NDA:Aaaaaah oui je sais j'ai du retard, c'est parce que je suis enceinte d'un baccaulauréat QAQ et j'accouche dans 2 fucking mois QAQ et je suis pas prête du touuuuuut QAQ mais je suis venue vous offrir ceci en pâture (profites Elo, profites) avant de mourir dans mes révisions QAQ bonne lectuuuure! (Si j'échoue ce sera de votre faute)
Bruce:
Monsieur Bidule bien installé dans la poche avant de ta salopette en jean,tu entras dans le laboratoire de ton cher et tendre: "Bruciiiiiiie!"
Il sursauta,grogna et se retourna à peine: "Y/N,je travaille. C'est important.
-Justement. Mon p'tit doigt nommé Tony Stark m'a dit que cela faisait beauuucoup trop longtemps que tu travaillais. Et venant de lui ça veut dire quelque chose! Alors je viens te promener."
Il soupira et ramena ses bouclettes brunes derrières ses oreilles,les coinçant avec les branches de ses lunettes: "Je ne suis pas un chien,Y/N,je n'ai pas besoin de me promener.
-Je suis sûre que si. Allez viens,ça va te faire du bien d'aérer ton cerveau!"
Tu lui pris la main,et il fut bien obligé de lâcher ses pipettes et autres instruments de chimie. Tu souris:tu avais prit beaucoup trop de confiance en toi depuis que tu fréquentais Bruce,et a forciori Tony. Bah,il était loin le temps du café en terrasse et de la pauvre déclaration d'amour tremblante. Quoique cette période t'avait beaucoup plut.
Bruce et toi sortirent de la tour Stark. Ton petit ami papillonna des yeux,s'habituant avec difficulté à la luminosité de Manhattan en plein jour. Tu déposas un gentil baiser sur ses lèvres et lui sourit,il te le rendit. Marchant main dans la main,tu sentis ton coeur bondir d'avoir enfin un moment romantique avec ton fichu scientifique.
Au loin tu vis Central Park. Tu posas ta tête sur l'épaule de Bruce: "Et si nous allions manger une glace,Brucie?"
Il eut un petit rire: "Tu as faim? N'as tu pas dîné?
-Si...mais j'ai envie de manger une glace. Pas toi?"
Sans attendre de réponse -de toute manière il aurait préféré être à l'intérieur de son laboratoire- tu l'entraîna dans le célèbre parc. Près du lac un vendeur de glaces avait un fanc succès. Vous esquivâtes quelques femmes en topless peinturlurées au drapeau américain et demandâtes une glace à la vanille -pour lui- et aux fruits de la passion -pour toi- sans oublier les éclats de noisette pour Monsieur Bidule.
Dévorant votre bien sucré,vous vous éloignâtes un peu,pour vous asseoir sur un banc et observer l'animation du parc. Chaque nuit les gens venaient,déguisés ou non,et la fête battait son plein. Tu regardas Bruce avec amusement: "À nous de rire aussi!
-Comment cela?"
Tu te mis debout sur le banc,un pied sur le dossier,et te mis à clamer les paroles d'une vieille chanson de cabaret.
Bruce pouffa,ce qui était un exploit,et se leva à son tour,continuant la chanson. Tu ris:"Tu connais ça?
-Tu ne sais pas ce que me force Tony à écouter!"
Il rit,et vous commençâtes à chanter la chanson à tue-tête,délurés et ivres de nuit. Les passants riaient en vous voyant, certains se joignaient à vous,bientôt un véritable choeur de chanteurs se forma, entonnant des chansons populaires avec entrain. À ta grande surprise Bruce était le meneur,sa chemise déboutonnée,monté sur le banc,se déhanchant avec vigueur en hurlant les paroles suggestives. Tu éclatas de rire et suivis son exemple;Tony allait vous retrouver aphones le lendemain,mais peu importe!
