Bonsoir dragonnier, se soir très long chapitre et probablement le plus long de tous ceux que j'ai écris de toute l'histoire. Sinon j'avais une petite question, savez vous si je peux avoir des problèmes de droit d'auteur si j'utilise des images pour mettre en barrière au début des chapitres? Bref désolé pour les fautes, encore une petite annonce à la fin concernant mon futur «livre» et bonne lecture.
P.D.V Astrid
Je me réveillai seule dans mon lit. Normal. J'ai pris deux ou trois minutes avant de me levé pour être suffisamment réveillé. Ensuite je me leva et alla devant le miroir pour me faire une tresse comme à mon habitude. Par la suite, je décidai d'aller déjeuner donc je sortis dehors et je constatai que le soleil était déjà levé. À ma grande surprise, le Démon Noir n'était pas la. Pourtant il nous avait bien dit qu'il en aurait fini avec Drago en une nuit. Bizarre. Lui qui est toujours ponctuel à la minute près. Bref, je ne m'inquiétais pas plus et puis de tout façon, il ne devrait pas tarder, je pense.
J'ai beaucoup réfléchi à ce qu'il m'avait dit avant de partir je ne sais trop ou. Comme quoi qu'il avait un lien direct avec la disparition de tous les dragons et que je pourrais voir son visage seulement si «il» m'accepte. Comment pour la disparition des dragons, je n'en ai aucune idée. Mais j'ai une idée pour avoir les réponses à mes questions. Mala. Et Gueulfort Je me dirigea donc vers la Grande Salle pour prendre mon déjeuner. J'étais en train de réfléchir et j'ai finalement pris ma décision. Je me suis dis que ma question pour Mala allait pouvoir attendre un peu car j'en avais une importante pour Gueulfort.
Lorsque je traversai le village, tout les villageois qui me croisaient me regardaient d'un air déçu. Car il n'avait toujours pas remis leur capuche. Sûrement à cause qu'ils n'avaient plus besoin de cacher leur identité, pensais-je. Je ne compris pas pourquoi mais je sentais que quelque chose clochait. J'aperçu Mala dans la foulée. Elle se dirigeait vers moi d'un pas vif. Une fois arriver, elle me demanda, non plutôt cria,
-Et puis la nuit de Noce s'est-elle bien passée? Me cria t-elle avant de me dire tout bas, parle de tout et de rien avec moi et ignore mes questions, je t'expliquerai après, fit-elle.
-Ehhh...oui?! Fis-je à voix basse pendant que toutes les personnes autour de nous commençaient à afficher une mine souriante sur leur visage. Le Démon Noir est-il arrivé? Demandais-je à voix très basse.
-Non! Tu na pas oser lui faire ça! Cria t-elle.
Cela me faisais très bizarre de la voir agir de la sorte. Mala, elle qui est une personne si charismatique en plus d'être une reine très respectée.
-Est-ce que tu as vu Gueulfort se matin, questionnais-je la reine de l'île.
-Oui et j'imagine même pas à quel point qu'il doit être heureux d'être marié avec toi. Ce n'est pas toutes les vikings qui auraient été prête à faire ça à quelqu'un, cria t-elle encore.
Nous arrivions enfin aux portes de la Grande Salle et les deux gardes me félicitaient pour le mariage avant de nous laisser entrer. Une fois fait, tout le monde qui était présent dans la Grande Salle se mirent à m'applaudir et à me féliciter encore une fois pour le mariage. Je n'osais même pas m'imaginer à quel point je devais avoir les joues rouges. Au bout d'environ une seule minute qui me semblais interminable. Mala prit enfin la parole.
-Hum hum, votre attention s'il vous plait. Elle attendit quelques secondes pour avoir l'attention de tout le monde. Merci, bon je vous annonce que les traditions de nos ancêtres ont été respectées! Fit-elle. Vive la mariée!
Tous applaudissaient encore une fois de bon cœur pendant une ou deux minutes qui me semblaient encore une fois, interminable à cause de la gêne causée de tous les regards qui pesaient sur moi. Les applaudissements s'arrêtèrent quand Mala leva la main paume ouverte devant elle pour dire d'arrêter.
-Bon maintenant vous pouvez disposer et préparez vous selon les ordres du Démon Noir que vous avez reçu.
