NDA: Happy Halloween! Non ce n'est pas le thème aujourd'hui. Manque de temps et de volonté. En revanche aujourd'hui vous allez oublier touuuuuut ce que j'ai pu écrire auparavant. Parce que aujourd'hui vous êtes sa fille.
PS: Scott est absent parce que il me casse les pieds.
Warning: ils sont cool sauf Steve qui est plutôt badant. J'vous aurait prévenus! Enjoy!
Bruce:
"Papaaaaaaaa!"
Tu descendis en chaussons dans la rue,ta tasse de café à la main: "Mais t'es sérieux là?"
Le gros bonhomme vert se retourna, un chitauri à moitié arraché dans la main" Grumph!
-Mais t'es dégueu! Et changes de quartier,tu vas casser la maison!"
De ton bras sortirent des piques noirs qui épinglèrent un char chitauri contre un mur. Tu bus une gorgée de café et cria: "Tu comprends Big Guy? Vas te battre ailleurs! Laisse moi petit-déjeuner en paix!"
Le géant vert grogna longuement, baissa sa tête,posa un baiser sur ton crâne,grogna un "Vas faire tes devoirs" avant de sauter sur un immeuble envahit.
Tu soupiras avec un petit sourire et rentra chez vous terminer ta matinée dans un calme relatif.
Steve:
Papa! Papa...! Ta vision s'assombrissait,tu tremblais,ton corps chuta au sol sur les marches froides,tu te crispas,ton coeur te faisait mal mal mal... Ta tension faisait un mystérieux yoyo,tu gémis douloureusement.
La porte de l'appartement s'ouvrit,te baignant dans une flaque de lumière. La silhouette musclée de ton père apparut à contre-jour et se précipita sur toi en un instant.
Il te souleva,t'assis contre son large torse et plaqua la ventoline dans ta bouche.
Tu pu à nouveau respirer,ta douleur cessa peu à peu. Steve,ton père, frotta doucement ton dos: "Qu'est ce qu'il s'est passé? Tu as courru?
-Non...j'ai juste...monté les escaliers..."
Si tu tournais la tête tu savais que tu verrais le visage dévasté de ton père. Tu ne voulais pas voir encore sa tristesse et ses regrets.
Le sérum avait fait de lui un surhomme,mais son code génétique était faible et tu en avais hérité.
Jeune fille en sous-poids malgré ce que tu mangeais,malade tous les jours ou presque,incapable d'efforts physiques. La honte de ton père.
Dire que tu avais à peine abandonné tes prothèses pour marcher... Steve te serra dans ses bras dans un silence de sanglots refoulés et de regrets de ne pouvoir avoir un enfant fort et en bonne santé.
Tony:
"Padre! Padre où est la clé de ma voiture?"
Tu déboulas dans la salle de bain et ton père,sous la douche,poussa un cri aiguë: "Un peu de pudeur jeune fille!
-Oh c'est bon t'es mon père! Tu débarques le cul à l'air tous les quatre matins!
-Ça n'est pas une raison!
-Où sont mes clés padre?
-Cachées! Tu ne conduiras pas!
-Et on peut savoir pourquoi?"
Tu croisas les bras,le défiant du regard:
"Je suis majeure et j'ai mon permis je te signale.
-Je refuse que tu te mettes en danger!
-Parce que c'est vrai que faire le zouave en armure ce n'est pas dangereux!
-Rien à voir!
-Ah si! Tout à voir! D'ailleurs maman est d'accord avec moi!
-Ne mêle pas Pepper à tout ça!
-Je vais me gêner! Non mais je rêve! Ça ose m'interdir des choses alors que ça se permet tout! Et ne me sors pas que tu es adulte et mature,tu es pire que Peter Parker devant Captain America."
Ton père gonfla les joues: "Tu exagère!
-À peine. Mes clés."
Tony te pointa son jean par terre avec un air boudeur. Tu soupiras:évidemment, meilleure cachette du monde. Tu fouillas ses poches et en tira des clés fort intéressantes que tu fis sauter dans la paume de ta main en riant: "Cìao Padre!" Et tu filas. À toi la nouvelle Porsche rouge de Tony!
