👑Taï👑 Tome 2

By Shiraa_

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« On se l'est promis. » Tome 2 de Taï. Enjoy❤ More

Extrait
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Fin des Fins

Fin

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By Shiraa_

Je sais qu'à chaque fois c'est la même chose, mais... PARDOOON🥺
J'ai zéro excuse, j'espère juste que cette fin un peu spéciale, et différente de ce que je vous avais annoncé, vous plaira. J'espère surtout que vous ne serez pas trop perdu par la tournure des choses n'hésitez pas à le dire si c'est le cas.
Enjoy💛

🔥Adam🔥

J'ai toujours du mal à réalisé ce qu'il s'est passé.

Il y a même pas une heure elle était là, à mes côtés. Dans sa robe rouge écarlate, elle lui allait si bien, que je trouvais qu'elle volait un peu la vedette à la mariée... Et maintenant elle était... Là, dans cette salle, couchée sur un lit d'hôpital, entre la vie et la mort. Comment c'était possible ? Où est-ce que les choses avaient bien pu dégénérer à ce point ?

Ah oui.

D'abord, Taï a dit non. Puis, il a voulu aller retrouver Amina. Ouais, je crois bien que c'est là.

Je passais pour la 4ième fois de l'eau froide sur mon visage avant de sortir des toilettes de l'hôpital et me rendre à nouveau dans la salle d'attente.

Attendre.

Mon meilleur ami, et la femme que j'aimais venait de faire un accident, ils risquaient tout deux de perdre la vie, et je navais rien de mieux à faire qu'attendre. Qu'est-ce que je me sentais pathétique, inutile.

... - Adam, ça ira. Ne t'en fais pas.

Je me tournais vers le propriétaire de la voix en question.

Imani. Je n'arrivais pas à croire qu'elle était vraiment là. Il l'avait lâché devant l'autel, devant leur famille, devant tout les invités, et le pasteur, mais elle était quand-même venue.

- Imani... Vraiment je suis désolé. Et merci, du fond du coeur.

Imani - C'est bon, t'inquiète. Et puis, ce n'est pas le moment pour ça.

- Je sais, je me sentais juste obligé de te le dire. T'es là, alors que t'aurai toutes les raisons du monde de ne pas l'être.

Imani - *Souris légèrement* A cause du mariage ? Ce qui s'est passé n'empêche pas les sentiments que j'ai envers lui. Et puis, même si ce n'était pas pour lui, je serai venue pour Amélia.

J'avais toujours pensé que si Taï était avec cette fille c'était surtout parce qu'elle ressemblait beaucoup à Amina d'une certaine manière. Finalement, je vois en elle, des petites caractéristiques qui lui sont propres, qui ont sans doute fait qu'elle tape dans l'œil de l'éternel insatisfait que représente Taï.

En pensant à Amina, j'eus un pincement au cœur pour Taï en me rendant compte de son absence en cet instant crucial. Elle était au courant pourtant...

Je regardai autour de moi, la salle d'attente qui était encore bondé il n'y à pas même trente minutes s'était désemplit le temps que j'aille me rafraichir aux toilettes.

La mère de Taï, ainsi que le reste de sa famille proche avait dû s'en aller. C'était sans doute mieux ainsi. Ça ne servait à rien qu'on vienne tous se cloîtrer là-dedans, on était tous aussi impuissant les uns, que les autres. Et puis, en vu de la situation, il y avait énormément de choses à mettre en ordre ailleurs, comme dans la salle où devait avoir lieu la réception d'après mariage.

On avait laissé tous les invités lambda là-bas, sans donner d'explications dés que l'annonce qu'un conducteur ivre au volant avait foncé sur la route verglassé causant un accident, duquel il n'était pas ressorti survivant, et qu'il avait laissé derrière lui, deux victimes : Taï, et Amélia.

Plusieurs heures passèrent avant qu'on ne vienne nous annoncer que Taï et Amé sont sortis tous les deux de leur salles d'opérations. Les médecins sont venus nous prévenir, en nous annonçant que maintenant, la seule chose qui nous restait à faire c'était attendre qu'ils se réveillent.

- Comment ils vont ?! On peut aller les voir ?

