¤ Point De Vue De Millie :
- Elle : Pourquoi ?
- Moi : Ça me fait mal de parler de lui.... Dis-je sur le bord de pleurer.
- Elle : Mal comment ?
- Moi : Les souvenirs remontent et je suis triste.. en colère... Et je commence à avoir mal...
Une larme coule sur la joue.
- Elle : Quel genre de mal ?
- Moi : J'ai l'impression que la douleur veut sortir... Je l'ai déjà fait... 3 fois... Et j'ai failli recommencer...
Une seconde larme s'échappe.
- Elle : Qui t'a aider pour la fois où tu avait failli ?
- Moi : Ma...
J'hésite.. de peur qu'elle me juge.
- Elle : Ma ?
- Moi : Petite amie... Elle a réussi à me calmer tout en restant calme.. elle ne savait même pas ce qu'il m'arriver mais elle a réussi...
- Elle : Comment s'appelle t'elle ?
- Moi : Charlie...
- Elle : Pourquoi ne pas lui avoir dit à Charlie ?
- Moi : Je ne voulais pas qu'elle ne voit que ça de moi... Je voulais pas qu'elle pense que je suis une bombe à retardement... Mais maintenant, elle le sais...
- Elle : Lui parleras-tu de ton père ?
- Moi : Je ne sais pas.
- Elle : Il va falloir Millie. Parce qu'un couple est basé sur la confiance.
Je lance un regard sur la pendule.
- Moi : Il est 9h59, je peux remettre mon manteau ?
Elle hoche la tête. J'efface mes larmes puis me lève, je remet mon manteau.
- Moi : Au revoir.
- Elle : À bientôt.
Je rejoins ma mère dans le couloir.
- Maman : Tu as fait un grand effort, tu n'a rien casser aujourd'hui.
On monte en voiture et elle me dépose au lycée. Je rejoins ma salle d'anglais, j'ai juste louper la première heure sur les deux. Après j'ai une heure de latin et une heure d'histoire.
Je toque. La prof m'ouvre, elle me sourit et m'invite à entrer. Les lumières sont éteinte, les volets fermés.
- Prof : Va t'installer, nous regardons un documentaire sur le grand incendie de Londres de 1666. [Nda: je ne sais pas s'il y en a un]
Je pars m'installer en silence. Je regarde le documentaire sans m'endormir. La cloche sonne. Je me lève range mes affaires et sors. C'est la recrée, je vais donc au coin fumeur. Une fille recule et me bouscule, elle se tourne, je la regarde et continue mon chemin, habituellement, je lui aurai fait une scène et je l'aurai menacé. Je m'appuie sur le muret qui est libre, je fouille mes poches à la recherche de mes cigarettes puis me souviens que ma mère me les a prises. Je souffle et vais attendre devant la salle de latin.
xx
La cloche sonne, c'est la fin des cours du mercredi. Je met mes écouteurs, démarre ma Playlist et marche direction la maison. Je rentre dans l'appart. La table est prête ainsi que le repas, je pose mon sac et ma veste.
- G-M : Comment tu vas ma chérie ?
- Moi : Très bien.. Et toi mamie ?
- G-M : Très bien. Tu es sur que ça va ?
Mes larmes coulent à flots sur mes joues, Mamie sort de la cuisine, attend ma réponse, quand elle me voit, elle vient me prendre dans ses bras.
- G-M : Dis-moi tout.
- Moi : Maman m'a emmener chez la psy.. Elle veut que je parle de papa.. comme si c'était une conversation normal.. et elle veut aussi que je parle de papa.. à Charlie..
- G-M : Un jour, tu devras le faire, mais seulement quand tu sera prête.
Je resserre son étreinte.
- Moi : Je t'aime mamie.
- G-M : Je t'aime aussi chérie.
On s'installe à table et mange.
Je prend mes médicaments, embrasse mamie et vais dans mon lit. Je m'endors rapidement.
x
Je sens un bras se poser ma hanche, un souffle chaud sur ma nuque. Je pose ma main sur la sienne, elle m'embrasse la nuque.
- Charlie : Comment tu vas mon ange ?
- Moi : Très bien et toi ?
- Charlie : Très bien aussi.
Je me tourne, je cale mon visage dans son cou, que j'embrasse puis je commence un suçon.
- Charlie : Millie. Dit-elle en gigotant.
Je sors ma tête et m'assois sur ses cuisses. Je lui prend délicatement le col de son t-shirt et tire pour la faire s'asseoir. Je l'embrasse tendrement, elle me rend mon baiser. Je lui retire son pull.
- Charlie : Pas ici, mon ange. Ta grand-mère est là.
- Moi : Allons chez toi alors.
Elle vient m'embrasser puis remet son pull. On se lève, remettons nos chaussures et allons chez elle. Je retire mes chaussures puis elle me fait tomber sur son lit.
