Désirs défendus

By hoechlin99

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Quand Rose Whittmore, 19 ans, reçoit un appel du lycée disant qu'elle est prise pour la formation demandée, e... More

Rose
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Épilogue

Rose

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By hoechlin99

JE VAIS LES TUER ! Ce sont des connasses en puissance ! 'Même pas elles culpabilisent. Et me dire de me pousser c'est trop compliqué ?! J'ai eu de la chance de ne pas me la péter.

Je grimaçai alors que M. Leroy m'aida à me relever. Le jeune me regarda en souriant, rassurant.

-Évitez de poser le pied à terre ce soir et demain, me recommanda-t-il. Comme je l'ai dit, ce n'est rien de grave. Le temps que la douleur passe et que ça désenfle, ça ira mieux. Par contre je n'ai pas de béquilles.

-Je la soutiendrais tant qu'il faudra, confia mon prof.

-Parfait. Mais normalement d'ici demain vous pourrez poser le pied voir marcher. Évitez quand même de forcer dessus, ça risque d'être douloureux.

Je hochai la tête, lui assurant que je ferais attention.

Semblant satisfait, il nous raccompagna jusqu'à l'accueil. La femme derrière le bureau s'approcha de nous à notre arrivée, légèrement inquiète. En même temps quand elle m'a vu j'étais limite en larmes et soutenue par 2 personnes. Bon, là, je n'ai pas l'air mieux avec mon bras gauche autour des épaules de M. Leroy qui, lui, a son bras droit autour de ma taille.

Mais je n'ai plus les larmes aux yeux !

-Ça va mieux ? Demanda-t-elle.

-Oui, j'ai rien de grave ça ira mieux demain, l'informai-je.

-Tant mieux. Vos affaires sont montés dans vos chambres. Voici les clefs, ce sera au 2e étage. L'ascenseur est sur votre droite dans le couloir.

M. Leroy prit les clefs qu'elle lui tend, la remerciant, avant de m'aider à aller vers l'ascenseur. Le trajet jusqu'à la chambre se fit en silence.

C'est petit mais mignon. Quand nous entrons dans la chambre on peut voir, sur notre droite, 3 crochets accrochés au mur en guise de porte-manteau. A gauche, une porte mène aux toilettes (lavabo à droite, toilette à gauche). Juste après la porte des WC se trouve la douche. Bon la pudeur ne sera pas de mise... La porte de la douche est transparent donc jolie vue sur l'intérieur ! Bref, la douche signifiant la fin de ce mini-couloir, on tombe sur le reste de la chambre.

Pièce composée d'un lit 2 places entouré de 2 tables de chevet avec des étagères au dessus sur la gauche, d'un bureau avec une chaise à côté de la fenêtre en face de nous. Nos sacs sont posés de part et d'autre du lit au sol.

M. Leroy m'aida à m'asseoir sur le lit avant de partir vers son sac pour commencer à sortir ses affaires de travail (ordinateur, portable, paperasse). Je m'allongeai sur le dos, soupirant de bien-être face à ce matelas méga confortable ! Aïe je sens les courbatures venir, j'ai dû beaucoup me crisper.

Je n'en reviens pas qu'elles aient fait ça ! Ce sont vraiment des garces ! Par contre M. Leroy a pris ma défense... Je n'entendais pas vraiment ce qu'il disait, à cause de la douleur, mais je me souviens qu'il a imposé aux autres profs que je dorme dans sa chambre. Et le surnom qu'il m'a donné... "Ma belle"... Il m'a donné des frissons. Et quand il me touchait, je sentais cette chaleur rassurante. 

Elle m'apaisait.

-Ça va, Rose ?

Je sursautais en entendant sa voix douce.

-Ouais, je vais bien. J'étais partie...

Je fis un geste vague de la main vers ma tête.

-...loin. Je repensais à ma chute.

Son regard s'assombrit, ses poings se serrèrent.

-J'aurais dû être là, murmura-t-il.

Je me redressais en position assise, visage tourné vers cet homme qui fait battre mon cœur d'un regard.

-Vous n'y êtes pour rien. Mme Lefebvre vous a dit d'aller dans l'hôtel. Personne ne pouvait savoir que ces garces allaient me pousser.

Il hocha la tête, mâchoire serrée. Je posai une main sur sa joue, le forçant par ce geste à me regarder dans les yeux.

-Ce n'est pas de votre faute, répétai-je. Vous n'y êtes pour rien, M. Leroy. L'important c'est que rien de grave ne soit arrivé.

Il soupira avant d'acquiescer, plus convaincant que précédemment.

-J'ai eu peur pour toi.

Sa main se posa sur la mienne, appuyant le geste. Il ferma les yeux en respirant profondément.

