Alpha - Âmes-sœurs

By Imagination_7

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Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il est l'Alpha. Elle ne cherche pas l'amour. Il est son âme-soeu... More

Au-revoir
Bienvenu
Quel est ton nom?
Le voisin
La forêt
Suis-moi
Dahlia
Bibliothèque
Jumeaux
Sans encombre... ou presque
Visite imprévue
Tu viens avec moi
Oh mon Dieu
Est-ce que j'ai rêvée?
Et maintenant?
Rien ne se passe comme prévu
Rien
J'ai besoin de toi
Pense-y
Cérémonie (Partie 1)
Cérémonie(Partie 2)
Papillons
Piègée
Déterminé
Hassan
Seringues et coups de poings
C'est terminé
Retour à la case départ
Marchons sous la pluie
Flash back
Déménagement et bataille d'oreiller
Le temps guérit tous les maux

Étrangère

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By Imagination_7

Dalia

Quelques jours plus tard...

Je me sentais étrange. J'étais assise sur une chaise en bois dur, les mains et les pieds attachés, mais quelque chose clochait. Je laissais mes yeux vagabonder autour de moi alors que je ressentais un sentiment de déjà vue en même temps d'avoir le sentiment de voir cette endroit pour la première fois.

Le fais que je ne voyais presque rien de mon oeil gauche n'y étais pour rien. J'avais l'impression que ce qui clochait le plus n'était pas le fait d'être prise au piège dans une cave humide et froide, mais à l'intérieur de moi. J'avais une impression de vide. Des images se bousculaient dans ma tête. Plus je m'efforçais de savoir de quoi il s'agissait, plus vite elles disparaissaient. La plupart du temps, je me voyais moi-même et souvent, il y avait un homme à mes côtés. S'était son visage qui revenait le plus. Des cheveux noir comme l'ébène et des yeux aussi bleu que l'océan. Il était définitivement un très bel homme. Mais la raison pour laquelle je l'avais dans ma tête restais un mystère comme pratiquement tout le reste.

Chaque jour, j'avais l'impression d'en perdre toujours un peu plus et chaque matin, je devais recommencer à zéro. Où étais-je? Pourquoi étais-je enchainer ici? Et ainsi de suite. Il y avait cependant une chose dont mon cerveau ne voulait apparemment pas que j'oubli, mes kidnappeurs. La plupart du temps je ne voyais que l'homme à la chemise blanche dont j'étais sur était la raison de toute cette confusion. Cet homme savait faire des choses qui sortaient de l'ordinaire. Des choses pour lesquelles il aurait été bruler vivant dans le passé. Cependant, s'était l'autre qui me dérangeais le plus. Je sentait souvent que lorsque j'essayais de reposer mon corps épuiser quelqu'un se trouvait près de moi. Il me parlait et me touchais, sauf qu'à la différence du jour, il était doux. À chaque fois. La pensée que je pouvais compter pour cette individu me traversais parfois la tête et la même question revenait encore:

Mais alors pourquoi me battre et m'injecter des poisons dans les veines?

C'est parce que tu as été une mauvaise fille Dalia... Me chuchotais ma conscience.

Le bruit de la porte qui se fermais et des pas qui descendais l'escalier me ramenais à la réalité. Sa allait recommencer, encore. Cette fois, les deux hommes étaient ensemble.

- Alors comment allons-nous se matin ma chère? Me demanda la blouse blanche, presque gentiment.

Je fronçais les sourcils et essayais tant bien que mal de me détacher.

- Voyons ma chère, il ne sert à rien de vous débattre comme un petit animal pris au piège. Poursuivit-il avec un sourire malsain.

Je crachais dans leur direction. Le grand homme, au yeux vert émeraude qui ressemblait comme deux goutes d'eau à l'homme de mes rêves croisa ses bras sur sa poitrine et me regardais avec un air furibond.

- C'est bien! Je vois que vous avez repris un peu de vos forces. Vous en aurez besoin, car aujourd'hui est un jour spécial. Continua le docteur dont j'avais oubliée le nom.

