Destiné a s'aimer (Together)...

By mai1997

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Destinés à s'aimer. Après 7 ans passés aux Etats-Unis, Hermione revient en Angleterre. Ayant obtenu son diplô... More

Chapitre 1 : Retour au pays et patient inattendu
Chapitre 2 : Raisons et sentiments
Chapitre 3 : Le passé refait surface
Chapitre 4 : Tu n'as pas le droit de mourir !
Chapitre 5 : Si tout avait été plus facile
Chapitre 6 : Révélations
Chapitre 7 : Tienne à jamais
Chapitre 8 : Qui es-tu ?
Chapitre 9 : La vérité, rien que la vérité
Chapitre 10 : Tu es la seule qui le pourra
Chapitre 11 : Raconte-moi
Chapitre 12 : Cascade d'émotions
Chapitre 13 : Le manoir Malefoy
Chapitre 15 : Enfin
Chapitre 16 : Les ennuis commencent déjà !
merciiiii !! <3
Chapitre 17 : Pour son bien
Chapitre 18 : Le retour des Ténèbres.
De retour dans le monde des vivants !!
Je vous dois des explications...

Chapitre 14 : Née pour le devenir

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By mai1997

Rien n'avait changé. C'était exactement comme dans ses souvenirs. Narcissa venait de la laisser entrer. Elle la suivit jusqu'au salon et Hermione put admirer le lustre de cristal qui lui était tomber dessus des années auparavant.

La pièce était vide.

Seule Narcissa et elle s'y trouvait : 

- Asseyez-vous ! Dit Narcissa.

Hermione obéit. Elle ne voulait pas avoir d'ennui avec la maîtresse de maison :

- Que me vaut votre visite, Miss Granger ?

Hermione la regarda avec de grands yeux. Elle l'avait reconnu après toutes ses années. L'avait-elle reconnu dès qu'elle l'avait croisé à l'hôpital ? :

- Que voulez-vous à mon fils ?

- Il faut que je lui parles.

- Vous savez, je sais tout.

Hermione fronça les sourcils. De quoi parlait-elle ? :

- Votre aventure avec Drago lors de votre 6ème année à Poudlard.

Alors là ! Elle n'en revenait pas. Elle le savait et n'avait rien dit, ni à sa sœur, ni à son mari :

- Comment l'avez-vous su ?

- Je vous en pris, Miss Granger. Je suis maman. Je connais mon fils par cœur. Je sais tout ce qui se passe 

dans sa tête. 

- Et pourquoi n'avez-vous rien dit ?

- Car j'aime mon fils. Si Lucius l'avait appris, je ne me le serai jamais pardonné. Drago aurait payer les frais de ses sentiments. Il vous aimait, vous savez ? 

Hermione baissa la tête :

- Et lorsque vous étiez dans le manoir, il y a bien des années, c'était bien pour vous défendre, car il ne 

supportait plus d'entendre la femme qu'il aimait hurler à la mort. Il vous a embrassé aussi, je l'ai vu.

- Mais je comprends pas. Vous me détestiez ! J'étais et suis toujours la meilleure amie d'Harry. 

- Je n'ai jamais voulu être Mangemort. On s'est retourné contre notre camp pendant la bataille finale. Nous 

avons aidé Potter. Et avant son accident, mon fils et lui, ainsi que Mr Weasley et Blaise étaient de très bons amis. 

- Il parait, oui

- Vous lui avez énormément manqué pendant toutes ses années. Il n'était pas rare que je le trouve plongé 

dans ses pensées, évidemment tourné vers vous. 

Hermione eut un sourire gêné : 

- Allons, ne soyez pas gêné, Miss Granger, rigola Narcissa.

Hermione fut surprise de voir cette femme qu'elle connaissait si froide rigoler avec un telle chaleur : 

- Mais il est promis

- Hélas, oui ! Ça ne l'enchante pas plus que vous. Mais Pansy et lui sont promis depuis la naissance. Et rien que je connaisse ne peut briser cette promesse. 