Steve:
Bye Bye le SHIELD,bye bye ce casse pieds de Sam,et bonjour les vacances! Steve,au volant de sa deux chevaux, t'avait proposé un road trip sur la côte ouest,et c'était une offre que tu ne pouvais refuser.
Donc,vous traversiez le pays comme si Fury ne s'arrachait pas les...bah pas les cheveux du coup. Les poils du cul? Bref.
Les paysages étaient splendides,mais il manquait un petit quelque chose... Tu ouvris la boîte à gants et fouillas dans les CDs que Bucky et Sam laissaient traîner.
Steve te regarda,inquiet: "Tu fais quoi?
-La chose la plus amusante en voiture!"
Tu extirpas un CD gravé avec noté "musiques voiture" dessus.
"Ah bah nickel!" Tu le mis dans le lecteur probablement ajouté par Tony et appuya sur PLAY. Aussitôt une musique purement jamaïcaine sortit des hauts parleurs et tu rigolas: "Oh ouai!"
La voix du chanteur s'éleva et tu commenças à te trémousser sur ton siège en chantant.
"Dis leur que:chacun sa route,chacun son chemin;chacun son rêve,chacun son destin! À toi!"
Steve soupira et sourit avant de répéter docilement: "Dis leur que:chacun sa route, chacun son chemin...
-Passes le message à ton voisin!"
Steve gloussa quand tu entamas le premier couplet,puis rit franchement quand tu ouvris grand les fenêtres pour beugler le refrain. Les autres automobilistes te regardait de travers,mais peut importait car "CHACUN SA ROUTE,CHACUN SON CHEMIN!"
Le plus fort? À la 2ème écoute Steve braillait avec toi en essayant d'effacer son fort accent américain...
Tony:
Comme d'habitude en descendant dans l'atelier de Tony tu entendais une musique assourdissante et violente,avec des voix hurlantes. Avec un sourire en coin,tu ouvris la porte vitrée et coupa la musique. Aussitôt tu entendis dans le silence de la pièce ton amant qui continuait:
"I'm just a step away
I'm just a breath away..."
Il releva la tête,surprit,et te regarde en souriant: "Tiens! Y/N! Entre ma belle,je termine ça. Et remets la musique s'il te plait."
Tu appuyas sur le bouton PLAY mais quelques secondes plus tard tu coupas à nouveau pour vérifier un truc.
"I am just a man
Not superhuman..."
Puis avec une voix aiguë qui te fit exploser de rire: "Not superhumaaaan!"
Il se retourna vers toi,vexé: "Y/N,la musique!"
Tu ris: "Mon coeur,tu chantes très bien!
-Ne te moques pas!
-Jamais je n'oserais."
Tu remis la musique et fredonna un peu. Tony te surveillais du coin de l'oeil.
"Just a step from the edge
Just another day in the world we live"
Tu coupas la musique et beugla en coeur avec ton amant:
"I NEED A HEEEEERO TO SAVE ME NOW
I NEED A HEEERO (to save me now)
I NEED TO SAVE MY LIFE
A HERO'LL SAVE ME (just in tiiiime)"
Tony explosa de rire: "Ta VOIX quand tu fais la grave!
-Et la tienne en aiguë!"
Il était pété de rire. Mais il ne savait pas que tu avais enregistré. Vengeance vengeance...
Fury:
Il y avait des jours où les humains savaient s'amuser. Ouai,vraiment! Incroyable. Quel était le sombre crétin qui avait décidé de provoquer une tribue d'extraterrestres dangeureux dans New York? Franchement. Enfin bon,ça avait deux avantages: sortir Fury de son bureau tout propre avec son porte documents Hello Kitty,et te permettre de te défouler. Enfin une distraction! Tu avais fini par croire que les humains ne savaient pas faire de fête correcte.
Armée de ta fidèle épée baptisée Mew-mew pour faire chier Thor,tu tranchais des têtes à tour de bras,un grand sourire terrifiant sur les lèvres,tandis que ton amant,bien en retrait avec son lance-roquettes et son flingue,protégeait tes arrières. Comme si tu en avais besoin.