- Je vais pouvoir pratiquer une toute première expérience sur vous et nous allons voir si ma thèse est exacte.

Il me parlait en s'avançant vers moi. Je me débattais le temps que je le pus parce qu'à la minute ou cette homme au habilité étrange le voulait, je n'avais plus aucun contrôle sur mon corps. Je restais donc docilement assise à attendre le pire.

Il me libéra de mes liens et à la seconde ou je fus sur mes deux pieds, mon autre ravisseur me pris fermement par mon épaule et m'obligea à le suivre. Le pouvoir qu'exerçais la blouse blanche s'était dissipée, mais mon corps était tellement amoché que j'avais de la difficulté à mettre un pied devant l'autre. Il m'emmenait au fond de la pièce, là où il n'y avait rien pour obstruer l'espace.

Le plus jeune tira sur des chaines au plafond et me tirais vers lui. Ramassant le peu de force qui me restais, je le frappais dans le genou espérant le faire tomber. Malheureusement, tout ce que je réussi à faire fut d'augmenter sa colère. Un instant je voyais ses yeux devenir noir et sa main dans les aires et la seconde d'après, je me tenais la joue en manquant de tomber à la renverse. Il me rattrapa, fit passer une corde autour des mes  poignets et l'attachais en un noeud très serré.

Je me débattis en tentant de me déchainer mais le temps me manqua. Le grand homme était entrain de tirer sur l'extrémité de la corde ce qui fit entrainer mes mains vers le plafond. Une fois satisfais, il l'attachait à je ne sais quoi pendant que je gigotais à droite et à gauche.

- Laissez moi partir! Je vous jure je ne dirais rien. S'il vous plait! Je veux simplement rentrer à la maison... Implorais-je en sentant une larme couler le long de ma joue.

- Ah oui, entendis-je le veille homme, alors qu'il s'affairait un peu plus loin avec je ne sais quoi, Et où est-ce dont?

Alors qu'il s'approchait avec son matériel je me mis à réfléchir et j'avais beau chercher et chercher, je... n'avais nul part où aller.

- Non... Murmurais-je en hochant négativement la tête. Ce n'est pas possible!

Criais-je en m'agitant ce qui provoqua une onde de douleur qui me traversais le corps.

J'essayais de me rappeler de mes amis, de ma famille et de mon endroit de naissance mais il n'y avait absolument rien qui me venait en tête. Pourtant je savais très bien que sa ne se pouvais tout simplement pas. J'avais une vie en dehors de ce cauchemar! J'avais grandis quelque part, fréquenter une école et vécu avec ma famille. Alors pourquoi je ne pensais à aucun nom, à aucune ville! Pourquoi le visage des gens que j'avais du côtoyer ne me venait pas en tête et que le seul visage que j'apercevais été celui de l'homme aux yeux bleu azur!?

- Noon! Qu'est-ce que vous m'avez fais! Criais-je en essayant de me rendre à lui.

- Vous voyez John, je vous l'avais bien dis. Dis le sois-disant docteur nonchalamment.

- Enfoiré lui irais mieux!

Crachais-je en les fusillant du regard.

- Hum, alors à quoi sert tout ça. Demanda le fameux John en me jetant un coup d'oeil qui voulait dire; Si tu ne veux pas que je m'occupe de toi, tu es mieux de te tenir calme et de la fermer.

Je tins son regard un instant.

- L'étape finale mon ami. Après aujourd'hui, vous pourrez en faire ce que vous voulez. Répondait-il alors qu'un frisson me parcouru l'échine.

Je me figeais. Mon coeur se mit à battre de plus en plus vite. Je regardais partout autour de moi à la recherche d'une arme possible mais elles étaient toutes hors de portées.

- Alors ma chère, êtes vous prête?

Je regardais le veille homme qui tenais une seringue à sa main avec des yeux exorbités.

- Vous osez me posez cette question!? Espèce de vieux fou! Explosais-je en tentant de la frapper avec mes pieds.

Ils s'approchèrent.