Sur ce, la salle se vida à une vitesse phénoménale jusqu'à ce qui reste juste moi, Mala et Gueulfort qui était déjà assis à une table.
-Merci beaucoup Mala pour avoir fait cesser tous ses regards et applaudissements. Mais pourquoi tu criais tout ça tout à l'heure dans le village, c'était super gênant t'imagine même pas, fis-je.
-C'est très simple Astrid, car le lendemain de la nuit de Noce, tu es supposée de sortir de la hutte de Noce main dans la main avec ton époux pour venir manger au buffet. C'est un peu comme une sorte de preuve pour dire que vous avez bel et bien... enfin bref, tu m'as compris. Je sais que c'est du n'importe quoi mais c'est les traditions depuis les grands-parents des grands-parents de mes grands-parents et probablement encore plus avant cela. Bref sinon si je n'étais pas intervenue, tout le village t'aurait fait des remarques blessantes comme quoi que tu ne sois pas une bonne épouse et que tu empêches ton couple de fonder une famille, fit-elle.
Nous nous sommes dirigée vers la table ou était assis Gueulfort puis nous avons prit place à se table. Gueulfort nous avait déjà préparé nos assiettes de cote de yack braisée et parfumée au miel. C'était le déjeuner traditionnel du lendemain d'un mariage. Nous avions arrêtée de parler le temps de ce diriger vers la table ou le forgeron était assis. Je décidai de reprendre la discussion.
-Et comment t'as su que nous n'a- Je ne pu terminer que Mala reprit en me coupant comme si elle savait déjà ce que j'allais lui demander.
-Je t'ai dit qu'il ne te forcerait jamais à faire quelque chose que tu ne veuille pas faire et il est aussi venu me voir hier soir, pour me dire de jouer le jeu, fit-elle avant de prendre une boucher, puis reprit. N'oublie jamais qu'il a toujours un coup d'avance, dit-elle tout en insistant sur la dernière phrase.
Il eut un petit silence pas très agréable pour moi donc je poursuivis pour lui poser la question.
-Dit Mala, puis-je te poser une question? Demandais-je.
-Oui, tout ce que tu voudras tant que je peux y répondre ou que j'aie le droit d'y répondre, dit-elle en faisant probablement allusion à Démon Noir sur le «que j'aie le droit d'y répondre».
-Est-ce que mon mari a une maison sur cette île? Questionnais-je en espérant pouvoir enfin savoir ce que je veux absolument savoir.
-... oui, fit-elle après un long silence.
-Puis-je aller la visiter avec Gueulfort?
Aller dit oui, J'ai besoin d'avoir réponse à mes questions, pensais-je.
-Et bien... maintenant que tu es sa femme, je ne peux te le refuser, donc oui. Elle se trouve dans la forêt pas loin de la ou tu as tentée de le suivre, fit-elle en faisant une petite pause, sans succès...
-Ok merci.
Mala se dépêcha à manger et partit ensuite à ses occupations de chef. Moi et Gueulfort finissions de manger dans le silence. Le déjeuner était très délicieux d'ailleurs. Une fois que le blond ait enfin fini de manger, car oui Gueulfort s'en avait resservit trois fois, nous sortîmes de la Grande Salle et nous nous dirigions dans la forêt. Une fois sous la couverture des arbres, Gueulfort brisa le silence.
-Bon alors c'est quoi que tu manigance encore? Me demanda Gueulfort.
-Je veux avoir des réponses à mes questions car hier soir, le Démon Noir ma dit qu'il était en lien direct avec la disparition des dragon et j'ai aussi remarque qu'il a deux armures très similaire, mais une est en cuir noir et l'autre, fis-je en le regardant droit dans les yeux et après une petite pause je rajouta, l'autre est en écailles de dragons, mais je n'en suis pas si sur.
Gueulfort n'ajouta rien. La seule chose qu'il fit est montrer une mine réfléchissante. Après cinq minutes de marche, nous arrivions à une hutte à moitié camouflée dans la forêt.
-Regarde là bas, ça doit être sa hutte, fis-je en la pointant du doigt. Je vais y aller seule, toi monte la garde au cas où, demandais-je au blond.
-Très bien alors, fit le forgeron amusé sûrement des trop grosses précautions que je prends.