- De toute façon, il ne se souvient plus de moi...

- Ça va lui revenir, j'en suis sûr. Une aussi jolie jeune femme ne s'oublie pas.

Hermione sourit face au compliment. Cette femme l'étonnait de plus en plus : 

- Maman, j'ai entendu frap...

Drago venait de pénétrer dans le salon.

- Hermione ? Qu'est-ce que tu fais là ?

- Miss Granger est venu te rendre visite, mon chéri.

Drago et Hermione se fixèrent un bon moment puis Narcissa déclara : 

- Vous pourriez peut-être monter dans ta chambre, Dray. Pour parler. Je crois que c'est pour cela que Miss 

Granger est là. 

Drago sortit de la pièce suivi d'Hermione. Avant de franchir la porte du salon, Hermione se tourna vers Narcissa : 

- Mme Malefoy ?

- Est-ce que Drago est au courant que je sais tout ?

Hermione hocha la tête :

- Non.

Elle sortit et ferma la porte. Drago l'attendait en haut des marches. Elle le rejoignit et le suivit dans les nombreux couloirs du château.

Drago ouvrit une porte à sa droite et ils pénétrèrent dans une chambre assez sombre. Un lit à baldaquin trônait au milieu de la pièce, couvert de draps en soie vert. La lumière du soleil n'entrait pas dans la chambre, d'épais rideaux verts couvraient les fenêtres.

Un canapé en cuir argenté était placé dans un coin de la pièce à côté d'une énorme penderie en bois sombre. Une vrai chambre de Serpentard ! Il s'effondra sur le canapé, les yeux fixés au sol.

Hermione ferma doucement la porte et posa son dos contre. Elle ne savait plus quoi dire à présent qu'elle l'avait en face d'elle. Ses cheveux blonds lui tombant sur les front et ses yeux plongé dans sa contemplation du sol le rendait que plus angélique, irréel :

- Je suis désolé...

Elle sortit de ses songes à l'entente des paroles du blond. Il n'avait pas bougé mais la fixait à présent :

- Je l'ai vu faire ça et j'ai pas pu me contrôler. Je veux pas que tu m'en veuilles pour ça. On se connait depuis 

quelques semaines mais j'ai l'impression de toujours t'avoir connu. 

Hermione sourit. Malgré sa perte de mémoire, elle lui plaisait encore.

Ouh le vilain mensonge ! Il la connaissait depuis des années mais ne voulait toujours pas lui dire qu'il avait retrouvé la mémoire. Ses sentiments envers l'ex Gryffondor n'avaient pas changé si ce n'est qu'ils avaient évolué. Il l'aiment encore plus qu'avant si c'était possible.

La séparation avait été longue et il ne voulait plus que cela recommence. Il voulait la garder près de lui pour toujours :

- C'est rien.

- Tu me pardonnes ?

Il avait l'air d'un petit garçon qui vient d'être pris en faute. Hermione sourit et hocha la tête. Drago sourit à son tour et lui fit signe de venir s'asseoir près de lui : 

- Elle est vraiment...original ta chambre. C'est très Serpentard.

- Je suppose que la tienne doit être rouge et or. Gryffondor dans toute sa splendeur ! 

Hermione se tourna vers lui, bouche-bée. Et là, Drago se rendit compte de sa bêtise :

- Comment tu sais que j'étais à Gryffondor ? Je croyais qu'on ne se connaissait que depuis quelques 

semaines ?! Qu'est-ce que tu me cache, Drago ?!

Et voilà. Prit sur le fait. Elle avait compris. Il était dans la bouse de dragon :

- Je te cache rien du tout. 

- Arrête de me mentir. Je te connais par cœur, Drago. Je sais quand tu me mens. J'ai eu toute une année pour 

connaître toutes les expressions de ton visage. Et là, tu fuis mn regard, signe que tu me mens ! 