Sentant l'adrénaline courir dans tes veines tu entamas en chant guerrier asgardien,le clamant en découpant des membres au hasard:
"Les asgardiens,peuple supérieur
Découpe ses ennemis sans peur!
La sueur et le sang peuvent couler
Mais nous savons bien de quel côté!
Trancher,tuer,éviscérer
Nos ennemis fileront se cacher!
Asgardiens de tous rangs
Sue à l'assaillant!"
Tu renifla avec amusement entre deux couplets en entendant ton cher amant chef du SHIELD essayer de bramer le refrain plus fort que toi. Tu veux jouer à ça mon coco?
Tu te mis à hurler le chant et bientôt on entendait plus que vous dans les rues de New York que pourtant un combat violent agitait. Voilà ce que tu appelais une fête!
Thor:
Ta dernière intervention sur le terrain t'avait achevée. La fatigue te gagnait plus chaque seconde,tu avançais péniblement vers ton lit désormais,chaque pas te faisant plus souffrir et en même temps te rapprochant de ton paradis. Tu tombas à plat ventre sur le matelas,éreintée,sentant les restes d'adrénaline courir tes veines et se perdre.
Deux mains fortes enlevèrent tes bottes,les posant au sol,puis te déshabillèrent avec douceur. Les yeux clots,tu marmonnas: "Tu étais là..."
Ton dieu nordique sourit gentillement: "Oui. Maintenant il faut dormir,belle Y/N.
-Hmmm...chantes moi...quelque chose..."
Il te glissa sous les draps frais et propres. Tu frissonnas de bien être,ta main se glissa dans la sienne.
Il s'assit sur le matelas près de toi,te regardant en souriant,et commença à fredonner une berceuse aux accents rauques,rugueux et guturaux. Tu souris en fermant les yeux,reconnaissant entre mille les berceuses d'Asgard. Ton amant continua à chanter à mi voix les exploits de fées dans des plaines bleues et d'arcs en ciel merveilleux,tandis que tu sombrais dans un sommeil paisible en chantonnant l'air.
Loki:
(il tombe sur une chanson paillarde. Ça tourne mal.) (NDA:oui,le mot précédent est exactement comment j'ai noté l'idée de son imagine 😂)
Tu avais un CD. Un CD qu'on t'avait offert pour ton anniversaire des 18 ans. Oui oui, vous sentez la couille venir. Et le mot est bien choisit.
Tu avais un CD de 69 chansons paillardes dans ton salon. Le titre est assez explicite somme toute. Tu l'avais gardé,parce que c'était un cadeau et c'était drôle. Mais. Parce qu'il faut bien qu'il y ait un mais. Il n'était pas particulièrement caché dans le meuble à CDs,parce que tu n'en avais pas vu l'intérêt. Erreur.
Tu rentrais d'une fac de psychiatrie qui avair demandé ton témoignage. À vrai dire, après le coup de ses enfants tu t'attendais à peu près à n'importe quoi sauf à ça.
La musique,au maximum. Et les voisins à leur porte,qui te regardaient avec plus d'amusement au fur et à mesure que tu avançais vers ton appartement. Tes joues brûlantes et sûrement écarlates,tu tournas les clés dans la serrure et t'engouffras dans ton logement. La musique faisait trembler les murs au son des paroles paillardes au possible. Tu traversas le couloir au pas de course.
"ET VIVE,VIVE,VIVE LES GROS NICHONS! LES PAIRES DE SEINS,COMME DES BALLONS!"
Tu déboulas dans le salon,et fini de te décomposer en rougeurs en voyant Loki -ton Loki,le plus sage,le plus doux!- se déchaîner sur la chanson,plié de rire.
"TANT QU'IL Y AURA DU MONDE AU BALCON,ÇA BOUGERA DANS LES PANTALONS!"