Fury:
Être la fille du chef d'une organisation secrète a des avantages. La discrétion, par exemple. Et là,elle allait t'être bien utile pour faire une connerie.
Le sachet en poche,tu te glissas en silence dans le couloir vide du secteur des situations d'urgence (un grand secteur,vraiment) et entrouvris la porte de la salle de réunion.
Ton père beuglant son débriefing aux Avengers au complet,les fenêtres fermées à cause de la hauteur. Et une. Seule. Porte. La tienne.
Tu gloussas. Stark se retourna. Tu agitas les doigts dans sa direction avec un sourire angélique,puis jetas les boules puantes dans la salle et ferma la porte.
Des cris de dégoût commencèrent à retentir. Tu bloquas la porte avec ton double ses clés puis cassa la serrure et la poignée,avant de repartir en riant, des cris et menaces retentissant derrière la porte. Maléfique toi.
Thor:
(NDA: I'm so proud of that draw 😂)
"Bats toi,manant!
-Y/N,ça suffit maintenant!
-Debout,aux armes!
-Y/N,il est à terre!"
Tu regardas ton père avec suspicion. Ne t'avait il pas demandé de te battre de toutes tes forces? Elles n'étaient pas encore épuisées,tes forces! Le maître de l'arène aida ton adversaire à se relever. Tu l'avais bien amoché. Bah,ça ne changerait pas trop sa sale tête.
Tu nettoyas ta lame courte et la glissa dans son fourreau à ta taille,puis foula la poussière et le sable pour rejoindre ton père,le dieu Thor,au bord de l'arène. Il t'attendait,un sourcil froncé,les bras croisés. Oh oh. Mauvais. Tu levas le menton,prête pour un sermon ou une gifle. À la place il te fit signe de le suivre.
En silence vous marchâtes côte à côte dans les jardins suspendus du palais. Vous finîtes par vous arrêter près d'une fontaine. Le fond de l'eau était clair et paisible,le bruissement des feuilles vous enveloppa.
Ton père,son regard posé sur l'eau, commença à parler: "Je sais que nous vivons dans un monde brutal,et que je t'ai appris à te battre. Maintenant que tu sais te battre je dois t'enseigner une seconde chose: la mesure. Ton ennemi principal est toi même. Tu te dois de te battre autant que tu bats ton ennemi. Si ton ennemi est à terre,tu te dois de te sentir à terre aussi. Ton adversaire sera toujours comme un autre toi,considère le comme un égal. Avec un comportement aussi digne tu seras une guerrière divine,et digne d'entrer au Vhalalla."
Tu mis quelques longues secondes à assimiler ses paroles,puis tu posas ta main sur la large épaule de Thor: "Je te rendrais fier,père."
Tu fis demi tour et retournas à l'arène. Ton père sourit et ses yeux s'embuèrent: "Je le suis déjà."
Loki:
La porte de ta chambre s'ouvrit en silence,créant pendant quelques secondes une raie de lumière sur ton lit,puis la pièce fut de nouveau plongée dans l'obscurité. Impossible que ce soit maman,elle couchait avec son nouvel amant depuis que tu étais couchée. Oui,les murs de l'appartement étaient fins.
Qui était donc dans ta chambre? Tu ralentis ta respiration pour sembler dormir et mieux entendre. La personne s'avança,ses pas légers frôlant le parquet,ses vêtements se frottant en douceur,et une odeur te parvint. Du cuir? Un parfum de shampoing pour homme?
Oh. Papa.
Il s'arrêta à côté de ton lit et s'accroupit près de ton visage. Tu fermas résolument les yeux. Si papa venait,il le faisait en toute illégalité.
Odin lui avait retiré son droit de visite,sans lui demander son avis évidemment,ni le tiens. Fille de jotün, tu étais supposée être un déclencheur du Ragnarök mais ton apparence humaine maintenait le doute. Bref.