Il nous a expliqué qu'ils n'étaient pas dans des états alarmant, mais qu'ils n'étaient pas encore tout à fait sorti d'affaire. Enfaite, je crois que même les médecins attendaient leurs réveille pour se fixer.

La mère de Taï qui était revenue entre temps s'est mise à faire une crise de panique. Je la comprenais. Si même les médecins ne pouvaient pas nous rassurer sur leur état, il y avait de quoi paniquer. Elle a été prise en charge, pour la calmer ils lui ont permis d'aller voir Taï en faisant une petite entorce à leur règlement. Maintenant, ne restait plus que moi et...

Matis - Et Amélia, quand est-ce que je pourrais la voir ?

Je fus interloqué par sa prise de parole. Matis était là depuis le début, et avant ça, il n'avait pas lâcher un seul mot depuis le début. Il avait aider à conduire les familles, rassurer la mère de Taï, et même prévenir les parents d'Amé qui étaient en voyage à l'étranger. Tout ce temps j'avais laissé faire, Matis n'est pas n'importe qui, mais j'avais quand même du mal à accepter ce qu'il venait de dire. Ou plutôt la manière dont il l'avait dit.

- Euh, oui, est-ce...*Hésite* Vous pourriez faire une petite exception pour elle aussi ? Je suis son copain. Je voudrais juste la voir, rien qu'une minute.

Le médecin accepta finalement, mais pour un seul de nous deux. Le choix était évident. Je suis le copain après tout.

Matis - Okay, j'y vais moi.

J'ai cru avoir mal entendu. Je me rend vite compte que non, vu que monsieur était entrain de prendre les devant pour sortir de la salle et suivre le médecin.

Je l'ai arrêté tout de suite.

- Eh, gros tu fais quoi là ?

Il me lança un regard féroce.

Matis - Je veux pas parler avec toi, lâche moi, je dois aller voir Amélia.

Je ressers ma prise.

- Comment ça "je dois aller voir Amélia" ??? *Rire nerveux* Matis m'oblige pas a dire des trucs que je veux pas. Arrête ce que tu essaie de faire tout de suite.

Il arrache son bras de mon emprise.

Matis - Essayer quoi ? Tss, et vas-y j'ai a faire.

- Matis, je sais pas à quoi tu joues, mais oublie pas que c'est ma femme maintenant.

Je crois que ça ne lui a pas plus, car aussitôt ma phrase terminé, je me suis retrouvé contre le mur.

Matis - Oublie pas qu'avant toi, c'était moi. Elle se sert juste de toi pour m'atteindre. Toi t'es personne. Même ses parents ne sont pas au courant pour vous, alors que pour nous ils l'étaient.

- Matis commence pas. Le tête de ma mère tu vas pas assumer sinon.

Matis - Assumer ? Commence même pas à sortir ce genre de mot, venant de quelqu'un qui s'est taper l'ex de son meilleur pote pendant des mois sans le dire, c'est mal venu. T'es qu'une ordure.

Je le repousse.

Matis - Tsss. Quand je pense au cinéma que t'avais fait à Taï à l'ancienne quand il s'est mis avec ta cousine... T'es vraiment marrant toi. En parlant d'elle, tout ça c'est entièrement de sa faute, sans ta pute de cousine, rien de tout ça ne serait arrivé. Enfaite c'est vous, s'ils sont là-bas en ce moment c'est entièrement de votre faute.

J'ai vu rouge. Comment osait il dire ce genre de chose, en sachant dans quelle situation nous étions, et après tout ce qu'il lui avait fait.

Un premier coup s'échappe, puis un second, et on n'a plus su s'arrêter, il a fallu que 2 infirmiers viennent nous séparer et nous renvoyer pour la soirée.

Voilà, un journée de merde se clôturait. La femme que j'aime et mon meilleur ami on faillit perdre la vie, j'avais passé toutes ma journée à l'hôpital dans l'espoir d'en voir au moins, mais a cause d'une stupide bagarre j'avais été éjecté. Moi qui espérais un jour arranger les choses avec Matis, après ce jour je ne pense pas que ce sera possible.

