<<- hey ma petite chérie, ça va, tu pleurs, me dit elle.>>
Je passe une main sur ma joue et effectivement une larme solitaire à couler sur ma joue. Je l'essuie et sourie à madame Biz.
<< - bien sur que ça va, c'est juste que ça piquer un peu, lui dis je en rigolant.
- d'accord alors je suis soulagé, tu peux partir maintenant, me répondit elle.>>
Je pars de la salle après un dernier au revoir et rejoins les autres qui sont devant la portes. Nous sortons du local d'infirmerie et on va s'asseoir dans la cour.
Mon prochain cours, il est avec monsieur Martins, le prof de philo et en plus notre prof principal. Super la joie
Sans même s'en rendre compte la sonne retentit et tout le monde repart dans les classe.
Je pars dans ma salle qui n'est pas très loin de la cour, je marche vers ma salle quand on me prend le poignet d'un manière plutôt violente.
Je me retour et tombe nez à nez avec Jenny, sauf que la elle me regarde pas mal mais elle baisse le regarde.
<< - je voudrai te parler en privé, me dit elle.
- non, j'ai rien à faire avec toi, lui répondis je.
- mais c'est à propos de lui, Brook, viens suis- moi me dit elle en tirant sur mon poignent.
- J'AI DIS NON, lui criai dessus en partant vers ma salle.>>
C'est bon quoi. Qu'il aille pourrir en enfer si il le veut, je m'en contre fou.
"Oui mais bon au fond, on sait toute les deux, que tu voudrai le revoir qu'une fois".
Ouais pour lui casser sa gueule de petit con".
J'entre dans la salle sur les nerfs et pars me mettre à ma place habituelle. Non non, je ne vais pas me mettre au fond à côté de la fenêtre, je vais me mettre au premier rang.
Parce que j'adore la philosophie et c'est pareille avec le français et quelques langues. Et ouais Brook Jons est une bonne élève, parfois.
Le prof rentre avec quelques élèves, Jenny entre après elle avec les joueurs de basket.
Il fait l'appel et soupir un coup avant de dire:
- Mademoiselle Jons et monsieur Jackson, vous viendrez me voir à la fin du cours.
J'hoche la tête et prends mes affaires de mon sac. Le prof note au tableau le cours te je commence à copier. Après avoir noté les quelques trucs important, je relève la tête et remarque le regard vert du nouveau. Il tourne vite la tête et moi je me reconcentre sur monsieur Martins.
<<- Je veux que vous fassiez une rédaction en binôme, qui parlera d'un philosophe célèbre et c'est moi qui ferai les binôme, tirage aux sort, c'est parti, nous dit il.>>
Quelques élèves râlent et d'autres sont plutôt heureux de travailler à deux. Moi je suis mitigé, un travail à deux, ok, mais avec qui sérieusement. Je ne suis pas quelqu'un de sociable, si vous l'auriez pas remarqué.
Les tirages aux sort se font rapidement. On entend beaucoup de plainte, maintenant c'est mon tour, avec qui vais je faire ce travail?
Roulement de tambour!!!!
Monsieur Jackson, bien sûr. Ça ne m'étonne même pas, vu que je suis dépourvu de chance, j'aurai pu même le prédire.
Il se retour vers moi et dit:
<<- tu es dans la merde, je comprends rien en philo.
- et toi tu as une chance folle, je kiffe la philo.
- effectivement, j'ai eu du bol.
- c'est certain, lui is je>>
Pendant le cours, nous avons parlé de ce qui avait après la mort. Des élèves pensent qu'il y aune vie après la mort, d'autre au contraire. Moi je ne suis pas contre, mais je pense
que ce n'est pas une vie humaine mais que l'on vit dans les pensées de nos êtres chers. Après la fin du cours, tous les élèves sortent de la salle, nous laissant seuls, monsieur Martins, le mec aux yeux vert et moi.
<<- mademoiselle Jons et vous monsieur Jackson, vous commencez bien l'année vous deux. Brook, tu es une de nos meilleures élèves mais ton comportement est à revoir. C'est pareil pour toi Luc, j'ai vu ton dossier tu es un très bon élève à part en philo mais on va y travailler. Alors je voudrai que vous soyez des élèves exemplaires merde, nous dit il.
- monsieur Martins, j'avais déjà cette prof l'année dernière, tout comme vous d'ailleurs, et on sait elle est moi qu'on ne peut pas se voir. Alors c'est normale qu'elle me mette deux heures de colles parce que je lui ai demandai de me le traduire en anglais sérieusement, dans quel monde vivons nous, lui dis je en n'en rajoutant des caisses.