Loki passa sa main douce dans tes cheveux,son pouce traçant la courbe de ta joue. Un minuscule sourire se dessina sur ton visage. Tu sentais le souffle frais de ton père sur ta peau. Il se pencha et embrassa ta tempe: "Je t'aime ma chérie. Fais de beaux rêves. Et joyeux anniversaire."
Un paquet fut déposé sur ta table de nuit. Alors qu'il se relevait tu murmuras: "Merci papa..."
Il se figea,puis tu sentis dans son souffle un sourire. Il remonta ta couverture sur tes épaules,embrassa ton front et disparu dans une brise légère.
Pietro:
Ton papa était accroupit quelques mètres devant toi,les bras tendus vers toi. Tenant maladroitement debout en étant accrochée au bord de la table basse,tu tendis un bras vers lui mais il ne bougea pas,te souriant.
Mécontente tu fis des bulles avec ta bouche et avança une jambe. Ça ne devait pas être si difficile de marcher, si?
Tu fis un pas vers lui et capta son regard émerveillé. Ah,tu vas voir!
Tu lâchas la table basse,écartas les bras et te pencha légèrement en avant pour n'être emportée ni par le poids de ta tête,ni par celui de ta couche.
Lentement tu pris un équilibre précaire et te mis à mettre un pied devant l'autre rapidement pour ne pas tomber.
Tu finis dans les bras de ton père,la tête contre son torse et ses bras autour de toi. Tu levas les yeux: l'immense fierté dans ses yeux cachés par ses mèches argentée te remplit le coeur d'une chaleur insoupçonnée.
Bucky:
Tu stressais à mort. L'infirmière de garde avait dit: "Votre père vient demain.
Holy Shit. God please.
Tu avais passé la journée à flipper et maintenant,il était là,de l'autre côté de la porte de ta chambre d'hôpital.
Stressée,tu tentas de cacher le plus possible ton visage avec tes cheveux. Il toqua et entra. Tu baissas les yeux sur tes jambes plâtrées et attendis une remarque acerbe qui ne vint pas.
A la place tu sentis le matelas s'affaisser sur ta droite. Tu levas timidement les yeux. James,les yeux cernés,te regardait fixement: "Jeune fille."
Tu baissas le regard: "Désolé papa."
Il esquissa un minuscule sourire et passa une main dans tes cheveux, dégageant ton visage: "Regardes moi."
Tu le regardas. Il sourit: "Tu sais que tu causes beaucoup de soucis à ton père.
-Pap's est trop stressé...
-Je sais bien. Mais tu sais,quand nous étions jeunes,c'est moi qui devrait aller le chercher. Il ne savait pas écarter un combat."
Tu gloussas: "Le fameux:je peux faire ça toute la journée.
-Exact." Il sourit. Tu murmuras: "Mais toi papa...tu n'es pas fâché?
-Fâché de quoi? Ma fille a décidé de militer pour les droits humains. Ça n'est pas de ta faute si ce policier a pensé que tu étais une menace."
Tu soupiras: "Désolée. En plus les frais d'hôpitaux sont exorbitants.
-Ne t'inquiètes pas,nous lui avons fait un procès et nous avons gagné."
Tu ris: "Vraiment? Je pensais que vous lui auriez cassé la figurine.
-J'ai du retenir pap's.
-Il peut faire ça toute la journée."
Vous rîtes. Bucky-Buck ébouriffa tes cheveux: "Allez miss,on rentre à la maison.
-Je ne peux pas marcher papa.
-Oh, ne t'en fais pas pour ça."
Il te souleva comme une plume et sortit en courant,toi dans ses bras comme une princesse et tous les deux morts de rire: "À l'attaque,monde vil et sournois!"
Peter:
Papa. Papa! Regardes papa! Tu hoquetas sous l'effort et te redressas sur tes fesses. Tu babillas joyeusement et tapas dans tes mains. Ton jeune papa bidouillait sur un écran sans te regarder.
Tu fis la moue et avisas depuis ton parc d'enfant la lampe de chevet. Ah ah. Tu propulsas une toile d'araignée sur l'objet du délire et tira d'un coup.
La lampe s'écrasa au sol.
