Alpha - Âmes-sœurs

By Imagination_7

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Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il est l'Alpha. Elle ne cherche pas l'amour. Il est son âme-soeu... More

Au-revoir
Bienvenu
Quel est ton nom?
Le voisin
La forêt
Suis-moi
Dahlia
Bibliothèque
Jumeaux
Sans encombre... ou presque
Visite imprévue
Tu viens avec moi
Oh mon Dieu
Est-ce que j'ai rêvée?
Et maintenant?
Rien ne se passe comme prévu
Rien
J'ai besoin de toi
Pense-y
Cérémonie (Partie 1)
Cérémonie(Partie 2)
Papillons
Piègée
Déterminé
Seringues et coups de poings
Étrangère
C'est terminé
Retour à la case départ
Marchons sous la pluie
Flash back
Déménagement et bataille d'oreiller
Le temps guérit tous les maux

Hassan

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By Imagination_7

Dalia

Je sentis ma conscience revenir lentement, un peu avant que mes yeux ne s'ouvrent. Étrangement, je me sentais bien. Je sentais mes membres reposés sur une surface douce et chaude. Je vins pour me frotter les yeux avec mes mains, comme j'étais habituée de le faire depuis mon tout jeune âge lorsque je me rendis compte que j'étais attachée. J'ouvris donc grand mes yeux et tentais de me relever, mais mes deux bras se trouvaient bel et bien emprisonné au barreau de la tête d'un lit.

Prenant le temps de bien revenir à moi et de me rendre compte que tout ceci n'était pas un rêve alors que les souvenirs de la veille refaisaient surface, je me dus d'admettre qu'il n'y avait pas grand chose que je puisse faire. À force de tirer sur les cordes, tout ce que je faisais était d'égratigner mes plais et de faire revivre la douleur de ma morsure au poignet.

Je me calmais et décidais de penser à un moyen de me défaire de ses liens un peu plus tard. Tout d'abord, je devais avoir un plan. Mon regard, se promenait à travers la chambre spacieuse incolore et dépourvu de décoration. 

Drôle d'endroit pour emprisonner quelqu'un.

Étrangement, la chambre était également dénué de meubles. Simplement le lit à baldaquin sur lequel j'étais prise. À ma gauche, se trouvait une fenêtre de taille moyenne dont le fin tissus également de couleur blanche me laissais entrevoir l'extérieur ensoleillé. À ma droite, la seule et unique porte de la pièce. Ce qui me laissais savoir que j'avais uniquement deux endroits pour me sauver et la porte n'était certainement pas la meilleure puisqu'elle me permettrait uniquement de me rendre à l'intérieur de la maison dans laquelle je me trouvais.

En regardant de plus près, je me rendis compte de la raison pour laquelle la pièce ne comportait aucune fournitures, les murs étaient en faite rembourré. Comme dans les cellules pour les prisonniers fous. Je compris donc, que cette pièce avait été emménagée exprès pour y retenir quelqu'un, il était simplement étrange qu'il y ai laissé une fenêtre fonctionnelle et les rideaux. 

Je pourrais me pendre si je le voulais...Morbide.

Mais bon, tout ça ne m'aidait pas vraiment. Il n'y avait rien pour m'aider à me défaire de mes liens alors je devais surent y aller avec la force. Laissant mon poignet blessés au repos, je tentait d'extraire mon autre main en tirant vers le bas le plus que je le pouvais tout en tentant de replier mon pouce vers l'intérieur de ma paume. De cette façon ma main se faisais légèrement plus petite. Malgré la douleur que je commençais à ressentir, je continuais de tirer et de tourner voyant que j'avais gagnée un peu d'espace.

Puisque la corde était très serrée autour de ma main et qu'elle était fais d'un matériel très rêche, il n'en fallut pas plus pour que ma peau sois à vif et que des gouttelettes de sang ne commence à perler. Je serrais des dents et continuais de travailler la corde jusqu'à ce que je sente ma main se défère de son emprise. Ayant maintenant la liberté de mieux me déplacée, je m'agenouillais sur le lit et m'empressais de défaire le noeud dans laquelle mon autre main était retenue. Une fois chose faite, je me permis quelque secondes pour reposer mes mains et descendis  le plus discrètement possible du lit. Si je visais juste, le frère de Kaiden me retenait ici et il y avait de grande chance qu'il y soit encore.