Tu hurlas: "Coupe cette musique!"
Il te sourit,mais ne coupa pas la musique et préféra te prendre dans ses bras et te peloter pendant que tu te débattais. Et la musique qui continuait!
"PLUS DE BONNETS A,DE BONNETS B! OH LIBÉREZ LES DÉCOLTÉS! NATURELS,OU SILICONNÉ,ON LES TANE LES GROS TÉTÉ!"
Tu réussi à t'échapper des bras de ton amant probablement saoul et éteignis le lecteur de CD en vitesse. Le silence plana longuement,comme assourdissant,tu eus l'impression d'avoir du coton dans les oreilles. Enfin,jusqu'à ce que Loki derrière toi proteste: "Mais! On s'amusait bien!"
Tu te retournas,autant rouge de gêne que de colère: "On entendait dans tout l'immeuble! Tous les voisins m'ont regardé quand je suis rentrée! On écoute pas une chose pareille à un tel volume! Et d'abord,je ne t'ai pas autorisé à utiliser ce CD!"
Il haussa les épaules: "Il était dans le meuble.
-Ça n'est pas une raison! C'est vraiment... gênant..." tu rougis et il profita de cette occasion pour t'enlacer et embrasser ton cou,puis murmurer à ton oreille: "moi... j'aime te voir rougir.
-...pervers."
Il rit: "On remet la musique?
-NON!"
Pietro:
Tu terminas d'installer les logiciels de montage audio sur l'ordinateur du salon. Pietro trépignait d'impatience: "On joue? On joue? Dis,on joue?
-Une minute!"
Tu installas la musique sur le PC et la synchronisa avec l'enregistrement accéléré. Le jeu du simulateur bourré était prêt.
La chanson se lança et Pietro commença à chanter très vite:
"Sí,sabes que ya llevo un rato mirándote
Tango que bailar contigo hoy
Vi que tu mirada ya estaba llamándome
Muéstrame el camino que yo voy!"
Tu grinças des dents: il était doué,ce bougre! Son pouvoir lui conférait un certain avantage sur toi...tu continuas:
"Tú,tú eres el imán y yo soy armando el plan
Sólo con pensarlo se acelera el pulso!"
Pietro rit et enchaîna,content d'être doué à ce jeu: "Ya,ya me estás gustando más de lo normal,
Todos mis sentido van pidiendo más
Esto hay que tomarlo sin ningún apuro"
Vous gueulâtes en coeur: "DE-SPA-CI-TO!
Quiero respirar tu cuello despacito
Deja que te diga cosas al oído
Para que te acuerdes si no estás conmigo
DE-SPA-CI-TO!
Quiero desnudarte a besos despacito
Firmar las paredes de tu laberinto
Y hacer de tu cuerpo todo un manuscrito
Sube Sube oh!"
Tu coupas l'enregistrement en riant. Pietro sautillait autour de toi: "Vas y,montre!"
Tu passas la chanson en mode normal. Vos voix étaient tellement pâteuses,même celle rapide de Pietro,que tu explosas de rire alors qu'il gonflait ses joues,vexé: "Je ne suis même pas comme ça quand je suis bourré!"
Bucky:
Ton petit ami était resté toute la journée à l'appartement,à cause d'une crise de panique déclenchée par les images d'un attentat à la télévision.
Tu rentras donc plus tôt que prévu,ton boss ayant accepté au vu de ton travail exemplaire. Tu refermas la porte de l'appartement,enleva tes chaussures et te dirigea vers le salon. Steve,un bras passé autour des épaules de Bucky,leva la tête vers toi et sourit faiblement. En silence tu t'approchas et t'accroupis devant James. Il semblait perdu dans un monde lointain. Steve articula en silence: "Je dois y aller."
Tu hochas la tête et pris naturellement la place du meilleur ami de Bucky tandis que celui ci se leva,enfila ses chaussures,te jeta un dernier coup d'oeil et sortit. Barnes marmonnait des sons sans queue ni tête,tu décidas de caresser ses cheveux comme tu le faisais souvent pour ses cauchemars la nuit.