- Donc, ce que vous allez faire John c'est très simple. Selon mes recherches, puisque je dois injecter se petit sérum de jouvence en plein dans son coeur, j'en ai déduit qu'il sera plus efficace et son effet se fera plus rapidement si nous atteignons un rythme cardiaque extrêmement lent.

Annonça le fou d'une traite.

- Et comment le fait que le coeur battre très lentement augmente sa rapidité d'efficacité au juste? Demandais le grand.

- Vous êtes complètement fous! Criais-je en espérant me libérer des mes chaines sachant très bien que s'était vouer à l'échec.

M'ignorant complètement, ils continuèrent comme s'il s'agissait d'une conversation sur la température.

- Simple. Nous ne voulons plus d'une humaine faible, n'est ce pas? Et bien pour cela, il nous faut l'éliminer. Voyez vous, comme le phénix brule de ses propres flammes et renait de ses propres cendres! Dit-il enjoué. Et bien, nous allons faire la même chose.

Ils se retournèrent tout les deux vers moi avec des sourires maléfiques aux lèvres.

- Je vous en supplie, ne faites pas ça! Suppliais-je en criant affolée et apeurée.

- Alors John, vous commencez? Je vous suggère de simplement la frapper jusqu'à ce que son coeur soit à peine capable de pomper plus longtemps.

Poursuivit-il nonchalamment .

- Non.Non.Non! Ne vous approchez pas de moi! Criais-je à tu tête.

Leur manière de parler de moi comme si j'étais un vulgaire sac d'entrainement me révoltais. Il fallait que je sorte de là. À tout pris.

Sauf que ma bonne étoile n'existait apparement pas.

Parce qu'il n'avait même pas hésiter. Il n'y avait même pas réfléchis. Après tout sa n'aurais pas du me surprendre après toutes les heures que j'avais passer sur cette chaise à me faire torturée. Tout de même, il avait simplement lever les manches de sa chemise noir et s'était déjà mis à me flanquer quelque droites bien placer sur mon ventre avant même que j'ai eu le temps de bouger le petit orteil. La douleur était tellement insupportable que j'avais pratiquement hâte d'en arriver à la seringue. Ce qui m'emmenait à compter les coups.

1...2..3...6...7...

Rapidement, je perdu le compte. Très vite, je commençais à cracher du sang et sentais mon corps engourdi et mou. Et aussi vite qu'il avait commencé que tout s'arrêta. Je relevais difficilement la tête et me forçais à ouvrir les yeux pour apercevoir le visage des deux hommes paniqués. Je ne pus m'empêcher de faire ce qui ressemblait plus à une grimace qu'à un sourire.

- Allez-y! Allez vous occupé de ça! Ordonna le veille homme.

John s'empressait de monter les marches et disparut au deuxième étage pendant que la blouse blanche marchait anxieusement de droite à gauche en jetant des coups d'oeil furtifs à l'étage, la seringue toujours en main.

Je n'avais aucune idée de ce qui passait mais les voir ainsi me réjouissais. J'aurais souhaité avoir eu la force et le génie de me sortir de là pendant que l'occasion m'était servi sur un plateau. Au lieu de ça, je me sentais partir. Je ne sentais même plus mes membres et j'étais tellement fatiguée que je ne pus résister à la tentation de fermer les yeux.

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Bon bon bon
Salut! Sa fais longtemps je sais mais! Figurez vous que j'étais... roulement de tambour 🥁.... En Inde🇮🇳🙏🏼
Alors me revoilà un peu mélanger avec le décalage horaire mais  tout de même prête à vous servir la suite😌 J'espère que vous avez apprécié se petit chapitre. La suite arrivera bientôt. Je vais sûrement le retoucher plus tard également 😊 N'hésitez pas à me laisser votre opinion dans les commentaires ou si vous avez des questions 💁🏽‍♀️ Laissez un j'aime et suivez moi si se n'est pas déjà fais, bien sûr si vous le voulez 😉
Merci pour tout les p'tits loups et à la prochaine 😘🐺
Namasté!

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