🌹SÉLCÉBIL 🌹
Moi: tu fait quoi ici toi ?
Il s'approche de moi d'un pas rapide et dangereux m'attrape fermement par la mâchoire
Houcîne: tu cherche quoi avec moi toi ?
Sont regard noir dégager une haine immense tout les trait de sont visage était contracté.
Je me demander bien quel était la source de cette affront qu'est-ce que j'avais pue bien faire pour lui procurer une telle haine.
Il me regardait dans les yeux attendant une réponse je soutenais sont regard et sa n'avais pas l'air de lui plaire vue qu'il resserre sont entrain sur ma mâchoire.
Je fini par articuler difficilement fasse à la douleur qui commence à se faire ressentir.
Moi: mais lache moi !! Tu me fait mal !
Il fronce les sourcils de nouveau lache ma mâchoire pour me tenir fermement Le Bras cette fois ci.
De mon bras libre je touche ma mâchoire qui venait de se relâcher d'une pression.
Moi: mais t un grand malade toi ? Sa va pas dans ta tête ? Putain lache moi !
Houcîne: oh ferme ta gueule parce que racli ou pas tu va t'en manger une. Tu cherche quoi à me peter les couille pourquoi t partie dire à Salah de me licencier ?! Hein je t'ai fait quoi moi ? Je te donne l'heur moi ? Je te calcul pas pourquoi tu me rend ouf !
Il me geulait littéralement dessus et très près de mon visage se qui avait le don m'énerver.
Moi: Mais tu veut quoi ! À qu'elle heure j'ai dit à Salah de te licencier hein ! A qu'elle heure ! Je lui est trouver un mécano parce que t'était en prison et qu'on aller bosser ensemble et je lui est dit de pas dire au gens que c'est employé était des taulard voilà ce que j'ai fait je lui est jamais dit de te licencier donc tu peut t'en prendre qu'à toi même fallait pas faire des balade en prison.
Il me lache passe sa mains derrière sa tête puis passe c'est main sur sont visage.
Houcîne: vazy dégage prend ta voiture et repars à ta vie parfaite.
Je fronce les sourcils en le regardant alors que lui se tourne pour sortir du parking les main dans les poches.
En le regardant s'éloigner avec sa démarche lente je monte dans ma voiture un sentiment de culpabilité dans l'estomac.
Je met le contacte de ma voiture reste quelque seconde en regardant devant moi.
Cette homme est une énigme il est indéchiffrable.
On voit qu'on fait de lui c'est une bonne personne mais qui s'efforce à être mauvaise.
Sont regard et un regard noirci et détruit par un lourd passer.
Les quelque goute qui tombe sur mon par brise me font quitter mes penser.
Il commencer à pleuvoir de plus en plus fort et bien, moi qui disait que cette nuit ressembler à une nuit d'été j'ai parler trop vite.
J'active les essuie-glaces et démarre.
J'ai rouler quelque minute à peine avant de tomber sur la carrure de Houcîne sous la pluie qui augmenter de plus en plus. Sa capuche rabattu sur sa tête.
Arriver à sont niveau Je baisse la vitre coter passager pour qu'il puisse m'entendre.
Il se retourne vers moi me regarde quelque seconde et fini par tourner la tête et continue de marcher.
Je soupire d'agacement.
Moi: monte t trempé et c'est pas ta petite capuche qui va te protéger quand tu va attraper froid.
Il ne fait pas gaffe à moi et continue à marcher quand à moi je rouler à sont niveaux.
Moi: oh c trop fierté quand tu nous tien. Oh c bon Houcîne le gangsta de la street owais owais tu peut monter ?
Un léger rictus se dessine sur c lèvre.
Il arrête de marcher et me regarde à travers ma voiture.
Houcîne: comment gangsta de la street owais owais ?
Je lui sourit légèrement
Moi: tu peut monter et arrêter de me jouer les stars fier ?
Il me regarde quelque seconde et fini par ouvrire là portière coter passager.
Un sourire victorieux se dessine sur mes lèvres.
Houcîne: croit pas je t'écoute hein c parce que j'habite loin et j'ai la flemme de marcher.
Moi: oui c'est sa fierté.
Houcîne: d'où tu connaît mon prénom toi
Moi: oh ça va tu va pas me faire croire que tu connaît pas le mien !
Houcîne: je connaît pas le tien.
Moi: c'est sélcébil.
Il fronce les sourcils.
Houcîne: t une arabe ?
Moi: je suis palestinienne arménienne.
Houcîne: pourquoi tu porte un prénom arabe.
J'hausse les épaule me concentrent sur la route.
Moi: et toi t de qu'elle origine.
Houcîne: a ton avis ?
Moi: marocain ?
Houcîne: non.
Moi: Tunisiens ?
Houcîne: non.
Moi: Algérien ?
Houcîne: non.
Moi: donne moi un indice.
Houcîne: on est vos ex ennemis au arménien.
Moi: t'es turc !!
Houcîne: ouep.
Moi: mais ta pas une tête de turc.
Houcîne: si quand même un peut, tourne la c'est la.
Je tourne ou il me demande et je gare ma voiture.
Il enlève la ceinture et sort de la voiture. Il se penche vers la voiture.
Houcîne: ne rentre pas dans le quartier fait un demi ici.
Moi: pourquoi sa ?
Houcîne: c'est pas un endroit pour toi princesse.
Après cette phrase il s'en va s'en un remerciement.
Il est vraiment mal polit.
Je fait se qu'il me dit en fesant marche arrière sans rentrer dans sont quartier.
C'est vrais que c'est pas du tout le même monde.
J'avais jamais mît un pied dans se genre d'endroit sa fous les chochotte faut dire.
Sont quartier et bien réveiller à cette heure ci moi alors que moi à cette heure plus un bruit se fait entrendre dans l'entourage.
J'accélère pour sortir de cette endroit qui en plus de me faire peur n'est pas pour moi.
[...]
Je gare ma voiture et entre chez moi.
Mon père: enfin duk' yekel yek' chashi spasum.
" tu est venu attend pour le dîner"
Moi: j'ai une faim de loup Noemi tu nous a préparé quoi ?
Noemi : des lasagnes mademoiselle .
Moi: t'es un amour Noémi, je vais me laver les mains et j'arrive.
Je vais me laver les mains avant de m'installer à table avec mon père et Salawa.
Mon père: alors le boulot l'affaire dés frère Dalil sa avance ?
Moi: oui, on est en plein transfert avec Race car à New York.
Mon père: il faut que tu fasse le déplacement pour promouvoir.
Moi: oui je sait mais pas maintenant je le ferait quand il serait nécessaire.
Je regarde Salawa qui bizarre était concentré sur sont assiettes et ne dit rien.
Ce qui n'est pas du tout dans c'est habitudes et je pence que vous commencer à connaître le personnage.
Moi: qu'est-ce que t'a Salawa t bizarre ?
Salawa: non j'ai rien.
Moi: t calme c'est louche sa.
Salawa: oh me casse pas la tête j'ai rien j'ai rien.
Moi: calme toi aussi, t énerver ne me remet pas t nerf dessus madame susceptible.
Mon père: STOP, on peut pas manger dans le calme avec vous.
Salawa: ouii, beh j'ai plus faim.
Après sa elle se lève de table et monte dans sa chambre.
Elle est vraiment pas normal.
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