- C'est Blaise qui me l'a dit. 

Hermione n'eut pas l'air convaincu mais ne dit rien. Elle se leva et ouvrit les lourds rideaux qui empêchaient les rayons du soleil pénétrer la chambre.

La fenêtre offrait la vue sur un magnifique jardin digne des plus grands château. Il était illuminé de milles couleurs venant de toutes sortes de fleurs plus belles les unes que les autres qui dépassaient de la neige. La magie faisait vraiment des merveilles. Drago vint la rejoindre :

- C'est vraiment beau, dit Hermione

- C'est le petit paradis de ma mère. Elle peut y passer des heures entières mais mon père refuse qu'elle mette des fleurs dans la maison.

- Pourquoi ?

- Il paraît que cela fait un peu trop guimauve. Le jardinier en bave pas mal avec ma mère. Dès qu'une seule fleur fait la tronche, elle lui passe un de ses savons dont elle seule à le secret, rigola Drago. 

Hermione sourit. Narcissa était différente de la dernière fois où elle l'avait vu. Ou alors, elle est comme ça tout le temps mais la présence de sa sœur et de son mari ainsi que la situation fait qu'elle était comme elle était : 

- Je ferai mieux d'y aller. Je dois aller chez Ginny et Harry, ce soir.

Elle passa devant lui et s'avança vers la porte. Mais elle trébucha sur le tapis. Au moment où elle allait atteindre le sol, deux bras musclés la retinrent et la porte s'ouvrit en grand. Pansy entra dans la pièce et trouvé Hermione dans les bras de Drago.

Elle regarda Drago puis Hermione puis revint vers Drago alors que la colère commençait à envahir ses veines. Son visage prit une violente couleur cramoisi et ses yeux lançaient des éclairs :

- Je dérange peut-être ?!

Hermione se retira des bras de Drago et dit : 

- Non, j'allais partir.

- Ah bon ? Tu crois ça, Granger ?! Pas avant que tu m'ai expliquer ce que tu foutais ici !

- Pansy, laisse là partir ! On a rien fait, ok ?!!

- Mais...

- Pas de mais ! C'est moi qui l'ai invité ! Je suis encore chez moi à ce que je saches ! Je fais donc ce que je 

veux !! 

- Drago chéri...

- Arrêtes avec tes « Drago chéri » ! Ça me stresse grave ! Et pourquoi tu es là, toi, d'abord ?!

- Je suis venu pour le mariage. Tu te souviens de ça, n'est-ce pas ?

- Comment l'oublier...

- Enfin bref ! 

- Pansy.

- Il fallait que je vois ta mère pour régler les derniers détails.

- Pansy ! 

- Et puis, mes parents voulaient que je remette quelque chose à ton père.

- PANSY !!!

Le silence envahit alors la chambre. Hermione se sentait très mal à l'aise. Elle n'avait aucune envie d'assister à une scène de ménage entre Parkinson et l'homme qu'elle aime. Elle essaya de s'éclipser discrètement mais Drago la retint par le bras :

- Pansy, sors ! 

Pansy en resta bouche-bée. Cela faisait longtemps qu'il ne lui avait plus parler comme ça sans compter la dernière fois à l'hôpital. Il n'était pas devenu gentil avec elle mais il était correct.

Elle savait qu'il ne l'aimait pas et qu'il ne préfèrerait pas que le mariage ait lieu mais elle ne pouvait se résoudre à l'avouer. Elle était complètement dingue de lui.

Elle lança un dernier regard haineux à Hermione et sortit de la chambre. L'ancienne Gryffondor se tourna vers Drago en dégageant son bras :

- Tu as vu comment tu lui parles ?!