Il posa sa tête contre ton cou et se mit à doucement fredonner. Tu reconnus une vieille musique de bal,le genre des années 20 à 30,une de celles qui sonnent autant romantique que tragique. Tu la connaissais assez bien pour l'avoir entendue dans nombre de films de la vidéothèque,aussi tu te mis à la fredonner à ton tour,sans dominer le filet de voix de Bucky. Vos voix s'entremêlèrent en une jolie mélodie qui remplit le silence de l'appartement. Bucky bougea contre toi,se levant doucement. Sa main se glissa dans la tienne et te leva à sa suite.
Il posa sa seconde main sur ta hanche,la tienne s'installa sur son épaule. Doucement vous commençâtes à valser dans le salon,sur le parquet qui craquait doucement,en fredonnant de toute votre cage thoracique cette musique du fond des âges et des temps. Cette musique d'un bal qu'il avait dû danser il y a fort longtemps. Il y a une autre vie.
Peter:
Depuis deux longues heures déjà tu comatais sur ta chaise,les yeux dans le vide, les propos de ton professeur passant par une oreille et ressortant par l'autre. Cours de théorie des atomes. Su-per. Tu t'ennuyais comme un rat mort,et visiblement Peter a côté de toi aussi,puisqu'il en était à baver sur sa table.
Même le professeur semblait s'ennuyer mortellement,énonçant d'une voix monocorde les principes des atomes. La plupart des élèves dormaient et il en fallait peu pour que tu y plonges toi même.
Quand soudain:
"Hey oh,let's go!
Hey oh,let's go!
Hey oh,let's go!
Hey oh,let's go!"
Tu tournas la tête vers Peter qui avait sursauté et chuchotas: "C'est ton téléphone?"
"They're forming a straight line
They're going through a tight wind"
Peter hocha furieusement la tête et se baissa sur son sac,le fouillant rapidement tandis que les têtes endormies commençaient à se tourner vers vous, comprennant peu à peu l'origine de la musique.
"The kids are losing their minds
The blitzkrieg bop
They're pilling in the back seat
They're gerenate steam heat
Pulsating to the back beat
The blitzkrieg bop"
Tu éclatas de rire en voyant Peter fouiller avec acharnement,tandis que le professeur s'approchait avec un air pincé: "Monsieur Parker. Les téléphones ne doivent pas sonner en classe. Vous êtes au courant, n'est ce pas?"
Comme ton petit ami semblait en galère tu grimpas sur ta table et gueula:
"Hey oh,let's go
Shootem in the back now
What they want,I don't know
They're all reved up and ready to go!"
Peter laissa tomber en te voyant,rit et monta sur la table,hurlant à tue tête la chanson. "They're forming in straight line
They're going through a tight wind
The kids are losing their minds
The blitzkrieg bop!"
Le professeur,choqué au plus profond de son être,mit un certain temps à connecter la musique infernale à votre danse satanique.
"They're pilling in the back seat
They generate steam heat
Pulsating to the back beat
The blitzkrieg bop!"
Le professeur fini par réagir dans vos commencâtes à balancer les chaises n'importe où: "Ça suffit,sortez! Sortez! Sorteeeeez!"
Il jeta vos sacs en dehors de la classe et vous suivîtes le mouvement,pliés de rire, ne tenant plus debout sans vous soutenir l'un l'autre,en chantant à tue tête.
"Hey oh,let's go
Shoot 'em in the back now
What they want,I don't know
They're all reved up and ready to go!"
Clint:
Merde. Tu ne pensais pas qu'il pouvait y avoir une "pinte de bière de trop". Et pourtant. Tu était là,coooomplètement torchée,en plein milieu d'une fête des Avengers. Tu ne savais même pas comment tu étais arrivée là.
Tu ne devais pas,genre...être en train de faire un plan machiavélique dans ta bat-cave? Bah.