J'ouvris la porte de la hutte. J'entrais à l'intérieur et à ma grande surprise, le feu était encore allumé dans la cheminer mais il était presque mourant. Il y avait une torche éteinte sur une petite table en bois. Quand je pris la torche dans mes mains, un petit bout de papier y tomba. J'haussai un sourcil. Je redéposa la torche sur la petite table en bois et je pris le petit papier, le déplia et je le lu,
Lettre;
Cher Astrid,
Comme d'habitude, j'ai un coup d'avance. Mais bon, je te laisse explorer ma hutte. Fait comme chez toi. Ah oui j'oubliais, au deuxième étage se trouve ma chambre, il y a une autre lettre. Sera tu en mesure de voir ton regarde la ou l'azur exaspéré se voit, si oui, la lettre te trouvera.
D.N
Fin de la lettre.
Je n'y croyais pas. Il avait encore une fois prévu que j'allais venir fouiller sa hutte. Bon je devais maintenant trouver les marches. Chose facile car sa hutte était très petite en réalité. Le premier étage était simple, une cuisine, une petite table accrochée à un mur avec un tabouret, une chaise proche de la cheminer avec une petite pille de bois sec et il y avait une fenêtre face à la table. Dans un coin de la hutte, se trouvaient les marches.
Je montai ensuite à l'étage. Encore une fois, très simple. Il y avait juste sa chambre avec un lit dans un coin, une fenêtre au centre d'un mur, une bibliothèque remplit de livres verrouillés à clé et il avait un atelier, la ou il créait probablement toute ses choses je présume. Mais ce que je ne vis pas du premier coup était le miroir. Il y avait un miroir entre la bibliothèque et l'atelier. Je repensais au sens de l'indice de la lettre, «Sera tu en mesure de voir ton regard la ou l'azur exaspéré se voit, si oui, la lettre te trouvera».
Je me suis regardée dans le reflet du miroir. Je me répétais sans cesse l'indice. Plus j'y pensais, plus cette phrase me perturbait. Au bout de plusieurs minutes de réflexion et d'observation dans le reflet de la glace, je ne trouvai rien qui pouvait m'aider à trouver la réponse.
-Bon, je laisse tombée, au moins j'aurai essayée, dis-je en levant les yeux au ciel d'exaspération.
Et c'est la que je vis qu'il y avait un miroir perché au dessus de moi, au plafond. Je me suis regardée dans les yeux grâce au reflet. C'est là que je compris le sens de l'énigme. Le reflet du miroir adossé au mur ne me permettait pas de voir ce que celui au plafond me permettait de voir. En effet, je n'avais pas remarquée qu'à mes pieds, il y ait une sorte de petit objet en métal. J'ai alors baissée le regard vers le plancher et je réalisa que j'étais sur une petite trappe. Je me suis accroupie pour l'ouvrir et une fois fais, je vis qu'il y avait une lettre au fond de la trappe. Je la prit, la déplia et la lue,
Lettre;
Cher Astrid,
Je vois que tu as réussi à retrouver la lettre. Finalement, il te suffisait juste de lever les yeux au ciel. Bon, rendez-vous pour toi et Gueulfort à minuit au lieu indiqué au verso de la lettre. Et petit conseil de mari, n'apportez AUCUNE arme avec vous, même le crochet de Gueulfort compte. Car sinon, «il» risque de mal le prendre...ça sera à vos risque et péril. Ne t'inquiète pas non plus, tu aura réponse à tout tes questions, se soir. Ne soyez pas en retard.
D.N
Fin de la lettre.
Je sorti de la hutte et alla rejoindre Gueulfort qui m'attendais.
-Alors, as-tu eu réponse à tes questions? Demanda Gueulfort intriguer car il voulait également en savoir plus lui aussi.
Je lui tendis les deux papiers mais il me fit un signe de tête en désignant son crochet. À oui, c'est vrai que ça doit être compliqué de déplier une lettre avec un crochet... Donc je lui lu les lettres et il me répondit,
-Donc c'est vrai qu'il a toujours un coup d'avance sur nous... Bon au moins, j'espère que tu as trouvée autre chose d'intéressant.
-Si seulement, fis-je d'un ton exaspéré. Bon sinon il nous reste quand même plus que la moitié de la journée à attendre et je n'ai pas pu tester ma nouvelle hache qu'il m'a donné en cadeau de mariage. Ça te dit de venir t'entraîner avec moi, voir même faire quelques duels...