Drago la regarda sans réagir. Il était habitué à ce genre de réaction venant d'Hermione. À toujours vouloir s'occuper de ce qui ne la regarde pas. Une vraie Marie-mêle-tout :

- J'ai beau ne pas beaucoup l'aimer et je dois avouer qu'elle est très agaçante mais ce n'est pas une raison pour la traiter comme tu viens de le faire ! 

- Hermione...

- Non, tu vas m'écouter ! Y'en a marre de ton comportement.

- Hermione ! 

- Tu as une mère adorable, des amis dont tu n'as aucun souvenir à part Blaise et tu vas te marier.

Mais qu'avaient-elles toutes aujourd'hui ? Pourquoi fallait-il qu'il crie pour qu'elles se taisent ?! Aux grands 

maux, les grands remèdes : 

- HERMIONE !!!

La jolie brune se stoppa net. Mais bientôt, la colère monta en elle. Ça la dérangeait qu'il parle mal aux autres 

mais alors si il commençait à lui crier dessus à elle, là, ça allait mal se passer ! :

- Non mais de quel droit tu me crie dessus ?!

- Tu n'as qu'à m'écouter ! 

- J'en ai pas envie !! D'ailleurs, je m'en vais ! Je n'aurais jamais dû venir ! Si j'avais su quand venant ici, tu allais me mentir et me crier dessus, je serai jamais venu ! Au revoir ! 

Et elle sortit de la chambre laissant un Drago dépité au milieu de la pièce. En descendant les escaliers, elle croisa Lucius Malefoy : 

- Tous mes honneurs mademoiselle.

Hermione fut indignée. Elle savait très bien à quoi faisait allusion le père de Drago. Il croyait qu'elle sortait du lit de son fils. Mais quel culot ! Elle aurait bien voulu lui crier son indignation mais ne voulait pas s'attirer d'ennuis dans la maison d'un ancien Mangemort. Elle atteignit la porte d'entrée mais fut arrêté par Narcissa : 

- Miss Granger ! Que se passe-t-il ? Je vous ai entendu crier de mon jardin. 

- Oh rien. Une petite dispute avec Drago.

- Rien de grave, j'espère ?

- Vous n'aurez qu'à lui demander. Au plaisir de vous revoir Mme Malefoy.

Et elle quitta la demeure Malefoy :

- Hermione, attends ! 

Drago dérapa dans le virage du couloir et commença à descendre les première marches par deux et dévala le 

reste sur les fesses. Arrivé en bas, il grimaça de douleur alors que Narcissa se précipitait vers lui :

- Mon chéri, ça va ? Ne court pas comme ça dans l'escaliers.

- Maman ! Je suis plus un bébé ! 

Il se releva et se précipita vers la porte mais elle s'était déjà volatilisée. 

Il referma la porte et se laissa glisser contre le mur. Sa mère vint s'installer près de lui et le prit dans ses bras : 

- C'est rien. Elle reviendra, mon fils. J'en suis sur.

- Ça toujours été comme ça. On est comme chien et chat tous les deux. Ça pourra jamais marcher.

- Sans que tu le saches, ça marche même mieux que tu ne le penses. 

Drago leva la tête et regarda sa mère, interloqué : 

- Un couple qui ne se dispute jamais n'est pas un vrai couple. Il faut qu'il y ai des hauts et des bas. Il faut se disputer, s'en vouloir l'un à l'autre pour mieux se retrouver. Et je suis déçue que tu m'ais pas dis que tu avais retrouvé la mémoire. 

- Je voulais te le dire mais avec toute cette histoire, j'ai oublié. 

Au même moment, Hermione arriva devant chez Ginny. Les larmes dévalant ses joues légèrement halées, elle sonna. Harry vint lui ouvrir, le sourire aux lèvres. Sourire qui s'effaça aussitôt en voyant l'air dépité d'Hermione : 

- Mione, qu'est-ce qui va pas ? Entre, je t'en pris.

Hermione rentra dans la maison et donna son manteau à Harry qui l'accrocha au porte-manteau. Elle pénétra dans la salon et vit Lavande, assise sur le canapé : 

- Salut, Hermione ! 