_________________

Quelques jours avaient passés. Mes journées était rythmé par mes passages à l'hôpital. J'essayais d'y aller matin et soir, avant et après le taf. Des améliorations se faisait sentir des deux côtés, pourtant aucun des deux ne s'étaient réveillé. Ça ne faisait que trois jours, mais quand-même, le temps me paraissait durer.

Ce soir là, en sortant du taf j'étais d'étrange bonne humeur. Je passai chez le fleuriste avant qu'il ne ferme pour prendre un nouveau bouquet pour chacun.

Je passais d'abord dans la chambre de Taï dans laquelle sa mère était quasiment h24 depuis 3 jours maintenant. Puis, la chambre d'Amé.

Mon cœur faillit bondir hors de ma cage thoracique quand je vis la chambre dans laquelle elle devait être vide.
J'attrapai la première infirmière qui passait par là pour lui demander des explications, encore ce matin elle était là, comment avait elle pu disparaître ?

Elle me renvoi vers la réception, ou on m'informe qu'elle a été changer de chambre dans l'après-midi lorsqu'elle s'est réveillée...

Attendez ? J'avais bien entendu là ?

Aussitôt qu'elle m'eut donné son nouveau numéro de chambre j'ai accouru aussi vite que je pouvais. Comme si ma vie en dépendait.

Devant la porte j'ai pris un temps, d'abord pour souffler, remettre mes habits bien en place, puis gentiment j'ai baissé la poignet.

Première chose que je constate, sa mère, près de la fenêtre, son père debout au milieu de la chambre, ainsi que... Matis. Je ressens comme un pincement au cœur sachant qu'il l'a cu avant moi. Enfin je tourne encore le regarde et tombe sur elle. Amélia.

Nos regards se croisent. Un flot d'émotion me submerge, elle se met à pleurer, je me retiens d'en faire autant, si seulement il n'y avait pas eu tout ce monde...

Mais le principal c'est qu'elle était réveillée. Merde. Elle est vraiment réveillée.

Merci mon Dieu.

________________

Quelques mois plus tard

- T'es sûre que tu ne veux pas sortir ?

Amé - Ouais.

- Même pas quelques minutes ? Juste pour prendre l'air quelques minutes, après on rentre.

Amé - Non je ne veux pas. Vas-y toi si tu veux.

- Fait un effort Amé, depuis que t'es sortie l'hôpital t'as pas mis un pieds dehors.

Elle ricanne nerveusement.

Amé - Ouais j'ai pas mis "un pied dehors", mais c'est parce que j'en ai pas besoin, ni envie. Toi t'es libre de faire ce que tu veux Adam, donc va prendre ton air seul. D'ailleurs, je suis fatiguée, je vais me coucher.

Merde, je l'avais énervée. En même temps j'avais mis lourdement les deux pieds dans le plats en disant ça. Je sais qu'il y a des choses que je dois essayer d'éviter de dire, mais je gère pas encore ma langue.

C'est juste que depuis qu'elle était sortie de l'hôpital, et que nous avions emménagé ensemble, elle était devenue tellement distante avec moi, enfin, avec tout le monde en général, mais avec moi plus. Sachant pertinemment a quoi son manque d'entrain était dû j'essayais d'être le plus compréhensif possible, car je l'aimais. Sincèrement.

- Tu veux que je t'aide à te cou...

Amé - *Me coupe* Non !!!

- O..kay.

Elle a soupirer, puis s'est mise à essayer tant bien que mal de se hisser seule sur le lit. Après quelques minutes à la regarder galérer, j'ai pris l'initiative de l'aider, contre son gré.

Depuis qu'elle s'était rendue compte qu'elle avait perdue l'usage de ses jambes quelques heures après son réveil, elle refusait toute l'aide qui pouvait lui être proposer. Amé a toujours été quelqu'un de très débrouillard, perdre une faculté aussi importante que celle-ci lui donnait l'impression d'être vulnérable, et elle détestait ça. Même venant de moi.

- Voilà, un peu d'aide ne fait de mal a personne tu sais.

Elle a soupiré à nouveau d'agacement.

Amé - Tu ne travaille pas aujourd'hui non plus ?

- Non. J'ai pris une semaine, je voulais qu'on ait le temps de s'installer une bonne routine, en vu de la situation un peu spé...