Le regard assassin de Romanoff n'était pas SI insupportable,d'autant plus que tu t'amusais bien à danser avec le grand couillon de la bande. Hein? Ah ouai,Thor qu'il s'appelle.
Tu savais -ou espérais- que quelque part dans cette pièce Clint te regardait avec une jalousie possessive qu'il ne pouvait mettre en oeuvre maintenant tout de suite. Pourquoi? Ahhhh heu bonne question. Aucune idée. Mais il pouvait pas. Point.
Après que tu ai marché une dizaine de fois sur les pieds du dieu nordique -et qu'il t'ai bien rendu la pareille en gloussant comme un débile- Tony Fucking Stark De La Mort Qui Tue Des Mémés Dans Les Orties décida -parce que c'est sa tour,donc il décide- de lancer un karaoké. Mother fucker. Tu allais les sublimer avec ta voix de sirène turque.
Visiblement Clint avait pensé la même chose parce qu'il avait déjà prit le micro. Tu protesta en t'approchant de lui,peu crédible vu comment tu vacillais: "HEY! Tu peux pas chanter,t'as une voix de ptite couille molle!"
Il te regarda avec des yeux torves: "Mais moi au moins,j'ai des couilles.
-Moi aussi!"
Tu lui pris le micro des mains et lança une chanson au pif. La macarena. Parfait.
La chanson se lança à fond dans les haut parleurs,et toute cette bande d'alcooliques se leva pour bouger leur popotin. Naaaan,tu ne faisais pas partie des alcooliques. À peine.
Ta voix éraillée gueula quand les paroles apparurent sur l'écran:
"Aaaalatunesilamacarena, Ouhelemanala macarena,halatusmeimacarena, EEEEEEH, MACARENA!"
Et la chorégraphie d'être reprise par la bande de super héros au complet. Tu ne t'étais JAMAIS autant éclatée. D'autant plus que Tony Stark,torché,venait se frotter à toi dans cette danse sensuelle. À moins que ce ne soit le chien. Bah,quelle différence?
Tu sentais sur toi le regard brûlant du petit oeil de faucon et dansa encore plus sensuellement avec Tony en gueulant les presques paroles pour bien l'emmerder.
Soudain une main aggrippa ton bras et t'attira à l'écart sans que tu ne puisses comprendre ou résister. Le beau Hawkeye te plaqua contre un mur et te regarda dans les yeux: "À moi." Il t'embrassa passionnément,langoureusement,ses mains plaquant tes hanches contre les siennes,possessif. Cette nuit risquait d'être...agitée.
Sam:
L'anniversaire de Sam tombait un samedi. Ça signifiait que tout le monde pourrait être là. C'était une chouette nouvelle sauf que... tu n'avais pas encore trouvé de cadeau. Enfin,pas de cadeau présentable aux autres. YOU KNOW WHAT I MEAN.
Bref. Tu étais partie deux jours dans la ville de votre enfance,à la recherche de choses marquantes. La mère de Sam t'avait accueillit les bras ouverts,heureuse d'avoir des nouvelles fraiches de son fils. Une tasse de café plus tard,elle descendait du grenier avec un énorme carton marqué "SAM et Y/N" au feutre noir.
Tu souris;tu savais bien que la maman de Sam avait gardé des souvenirs de vous deux. Tu posas le carton sur la table de la cuisine,faisant attention à ne pas renverser les tasses sur le carrelage pâle,et l'ouvris avec un cutter -oh bruit jouissif.
À l'intérieur,une foule de choses entassées,parfois emballées sous papier bulle. Tu fouillas un moment,écartant les jouets que vous aviez fabriqués ensemble et le jeu de l'oie usé par toutes les parties. Tu souriais,plongée dans les souvenirs de votre petite enfance. Des dessins,des règles d'un vieux jeu sans queue ni tête,des photos de lui et toi dans une cabane,une vieille poupée chiffonnée à laquelle vous aviez cousu des ailes et dessiné des moustaches.
