🌹SÉLCÉBIL🌹
C'est dans une chambre d'hôpital au coter de Salawa ainsi que de mon père que je repris connaissance.
Mon père: mais qu'est-ce qui c'est passée sélcébil t'a fumer alors que tu sait que tu est malade.
Moi: mais non papa, j'ai inhalé de la fumer.
Salawa: c'est a cause au mec de ta pote sa se bouffon.
Moi: il était pas au courant.
Mon père: les médecins on dit que c'est une réaction normale quand on a un souffle au coeur.
Moi: je suis maudite moi de toute façons.
Mon père: arrête tu sait très bien que t'a une longue espérance de vie tend que tu prend tes médicaments.
Moi: oui, mais je pourrais pas avoir d'enfants.
Mon père: mais non, tu pourras avoir des enfants si tu prend tes médicaments.
Moi: hmm, sa va faire 1 ans que j'avais pas fait de crise de se style.
Mon père: d'ailleurs ton chauffeur attend en salle d'attente, c'est normal qu'il soit là ?
Moi: beh c'est normal papa.
Mon père: Mouais, si tu serait pas folle amoureuse de isaam je penserait qu'il t'intéresse.
Moi: même si il m'intéresse sa serait une bonne chose.
Mon père: oui oui, même si il ne vient pas du même milieu que nous mais avec toi j'ai l'habitude maintenant tu préfères les voyous. Mais je serait content que tu est tournée la page.
Salawa: bon on va le laisser entrer sa fait 4 heure qu'il patiente.
C'est ainsi que Salawa et mon père sont sortie pour faire place à Houcîne.
Qui après m'avoir embrassé le front me demande directement qu'est-ce qui c'était passer.
Moi: c'est rien de grave j'ai un souffle au cœur avancé du coup..
Houcîne: un souffle au coeur c'est quoi sa ?
Moi: c'est des turbulences lors du passage du sang au travers d'une veines du cœur.
Houcîne: comment sa avancer.
Moi: laisse moi finir avant de me couper.
Houcîne: hmm.
Moi: ma mère paix à sont âme est comme tu le sait décède en me donnant la vie à moi et ma soeur, elle avait un souffle du coeur de stade 6 impossible à soigner du coup sont coeur na pas sur porté la grossesse de mon frère ainsi que de deux jumelle, puis en nous donnant la vie elle rendit sont dernier souffle.
Houcîne: et du coup toi t'a sa maladie.
Moi: oui, mais c'est rien de grave j'ai vécu avec cette maladie toute ma vie on l'a découvert assez tard donc je suis déjà au stade 5/6 mais une fois traité sa va mieux.
Houcîne: tu peut guérir ?
Moi: oui, mais pas au stade où j'en suit, mais d'après les médecins si je la traite avec des médicaments je pourrait avoir une vie normale.
Houcîne: et tu prend t'es médoc.
Moi: oui bien sûr c'est une habitude maintenant sa fait des années que je l'ai prend mais juste je fait des « crise » quand je suis fumeuse passive ou active.
Houcîne: hmm, je vais le pêcher l'autre trou du cul tu va voir.
Moi: mais non arrête il était pas au courant.
Houcîne: hmm, ta soeur elle a sa aussi ?
Moi: non je suis là seul malchanceuse.
Houcîne: t'es pas malchanceuse dieu éprouve ce qu'il aime.
Moi: ton dieu à toi alors.
Houcîne: on a le même dieu tu l'appelle seigneur on l'appelle Allah.
Moi: c'est vrais.
Houcîne: mais pourquoi tu ma pas dit sa.
Moi: je sait pas je te l'ai pas cacher comme je t'ai dit je vie avec alors pour moi je l'oublie tellement puisque pour être honnête sa me dérange pas au quotidien que voilà.
Houcîne: hmm, sa veut dire si tu tombe enceinte ton coeur il va pas le supporter.
Moi: si vue que je suis pas au dernier stade de ma maladie et comme je t'ai dit je la traite alors je peut.
Houcîne: je croit je me suis trompé sur toi sélcé.
Moi: pourquoi ?
Houcîne: tu porte la maladie qui a tuer ta mère avec le sourire tes plus forte que se que je penser.
Les jours passés et se mauvaise épisode était derrière nous alors que Houcîne et moi nous vivions le parfaite amour idyllique.
Mais comme on dit les bonne chose ne dure jamais alors quelque chose venait briser notre petite routine.
Quelque chose qui changea tout le cours de l'histoire.
Ce jour là était un dimanche comme tout les dimanches avec ma soeur et mon père nous allions rendre visite à ma mère avant d'aller à la messe.
Une fois là messe du dimanche fini sa soeur mon père et moi meme nous somme sortie mon père pour aller rejoindre c'est amis pour leur golf habituel Salawa pour aller récupérer sa fille de chez Younès et quand à moi Houcîne m'attendait devant l'église pour que nous puissions aller manger ensemble.