Ça serait tellement simple... J'ai juste à approcher légèrement ma tête et j'aurais mes lèvres sur les siennes. Comme dans le gymnase avant le stage.

Depuis ce jour, il ne se passe pas une journée sans que je ne repense à ce baiser, à la sensation de ses lèvres rugueuses sur les miennes, à ses mains sur mes hanches. La chaleur de son corps contre moi. Son souffle...

Des images de mon rêve prirent possession de mes pensées.

Est-ce qu'il me plaquerait contre le mur de cette façon ? Est-ce qu'il aurait la force de porter mes 60kg comme il l'a fait ? Est-ce qu'il m'embrasserait aussi fougueusement ? Est-ce que ses mains seraient aussi douces contre mon épiderme ? Que se serait-il passé une fois son t-shirt enlevé ? Il serait revenu m'embrasser ? Son bassin contre le mien nous aurait fait gémir ? Est-ce que, de sa voix suave, il aurait prononcé mon prénom ? L'aurais-je supplié d'aller plus vite ? De venir ?

Est-ce que j'ai envie que ce rêve... se réalise ?

Qu'est-ce que cette chaleur dans le bas de mon ventre ? Cette envie soudaine de l'avoir contre moi... L'embrasser à en perdre haleine... Cette sensation d'avoir des milliers de fourmis sous la peau. Et... c'est quoi cette sensation à mon entre-jambe ? L'idée d'aller plus loin avec lui l'augmente et me donne chaud... Je n'ai jamais senti ça avec mon ex. Est-ce que ce serait ça l'excitation... ?

Je revins sur Terre quand M. Leroy posa sa main sur ma joue, les sourcils froncés. C'est là que je me rend compte que ma main, qui était sur son visage, est à présent contre son pectoral gauche. Je peux sentir son cœur battre calmement.

-Tu es sûr que tout va bien, Rose ?

Non... Je vous avoue que je commence à douter sur ma santé mentale. C'était quoi ces pensées, bordel ?! Je secouai la tête, effaçant ces idées farfelues de mon esprit.

-Oui, mentis-je, ce doit sûrement être le contre-coup du choc. Vous avez dit que nous devons aller à 19h au salon ?

Il regarda sa montre avant de relever la tête.

-Oui. Tu peux te reposer si tu veux, il n'est que 15h.

A peine ? Bon bah j'ai le temps de lire alors.

-D'accord, merci, souris-je.

M. Leroy me le rendit- ça devrait être illégal d'avoir un aussi beau sourire !- avant de s'installer contre son oreiller, ordinateur sur les genoux. Je me penchai pour récupérer mon sac, cherchant le livre que je lis en ce moment. 

Mais d'abord répondre aux messages que j'ai reçu. Il n'a fait que vibrer !

J'étais entrain d'attaquer un nouveau chapitre, et oui ça fait une heure que je suis plongée dans l'histoire mais bon les livres c'est ma passion, quand la main de mon colocataire/professeur apparut dans mon champs de vision. Il me prit le livre des mains, étudiant la couverture.

-Cinquante nuances plus sombres, lit-il avant de rire. Sérieusement tu lis ça ?

-Oui. L'histoire est intéressante, il n'y a pas que le sexe qui fait l'âme de ce livre.

Je tentai de lui reprendre des mains mais il l'éloigna. Grrr....

-Parce que les livres ont une âme ? As-tu déjà essayé le sexe comme le font Anastasia et Christian ?

-Oui les livres ont une âme, c'est ce qui les rend unique. Ça s'appelle une métaphore, M. Leroy. Et ensuite...

Je tentai de le reprendre mais il l'éloigna à nouveau.

-Non je n'ai pas essayé le sexe comme Ana et Christian. Mon ex n'était pas du style à vouloir attacher quelqu'un.

-Je sais ce qu'est une métaphore, Mlle. Whittmore.

Il sourit avant de continuer.

-Auriez-vous travaillé dans une bibliothèque ? Et, par ailleurs, c'est dommage que tu ne l'ai pas essayé. C'est intéressant d'avoir sa partenaire totalement soumise. Pour elle aussi d'ailleurs.

Je soupirai, abandonnant la récupération de mon bouquin après une énième tentative foireuse, me recalant contre les oreillers, les yeux dans ceux de mon prof.

-Alors, commençai-je, oui j'ai travaillé 1 an en CDD dans une bibliothèque avant le CAP. Je n'allais pas rester une année à ne rien faire après le refus pour la formation. Ensuite, en quoi être attaché apporte du plaisir ?

-Rassure-moi tu l'as déjà fait ?

C'est normal d'avoir une conversation pareil avec son prof ? Je ne crois pas...

