La guérisseuse vampire. [TERM...

By UnPhoqueQuiLouche

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Nous sommes en 2457. Les vampires se sont révélés aux humains il y a plus d'un siècle, et les deux races vive... More

Chapitre 1. [Corrigé]
Chapitre 2. [Corrigé]
Chapitre 3. [Corrigé]
Chapitre 4. [Corrigé]
Chapitre 5. [Corrigé]
Chapitre 6. [Corrigé]
Chapitre 7. [Corrigé]
Chapitre 8. [Corrigé]
Chapitre 9. [Corrigé]
Chapitre 10. [Corrigé]
Chapitre 11. [Corrigé]
Chapitre 12. [Corrigé]
Chapitre 13. [Corrigé]
Chapitre 14. [Corrigé]
Chapitre 15. [Corrigé]
Chapitre 16. [Corrigé]
Chapitre 17. [Corrigé]
Chapitre 18. [Corrigé]
Chapitre 19. [Corrigé]
Chapitre 20. [Corrigé]
Chapitre 21. [Corrigé]
Chapitre 22. [Corrigé]
Chapitre 23. [Corrigé]
Chapitre 25. [Corrigé]
Chapitre 26. [Corrigé]
Chapitre 27. [Corrigé]
Chapitre 28. [Corrigé]
Chapitre 29. [Corrigé]
Épilogue. [Corrigé]

Chapitre 24. [Corrigé]

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By UnPhoqueQuiLouche


Un silence pesant s'abattit dans notre petit groupe. 

- Tu veux dire que tu n'es plus un vampire ? demanda Maria, sous le choc.

- Non, je suis un loup garou, depuis dix ans maintenant, annonça mon cavalier dont la honte dans sa voix se faisait ressentir. 

La colère monta en moi. Il ne devait pas avoir honte de sa nature. Surtout qu'il était rare dans ce monde maintenant, tout comme moi, et on me respectait pour cette rareté. 

- Enfin Zachary, ce n'est pas grave ! Tu es notre fils et le futur héritier de la Dynastie des Wilson, soit fière, tu es rare et fort ici bas, et ce soir, ta succession au trône de ton oncle est fêtée, annonça son père Antonio, qui semblait plus fier que déçu que son fils ne soit pas un vampire. 

Mon compagnon parut surprit de ce revirement de situation, et sourit de soulagement. Sa mère vînt l'enlacer, et tout est bien qui finit bien. La famille était heureuse de se retrouver, et même Aaron, qui venait de débarquer d'un côté de la salle, fut soulager de retrouver son cousin. Même si ils ne s'entendaient pas bien. 

Zachary se détacha de l'étreinte de sa mère, et dit à sa famille en me montrant du bras : 

- Maman papa, je vous présente ma future femme, Debby.

Quoi ? Je tournai la tête vers lui, choquée de tant d'aplomb, et il profita de mon trouble pour me saisir le bras et m'embrasser sur la bouche devant tout le monde. 

- La future reine maintenant !  s'exclama Alexander, qui leva son verre de champagne pour porter un toast. 

- Mais ça ne te dérange pas de me céder ton trône mon oncle ? demanda Zach, qui me serrait de son bras droit. 

- Bien sûr que non, je suis si fatigué de devoir tout gérer ! Et puis Aaron est un abruti qui ne pourra jamais rien gouverner de sa vie sans tout faire exploser, lui répondit le roi. 

Le concerné souffla de mécontentement, mais ne paru pas le prendre comme une insulte. Je tirai alors sur le bras de Zach pour lui murmurer à l'oreille, pleine de colère : 

- Depuis quand on est fiancée Zachary ? 

Il parut réfléchir, et il me tira le bras alors que la famille royale continua à parler seules, sans s'occuper de notre départ précipité. Il m'emmena dans sa chambre, sous le regard de quelques curieux, alors que j'essayai tant bien que mal de le suivre avec mes hauts talons. 

Une fois la porte refermée derrière nous, je jetai ma pochette noire sur le lit en croisant les bras. 

- Expliques moi avant que je m'énerve Zach, parce que nous n'avons rien convenu du tout. 

Il s'avança vers moi, les yeux doré, luisant d'excitation. Bon dieu il allait me tuer avec ses réactions qui provoquaient en moi des torrents d'émotions. 

- Je te l'ai dis Debby, tu es à moi... siffla t-il d'une voix de gorge, qui montrait son excitation. 

- Je ne suis pas à toi, tout ça ne veut rien dire ! m'exclamai-je perdue.

- Tu ne t'es jamais demander pourquoi tu réagissais aussi violemment avec moi ? Pourquoi tu avais des envies que tu n'as jamais eu avec d'autres hommes ? me demanda t-il, alors que nous n'étions qu'à quelques mètres de distances l'un l'autre. 