Nous somme donc sortie en parlant chacun de notre activité de cette après-midi, oui c'est devant l'église que je vis Houcîne comme prévue devant l'église au téléphone.
Une fois arrivé à sont niveaux avec mon père et Salawa il blablate quelque chose d'incompréhensible en turc avant de finir par un « tamam» et de raccrocher.
Il sert la main à mon père qui est rester comme figé sans avoir la moindre réaction.
Quand à Salawa il l'a salua de loins.
Moi: bon j'y vais papa.
Aucune réponse de sa part se fait entendre.
Je teste de nouveaux l'appeler il marmonne un sorte de bruit.
Moi: papa ça va ?
Mon père: hmm.
Après sa je décide de m'en aller avec Houcîne me disant sûrement qu'il était entrain de réfléchir vue que sa lui arriver souvent en se moment d'être dans c'est penser.
J'ai donc passer une superbe journée avec Houcîne comme à mon habitude quand je me trouve avec lui c'est simple je m'ennuie jamais.
Nous somme aller manger bien gras dans sont moi j'avais pour bute de goûter à chaque spécialité sur la carte au risque de tomber sur chose qui n'était pas à mon goût.
Ce jour là c'était l'a cas après avoir fait un croc je fini par faire une grimace et rejeter mon croc à moitié mâché.
Moi: mais c'est quoi cette viande ?!
Houcîne: <rire> je t'avais dit de pas prendre sa c'est dû foie.
Moi: mais eux aussi pourquoi il mentent du foie c'est qu'elle cretin qui va commander dû fois.
Houcîne: <rire> beh toi.
Moi: c'est hyper marrant mais il l'on pas préciser.
Houcîne: beh y'a écrit kefta.
Moi: beh c'est normal kefta c'est hyper appétissant comme sa.
Houcîne: mais kefta sa veut dire foie en arabe.
Moi: pas du tout c'est « kabda » Le foie.
Houcîne: je sait mais en tout cas personne prend sa il savent que c'est dû foie. Ta pas vue comment il on doser sur la viande tellement il savent t'es la seul trou du cul qui commande sa.
Moi: voilà je suis dégoûté maintenant.
Houcîne: <rire> vient je vais t'en commander un autre.
Moi: non flemme fait plutôt moitié du tien.
Houcîne: ta vue tu pete les couille mon frère.
Moi: <rire> eh owais mon frère.
Il rigole me tapent la tête puis me passe la moitié de sont grec.
Houcîne: mais toi aussi c'est quoi se truc de voulait tester toute la carte il gens il prenne toujours le même truc pour pouvoir se vanter en disant « comme d'hab chefs »
Moi: <rire> tu la fait toi aussi la première fois que tu ma emmener.
Houcîne: non si tu te souviens bien j'ai dit un double chefs.
Moi: <rire> mais moi je veut tout goûter pour trouver mon truc et c'est sur que le kefta c'est pas mon truc.
Houcîne: <rire> vazy tu fait mal à tête.
Nous avions continué à discuter à rigoler puis ce soir la Houcîne m'avais proposé de dormir chez lui.
Mais je me souvient que j'était indisposé et que j'avais refuser vue qu'il fallait que je change de tampon.
Il m'a donc comme d'habitude accompagné chez moi et une fois que j'ai franchit le seuil de la porte Salawa se précipite vers moi.
Salawa: sélcébil t'es dans la merde.
Je sourit me rappellent qu'étant c'est moi qui disait sa à Salawa à chaque fois qu'elle sortait e qu'elle dépassait largement le couvre feu.
Elle avait pour habitude de dire que je dramatiser tout. Mais elle ne dramatiser pas assez les chose.
La seconde d'après j'entendis mon père m'appeler de sont bureau.
Je vais me diriger dans sont bureau un peut sur la défensive que va t'il bien me dire.
Une fois dans sont bureau je le vois installé confortablement sur sont siège lunette sur le nez.
Il avait un air strict comme sa, je me met le premier pied dans sont bureau il lève la tête en ma direction.
Mon père: j'ai une question à te poser et ose me mentir Sélcébil.
Moi: qu'est-ce qui a hayrik ?
Mon père: tu est en couple avec ton chauffeur ?
Moi: je .. oui pourquoi ?
Mon père: il est quoi comme origine ?
Moi: c'est ... c'est un arabe sa se voit pas ?
Mon père: je me répèterai pas sélcébil.
Moi: oui hayrik c'est un arabe.
Il retire c'est lunettes et masse sa tempe avec c'est mains.
Je savait que c'était un mauvais signe mon coeur se mit s'accélèrerait.
Moi: c'est un turc.
Il lève la tête en ma direction me regarde droit dans les yeux avec sérieux.
Mon père: c'est la seul règle et tu la enfreins.
Moi: mais papa c'est pas un..
Mon père: c'est moi ou lui sélcébil. Décide toi vite je veut pas de turc.
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