Il accepta sans hésiter. Le bon vieux Gueulfort a toujours du temps pour un bon vieux tapage, comme il le dit tout le temps. Ensuite, nous nous sommes trouvé un petit coin ou s'entraîner.
J'étais tellement distraite depuis hier que je n'avais même pas constatée à qu'elle point la hache était bien faite, bien aiguisée et si... légère. Elle me rappelait ses épées de feu que j'avais utilisée pour battre Ingrid en duel.
Puis nous commentions à nous battre. Nous nous sommes entraîné jusqu'à la fin de l'après midi. Par la suite, nous sommes parti manger après s'être familiarisé avec le chemin pour aller au lieu de rendez-vous. Une fois fini de manger, nous sortîmes de la Grande Salle pour constater que la nuit était déjà tombée. Nous commencions à nous diriger vers le lieu de rendez-vous.
P.D.V Démon Noir
Nous étions presque arrivé à la première île de Drago. Je tapotai gentiment la tête de Krokmou en guise de signal et celui-ci émit un rugissement pour donner le signal. Tous les dragons se séparèrent en plusieurs groupes.
Les quatre îles de Drago étaient planifiées de la même manière. L'île était entourée de trois rangers de bateau de guerre avec environ dix à quinze hommes par bateau. Les bateaux situés au front étaient armés de catapulte ou de baliste ou même pour certains, catapulte à filet anti-dragon. Au centre de l'île, il y avait une petite armée de deux à trois cent hommes qui seront bientôt sous mon contrôle. Car dans le passer, quand je me suis débarrassé des bateaux qui encerclaient l'île, la petite armée se soumettait à mes ordres. Car comme le disaient la plupart des hommes, ils n'ont pas tous choisis de se battre pour Drago. La plupart étaient forcé de se battre pour lui car quand Drago prenait le contrôle d'une île, il emprisonnait les femmes et les enfants des hommes qui avaient un potentiel pour son armée, donc il leur faisait du chantage. Drago n'avait aucun honneur. Mais quand ils ont vu que j'étais capable de les sauver, ils baissaient leurs armes pour venir se battre avec moi, plutôt que contre moi. Car quand quelqu'un me cherche, il me trouve.
Le plan;
Les dragons marins s'attaquent aux bateaux sur le front nord pour faire diversion. La diversion est faite pour forcer tous les bateaux à se déplacer vers le premier lieu de l'attaque, ce qui veut dire le front nord. Car le but n'est pas de détruire les bateaux, mais de les prendre pour augmenter la puissance de mon armada. Pendant que les dragons aquatiques font semblant d'attaquer les bateaux au nord, les bateaux à l'ouest et l'est se déplacent pour aller leur porter soutien. Une fois le sud, l'ouest et l'est libre, la deuxième partie du plan s'enclenche.
Les trois reines (mort rouge) se posent derrière l'île et elles tirent leurs torrents de feu dans le ciel pour forcer les ennemies (car voir trois dragons de cette tailles leur fait peur, très peur) à se rapatrier vers la plage au nord de l'île, la ou les bateaux se font assiéger par les dragons aquatiques.
Par la suite, les hideux braguettors entourent l'île en faisait leur roue de feu (c'est quand le braguettors forme une roue avec son corps pendant qu'une tête exhale le gaz et l'autre l'allume tout en tournant) se qui fait en sorte que l'île se ramasse prit au milieu d'une «tornade de feu». Donc ce qui laisse aucune possibilité pour les hommes de fuirent par bateaux sur les cotés de l'île.
Ensuite, les cauchemars monstrueux sont comme des loups, (force à éloigner la proie du troupeau pour l'encercler plus facilement et l'attaquer) il force une centaine d'hommes à se séparer du groupe car si il y a trop d'hommes au même endroit, il ne vont pas baisser les armes. Car comme on dit dans les rangs de Drago, c'est la force du nombre qui mène à la victoire.
Pendant que les cauchemars monstrueux encerclent les hommes pour les amener au centre de l'île, les murmures mortels creusent un énorme trop en forme de cône inversé.
Les dragons vipères lancent leurs épines au pied des hommes amenés par les cauchemars monstrueux, pour les forcer à tomber dans le trou creusé par les murmures mortels.