Enfin,tu mis la main sur ce qui t'intéressait. Une pochette marron toute bête,mais renfermant un grand secret. Tu la rangea dans ton sac,remercia la mère de Sam en lui promettant de revenir lui rendre visite avec son fils puis repartis jusqu'à Washington.
Là bas,tu contactas Steve. Le fils chéri de l'Amérique te confirma le lieu et l'heure de la fête surprise,et te proposa de t'y guider. Tu acceptas,et il t'attendait à l'entrée du plus grand parc. Couvert de sueur,évidemment Steve Rogers court à n'importe quelle heure. Houuuu... il monta dans ta voiture, boucla sa ceinture et t'indiqua le trajet avec plus d'exactitude qu'un GPS. Tu essayas de ne pas lorgner sur ses pectoraux trop moulés et la sueur qui rendait son T-shirt transparent. Tu étais en couple bon sang!
Tu te garas sur une petite place de parking miraculeusement échappée au flot de voitures de la ville,et après être descendus de ta petite coccinelle vous entrâtes dans le bâtiment. Ah oui! Là il y avait du potentiel!
OoOoOoOoOoOo
La fête surprise battait son plein. Sam avait été très surpris et très heureux de tous vous voir réunis pour son anniversaire. L'alcool coulait à flot,le gâteau avait déjà été bien entamé. Un chapeau cône en carton sur le crâne,ton petit ami riait à gorge déployée, encore plus déshinhibé que d'ordinaire.
Tu souriais;ta surprise allait arriver. Tu montas sur la petite estrade improvisée,tapa du talon sur le bois,attendant l'attention du public festif. Sam comme les autres levèrent les yeux vers toi. Tu claquas encore deux fois du pied par terre,donnant le début de la mesure.
La petite musique douce s'éleva,enfantine,et des gloussements se firent entendre dans la salle. Texte a la main,tu commenças à chanter une petite contine que toi et Sam aviez écrit,étant petits. Celui ci devint rouge dès les premiers vers, reconnaissant son oeuvre:
"Petite bulle
Petit poisson
Petite bulle
Petit fripon
Et le chat arriva!"
Sam éclata de rire avec tous ses invités,le visage tout rouge,et tandis que tu fredonnais la musique il grimpa sur la table, passa un bras autour de tes hanches et clama la suite avec toi:
"Plouf plouf
Dans la mare!
Se la coulent douce
Les canards!"
Ton cher amant Avenger se mit alors à imiter le canard,accroupit et battant des bras repliés sous ses aisselles. Tu étais pliée de rire,et tu t'écroulas en un fou rire quand Steve -Steve fucking Rogers!- monta sur une table pour imiter à son tour le canard!
Y a pas à dire,il faut toujours rester des enfant.
Scott:
Garde de Cassie. Impossible de sortir s'amuser ou de s'envoyer en l'air. Et comble de la haine,Scott avait fichu le camp avec les Avengers. Tu étais coincée avec la petite qui essayait de t'apprendre une comptine. Génial.
"Y/N,Y/N! Regardes,il faut plier ses doigts comme ça et..."
Scott allait le payer.
OoOoO
Il rentra à deux heures du matin. Cassie dormait à poings fermés. Il se faufila dans votre chambre et se figea une seconde avant de fermer la porte.
Tu étais étendue sur le lit,en nuisette. Il s'approcha à pas de loup pendant que tu te relevais en souriant.
Il monta à quatre pattes sur le lit,tu tendis les mains vers lui et...ne leva que l'index de chaque main.
L'homme fourmi haussa un sourcil.
Tu plias tes indexs en chantonnant,très fière de l'emmerder: "Ca-mi-lle-la-che-ni-lle-se-plie-se-dé-plie..."
Le bord de ses lèvres trembla entre le sourire et l'envie de hurler: "Chérie...que fais tu...?