Papa sursauta et se retourna: "Y/N! Mais arrête de faire des bêtises!"
Il s'interrompit en te voyant assise sur ton popotin. Une moue adoratrice prit place sur son visage et il se précipita sur toi pour te soulever et embrasser tes joues potelées: "C'est bien Y/N! Tu es le bébé le plus fort du monde!"
Tu ris et tendis tes bras vers lui. Papa te serra contre lui et te berca: "Je t'aime mon bébé."
Clint:
"Y/N! Yyyyyy/Nnnnnn!"
Merde. Le cache-cache se déroulait difficilement. Tu sortis en trombe de la grange,ton large chapeau de paille manquant de s'envoler sous la vitesse. Pieds nus,tu passas comme une flèche derrière ton père,sauta sur le premier noeud de l'arbre et l'escaladas en une fraction de secondes. Le verger était clairement ton domaine.
Tu t'allongeas sur une branche solide et jetas un rapide coup d'oeil à ta salopette;le genou était encore déchiré,maman allait t'engueuler. Eh maman,c'est un style!
En contrebas ton père fouillait la grange. Tu avais bien fait de changer de cachette. Comment ça c'est pas fair play? Peu importe. Tu attrappas une pomme et mordis joyeusement dedans. Le jus sucré coula du fruit mûr. Une brise fraîche souffla entre les feuilles,agitant tes cheveux. La vie à la campagne était belle tout de même.
Voyant ton père galérer,tu sifflas à l'aide de ton pouce et ton index: "Je suis ici p'pa!"
Clint leva la tête et sourit: "Petit singe."
Tu lui jetas une pomme: "On fait un crumble ce soir?
-Pourquoi pas. Tu m'aides?
-Je fais la pâte!"
Tu sautas de ton arbre et courus jusqu'à la maison,suivie de ton père riant.
Sam:
Woaaaaah... cours de maths... Ennuyant. Tu étais fatiguée. L'école c'était vraiment pas pour toi. Tu regardas par la fenêtre la cour de récréation vide. Merde alors. Qui ose enfermer des enfants par un temps pareil?
L'été indien était là,et tu ne rêvais que d'aller courir. Mais non,la maîtresse semblait bien décidée à vous apprendre la table de 7. Qui utilise la table de 7? Sérieusement. Tu observas tes petits camarades. La moitié bavaient sur leur table,l'autre baîllait aux corneilles. C'était un assez bon indice sur l'ennui général.
Et la maîtresse qui babillait dans le vide. Oh bon sang. Sonne sonne sonne.
La craie crissa sur le tableau. Sonne sonne sonne.
Une mouche s'écrasa sur la vitre. Sonne sonne s...
DRIIIIIIIIIIIING!
Tu te jetas sur ton cartable,y fourra tes affaires et bondit hors de la classe ventre à terre alors que la maîtresse essayait de crier les devoirs au dessus du vacarme des raclement des chaises et des conversations.
Tu traversas la cour en courant,ton cartable sur ton épaule,escaladas la grille encore fermée et...tombas nez à nez avec ton père.
Tu restas figée une seconde puis te jetas dans ses bras en souriant: "Papa!"
Sam sourit et t'enlaça: "Coucou crevette.
-Tu devais rentrer dans une semaine!
-On a fini plus tôt. Tu m'expliques pourquoi tu escalades la grille?
-Plus rapide. Et je voulais pas que la maîtresse me dispute encore parce que je n'ai pas fait signer le mot.
-Quel mot?"
Il prit ton cartable et le mit sur son épaule. Tu haussas les épaules en marchant: "Celui d'avant hier,pour la sortie au musée. Il fallait qu'un parent le signe.
-Mais je n'étais pas là.
-C'est pour ça qu'il n'est pas signé. Et je peux pas lui dire que quand tu n'es pas là pour des semaines je suis toute seule à la maison.
-Sinon elle appelerait les services sociaux... Je suis désolé ma puce,je serait plus présent,promis.
-Pas grave. Il est nul ce musée en plus."
Il rit: "Le même caractère que ta mère. Tiens,si on allait manger une glace avant de rentrer?"
