Je lève mes yeux vers lui et il avait son arme braqué sur moi.
J'ai donc pris la bague et l'ai mise dans mon annulaire.
Jahley - Maintenant, lève-toi et avance.
Je me suis levée et on est sortis de cette chambre.
Mais.
Putain.
Treinta y cinco.
D I L A N
Jeremíah - Et après?
👩🦰 - Ensuite, elle nous a dit au revoir, puis je ne l'ai plus revue.
Comme vous l'avez sûrement compris, Brako et moi on est allés sur son lieu de travail.
- Il s'était rien passé d'anormal ce jour là ?
Elle fait mine de réfléchir.
👩🦰 - Ce jour-là, Maliyah avait fait une crise de panique par rapport à quelqu'un qu'elle a vue.
Jeremíah - Comment ça ?
👩🦰 - Elle était en service.
Je regarde les gars, qui ont compris tout de suite.
- Donne nous les noms de tout ceux qui était présent .
👩🦰 - Je ne peux pas, désolé.
Jeremíah - Comment ça, tu peux pas ? C'est ma sœur qui a disparue, espèce de conne !
👩🦰 - Je risquerais de perdre mon travail.
- Tu préfères perdre ton travail ou qu'une personne soit tuer à cause de toi ?
👩🦰 - ...
Elle nous regarde, souffle et commence à tapoter sur son clavier.
👩🦰 - Je vous donne que les noms des hommes ?
Jeremíah - Ouais.
- On regardera pour les femmes après.
👩🦰 - Kamara, Avril, Levorgne, Kayte, Sarahu, Uhu, Alvarez, Mohammed, Jarles, Harlem, Sa-
- Attends Attends !
Jeremíah - Harlem ? Tu viens de dire Harlem ?
👩🦰 - Oui.
- Balance le prénom.
👩🦰 - Harlem Jahley.
..
Je savais que c'était lui, du moins j'étais persuadé.
Il cherche les problèmes.
Jeremíah - Il faut qu'on le retrouve le plus vite possible. Tu sais pas ce qu'il est capable de lui faire.
- ...
Jeremíah - Ce gars là, c'est un malade, un fou.
- Pas plus fou que moi.
M A L I Y A H
Pays-bas 🇳🇱
23:23
J'étais assise au milieu d'un très grand canapé .
Jahley lui, étais assis sur le canapé en face de moi. Il était là en train de me fixer.
Quelque chose avait changé chez lui.
Il n'était plus pareil qu'avant.
Il me faisait peur mais je ne devais pas le lui montrer.
Soudainement, quelqu'un sonne à la porte.
Jahley fis un sourire.
Pas un sourire normal.
Un sourire qui te montre qu'il n'envisage rien de bon.
Il se lève puis sort du salon.
Quelques secondes plus tard, il revient suivi d'un gars, que je n'avais jamais vue auparavant.
Gars - Ah ouais, quand même.
Jahley - T'as vue ça ?
Gars - Pas mal, pas mal.
Ils sont restés là, à me regarder pendant au moins 5 minutes en parlant, puis le gars est parti.
Clairement.
Je comprenais rien.
Et ça.
Ça me faisait peur.
Vraiment peur.
Jahley - Je dois t'avouer un truc bébé.
- .. m'appelle pas comme ça.
Il se mit à rire tout en passant sa langue sur sa lèvre inférieure.
Ange - Il essaie de faire quoi exactement ?
Jahley - Sinon ?
- ...
Jahley - Je me disais aussi. Je dois t'avouer que mon père m'a défendu de te faire ça.
- ...
Jahley - Mais puisque, tout ce qu'il me dit rentre par une oreille et ressort par l'autre.
Il s'est approché de moi et m'a caressé les cheveux.
Jahley - Je vais partir mais je reviens demain. Profite bien de ta dernière soirée tranquille. N'essaie pas de sortir, nous somme dans une ville, où personne ne souhaite sortir la nuit encore moins une personne de sexe féminin. Si tu vois ce que je veux dire.
- Pourquoi tu fais ça ? Laisse-moi vivre. On est plus emsem-
Jahley - Justement, je veux plus te laisser vivre.
- ...
Jahley - Si tu n'avais pas essayer de me quitter, rien de tout ça, ne serai arriver.
- Jahley.
Jahley - JAHLEY QUOI ? DONNE-MOI UNE RAISON ! UNE PUTAIN DE RAISON.
J'avais aucune envie de me faire tuer, j'essayais de rester calme en parlant calmement.
- Tu sais très bien, pourquoi.
Je me suis lever du canapé puis me suis diriger dans la chambre où j'étais il y a quelques heures.
____
Jeudi
03:34
Je sentis une présence dans la chambre. Jahley n'était pas là et il n'était jamais rentré depuis la nuit dernière, il y a deux jours maintenant.
Je me suis recouchée mais sans pour autant fermer les yeux.
La lumière était éteinte.
Il y a eu un silence de 7 secondes puis la porte de la chambre s'est ouverte.
Je me lève et sort du lit. La lumière de la chambre s'allume.
Et..
Dìos.
Deux personnes portant un masque de clown étaient debout dans la chambre.
Je suis coulrophobe.
Et ça, ça n'arrangeait rien.
Je n'arrivais pas à respirer correctement, j'étais comme paralysée.
Une personne avec un masque différent pénètre dans la pièce avec une chaise en main.
Cette personne fit un claquement de doigts puis les deux personnes présentes s'approcha de moi en me tenant par les bras.
- Qu'es-ce que vous faites ? Non. NON ! LAISSEZ-MOI ! ARRÊTER !
Je sentis une aiguille transpercée mon avant bras.
- S'IL VOUS PLAÎT !
... - Ceci est une dose de GHB, tout tes membres se paralyseront. Tu ressentiras tout sauf que tu ne pourras pas bouger.
Mes larmes et mes cris ont commencées à s'accélérer, lorsque je sentis qu'on me déshabillais.
- si'l v-
Je tentais de bouger mais aucune partie de mon corps ne bougeait plus.
Ne répondait plus.
J'étais maintenant en sous-vêtements devant ces 3 personnes.
... - Tu n'auras maintenant que tes larmes pour crier. Puisque tes cordes vocales seront désormais bloquées.
J'entendis la porte s'ouvrir. Je ne voyais absolument rien car mon regard était bloquée sur le plafond.
Je sentis des mains me retourner. J'étais a présent sur le ventre.
... - Faites-vous plaisir, messieurs.
Une main se posa sur ma bouche puis une autre tenait mes bras.
Je sentais qu'on me frappait.
Tout.
Je ressentais tout.
Je sentis une douleur au niveau de mon bas du ventre.
Je criais mais aucun son ne sortait.
Rien.
Rien de tout ça.
Le lit était maintenant mouillé à cause de mes larmes.
Cette douleur était tellement forte.
Très forte à supporter, que je me suis évanouie.
____
10:34
Je me réveille en sursaut.
Seigneur.
Ce n'était qu'un rêve.
J'essaie de reprendre une respiration correcte et j'y arrive une dizaine de minutes plus tard.
Je décide de me lever lorsque je me rendis compte que j'étais nue.
Quoi ?
Puis une douleur parcourue tout le bas de mon ventre.
Mes larmes avaient déjà commencées à couler.
C'était comme ci, quelqu'un s'amusait à me donner des coups de couteaux.
- AHH !
Mon regard s'est dirigé sur le lit qui était rempli de sang.
De mon sang.
Ce n'était donc pas un rêve ?
M.