C'est sur l'idée d'une lectrice qui avait apprécié ma première petite nouvelle que j'ai décidé de transformer cette histoire en un recueil, surtout que je m'impose certaines contraintes, comme celles de mots. Elles ont la particularité de se passer dans le même univers, en France. Si vous avez des problèmes avec la temporalité, n'hésitez pas.
Au sommaire, il y a :
Tous les vendredis, Camille s'enfonce dans le bus et suis le chemin derrière ses lunettes, jusqu'à ce que ses yeux trouvent ceux de Noah, son camarade de classe. Et ces quarante cinq minutes et trente huit secondes de trajet se transforment en un moment complètement hors du temps.
(Petite nouvelle pour le Concours de la Saint-Valentin 2018 des Ambassadeurs)
On dit souvent que l'été est le temps des cerises qui pendent aux arbres et se font gober par les oiseaux. Mais pour Camille et ses ami.e.s, c'est plutôt le temps de quitter le lycée, de se lancer dans un grand voyage et d'apprécier le gout doux et acide du citrons.
(Aucun sous-entendu dans ce titre)
Cinq ans après leur premier voyage en Irlande, Camille et ses ami.e.s ne se voient plus. Certains diront que c'est la faute des études, d'autres de la distance, certains de l'oubli. Mais Camille, lui, sait que c'est la faute du temps. Qu'il faut le rattraper et ne plus le laisser s'échapper.
A venir
(j'aime les bannières. c'est pas ma faute, c'est celle d'Harper)