-Oui mais il s'en fichait de mon plaisir.

Il leva les yeux, exaspéré.

-J'ai horreur des mecs comme ça ! Râla-t-il. Bref ! C'est le fait d'être attaché qui est excitant - encore plus si tes yeux sont bandés. Tu n'as aucun contrôle sur ton corps, tu ne sais pas ce que ton partenaire va te faire. Tes autres sens se développent. Si tu les lis...

Il montra le livre.

-...tu devrais savoir, c'est décrit.

-Vous êtes bien renseigné sur ces livres.

Il sourit, ironique.

-Ma sœur m'a trainé à chaque films.

-Ce ne sont que des livres, ce n'est pas toujours le reflet de la réalité.

-Ceux-là, si, un peu. L'auteure décrit bien le plaisir d'Anastasia. Tu devrais essayer c'est pas mal. Un peu de sexe avec plaquages contre les murs, des yeux bandés et cetera ça fait toujours du bien.

-Montrez-moi.

Juste après la fin de ma phrase je me rendis compte de l'énorme connerie que je viens de sortir. Je n'ai pas dit ça ?! Je crois bien que oui...

Je plaquai mes mains sur ma bouche, les yeux écarquillés, alors que M. Leroy me regardai les yeux grands comme des soucoupes et la bouche ouverte. Un silence pesant s'installa alors que la conversation que nous venons d'avoir atteint pleinement nos cerveaux.

Oh mon dieu la honte ! Je sentis mes joues chauffer tandis que je me redressai en position assise.

-M. Leroy, je suis désolé. Je... Je ne voulais pas...

En fait si. Qui j'essaye de berner ? J'en ai totalement envie mais je ne me l'avoue pas. Mon dieu l'attirance que j'ai pour lui ne me réussi pas.

-Ça va, Rose. Je l'ai un peu cherché.

Qu'est-ce qu'il veut dire par là ? Il me tendit mon livre que je reprend. Nos doigts se frôlèrent, nous figeant sur place. Je levai mes yeux sur mon prof. Son regard est brûlant.

Je ne saurais décrire ce qu'il veut dire mais il est intense. Il réveille en moi ce désir que je tente, par tous les moyens, de camoufler.

M. Leroy finit par lâcher mon livre, ses mains se posant sur son ordinateur. Encore légèrement sonnée par l'intensité de cet échange, je me rallongeai, le livre à mes côtés sur le lit. Je fixais le plafond sans vraiment le voir, perdu dans les sensations et sentiments qui traversent mon corps. Comment une simple personne peut provoquer autant d'émotions ?

Un coup sur la porte me sortit de ma transe. Mon professeur se leva pour aller ouvrir. Je reconnus la voix de Mme Durand, c'est déjà 19h ? Je regardai ma montre : 17h45.

-D'accord, je lui dirais.

Puis il ferma la porte. Je me levais, faisant attention à ne pas m'appuyer sur mon pied, pour aller vers mon sac dans l'idée de récupérer mes écouteurs. J'allais me baisser quand des mains se posèrent sur ma taille afin de me retourner et me plaquer contre le mur.

Voyant sûrement ma grimace de douleur, il posa ses mains sous mes fesses pour me soulever. Je m'appuyais de mes bras autour de son cou, crochetant mes jambes autour de ses hanches.

Une impression de déjà-vu, non ?

-Mme Durand, chuchota M. Leroy, m'a informé que pour la visite de demain on ira plus tôt à cause de ta cheville, comme ça on pourra aller plus doucement. Elles ont vu avec l'orphelinat.

J'acquiescais, soudainement incapable d'ouvrir la bouche. Son souffle percuta mon visage, m'envoyant une série de frisson. Sa tête s'approcha toujours plus, ses yeux dans les miens incapable de se décrocher, l'espace entre nous se réduisant considérablement. Mes lèvres frôlèrent les siennes quand je murmurais.

-M. Leroy... On ne devrait pas.

-Je sais. Mais je ne peux pas...

Ses mains se crispèrent sur mon jean, traduisant son effort de se retenir. Mais je ne veux pas qu'il se retienne. Ça va peut-être trop vite et c'est sûrement interdit mais... J'en ai envie. J'ai envie que mon rêve prenne vie.

J'ai envie qu'il m'embrasse.

J'ai envie de mon prof de sport...

Prenant conscience de cela et l'acceptant, je posai mes mains dans ses cheveux. Ils sont doux. Ses yeux se fermèrent à mon toucher et, d'une pression, j'approchais son visage jusqu'à mes lèvres pour l'embrasser fougueusement.

Un soupire de plaisir nous échappa. Enfin nous nous embrassons de nouveau !