Amé - *Me coupe* T'as pas à faire ça, si je suis un fardeau au point ou tu dois te mettre en arrêt pour le taf, ça ne sert à rien.

- Hein ? Fardeau ? Personne n'a jamais dis ça Amé.

Amé - Non, mais je suis sûre que tu le pense un peu.

- Pas du tout.

Amé - Alors qu'est-ce que tu voulais entendre par "situation spéciale" ?

- Bah, on a emménagé très rapidement, c'est ça qui est spécial, sans avoir pris le temps de régler tes affaires ou les miennes. C'est ça qui est spécial. Ça n'a rien avoir avoir toi ou le fait que tu sois temporairement invalide.

Elle ricanne à nouveau amèrement. Avais-je encore mis les pieds dans le plat sans m'en rendre compte ?

Amé - "Temporairement" comment tu peux le savoir ?

- Hein ? Je... *Perdu* Enfin c'est ce qu'on dit les médecins donc... Je dis ça comme ça.

Amé - *Agressive* Ils ont dit qu'il y avait une probabilité que ce ne soit que temporaire, pas que c'était sûr, il y a nuance.

- Oh... Ouais, excuse. Écoute Amé, je te sens pas d'humeur, je te laisse un moment ?

Amé - Ouais, c'est mieux.

Je me lève sous son regard neutre, et sors de la chambre.

Voilà à quoi ressemblait notre quotidien depuis quelques jours. Elle était devenue risible et très susceptible.

La cohabitation ne s'annonçait pas des meilleures pour l'instant, ça allait être durr, mais je sais que ça l'était cent fois plus pour elle, donc je supportais. On s'aimait, on devait passer cette étape ensemble.

_______________

Le soir

Voilà près de deux mois que j'avais emménagé avec Amé. La vie entre nous c'était un peu améliorer, même si son humeur allait dent de cie, ce n'était plus comme au tout début.

Je travaillais, pendant qu'elle passait soit sa journée à l'hôpital pour des examens et exercice de contrôle ou je ne sais quelles autres choses médical. Parfois, quand elle n'avait pas de rendez-vous médical, elle retrouvait des amies. Puis, le soir venu, j'allais la retrouver et nous nous rendrions ensemble chez nous. Mais exceptionnellement cette journée-ci elle avait voulu la passer seule chez nous, je n'était pas spécialement rassuré à la laisser seule toute la journée, mais si je le lui avait dit elle m'en aurais voulu croyant que je ne la croyais pas capable de se gérer, donc j'ai laissé faire, en m'assurant qu'elle n'hésite pas à m'appeler au moindre problème.

Étant donné que je n'avais reçu aucun appelle durant la journée, je me suis dit qu'elle avait dû passer une bonne petite journée calme, et que tout avait du bien se passer. C'est donc l'esprit libre, et de bonne humeur que je rentrais chez nous.

- Chérie ? J'suis rentré.

N'entendant aucune réponse de sa part je me dirigeai vers le salon d'où provenait une voix, sans doute la tv. C'était bien la tv, mais ne voyant pas Amé dans les parages je me rendis dans notre chambre, me disant qu'elle faisait sans doute une sieste.

Et non. Enfin, elle était là, mais elle ne faisait pas la sieste.

- *Alarmé* Amé ?

Elle était là, au milieu de la pièce, le regard vide d'émotion. J'ai commencé à m'inquiéter, je l'ai secoué.

- Ooh, Amélia.

Elle a enfin porté ses yeux sur moi.

Amé - Ah, t'es là...

- *Soulagé* T'as quoi ? C'est flippant...

Amé - Je...je...

Elle pointa du doigt une petite boîte posée sur le lit.

- Oh... Merde, t'as trouvé ? Haha.

Je la pris et l'ouvris, la bague était toujours là.

- Je pensais l'avoir bien caché, mais on dirait que non haha...

Amé me regardait toujours l'air déconnecté.

- Bon... Hum, c'était pas supposé ce passé comme ça, mais... Tu accepte ?

Elle ne répond rien.

- Amélia, est-ce que tu veux m'épou...

Amé - *Me coupe* Non.

- *Surpris* Je- hun !?

Amé - J'ai dit non.

- Amélia t'es sérieuse là ?!