-Ca-mi-lle-la-che-ni-lle-se-plie-c'est-la-vie!"
Scott se pencha: "T'es bourrée?
-Ça s'appelle une carotte,trésor. Ce soir c'est canapé. Tu t'occuperas de la gamine!"
Et tu le viras de ta chambre.
T'challa:
Il y avait une fête en ville,pour le passage à l'âge noble d'un groupe de chasseurs. Tu étais toujours impressionnée par le mélange entre la modernité et les traditions au Wakanda,qui duraient depuis des millénaires.
T'challa et toi étiez descendus en tenue traditionnelle,une sorte de sari coloré et les cheveux enturbanés d'un foulard aux couleurs chaudes,vos pieds foulant directement la terre nue et rougeoyante.
Actuellement vous hurliez du Guns N' Roses à pleins poumons,revenus dans un état de transe adolescente:
"WELCOME TO THE JUNGLE! WE HAVE FUN AND GAMES! WE GOT EVERYTHING YOU WANT,HONEY WE KNOW THE NAMES!"
Le groupe qui reprennait la chanson était déchainé,vous leviez les bras, serrés dans la foule,et criiez:
"WE ARE THE PEOPLE THAT CAN FIND!"
T'challa déchira son haut,restant en bas de sari,et tu hurlas de rire.
"WHAT EVER YOU MAY NEED! IF YOU GOT THE MONEY HONEY,WE GOT YOUR DISEASE! IN THE JUNGLE, WELCOME TO THE JUNGLE,WATCH IT BRING IT TO YOUR!"
Tu n'aurais plus de voix demain matin. Peut importe. La nuit était chaude et encore longue.
Stephen:
Ça faisait bien...une ou deux heures que tu tournais en rond dans Kamar-Taj,en traînant un sac de livres que tu devais apporter à Wong. Mais Wong était absent pour une semaine et tu errais comme une âme en peine. En plus tu avais une chanson dans la tête,mais tu ne pouvais pas l'écouter sur Youtube parce que tu ne te souvenais que de l'air. Vie de merde.
En traînant ton corps fantôme dans les couloirs tu finis par croiser Stephen. Enfin,il te vit et tu ne le vis pas. Tu ne le remarquas que lorsque sa voix s'éleva: "The Buggles?"
Tu te retournas comme un zombie: "Hein?
-Deux. Ce que tu fredonnes,là. C'est de The Buggles. Tu connais?"
Tu le regardas comme un débile mental puis comme un messi: "Attends! Tu connais le groupe?
-Ben...oui.
-Et tu connais le titre de la chanson alors?!
-Mais...évidemment...Y/N,tu es sûre que tu vas bien?"
Tu laissas tomber ton sac de livres et enlaça ton homme: "Dis moi le titre!
-Ben... Video killed the radio star...
-MERCI!"
Tu étais folle de joie,déjà en train de pianoter sur ton téléphone pour trouver la chanson: "J'adore les chansons des années 80!"
Il te regarda de travers: "Elle est sortie en 1979."
Tu le regardas avec soupçon. "Non...elle est de 1980. Je suis sûre.
-Et moi encore plus. Cherches."
Tu ouvris wikipédia et grogna en constatant qu'il avait raison:
"Merde...et si tu es si intelligent,dis moi sa durée?
-4 minutes 14
-heu...l'album?
-The age of plastic."
Tu ouvris grand la bouche en constatant que toutes ses réponses étaient exactes:
"Mais tu es un monstre!
-Pas du tout.
-Chantes,pour voir?"
Il se racla la gorge:
"I heard you on the wireless back in Fifty Two
Lying awake intet at tuning in on you
If I was young it didn't stop you coming through
Oh a oh"
Tu ris: "Ok,je te crois! Hm...tu chantes bien, mon sorcier."
Tu déposas un petit baiser sur son menton en riant avant de filer. Vive les enregistrements! Tu avais une nouvelle sonnerie de téléphone.