- bref je m'en fiche, vous ferez les deux heures de colles dans sa salle, demain après midi de 16h à 18h, vous pouvez sortir, nous dit il.
Je sors en trompe de la salle, je passe par mon casier.
J'attends des pas dans mon dos, ça se rapproche puis on me prend la main et me tire en arrière. Ils ont quoi aujourd'hui tous.
<< -hé attends moi, me dit Luc.
- je ne vais pas en cours, sa sert strictement à rien que je t'attende, ciao lui répondis je avant de m'en aller.>>
Je sais, je suis une personne méchante, c'est pas ma faute.
Je pars dehors de l'enceinte du lycée et m'avance au gymnase. J'entre et vois Juan assit sur sa chaise habituelle.
Il n'a pas cours à cette heure ci.
A retenir aux cas ou.
<<- t'as pas cours Brook, me demande t il.
- si mais j'ai...
- besoin de me défouler, c'est ça, me coupe t il.
- oui c'est ça, lui répondis je.
- ok mais c'est la dernière fois, t'as le bac cette année, me dit il.
- promis, bon je vais changer j'arrive lui, dis je. >>
Je pars dans les vestiaire pour me changer de tenue, je ressors toute prête. Juan a déjà prit les gants de boxe, parfait.
Je m'avance vers lui j'enfile le gant droit puis Juan m'aide à mettre le gauche.
<<- comment tu t'es fait ça encore, me demande t-il en me montrant mon visage.
- rien d'important alors arrête de poser des question auxquelles tu n'auras de réponses, lui répondis je.
- oula mademoiselle Brook Rosa Jons vous n'êtes pas de très bonne humeur, alors je propose de commencer, me dit il.
- je suis d'accord avec vous, c'est parti, lui dis je en frappant dans mon point gauche.>>
Et s'en suit une long série, coup pieds droit, gauche, coups de poing droit, gauche. Après être bien épuisé, on s'arrête tout les deux, halétants, fatigués.
J'enlève les gants avec beaucoup de difficultés ce qui fait rire mon oncle. Puis, je pars me changer encore une fois de tenu.
Je sors du gymnase et rentre dans le lycée, mes amis m'attendent mon frère à le regard dans le vide. Lui aussi doit savoir son retour.
Je cours vers lui et lui saute dans les bras, je cache mon visage dans son cou et respire.
<< - je sais que tu sais mais ne t'inquiètes pas, lui murmurai je dans son cou.
- toujours je m'inquiéterai tu es ma petite sœur, ma petite princesse et dans tout les cas je sais que tu es forte, me répondit il lui aussi dans mon cou.>>
Je le sers encore plus dans mes bras, pour lui montrer tout l'amour que j'ai pour lui, puis nous nous détachons.
Nous sortons du lycée, ce qui est hyper bien c'est que nous finissons presque tout le temps à la même heure. Nous marchons dans la rue, Marie et moi devant ensuite les garçons. Nous fesont que de parler de la soirée qu'on va organisé, se sera une soirée bal masquée, mais sans bal.
Sans nous rendre compte, nous sommes maintenant arrivés devant le centre commercial. Après les cours il y a presque personne, ce qui est super pour les jeunes comme nous.
Marie court déjà partout, elle lèche les vitrine comme pas possible et derrière elle Jay qui essaie de la calmer.
Arrivé à la première boutique les garçons vont du côté homme et nous inversement.
Il y a des miliers de robes toutes plus belles les unes que les autres.
De différrentes tailles et style, des robes de soirée, de bal ou de ville.
Mon amie part dans les cabines essayages avec des dizaines de robes sous le bras, tout le contraire de moi qui n'a aucune idée de ce que je vais porter.
Je m'assois sur le fauteuil et attend quel sorte. A cet instant même mon téléphone se met à vibrer
j'ai un nouveau message, un message d'un contact inconnu.
<<Inconnu: Salut ma princesse ça va depuis le temps. J'espère que tu n'as pas changé, toujours avec cette beauté suprême.
A bientôt Brook. M.M>>
Je suis sous le choque en lisant ces initiales . Comment a t- il eu mon numéro? Je ne réponds pas et range mon téléphone en essayant de calmer ma respiration qui est monté en flèche.
Un chapitre un peu plus long que le précédent. Je n'ai pas trop le temps de les écrire entre les cours et mes activités en dehors. Ciao.