Une fois tous les hommes qui sont été séparé du reste du groupe, tombé dans le trou, les gronks vomissent toute leur lave dans le trou et brûle les hommes vifs.
Une fois tout le reste des hommes qui ont survécus, regroupés à la plage au nord, tous les dragons resserrent leurs emprises pour les encercler en un seul et même groupe de cent ou deux cent hommes environ.
Une fois fait, je fais mon entrer en scènes. Je commence par demander à tout le monde de se rendre et de me prêter et s'ils refusent, je leur dis que je vais les tuer.
Comme d'habitude, il y aura les cinq dirigeants de l'île qui sont fidèle à Drago qui veulent me tuer, donc je vais faire un 1 contre 5 et je les tuent de mes propres épées, sans l'aide de mon dragon. Ensuite, je demande s'il y a d'autres volontaires en ils acceptent tous de se soumettre à moi. Je leur promets de libérer leur famille et si ils tentent de se rebeller, ils vont leur arriver la même chose en désignant du doigt les cinq dirigeant de l'île.
Toute l'attaque prend en moyenne une heure et demie, car nous avons pratiqué des centaines de fois à La Rive les attaques éclairs comme celle que nous allons faire maintenant.
Fin du plan.
...
Pour les quatre îles, tous c'est déroulé comme prévu sauf le fait que j'ai perdu des effectifs et à la dernière île. À la dernière île, j'étais en train de refaire pour la quatrième fois mon discoure, j'avais déjà battu les cinq dirigeants de l'île, mais Drago n'était nulle part. Je décida d'opter pour une technique disons... plutôt convaincante. Je pris la parole.
-Si l'un de vous me dis ou se trouve Drago, je vais lui laisser la vie sauve, mais si vous refusez, je vous tue. Les un après les autres s'il le faut, dis-je d'une voix menaçante.
Le soleil était déjà levé depuis une heure. J'eu du retard à cause de la recherche de Drago, mais je ne l'ai toujours pas retrouvé donc je dois utiliser la manière forte. Je détestais faire cela car ils ne le méritaient pas, enfin la plupart. Mais je remarquai quelques changements sur l'île. Le village de cette île avait été modifié. Les huttes étaient plus grandes et elles avaient plus de fenêtre. Louche tout ça. Ce qui me donna malheureusement la forte impression de savoir pas exactement ou il était, mais j'avais une idée. Et encore une fois, j'allais devoir souffrir pour pouvoir savoir si mon intuition allait s'avérer vrai. Donc je repris la parole.
-Non, toujours personne? Fis-je ironiquement. Bon alors je vous aurez prévenu, prévenais-je. Toi! Fis-je en désignant un soldat du bout de mon épée et en allant placer mon épée sous sa gorge avec une assez importante pression. Où est Drago? Fis-je en articulant suffisamment et insistant sur chaque syllabe et d'un ton menaçant.
-J-je ne sa-sais pas m-monsieur. Fit-il apeuré.
-En es tu sur? Fis-je avec une pointe d'hésitation ironique.
-O-oui abso-
Moment que je déteste. Je venais actionner mon épée de feu et de lui planter dans la gorge. Il s'écroula avec la terreur dans les yeux. Je ne pouvais pas me permettre de détourner le regard car on n'allait plus me prendre au sérieux sinon. Je déteste faire ça mais là, je n'avais vraiment plus le choix.
J'ai refaite ça à six soldats. Soit ils étaient tous très fidèle à Drago, soit ils ne le savaient vraiment pas. Je décidai de poser une dernière fois la question mais juste avant, je fis un petit signe discret à Krokmou, puis lui et les dragons commençaient à reculer tranquillement pour donner l'impression à Drago que les dragons étaient en train de laisser tombés.
-Bon, soit vous me dites maintenant ou il se trouve ou soit j- Fis-je avant de ressentir une immense douleur, tomba accroupis et quelqu'un derrière moi ricana. Mon intuition s'est avéré vrai, malheureusement...
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Petite annonce, pour ceux qui ont lit l'annonce à la fin du chapitre 10. Donc si vous vous rappelez bien, j'ai dis que je me suis inspiré d'un jeu... Je me suis tout simplement inspiré pour ma prochaine histoire d'un jeu nommé... The Elder Scrolls V Skyrim. Donc je laisse votre inspiration tenter de découvrir un peu l'histoire. Voilà voilà.