Je m'approchais à pas feutrés vers la fenêtre.

Aussitôt ai-je ne serai-ce que légèrement bouger le mince morceau de tissus, que j'entendis des cliquetis venant de la porte. Mon coeur se mit à battre la chamade et je me mis à bouger en quatrième vitesse. Miraculeusement, rien ne la barrait alors je me dépêchais de la pousser vers le haut et de défoncer le moustiquaire à l'aide de mon pied.

- T'es parents ne t'ont jamais enseigner les bonnes manières, je me trompe? Entendis-je une vois grave à m'en donner la chaire de poule alors que je m'apprêtais à sauter.

Mes yeux passèrent rapidement entre les quelques mètres qui me séparaient du sol et un John au apparences plus que fâché avant que je ne répondre sèchement;

- La tienne t'as probablement détesté et abandonner pour que tu sois assez fou pour blesser une femme en plus de la kidnapper.

Même s'il se trouvait à trois mètres de moi, je réussi à voir une lueur illuminée ses yeux verts et cela ne m'indiquait rien de bon. Alors pendant que j'avais encore une chance, je me penchais et sautais par la fenêtre. Je l'entendis crier mon nom alors que mon corps heurta durement le sol. Je grimaçais en tentant de me relever.

Je n'avais même pas fais 10 pas qu'il m'attrapait la taille et me positionna sur son épaule.

- Lâche moi salle bête! Je vais t'arracher la tête à la seconde ou je vais en avoir la chance et ça se n'est rien comparer à se que Kaiden te feras lorsqu'il viendra me chercher! Criais-je en me débattant et en le frappant de toute mes forces.

Je senti sa poigne plus forte et son corps se raidir au son du nom de son frère.

- Si j'étais toi, je n'en serais pas si certaine.

L'entendis-je dire dans sa barbe alors que nous passions sous le pas d'une énorme porte rouge. Cela voulais sans doute dire que la chambre dans laquelle j'étais prise se trouvait sur le devant de la maison. Voyant que mes efforts de le blesser ne menait à rien sauf à me blesser, je cessais mes coups et restais sur mes gardes en regardant l'endroit dans lequel je me trouvais.Mais à peine avais-je eu le temps d'apercevoir un semblant de salon, qu'il me jetais sur une chaise et que ses mains me serrèrent la mâchoire.

- Maintenant, dit-il les dents serrés, tu vas restés bien sage et te laisser faire. Est-ce que j'ai été assez clair?

La pression sur ma bouche se fit plus intense alors que je le fusillais du regard. Je m'apprêtais à lui répondre d'aller se faire voir lorsqu'une autre personne attira mon attention. John enleva sa main et la leva vers l'homme d'une cinquantaine d'année au yeux globuleux qui m'observait avec attention.

- Dalia, voici le Dr. Hassan.

Même son nom ne m'inspirait pas confiance et l'envie de fuir devint plus qu'intense. Comme s'il avait lu dans mes pensées, John reporta son attention sur moi et me dis sur un ton d'avertissement;

- N'y pense même pas ou ce que te feras subir Hassan sera bien pire que ce que tu t'apprête à vivre.

Mes yeux se posèrent sur le concerné alors que celui-ci me regardait avec un sourire sadique. John me prit ensuite le bras et me forçais à me lever et de le suivre. Il me fit traverser un long couloir dépourvus de lumière naturel et ouvris une porte au bout de celui-ci.

- Tu verras, d'ici peu de temps tu m'appartiendra complètement. Me susurrât-il dans l'oreille avant de me pousser à descendre des marches.

