un bref signe de la main puis avance à contre coeur vers ma salle. Je resite contre l'envie de me retourné pendant de longues secondes mais finit enfin par céder découvrant son regard contre moi puis il tourne la tête, rouge, aussi vite que possible.
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Il est tout juste dix sept heures deux quand j'arrive devant ma salle de mathématiques. J'obtien quelques ronchonnement de la part de ma professeur pour mon retard. Je parcout de mes yeux la salle déja remplie et opte pour une place au derniers rang à coté de Hugo.
Devant moi, Alexia me lance un regard plein de haine comme à son habitude mais je n'y prète pas attention.
Je passe l'heure à discuter avec hugo évitant au maximum le regard de linx de notre prof.
Dix huit heures.
J'ésite encore à retrouver mon professeur pour lui proposer une petite virrée autour du lac. Et pourquoi pas, un petit bain ?
J'imagine sont corps taillé parfaitement comme je les aime. Non ! Pas musclé.
Il est vrai qu'il en faut un minimum (histoire de pouvoir ouvrir un bocal de cornichons) mais les garçon baraqués, pas pour moi ! J'avoue vouloir un garçon plutôt fin de silhouette mais les tablettes de chocolats ne sont pas prioritaires croyez moi.
J'arrive sans m'en être apperçu devant sa salle de physique enttebaillé où quelques élèves finissent de ranger leurs affaires.
J'attends quelques instant que les lieux soient vidés puis passe la tête timidement derrière la porte.
- Manon ?
J'hésite de nouveau puis fini par me lancer
- Oui ! Je voulais simplement vous demandez si vous vouliez connaitre un bon endroit dans la région pour vous balader. Je le vois me fixer puis continu, il y a un lac à deux ou trois kilomètres. Personne n'y va jamais je me disais que....
- je vois...
- Et, il faut encore beau c'est temps si, sans compter hier, nous pourrions...
- Je comprends Manon, ce dois être un très bel endroit mais, je suis ton professeur et tu ne dois pas oublier cela. Je ne peux pas faire ce genre de chose avec mes élèves. Je suis désolé.
Il parut d'un coup plus dur et ferme tandis que la réalité me tomba lourdement dessus.
Vue de Corentin
Je fini ma phrase et me rend soudain compte de la froideur de mes mots. Mais je ne peux pas ! C'est impossible. Et contrairement à ce que je peux lui faire penser, le fait d'être prof ne m'aurrais pas déranger, pour elle. Je risquerais sans doute quelques chose mais si nous faisons attention il n'y aurrais je pense aucun problème.
Mais je ne peux pas. Je n'y arriverais pas. Un lac, de l'eau. Même si le visage de Manon me réconforte je ne pourrais sans doute jamais retourner dans un bassin.
Manon me regarde toujours avec ses yeux plus beaux de jours en jours. L'envie de me rapprocher d'elle est trop forte. Je m'avance quelques peu essayant maladroitement de lui montrer que ma froideur avait disparut.
- Je suis désolé Manon mais, je ne peux pas. Mon air dépité lui fera sans doute comprendre ma tristesse de ne pas pouvoir la rejoindre.
- je comprends dit-elle calmement. Je ne peux pas vous en vouloir c'est normal qu'il y ai des distances.
Son sourire réapparaît subitement tandis que le mien se dessine également.
- Bon, c'est pas grave. On pourra toujours discuter entre les cours ! A demain !
- ça marche ! A bientôt Manon.