- Salut ! 

- Ça a pas l'air d'aller...

- Si, ça va. Trop compliquer à expliquer.

- Ta' Mione !! 

James venait d'entrer dans le salon, ses petits pieds nus claquant contre le parquet : 

- Jamie !

James sauta dans les bras d'Hermione et entoura son cou de ses petits bras : 

- Tu vas bien, Jamie ?

- Ui, vais bin ! P'pa Noël bintôt venir ! 

- Il faut attendre encore deux semaines, mon chéri.

Ginny venait d'entrer dans le salon suivi de Ron qui avait Albus dans les bras. Al sourit quand il vit Hermione et tendit les bras vers elle :

- Ui mais bintôt ! 

- Oui, bientôt Jamie. 

Elle déposa James par terre et prit Albus qui commençait à couiner : 

- Et si on passait à table ? Proposa Ginny.

- Je meurt de faim, déclara Lavande.

- Moi aussi, dit Ron

- Mais tu 'anges tout l'temps, Ton' Ron ! 

Les adultes rigolèrent face à la réplique de James et Ron prit son neveu dans ses bras : 

- Non mais oh ! Je fais ce que je veux ! Et toi, tu es bien tout le temps sur ton balai-jouet ! 

- Mais 'est pas pareil ! 

- Si, c'est pareil ! 

Il le posa dans sa chaise haute et s'assit près de sa femme. Lorsqu'Hermione eut fini, elle observa les autres manger. Ron mangeait toujours autant et aussi proprement que James.

Ginny lui lançait des regards écœurer et Harry le regardait amuser. James mettait la moitié de ce qu'il mangeait par terre. Et Lavande mangeait autant voire plus que Ron : 

- Ron, Lavande te fais concurrence, rigola Hermione. 

Les deux concernés levèrent la tête, se demandant quel épisode ils avaient loupés alors qu'Harry et Ginny 

éclataient de rire :

- Il est pour quand ton bébé, Lav ' ? Parce que là, ça va exploser.

- M'en parle même pas ! J'arrive même plus à me positionner comme je le veux pour dormir.

- Les inconvénients de la grossesse, déclara Ginny. 

- Gin' pétait des câbles à cause de son ventre, rigola Harry.

- Et après, ça nous donne des monstres, n'est-ce pas, James ?

- Pas monstre, moi

- Non, mon chéri, tu es un ange.

James fit un immense sourire face à la réplique de sa mère qui fit rire tout le monde. Ce petit était vraiment adorable. Les cheveux aussi noirs que ceux de son père mais les yeux aussi bleus que ceux de sa mère. Hermione fut un peu mélancolique de voir la complicité entre sa meilleure amie et son fils. Si elle aimerai tellement connaître la même chose.

Encore faudrait-il qu'elle est des enfants, un jour. En aurait-elle, un jour ? Les aurait-elle avec l'homme qu'elle veut, qu'elle aime ? Elle lui en voulait terriblement. Maintenant qu'elle y réfléchissait, elle s'était fâché contre lui pour défendre Parkinson, la femme qui lui pourrissait la vie depuis Poudlard et qui lui la pourrit encore aujourd'hui en étant fiancé à Drago.

Pourquoi Merlin s'acharnait-il à ce point sur elle ? Qu'avait-elle fait ? Elle n'en savait rien. Mais si tel était son destin, elle ne le laisserai pas se produire. Oui, elle enviait Pansy.

Elle voudrait tellement être à sa place. Que soit elle qui porte cette robe symbolique le jour de son mariage avec lui. Que soit elle qui porte ses enfants. Que soit à elle qui fasse l'amour. Qu'elle soit la seule et l'unique comme elle l'était il y a seulement quelques années. Et elle ferait tout pour réussir.

Elle était née pour devenir Mme Drago Malefoy et elle le savait. 

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