Elle me regarde enfin, mais détourne le visage aussitôt. Je comprenais plus rien. Même si c'était le montagnes russes entre nous, et que ma demande n'étais pas dés plus romantiques, je dois avouer que je ne m'attendais pas à cette réponse.

- Pourquoi ? C'est à cause du cadre ? Je vais la refaire, mieux, mais vu que...

Amé - *Me coupe* Non c'est non Adam, ça sera toujours non. Laisse moi s'il te plaît.

- Qu'est-ce qui te prend Amélia. Donne moi au moins une vraie raison. Si tu trouves que ça va vite, sache que ça ne t'engage a rien de concret, c'est juste que tu m'en parlais tellement avant j'ai pensé qu-...

Amé - Taï. Voilà une bonne raison. Comment tu peux me proposer ça alors que ton meilleur ami est plongé dans le coma depuis des mois. C'est pas du tout un moment à faire ce genre de demande Adam. J'ai pas le cœur à me réjouir. Sérieusement.

- Pour Taï ...? T'offrir une bague pour symboliser notre amour ne signifie en rien que j'oublie Taï. Et puis tu sais... Je ne pense pas que Taï souhaiterais qu'on se mette en stand by pour ça, au contraire. Continuer de vivre malgré tout, en gardant l'espoir, c'est mieux.

Amé - *Sèche* Pour moi non.

- Okay, mais... Comme j'allais dire, je retire la demande, je la réitérerai à un meilleur moment, mais si tu veux quand-même...

Amé - Non, non, je ne l'a prendrai pas.

- P-pourquoi ?

Il y a eu un long silence, elle affichait soudainement un air grave, et triste.

- Pourquoi Amélia ?

Amé - Je crois... *hésitante* je crois avoir encore des sentiments pour... Matis.

Je tombais des nus.

- T'es... T'es pas sérieuse là ?

Amé - *Silence*

- Dit moi que t'es pas sérieuse ?

Encore une fois silence totale.

- Okay. J'ai compris.

J'ai posé mes affaires, et ait attraper ma veste, puis j'ai quitté l'appartement.
Je bouillonnais intérieurement, je devais prendre l'air.

Ce qu'elle venait de dire m'avait remémoré les mots de Matis le jour de l'accident. Il faut croire qu'il avait raison.

J'ai éré dans les rues de mon quartier sans but précis jusqu'à ce que la nuit soit bien tombée. Il devait être dans les alentours de minut quand je me suis décidé a rentrer.

J'ai retrouvé Amélia encore debout. J'ai tracé jusqu'à la chambre ait attrapé une couette, puis suis ressorti.

- Je prend le canapé ce soir, pour le reste on verra plus tard...

Amé - Adam...

- C'est bon, laisse tomber Amélia. Je suis crever, je voudrais bien me coucher.

Elle me laissa seul. Je suis quand même resté éveillé jusqu'à ce qu'elle soit endormie. Bien qu'elle savait se débrouiller malgré son invalidité, on est jamais trop prudent.

Même si on était... En froid ? Si on peut dire ça comme ça.... En tout cas, peut importe notre situation, si elle avait besoin de mon aide, je me devais d'être encore éveillé pour pouvoir le lui apporter.

j'ai fini par me laisser aller dans les bras de Morphée.

Finalement, la situation à durée près d'une semaine. En journée on avait gardé la même routine, mais on faisait chambre à part la nuit. Le lendemain de notre dispute ni elle, ni moi n'avions tenté de revenir dessus, on s'était juste levé comme d'habitude, et avons fait comme si de rien était.

Même si tout cela était bizarre, j'étais trop perdus pour savoir quoi dire, comment agir.

Donc ce soir là, la même routine s'est mise en place. Amélia est aller se coucher tôt dans la chambre, et moi j'ai fait de même sur le canapé du salon. Mais même pas une heure plus tard j'ai été réveillé par des cris et des pleurs provenant de la chambre où était Amélia.

- *Alerté* Qu'est-ce qu'il y a, qu'est-ce qu'il y a ??!!!

Elle a baragouiné une chose incompréhensible, avant de me pointer du doit son téléphone qu'elle avait entre les mains.

Amé - Taï... Il... Il

Oh non ne me dite pas que...

The End(1/2)

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