L'espoir s'est réveillé dans une douleur sourde dans son cou, comme si elle avait besoin d'être ré-enclenché, ou simplement. Les rues bruyantes et animées habituelles de la Nouvelle-Orléans étaient plus calmes le matin, mais elle ne pouvait pas se concentrer sur autre chose que les sons envahissants des oiseaux, du jazz et des voix. Une fois qu'elle a ouvert les yeux, elle a vu la clarté parfaite. Le grain dans le bois de son cadre de lit, le coton compte dans ses draps et le motif de sa literie s'est soudainement intensifié du jour au lendemain.
Hope a essayé de raconter ce qui s'est passé la nuit précédente. Elle n'aurait pas pu sortir pour une fête avec ses amis parce que la gueule de bois était sombre et lui donnait plus de mal à la tête que sa situation actuelle.
" Tu dois boire, Hope." une voix murmurée la surprit.
Même si le bruit la faisait sauter de sa peau, elle pouvait deviner par la douceur qu'elle était beaucoup plus silencieuse qu'elle n'était censée l'entendre.
Elle se tourna vers la voix et vit son père assis sur la chaise de sa chambre. Il avait l'air épuisé, méfiant, mais le bonheur brillait profondément dans ses yeux pour compenser la légère peur qui les pousse. Elle remarqua qu'il ne la regardait pas, mais à sa table de nuit où un verre de sang était posé sur sa table de nuit et les souvenirs lui revenaient à l'esprit.
Le sortilège.
Elle deviendrait une hybride originale.
" Promets-moi que je ne vais pas me perdre et tuer quelqu'un, papa", a-t-elle enfin dit, silencieuse et vulnérable.
Elle se sentait à nouveau comme une petite fille qui avait besoin de tout l'amour et du réconfort que son père pouvait lui donner.
" Toujours"
Elle attrapa le verre et baissa rapidement le liquide, pensant que cela aurait un goût affreux, mais c'était la chose la plus douce et la plus divine que ses papilles aient jamais touchée. Avant qu'elle puisse demander, mendier et demander plus de boisson succulente, ses gencives étaient douloureuses, brûlées et déchirées pour faire place à ses crocs.Elle sentit son sang palpiter sous ses yeux, son cœur écrasant et battant comme s'il renouvelait sa vie.
Sa vie de mort-vivant.
Il s'est écoulé plus de cinq mois depuis que le sort de Hope a été lancé pour la transformer en Hybride Original. Caroline s'installa à la Nouvelle-Orléans aussi vite que Hope s'installa dans son nouveau statut.
Hope voulait contrôler sa nature vampirique et sa soif de sang avant de déclencher sa malédiction de loup et ressenti ces émotions, en particulier le tempérament rapide et la colère exacerbée de devenir un vampire. Même si elle méprisait l'idée de tuer quelqu'un, même un criminel, elle désirait ardemment se sentir à nouveau entière.
Son loup intérieur lui manquait.
Elle comprenait parfaitement comment son père avait dû se sentir alors que son mari était maudit. Hope n'avait pas ressenti le sien depuis cinq mois et ne pouvait pas imaginer vivre mille ans sans elle, comme Klaus. Elle est même tombée en panne dans le bureau de son père et il l'a réconfortée, s'est assurée qu'elle savait qu'elle n'était pas maudite, que lorsqu'elle serait prête, elle pourrait finir la transition. Mais elle n'était toujours pas prête et voulait persévérer.
C'était en octobre, et Klaus préparait son bal annuel. Caroline, Bonnie et Enzo étaient invitées avec les habitués, quelques nouvelles sorcières et les loups qui venaient de vieillir étaient invités à venir.
Caroline a à peine eu le temps de magasiner une robe de bal avec Bonnie à cause de Mardi Gras. Le couple, Enzo, et Kol ont finalement vécu le carnaval ensemble et le quatuor ensemble était sauvage et indompté. Klaus était complètement extasié que le vampire blond ait finalement lâché et semblait heureux et libre dans sa ville, même si cela se faisait au détriment d'autres hommes soulignant sa beauté.
Kol a beuglé une nuit au sujet de sa théorie selon laquelle la balle serait la façon dont Klaus se débrouillerait sans lumière et l'a utilisé comme une célébration de l'anniversaire de Caroline, qui a haussé les épaules à ce moment-là, trop ivre et impatient de l'ouvrir. can de vers, et vouloir danser sur la nouvelle chanson de danse avec Bonnie.
La nuit du bal est arrivée et Klaus a ouvert la soirée debout sur le balcon, selon la tradition, avec sa famille debout dans l'escalier à l'unisson, sa fille à côté de lui. Elle portait une robe rose pâle avec des ornements dorés sur les bretelles et la bande accentuant sa petite taille.
Le reste de sa famille était debout dans les escaliers, exsudant le statut et l'intimidation.
Hayley se tenait sur l'escalier supérieur près de Hope en elle. Une robe de ville avec des rouges, des roses et des oranges brûlées et des bijoux assortis couvrant le corsage à la coupe chérie. Elijah se tenait entre elle et Freya dans son costume le plus cher et le plus prétentieux qui ressemblait à un personnage extrêmement intelligent et honorable qu'il aimait montrer. Sa sœur aînée vêtue d'un décolleté bijou, d'une robe fourreau ornée d'une gemme argentée sur le haut et d'un tissu bleu arctique coulant à ses pieds.