Je me retournais et vis que le Dr Hassan entrait avec moi mais qu'il n'y avait seulement que lui et moi car John me fit un sourire narquois et refermait lentement la porte. Voulant être le plus loin possible de l'homme, je m'empressais de descendre et cherchais une porte de sortie ou une fenêtre assez grande.

Je savais que peux importe les tentatives que je ferais, il avait toujours une longueur d'avance mais s'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas supporter d'être enfermer avec des fou qui contait faire je ne sais quoi avec moi. Il fallait que Kaiden retrouve ma trace et vite.

- Se n'es pas la peine de chercher d'issus ma chère, me dit le Dr Hassan en me sortant de mes pensées. Le seul moyen de vous libérer et de vous laisser faire.

- De me laisser faire? Non mais vous êtes malade! M'écriais-je en marchand d'un bout à l'autre de la petite pièce froide.

Les murs étaient en brique et il n'y avait qu'une seule et unique miniature fenêtre ce qui me laissais croire que s'était une veille maison.

L'homme plutôt costaud, se rendis vers une petite table sur laquelle une palette noir s'y trouvait et l'ouvris.

- Qu'est-ce que vous faites!? Demandais-je les nerfs à vif.

- Je me prépare. Répondit-il calmement. Vous savez, j'ai étudiez les cas comme John depuis le tout début de ma carrière, il y a de sa maintenant plusieurs années, déclara-t-il en riant pour lui-même.

Je fronçais les sourcils et senti mes mains tremblés lorsque je le vis prendre une seringue contenant un liquide mauve foncé.

- Avec les années, j'ai vue et vécu plusieurs choses. Continua-t-il en enlevant la capsule du bout de la seringue. J'ai non seulement réussi à prouver que les loups-garous existaient mais qu'il était également possible de modifier leur gènes. Ou les nôtres si nous le désirions.

Ma peur augmenta d'un cran en l'écoutant délirer. Mais qu'est-ce qu'il compte m'injecter bordel.

- Sans se savoir, je n'aurais jamais pu devenir ce que je suis aujourd'hui. Ajoutât-il en m'offrant un petit sourire. Mais je dois avouer que vous, ma chère, aller être ma toute première expérience de se genre.

Il commence à s'approcher de moi avec non pas une mais deux seringues au couleurs étrange.

- Ne me m'approchez pas! M'écriais-je en reculant.

Et soudain, je ne bougeais plus. Mon corps ne répondait plus à mes demandes et je me trouvais paralyser devant le psychopathe qui s'apprêtait à m'injecter je ne sais quoi dans les veines.

- Voyons, n'ayez pas peur. Me dit-il en coinçant l'une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille alors que la pointe de l'aiguille me frôlait également la tempe.

Mon corps frissonna. Je voulais crier, je voulais me débattre mais rien ne faisais plus aucun sens. S'était comme si quelqu'un était en possession de mon corps à ma place. 

Et c'est alors que je compris ce que se fou voulait dire par ''les nôtres''. Il n'était pas humain.

- Je vous promet de faire mon possible pour vous extraire la partie qui vous lis à votre âme-soeur le plus rapidement possible. Me dit-il en me regardant comme s'il m'annonçais qu'il allait simplement m'arracher une dent.

Mes yeux se remplirent d'eau alors que je pensais à Kaiden et que je n'écoutais plus ce que le Dr Hassan racontait. Au moins, j'avais le contrôle sur une chose... Je me demandais si il était capable de me sentir et de savoir que quelque chose de vraiment grave allait m'arriver. J'espérais qu'il soit tout près et qu'il vienne me sortir d'ici le plus vite possible. Avant qu'il ne sois trop tard et que la seule chose que je vois en regardant dans l'océan infini de ses yeux ne sois plus que deux pupilles étrangères.

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Salut!
Alors voilà la suite! Qu'est-ce que vous en pensez?? Laissez le moi savoir dans les commentaires💁🏽‍♀️ Si vous avez des questions n'hésitez pas non plus 🤗
Il y a un petit bout de temps je vous avais dis que je vous montrerai comment je visionnais Dhalia alors voilà 👇🏼

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