Ses bras passèrent sous mon haut, touchant la peau de mon dos. Il monta ses mains jusqu'à l'attache de mon soutien-gorge pour le serrer fort, me collant encore plus à lui et contre le mur. Il approfondit le baiser quand je passai mes mains autour de son cou, le griffant légèrement de mes ongles. Un son rauque sortit de sa gorge quand une contraction involontaire de ses bras fit se rencontrer nos bassins. 

Je ferais n'importe quoi pour l'entendre gémir à nouveau !

M. Leroy me décolla du mur pour me poser délicatement sur le lit. Il s'installa entre mes jambes avant de replonger illico sur mes lèvres. Attrapant mes poignets avant que je ne puisse faire un geste, il me les bloqua au dessus de la tête, entrelaçant nos mains. Une chaleur agréable prit possession de moi, les fourmis de retour sous ma peau mais se concentrant sur mon entre-jambe. Mon souffle s'accéléra au fur et à mesure que ces sensations augmentent.

Je ne peux penser à rien d'autre que son corps contre le mien.

Je tentai de débloquer mes poignets - autant déplacer une montagne. Il sourit contre mes lèvres. L'enfoiré ! Resserrant son emprise sur mes mains, ses lèvres se firent encore plus passionnée. Dans son mouvement, son bassin percuta le mien, faisant se rencontrer son érection prisonnière de son jean contre mon clitoris étrangement sensible.

-Ah !

Ma tête partit en arrière sous la vague de plaisir. M. Leroy rigola pendant qu'il dériva vers mon cou pour l'embrasser. Je soupirai au contact de ses lèvres sur ma peau. Un mouvement de hanches me fit gémir à nouveau.

-Désolé, chuchota-t-il essoufflé, je ne contrôle pas.

Continuez à ne pas contrôler, c'est trop bon !

Il redressa la tête et son regard me liquéfia de l'intérieur tant il est intense, brûlant. Je posai une main, qu'il accepta de lâcher, sur sa joue pour calmer la tempête qui semble faire rage en lui. J'approchais ensuite son visage du mien, prenant délicatement ses lèvres pour échanger un baiser doux. La pression redescendit doucement au fil du baiser.

Au bout de quelques minutes, son visage se logea au creux de mon cou, son corps tremblant légèrement à cause de l'excitation ressenti. On resta dans cette position jusqu'au moment de descendre dans le salon.

-Rose, m'appela M. Leroy tandis que nous attendons l'ascenseur, je suis désolé pour tout à l'heure. Je ne contrôlais pas mes hanches.

-C'est rien, je n'étais pas mieux.

Je n'ai jamais ressenti ça.

-Est-ce que tu as déjà ressenti tout ça ? Ces sensations, ce plaisir vu les bruits que tu faisais, ta respiration.

Je rougis à ce souvenir, la porte de l'ascenseur soudainement intéressante.

-Vu ton rougissement j'en déduis que non. Mais que faisais ton ex ?

-Je vous l'ai dit... Il s'en fichait de mon plaisir.

-Comment tu as fais pour rester avec lui ?

-Je l'aimais...

Il m'aida à monter dans l'ascenseur avant de se tourner vers moi.

-Ce que tu ressentais c'était de l'excitation. Ce qu'on a...

La rougeur sur ses joues est trop mignonne.

-... Ce qu'on a fait t'as excité, je pense.

Et j'ai tellement envie qu'on aille plus loin.

-Ça fait bizarre de ressentir ça envers son prof, pensai-je.

C'est tellement facile de se confier à M. Leroy. Ça sort naturellement.

-Et moi donc, rigola-t-il, je pourrais perdre mon boulot. Mais c'est comme ça. Tu me plaît et je ne peux rien y faire, je ne peux même pas lutter.

Je passais mon bras autour de ses épaules, comme appuie, alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrirent. On se dirigea ensuite vers la salle où nous attendent une bonne partie de la classe. La suite arriva pendant que Cata et Chloé m'harcèlent de questions sur ma cheville.

L'hôtel ayant un restaurant, nous avons mangé ici. Le regard de M. Leroy ne m'a pas lâché plus de 5 min tout le long du repas. Ce qui n'est pas resté inaperçu auprès de mes amies, les intriguant pas mal sur ce qui a pu se passer entre nous avant le repas. J'ai finalement avoué à demi-mots, et du bout des lèvres, qu'on s'était embrassé et que ça m'avait donné envie d'aller plus loin. Et le regard insistant de cet apollon qui me perturbe n'aide pas.

Surtout le fait qu'il se promène en simple boxer après sa douche ! Son torse est comme dans mon rêve... Ils ont augmenté le chauffage ou quoi ? Allez, Rose, à la douche, ça va te calmer.

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