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By Nounours1401

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Je l'aime, il m'aime mais nous deux, c'est dรฉfinitivement impossible. Newsha. Tome 2 ร  lire. More

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Fin de l'histoire.
Tome 2

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By Nounours1401

«Je vois la vie en rose avec toi et seulement toi.»



Previously...

Je lui fais un bisou sur les lèvres puis je me repositionne comme j'étais. Lui, me caressait les cheveux.

J'étais bien.

J'me suis endormie vite fait.

______

Me.

Je me réveille et le vois en train d'écouter de la musique.

Moi : Il est quelle heure ?

Il enlève son écouteur.

Kalvin : Tu dis ?

Moi : Il est quelle heure ?

Kalvin : 16h15.

J'ai quand même dormi 25 minutes, ça va.

Je me lève en m'étirant en remontant mon jogging.

Je me tourne et vois votre pote reluquer mon boule.

Moi : J'te dérange pas ?

Kalvin : Nan nan.

Moi : Tu reluques ça normal.

Kalvin : Mais c'est tes fesses qui me regardent aussi, c'est pas du jeu.

Démon : -fou rire-

Je le dévisage en mode "Really nigga" puis je lui lâche un nerveux tchiiip.

Kalvin : Toi , je te dis un jour, ta bouche va rester comme ça. Continue seulement.

Moi : Aaaah, mouf.

Je prends mes sacs puis commence à marcher seule. Je l'entends rire derrière moi, lui et son rire on dirait quand le produit des vitres est fini là, le bruit que ça fait = "Krkrkrkrkr".

Je continue mon chemin quand je vois un groupe de garçons et genre moi, MVE, je passe entre eux ?

Jamais.

Je me retourne et ne vois plus Kalvin.

Oh le salop, il m'a laissé.

Je comprends maintenant pourquoi il rigolait.

Je retiens seulement.

Je marche vite vite malgré que ça m'ait valu des sifflements et des "ma chérie".

Frère, on se connaît pas et ça me lance des "ma chérie" mdr. 

Je continue de marcher puis votre pote Kalvin réapparaît.

Je le toise puis continue de marcher.

Je veux plus me le voir, cet imbécile.

Kalvin : Newsha ? *rire*

Je ne réponds pas et continue de marcher.

Kalvin : Orh Newsha ? *rire*

Tchiiip.

Kalvin : Bébé ?

Moi : Quoi ?

Kalvin : AAAAAAH, J'AI MAL.

Je me retourne vite et cours vers lui.

Moi : *paniquée* Qu'est-ce que tu as ?

Kalvin : J'ai maaaal.

Il se tient le torse.

Eh Dieu, je ne veux pas voir de mort devant moi.

Faut savoir qu'en plus, il a certains problèmes au cœur.

Moi : Tu as mal où ? Vas-y réponds frère.

Kalvin : Aaa...u... cœur.

Moi : KALVIN, SI C'EST UNE BLAGUE, C'EST PAS DRÔLE !

Kalvin : Tu crois que je vais mentir sur ma douleur ?

Moi : T'inquiète pas, bébé ça va aller.

Sans commentaire, vous deux.

Démon : C'est diaboliquement mignon, ça.

Ange : Aaah l'amour -sourire-

Kalvin : Newsha ? Tu diras à... ma... mère que je l'aime.

Je me suis mise à pleurer.

Moi : Arrête de parler comme ça.

Kalvin : Newsha, je dois te dire quelque chose.

Moi : Quoi ?

Kalvin : C'ÉTAIT UNE BLAGUE !

...

Démon : Il a réveillé quelque chose de mauvais.

Ange : Booonne chance, Kalvin.

Je suis restée bloquée puis quand j'ai réalisé, j'ai simplement essuyé mes larmes en prenant mes sacs puis j'ai marché.

Kalvin : C'était pour rigoler, c'est bon.

...

Kalvin : Newsha, allez.

...

Il me porte en sac à patate.

Moi : Fais-moi descendre et vite.

Kalvin : Disons que j'ai pas envie.

Je m'en fous puis croise les bras en attendant qu'il se décide enfin à me faire descendre.

Il avance, bon moi ça me va, j'avais la flemme de marcher.

Kalvin : C'est bon, baby. C'était pour rigoler.

Moi : C'est clair que c'est marrant de me voir paniquer.

Kalvin : En vrai, oui. Newsha, c'est parce que tu ne te vois pas *rire*

Moi : J'te parle même plus.

Il me fait descendre.

Kalvin : Pardoooon. Bon, j'avoue c'était pas drôle. Désolé, bébé.

Je croise mes bras sur ma poitrine et le regarde.

Kalvin : Je ne te ferais plus de blague comme ça.

Moi : Promis ?

Kalvin : Ouiiii.

Moi : Bon, je te pardonne mais pour la peine, pas de bisous jusqu'à nouvel ordre.

Kalvin : Oooorh non.

Moi : Il te faut bien une punition.

Kalvin : J'ai compris la leçon, plus jamais je te fais des blagues comme ça, la vie.

On continue de marcher.

La maison est loin aussi là.

Kalvin : Tu sais, bébé ?

Moi : mh.