Elle monte sur mes cuisses comme une tigresse, elle vient m'attaquer de baiser et de suçon. Elle se retire de mon cou, elle sourit satisfaite. J'en conclu qu'elle m'a fait un joli suçon. Je me relève un peu et lui retire son pull ainsi que son t-shirt. Elle a mis un jolie soutien gorge en dentelle noir. Elle prend ma main et la place sur son sein. Je l'embrasse langoureusement en malaxant son sein. Elle retire mon sweat et mon t-shirt. Elle retire mon soutien gorge puis me rallonge contre le matelas. Elle passe ses mains sur ma poitrine puis se baisse pour poser des baisers dessus puis elle s'en que je mis attende, elle mord l'un de mes mamelons. Ce qui me fait gémir son nom.
Je suis tellement excité, je déboutonne son jeans. Elle arrête de me mordre et retire mon slim et son jeans.
Elle descend jusqu'à être face mon intimité. Elle retire ma culotte et attaque direct. Je gémis encore son nom.
Elle entre deux doigts en moi et fait des vas et vient. Mes gémissements rempli sa chambre. Jusqu'à mon orgasme. On inverse les rôles et je la fait crier mon nom au bout de 5 minutes. Je me cale contre elle et l'embrasse.
- Charlie : Je t'aime.
- Moi : Je t'aime aussi.
- Charlie : Mon ange ?
- Moi : Humm? Dis-je en cachant mon visage dans son cou.
- Charlie : J'aimerai en savoir plus sur toi.. Je ne sais que ton nom, ton âge, tes troubles et tes origines.
- Moi : Dis-moi tes questions.
- Charlie : As-tu des frères et sœurs ?
- Moi : Je suis fille unique. Et toi t'en as ?
- Charlie : J'ai une sœur, Emma, elle a 19 ans. Ton passe-temps favori ?
- Moi : Lire, j'adore les livres. Et maintenant j'aime passé mon temps avec toi.
Je fais glisser ma main sur ventre en passant entre ses seins pour la poser sur son torse.
- Moi : Et toi ? Quelle est ton passe-temps ?
- Charlie : Lire aussi, et ma famille aussi, du moins, ma sœur. Et toi aussi mon ange, j'aime passer tu temps avec toi.
Elle m'embrasse la tempe.
- Charlie : Ton repas préféré ?
- Moi : Des pâtes ? C'est un plat ?
Elle rit.
- Moi : J'aime les pâtes, dans mon topfood, ils sont en première place.
- Charlie : Y'a quoi d'autre dans ton topfood ?
- Moi : Les pizzas et les mcdo. Et toi ?
- Charlie : Les pizzas, les plats chinois et les plats italiens.
Elle se tourne pour se mettre sur son dos, je pose ma tête sur sa clavicule.
Elle joue avec mes doigts, les doigts de ma main poser sur son torse.
- Charlie : Raconte-moi un souvenir d'enfance.
- Moi : Celui que j'aime le plus, c'est quand j'étais dans un hôtel à Londres avec Alison. On courait dans les couloirs pour aller se cacher. On toquer aussi à chaque porte. Ou encore quand on voulait pas aller se coucher, on aller dans l'ascenseur et on s'amuser à monter descendre les étages, on disait bonjour à ceux qui monter puis on rigolait.
Elle rit.
- Charlie : Je pensais que le meilleur, c'était quand vous alliez en pyjama jouer dans la neige, vous ensevelir dessous, faire des bonhomme de neige, jusqu'à que vous claquiez des dents.
Je me relève, comment elle s'est ça ?
Elle sourit.
- Moi : Qu'est-ce qu'elle t'a raconté d'autre ?
- Charlie : Une soirée chez un certain Valentin.
Oh non. Je rougis honteuse. Avec Ali' ont été tellement bourré qu'on avait failli coucher ensemble.
- Charlie : Le garçon qui s'appelait Baptiste.
- Moi : Non, me dit pas qu'elle t'a raconté ça.
- Charlie : C'est mignon la jalousie.
- Moi : Il a failli mourir.
Elle pose sa main sur ma joue.
- Charlie : C'est du passé et il est vivant.
- Moi : C'était l'an dernier.
Elle m'embrasse tendrement.
- Charlie : On devrait se revêtir.
- Moi : Pourquoi ? On est bien toute nu, dans le lit.
- Charlie : Oui mais te voir toute nu...
Elle laisse sa phrase en suspens. Elle m'attrape par les hanches et me fait grimpé rapidement sur ses cuisses. Elle prend d'assaut mes lèvres. J'arrête le baiser et colle mon front au sien, mes lèvres frôlent les siennes.
- Moi : Seriez-vous nymphomane Mademoiselle Lancelot ?
- Charlie : C'est parce que vous êtes très attirante et très sexy mademoiselle Blitsch.
Elle passe sa langue sur mes lèvres.
- Charlie : Rhabille toi. Elle me chuchote.
- Moi : Pas envie. Je chuchote.
Elle me renverse sur le matelas et m'embrasse sauvagement.
Puis elle se lève d'un coup, elle sort de la chambre. Je me lève et la suis. Elle est parti sous la douche. Je me regarde dans le miroir. Oh putain, elle m'a fait un énorme suçon.
