(Cliff en média)
Je poussais un gémissement de douleur, assise sur un gros tronc d'arbres à l'abris des regards.
Clark venait de m'enlever la balle loger dans ma cuisse, et j'étais à la limite du pétage de plomb.
-Désolé, s'excusa t-il maladroitement.
-J'en ai vu des pires, répondis-je la mine sombre.
-Cliff m'a dit qu'après t'avoir soigner il fallait que je t'emmène le voir.
-Qu'est ce qu'il me veut ?
-T'offrir un verre, t'en a bien besoin je penses.
Je ris amèrement pendant qu'il me recoud. Ensuite, il m'entoura la cuisse d'un bandage, et me tapa le mollet avant de se relever.
-Voilà c'est fait, maintenant suis moi.
Il commença à avancer, et je levai un sourcil. Il s'arrêta soudainement et se retourna, embarrasser.
-Oups, j'ai oublier que tu ne pouvais pas.
Il se ravanca vers moi et passe ses bras en dessous de mon genoux et sous mon dos.
-Rassures moi, tu ne va pas me porter comme ça à travers les motards qui restent ? lui demandai-je.
-Bien sur que si, tu ne peux pas marcher.
-Clark, lâches moi, maintenant.
-Non, tu vas rouvrir ta blessures.
-Je t'ai dis de me lâcher ! criai-je.
Il commença à marcher malgré mes nombreuses protestations.
-Tu peux pas dire à Cliff de venir lui même ! Vu mon état je devrais être à l'hôpital et avoir interdiction de bouger ou d'être transporter ! Espèce de con !
-Non, il est rentrée à son loft pendant que je te soignais, il t'a envoyer une limousine pour t'amener à lui.
-Et ma moto elle compte pour du beurre ?!m'indignai-je.
-Il l'a fait renvoyer chez toi, no stress.
-Cliff je te hais, murmurai-je pour moi même.
Lorsque Clark me déposa à l'arrière de la limousine, je ne pus retenir un soupir de frustration.
-Aller, bonne chances, il est très en colère depuis qu'il sait qu'il t'a mit en danger.
Je levai les yeux au ciel.
-Je ne suis pas morte bordel.
Il referma la portière et je me retrouvai seule avec le chauffeur.
Génial. Il démarre sans un mot et s'engagea dans la circulation de Seattle.