Kalvin : C'était quand même mignon, la façon dont tu as stressé pour moi *sourire*

Moi : D'ailleurs, faut oublier ça.

Kalvin : En plus, tu m'as appelé bébé aaaaarrrh, je suis refait.

Je rigole.

Moi : Tu es bête, toi... Vient, on fait une pause.

Je m'assois sur un muret pendant que lui reste debout.

Il avance sa tête vers moi, je le regarde puis il place ses mains à chacun de mes côtés.

En gros, il m'encerclait sans pour autant me toucher.

Il avance encore plus son visage vers moi.

Moi : Qu'est-ce que tu fais Kalvin ?

Kalvin : Chut.

Il place son doigt sur ma bouche pour me faire taire. Nos visages n'étaient qu'à quelques centimètres dès à présent.

Il effleure mes lèvres avec les siennes.

Je suis entrain de perdre pied là.

Je descends du muret puis je place mes bras autour de son cou.

On continuait toujours à se regarder.

J'avais l'impression que quelqu'un avait arrêté le temps et qu'il n'y avait plus que lui et moi, on était dans notre bulle.

J'oubliais tout.

Il n'y a que lui et moi dès à présent.

Il baisse ses mains au niveau de mes fesses puis moi, à sa taille.

Ce jeu de regard était tellement...

Spécial, je sais pas comment expliquer.

Il y'a une sorte d'alchimie-...

Non, il y'a une alchimie entre lui et moi, qui ne s'explique pas.

Il place l'une de ses mains sur la joue puis me la caresse. Je place ma main sur sa nuque puis la caresse également.

Kalvin : Newsha, je ne peux pas résister  face à toi.

Il m'embrasse langoureusement puis je place ma main sur sa mâchoire en continuant notre baiser.

Je voulais rester avec lui pour toujours à ce moment là.

Que ce baiser ne cesse jamais.

Qu'on reste qu'à deux.

On coupe le baiser puis il me soulève et j'enroule mes jambes à sa taille en lui faisant des bisous sur la bouche en l'entourant de mes bras.

Il s'assoit sur le muret et je suis toujours sur lui.

Face à face.

On se regarde encore une fois, je lui attrape ses joues en les pinçant.

Moi : Tu sais ? J'ai tellement envie que tout soit simple entre nous, dis-je en me mordant la lèvre inférieure.

Kalvin : Je pense à la même chose... Je suis prêt à affronter tout ça pour toi et c'est pas des paroles en l'air.

Je lui fais un bisou sur la bouche puis souris.

Moi : Mon héros.

Kalvin : J'suis ton défenseur face aux méchants *sourire*

Je lui fais un bisou sur le nez. Je place ma main dans ses cheveux.

Moi : Tu mets quoi sur tes cheveux pour qu'ils soient aussi doux et longs ?

Kalvin : Rien de spécial en vrai. Je fais juste mes contours et les lave régulièrement. J'suis pas comme les gars qui mettent des huiles essentielles et tout, j'suis pas dans ça moi.

Je rigole puis caresse ses cheveux.

Moi : C'est trop doux, dis-je en prenant la voix d'une petite fille.

Il sourit en me regardant.

Son regard est trop rassurant et il inspire l'amour surtout quand il me regarde.






Kalvin.

J'suis tellement bien là.

Peut-être un peu trop bien parce que mon érection commençait à se faire ressentir.

Moi : Chérie coco, descends d'abord.

Elle fronce les sourcils en descendant de moi puis elle baisse ses yeux et elle a très vite fait le lien.

Moi aussi, quelle idée d'avoir mis ce short ? Newsha a raison, ça moule tout là.

Elle sourit.

Newsha : C'est moi qui te fait cet effet là ! C'est trop mimi, mon mimi à moi.

Quand je lui dis souvent qu'elle a des soucis, elle m'écoute pas.

Moi : Azy frère, arrête de regarder ça comme ça.

Newsha : Nan mais je savais pas que je te contrôlais à ce point là *sourire*

Moi : Attends, c'est toujours Newsha ou c'est Vicky là ?

Parce que elle là, elle a tellement des soucis qu'elle a dissocié ses personnalités par rapport à ses prénoms.

Newsha, c'est la nana cool et surtout normale.

Tandis que, Vicky elle, c'est l'inverse, elle est dans l'excès, dans la colère et dans la perversion.

Newsha : Je crois que c'est Vicky *rire*

Moi : Oh lalala.







Me.

J'suis pas folle mais comme tout le monde, j'ai une partie sombre.

Eh oui.

Je regarde l'heure et vois qu'il est déjà 17h35.

Moi : Kalvin, faut qu'on y aille, il est déjà 17h35.

Kalvin : Ouais ouais.


(...)

Je suis arrivée à 17h45.

Heureusement ma mère est sortie avec les petits et papa est à une réunion du quartier.

J'ai eu chaud au boule.

Tiens, maman arrive justement.

Nadja : Salut la street.

Moi : Salut la cité.

Esteban : Weeesh pélotte.

Moi : Weeesh pélo .

Maman : Newsha, tu peux venir s'il te plaît ?

Je vais à la cuisine où elle se trouve.

Maman : Tu étais où, depuis tout ce temps ?



















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