- Moi : Mon cœur ?
- Charlie : Oui mon ange ?
- Moi : Tu as vu la taille du suçon ?
- Charlie : Marquage de territoire. Dit-elle comme si c'était normal.
- Moi : Je serai à toi quand tu m'aura mis la bague au doigt. Donc pour l'instant, je suis un elfe libre.
- Charlie : Ça se fera un jour. Dobby.
Je vole sa serviette et retourne dans la chambre. Je remet ma culotte et mon soutien gorge.
- Charlie : Millie ! Ma serviette.
Je ris puis reviens lui ramener.
- Moi : Je vais aller chez moi prendre une douche et des vêtements propres.
- Charlie : J'ai une douche et des vêtements tu sais. Regarde dans la commode et l'armoire.
Je lui embrasse la joue. Je retourne dans la chambre, je cherche dans la commode, sous ses strings et culotte, je trouve quelque chose.
- Moi : Charlie ?
- Charlie : Oui ?
- Moi : Pourquoi tu as des menottes ?
- Charlie : C'est pour toi, t'attacher au lit.
- Moi : Vous êtes vraiment nympho Mademoiselle Lancelot.
Elle rit.
Je prend une culotte noire et un soutien-gorge noir, je prend un de ses t-shirt blanc. Je reviens à la salle de bain, elle met son t-shirt puis prend sa brosse.
- Charlie : Les produits sont dans la douche, et les serviettes sont ici, en dessous du lavabo.
J'hoche la tête. Me déshabille, je la vois me regarder à travers le miroir tout en se démêlant les cheveux. J'entre dans la douche et me lave tranquillement.
Je sors, me sèche et m'habille. Je vais récupérer mon téléphone, je vois que c'est l'heure de mes médocs, je les prends dans ma poche de slim et rejoins la cuisine. Elle y est aussi, devant le frigo.
- Charlie : Tu reste mangé mon ange ?
- Moi : J'ai cours demain.
- Charlie : Moi aussi. Tu manges avec moi, tu dors chez toi et tu reviens me faire un bisou comme d'habitude sinon.
- Moi : Parfait. Où sont les verres en faite ?
Elle referme le frigo et se dirige près de l'évier, le meuble juste au dessus, elle me tend un verre. Je le prend, le rempli d'eau puis avale le tout avec mes médocs.
- Charlie : Du mange un cordon bleu avec des haricots verts ?
J'hoche la tête, repose mon verre et la regarde retourner au frigo. Elle se dirige maintenant vers la gazinière.
- Charlie : Arrête de me mater le derrière.
- Moi : J'aurai préférer mater le devant mais t'es tournée.
Elle me regarde amusée.
- Charlie : Trouve toi une occupation autre que de me mater, ça me déconcentre mon ange.
- Moi : Je vais aller mater ta télé alors.
Je m'approche d'elle, l'enlace par derrière puis lui embrasse son cou et vais m'installer dans son canapé.
Une trentaine de minute plus tard, on mange, on se trouve devant sa fenêtre, je remet mon sweat, mon slim, et elle garde mes sous-vêtements parce qu'elle veut les laver et les garder ici comme ça j'ai un rechange quand je viens. Je l'embrasse plusieurs fois puis une fois tendrement.
- Charlie : Bonne nuit mon ange, je t'aime.
- Moi : Bonne nuit belle brune, je t'aime aussi.
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La journée s'est très bien passer et je me suis excuser auprès de Julie. Je rentre chez moi, fais mes devoirs, papote avec Mamie puis comme d'habitude, je vais chez ma petite-amie. Quand j'entre dans sa chambre, je vois une fille assise sur son lit, elle a seulement ne porte qu'un t-shirt par dessus ses sous-vêtements, elle a le poignet menotté au lit. Elle me regarde. J'essaie de rester calme.
- Fille : Bimbo ?
Bimbo ?
- Charlie : Oui Princesse ?
Princesse ? Une larme roule sur ma joue.
- Fille : Y'a une nana qui vient d'entrer par ta fenêtre.
Je repasse par la fenêtre. Qu'est-ce que j'ai fais pour qu'elle me trompe ?
- Charlie : Millie ! Mon ange !
Je suis dans mes escaliers, je la vois essayer de me rejoindre. Puis la tout se passe au ralenti, elle glisse.
- Moi : CHARLIE !!
Je me dépêche de descendre les escaliers pour la rejoindre, je vois la fille descendre elle aussi.
Je monte sur le van, sur lequel elle a atterrit. Un flash du visage de mon père me vient.
- Moi : Papa...
Je reviens à moi.
- Moi : Charlie... s'il te plait, ne m'abandonne pas. Reste avec moi.
- Charlie : Je t'aime Mill..
J'entend la fille appeler les pompiers et ambulanciers.
- Moi : Je t'aime aussi.
Je lui prend sa main encore chaude et lui caresse la joue avec mon pouce.
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Voici le dix-neuvième chapitre de cette fiction.
Le prochain aura peut-être du retard.
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