Tu lui sautas au cou en riant: "Merci Papa!"
T'challa:
Ma chère Y/N,
Cela fait un mois maintenant que je pourchasse ce dangereux criminel qui a tué ton grand père. Je tiens une bonne piste,je crois que Captain America trempe dedans jusqu'à la moelle. Il me suffit de le suivre pour capturer ce terroriste,ce James Barnes. J'espère être rapidement de retour pour ton anniversaire. Je t'embrasse.
Papa.
Tu soupiras et replia la lettre. Papa. Une lettre à l'ère des SmS. Tu regardas la date d'envoi et rangea le bout de papier dans une boîte où tu gardais ses précédentes missives.
Elle datait d'il y a un mois. Bien évidemment il n'était pas rentré depuis.
Tu regardas le gâteau somptueux devant toi. Ce ne serait pas cette fois ci que tu fêterais ton anniversaire avec ton père.
Tu bus ta coupe de champagne d'un trait et murmuras: "J'ai 18 ans papa... je crois qu'aujourd'hui je peux me bourrer la gueule."
Stephen:
Cible verrouillée. Procédure 5.5 en cours. Approchons la cible. 10 mètres. 5 mètres. 4. 3. 2. 1. Cible capturée!
Tu passas la lanière de l'oeil d'Agamoto autour de ton cou et laissa l'artefact reposer sur ta poitrine.
Un tour de poignet plus tard tu disparaissais pour réapparaître dans le coeur de Katmandu,évitant à tes oreilles de subir le cri de ton père, exaspéré par ton comportement.
Tu ricanas:merci papa de t'avoir refilé le sens de la connerie. À présent tu attendais ta complice,aka la cape. Oui oui,en tant que fille du docteur Strange tu avais noué des liens étroits avec cette "femme" jalouse,en premier lieu lorsqu'à ta naissance Stephen t'avait enveloppée dans la cape par manque de linge propre.
Donc.
Collection d'artefacts pour conquérir le monde,ou au moins Kamar-Taj. Bon plan.
La cape vint s'installer naturellement sur tes epaules et tu te sentis planer a quelques centimètres du sol. Un portail doré s'ouvrit devant toi et ton père tenta de t'attraper.
En un tour de main tu déverrouillas l'oeil d'Agamoto,le disque vert entoura ton avant bras et tu le balanças vers la gauche. Hop,retour dans le temps.
Tu t'envolas et t'installas sur le toit de la grande mosquée. Voyons voir. Que changer dans cette ville animé? Oh. Oh! Wong passe par cette porte? Mais c'est qu'il y a du potentiel pour une blague potache!
Tu remontas le temps,plaça un seau d'eau au-dessus de la porte,remontas sur ton perchoir et éclatas de rire quand le seau se renversa. Et une Beyoncé trempée,une!
Attachant tes cheveux en queue de cheval,tu passas aux choses sérieuses. "Papa,je viens négocier.
-Il n'en est pas question jeune fille."
Stephen,le seul sorcier pouvant te remettre la main dessus quand tu fais des conneries. Tu remontas le temps, démarra une boucle et lui jeta de la peinture violette dessus en riant: "Papa,je suis venue négocier.
-Il n'est est pas...Y/N. Arrêtes tes bêtises et rend moi l'oeil.
Rewind. "Papa,je suis venue négocier.
-Arrête ça. On ne joue pas avec le temps.
-C'est vrai que tu es bien placé pour parler."
Rewind. "Papa...
-Y/N,dernier avertissement."
Rewind. "Papa! 🎵"
Il grogna: "Que veux tu?
-Une journée en famille à Disneyland SANS alerte Avengers ou autre!"
Il soupira en souriant: "Vous négociez chèrement.
-Et le dernier Assassin's Creed."
Il rit: "Très bien,j'accepte vos conditions. Mais rendez moi mes artefacts."
Tu lui rendis en souriant le collier et la cape,heureuse.
Il s'envola en ricanant: "Si tu n'es pas redescendue ce soir on enverra Wong,ne t'en fais pas!
-Quoi?!"