Kol, qui paraissait ennuyé et essayait de ne pas sembler scanner la foule à la recherche de quelqu'un, portait le costume étouffant qu'Elijah lui avait fait porter, avec un verre de champagne à la main entre ses deux sœurs. Rebekah, de l'autre côté de lui, a choisi de porter une robe de bal en tulle noir d'onyx couvrant le jupon de fusain. Le corsage de cœur avait une dentelle florale avec une gemme en argent qui se rangeait sur la partie de la robe.
Klaus présentait sa famille quand il a vu un trio entrer dans la chambre, un peu en retard. Enzo, auquel il était en partie habitué à cause du temps de Kol et de sa haine à temps partiel à cause du carnage qu'ils avaient commis, valait deux femmes à chaque bras. Bonnie, à sa gauche, vêtue d'une émeraude sombre et profonde et d'une robe moulante avec une séparation sensuelle jusqu'à sa cuisse gauche. Il y avait des ornements sur sa hanche gauche où le tissu froncé se rencontrait. Elle avait l'air puissante et féroce, comme la vraie sorcière Bennett dans laquelle elle avait grandi. Il a vu son jeune frère se fixer sur son emplacement et est-ce que c'était de la bave?
Secouant la tête, il porta son attention sur l'autre côté de l'homme, sur la femme qui lui faisait littéralement arrêter son discours pour reprendre son souffle. La femme de ses rêves était dans la plus belle robe qu'il ait vue. La robe de bal chérie avec une jupe en coton blanc avait le motif floral le plus intime et le plus riche en or du corsage, coulant sur ses hanches et sur la jupe. Elle avait l'air majestueuse et éthérée avec ses cheveux épinglés de la même façon qu'elle l'avait fait au bal à Mystic Falls. Ses yeux bleus brillaient de confiance sous son regard ornemental et ce qui ressemblait à de la convoitise alors qu'elle scannait sa silhouette en retour.
La toux d'Elijah le ramena dans la pièce avec tout le monde le regardant, confusion confondue sur leurs visages, sauf celle de sa famille. Ils avaient l'air très amusés. Finissant son discours, Elijah a pris la relève pour ouvrir la partie de danse et Klaus en a profité pour se rendre à Caroline.
"M'accordez-vous cette danse?" il s'inclina devant elle, étendant son bras pour qu'elle puisse tendre la main sur la piste de danse.
Elle a mis la main dans la sienne, ni l'un ni l'autre ne remarquant rien d'autre que la musique et l'autre.
Caroline ne voulait jamais cesser d'être dans ses bras, voulant plus de lui maintenant elle a finalement décidé qu'elle était prête pour que l'hybride soit son dernier amour. Ils se sont très bien entendus au cours des derniers mois. Klaus et les autres Mikaelson lui ont montré leur gratitude d'avoir donné à Hope une chance de vivre une vie immortelle. Le père et la fille du duo l'ont profondément remerciée et elle a aidé Hope à contrôler la jeune fille à la recherche de ses oncles et de ses tantes. Même si elle et Klaus sont sortis et ont vu les sites et ont dansé dans les clubs, mais il n'a jamais fait un geste sur elle. Il était un peu réservé et raide et Caroline aurait d'abord pensé qu'il l'avait surmontée sans ses yeux trahissant ses mouvements.
Elle avait besoin de savoir si c'était ce qu'il voulait.
Je la voulais.
Leur.
Brisant le silence de la valse tranquille, "alors Kol m'a dit quelque chose l'autre semaine quand nous étions en train de boire", dit-elle légèrement en regardant dans son regard et il fredonna pour qu'elle continue.
"Il a dit quelque chose du genre que vous lancez cet événement parce que c'est vraiment ma fête d'anniversaire", haussa-t-elle nonchalamment, essayant de ne pas se comporter comme s'il lui avait dit qu'elle lui manquerait.
Il se raidit et faillit trébucher comiquement. Il a vraiment apprécié son temps passé avec Caroline et, de manière surprenante, avec ses amis depuis qu'elle est venue pour l'anniversaire de Hope. Même si elle a mentionné l'achat d'une maison et laissé entendre, Klaus attendait aussi que l'autre chaussure tombe. Il ne voulait pas la confronter et prendre ses grandes déclarations comme il le faisait à Mystic Falls. La balle était uniquement dans sa cour la dernière fois qu'ils se sont rencontrés et ce serait toujours la sienne. Il a juste supposé qu'il attendrait quand elle serait prête comme il le voulait. Ainsi, son sujet de conversation l'a lancé en boucle. Était-elle prête et laissant tomber des indices, ou avait-il été trop réservé dans le respect de ses souhaits?
Prenant son silence momentané comme un négatif, Caroline baissa les yeux, prête à dissimuler la douleur qu'elle ressentait à son égard, supposée ne plus s'occuper d'elle de façon romantique. murmura-t-elle doucement.
"D'une certaine manière, je suppose. J'ai, euh," il trébucha sur ses mots, essayant de comprendre comment transmettre ses désirs de sa présence dans la ville sans la pousser ou la faire fuir avec l'énormité de ses sentiments .
"M'a manqué?" Caroline murmura, et ils se verrouillèrent les yeux.
"Oui j'ai."
"Bien."
Klaus était sur le point de demander ce qu'elle voulait dire par là, mais sa main douce et délicate brossa son bras contre son visage et le caressa légèrement avant de sentir ses douces et douces lèvres descendre sur ses propres bras dans une étreinte amoureuse. Les deux étaient complètement absorbés dans leur monde et dans l'autre, sa main se déplaçant inconsciemment pour tenir ses hanches délicatement alors qu'elle l'enroulait autour de son cou. Se séparant pour l'air, ils se mirent tous deux en sourires.