" Mon coeur meurt à petit feu, heureusement que t'es mon parapluie quand il pleut"
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Il m'envoie un d'ses messages vocales c'est limite si il dure pas cinq heures faciles.
twenty minutes later :
Lui : " Eh mais toi t'es bête ou quoi, frère ton mec il te viole, il te drogue, après il accuse les gens et toi avec ton cerveau la on dirait cacahuète tu tombes dedans ?"
J'repond pas et j'le bloque.
Démon : On verra qui rira en dernier.
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Isaï au contrôle 📍
D'accord, donc moi Isaï j'fait du hors forfait pour parler à madame qui m'accuse alors de l'avoir violer.
Elle m'as tellement mis la haine que j'éteins mon téléphone et je rejoins les garçons en bas.
Après avoir mis mes chaussures on sort tous direction, la direction.
On arrive dans une sorte de cabane éloignée de la ville, le genre d'endroit où personne vas.
Quatres hommes armés sortent et s'alignent devant nous un à un.
Ils ont cru ils défilaient pour le 14 juillet eux.
J'souris à ma propre blague mais j'me fait vite reprendre par un coup d'épaule par un de mes gars histoire de me dire d'me reprendre.
J'range mon sourire, et j'comprend que c'est à moi de prendre la parole.
Moi : - Moi et mes gars là on a rdv
Oui j'ai dis « rdv »
Moi : - rdv avec votre chef Demba.
Y en a un qui s'avance en mode frontale, donc j'mavance aussi, puis il sourit et se retourne vers ses gars.
Gars : - Comme sa mère.
Il se re retourne vers moi.
Gars : - Asy asy viens. Juste toi et l'fils a Gringo.
Kedan et Ilan voulaient répliqué mais j'leurs fait signe que pas besoin.
Accompagner d'Ibrahim j'entre en trainant des pieds dans cette cabane, je sais pas pourquoi mais j'avais plus envie d'y entrer.
On nous dirigent vers un long couloir puis au fin fond du couloir, une porte.
Il doit sûrement y être, j'ai réfléchit à ma question toute la nuit.
Et je sais toujours pas ce que je vais dire.
En rentrant dans la salle j'vois une énorme silhouette et c'est même pas de l'exagération vous voyez le corp d'un buffle ? Bah exactement ça.
Je suppose que c'est Demba, j'comprend mieux pourquoi on le respecte tant votre gavax.
(Conversation en anglais, mais directement traduit en français)
Il se retourne, allume son pet sans nous regarder puis compte ses billets.
Dès qu'il finit sans toujours nous regarder, il se lève et regarde par la fenêtre.
D'un coup sec il frappe sur la table.
Demba : - 55,3 seconde de retard ? Tu m'as prit pour ton petit ?
Moi : - Non.. on vient seulement d'atterrir et je..
Demba : - Te fous pas de moi gamin, pose ta putain de question et tire toi.
Demba : - Un conseil, réfléchit bien et moi de mon côté j'serais le plus clair possible.
Ibrahim autant stresser que moi, il fais des danses de pied la ça me perturbe trop donc j'lui met un coup de coude.
J'prend une grande respiration, et j'massoit.
Demba : - Qui t'as autorisé à t'asseoir ?
Moi : - Moi.
Démon : - YIIIH
Ange : - TCHA TCHA TCHA !
Démon : - C'est dommage tu pouvais avoir une belle vie..
Il se lève et me prend par le cou, puis me soulève.
Il serre de plus en plus son emprise, puis je le regarde en souriant j'me sent partir, mais là seul chose dont j'ai envie c'est de rigolé.
Il me relâche et Ibrahim amortit ma chute avec son bras.
Je lui crache au pied et je le regarde avec une haine, que j'peut pas d'écrire.
Demba : - rire T'as de la chance que je peut pas t'allumer car en tant normal le putain de gros canon, que tu vois au fond de la pièce, serait déjà au fond de ta pute de gorge, mec.
Demba : - Je vais te le dire une dernière et unique fois, pose ta question.
Ibrahim m'regarde en mode, « faut que tu la poses la, c'est mieux pour nous » .
Moi : - Je sais que tu détiens ma mère depuis des années, alors pour quoi ou pour combien serait tu prêt à libérer ma mère ?
Demba : - Si c'est en argent rien, si c'est en objet rien, et tu sais pourquoi ?
Il fais signe à ses gars de sortir.
Il croise ses bras et me regarde.
Demba : - Par ce que ta mère j'suis putain d'tomber amoureux d'elle, pendant toutes ses années et enfaite depuis toujours.
Demba : - Alors que tu le veuilles ou pas, j'veut pas d'échange.
Moi : - Si tu l'aimerais tu l'as libérerai.
Demba : - Si elle sort, Gringo la tuera. Je bosse pas pour Gringo, j'ai kidnappé ta mère seul, pour la sauver de Gringo même si ton père est au courant.
Moi : - Mon père est au courant?
Ibrahim : - rire
Il sort deux armes, il en charge une et la pointe sur mon front, et avec l'autre il vise Demba.
A ce moment là j'suis tellement choqué, j'realise même pas ce qui se passe.
Ibrahim : - Je te l'ai déjà mise une fois, pourquoi pas deux ? Tu pensais réellement que j'allais trahir mon propre père ?
Demon : - Un traitre reste un traitre.
Et voilà ce qui arrive quand j'accorde ma confiance trop facilement, avoir une confiance aveugle mene la plupart du temps à une déception.
Demba était désemparé, il savait réellement pas quoi faire.
Appart attendre qu'il me bute, j'sais pas quoi faire alors je le fixe dans le blanc des yeux et j'attends mon exécution.
*BAM*
La porte s'ouvre violemment et au même moment comme vous l'avez compris Ibrahim tire sur moi.
Tout s'est passé tellement vite, j'me sent projeter à terre Demba a sauter et à pris la balle à ma place.
J'ai a peine le temps de voir Ibrahim prendre la fuite.
Kedan et Ilan s'occupe de faire les premiers soins à Demba, et je décide de courir après Ibrahim.
J'le vois au loin, et je cours comme jamais arrivé près de lui j'le balaye , j'prend son pistolet et je le pose sur son gros front.
Moi : - Tu veut encore plus m'éloigner de tout ce que j'ai le plus cher ?
Ibrahim : - J'suis obliger, j'suis un gringo trahir est dans ma nature.
Il ferme les yeux et une larme coule sur sa joue, mais qu'une seule, ça m'as grave intrigué.
Moi : - J'en ai rien à foutre.
Je charge l'arme et prend une grande inspiration.
Qui suis-je pour ôter la vie?
Qui est-il pour détruire la mienne?
Chaque pêcher compte, mais Dieu sait ce qu'il doit pardonner.
Alors si je passe à l'acte, je serais prêt à assumer.
J'entends les battements de mon cœur vibrer dans ma poitrine, et je sent que c'est le moment.
La, maintenant.
*BAM*
Yessaw👋🏽
A la prochaine, mes pirates.