- Si, mais écoutes c'est parce que tu es un loup garou je suppose je... 

Il m'interrompis d'un mouvement de main. 

- Tais toi, tu ne comprends rien, tu m'appartiens jusqu'à ta mort Debby, s'écria t-il en me bondissant presque dessus. 

Il fut juste devant moi, nos deux tête à deux centimètres de distances.

- Expliques moi... murmurai-je, alors que je sentais mes barrière tomber autour de moi, et que mon corps le réclamai. 

- Tu es mon âme sœur, lâcha t-il, en me prenant par les fesses. 

- Qu'est ce que ça veut dire ? demandai-je, confuse, en fixant sa bouche avec envie.

- Que nos âmes sont reliées, et que tu m'appartiens comme moi je t'appartiens, susurra t-il en me soulevant de terre. 

- Mais pourquoi ? 

- Tout les loups garou ont une âme sœur, et tu es la mienne, me dit-il en embrassant ma mâchoire alors que je basculai la tête en arrière pour facilité son passage dans mon cou, rien ne peut brisé ce lien Debby, et l'autre jour, quand je t'ai mordu, je t'ai fais mienne, ce qui veut dire que le lien s'est consolidé. 

- Et moi si je te mord ça fait quoi ? soufflai-je pendant que ses dents effleurait une de mes artère sur mon cou. 

- Tu l'as déjà fais, et le lien s'est complété, maintenant, tu ne peux te nourrir que de moi. 

- Pourquoi ? Je me suis bien nourrit avec l'autre loup garou... 

- Parce que je l'ai décidé ! Tu ne touchera plus aucun loup garou et humains à part moi ! cria t-il en me plaquant contre le lit violemment. 

PASSAGE A CARACTERE SEXUELS :)

Je gémis d'excitation, et cela parut le rendre fou, car il souleva ma robe, pour poser sa bouche contre l'intérieur de ma cuisse, qu'il embrassa doucement, pendant que j'agrippai les draps de son lit, qui sentait son parfum. 

Je sentis ses doigts s'aventurer vers mes replis les plus intimes, et je me cambrai d'appréhension. Il écarta les pans de ma culotte, et je sentis l'air frais sur mes chaires. Il caressa d'un doigt mon intimité, et je soupirai d'aise. 

- Tout ça est à moi Debby, tu comprends ? me dit-il, en remontant son corps à hauteur du miens, en gardant sa main vers mon entrejambe. 

Je hochai la tête, et il enfonça un doigt en moi, alors qu'une plainte de plaisir s'échappa de mes lèvres. J'enroulai mes jambes autour de son bassin, et j'allais retirer mon masque de mon visage, mais il m'arrêta. 

- Laisses le, je veux imaginer chaque traits de ton visage pour être sur de les avoirs mémorisé par coeur.

Je souris, et il m'embrassa à pleine lèvres, pendant qu'il inséra un deuxième doigts dans mes chaires. Mon corps se plaqua de lui même contre son torse, et il approfondit son baiser en aspirant ma lèvres inférieur. 

Alors que j'allais jouir, car il appuyait sans relâche sur le point le plus sensible de mon anatomie, il retira ses doigts, et je criai de frustration. Il lécha ses doigts mouillés devant moi, et me chuchota : 

- Patience ma douce, patience. 

Il retroussa complètement ma robe sur mon ventre, et se leva en m'ordonnant de ne pas bouger, pour finalement déboutonner sa chemise, et enlever son pantalon de smoking. Je pus admirer sans soucis sa musculature de dieu vivant, tandis que lui,lâcha un grognement animal, en me voyant à demi nue pour lui tout seul. 

Ses yeux jaunes se posèrent sur mon entre jambe, et il frémit, alors que je voyais la bosse dans son caleçon devenir immense. Je resserrai mes jambes inconsciemment pour faire diminuer ces crampes de désirs dans mon bas ventre, et il comprit ce que je voulais. D'un geste de sa part, ma culotte disparue, et il se mit au dessus de moi, prit mes cuisses, les écarta, et d'un coup de bassin violent, rentra en moi. 

Je criai de plaisir, et il posa une main sur ma cuisse droite, pour la maintenir contre sa taille, puis se baissa vers moi, pour avoir nos corps collés l'un contre l'autre. Il me pilonna énergiquement mais lentement, pour être sûr que je prenais bien mon plaisir, et pour ne pas se précipité. 

Alors qu'il commençait à accélérer, je le poussai à côté de moi, pour monter sur lui et le chevaucher. Je m'empalai sur lui, et commençai à onduler des hanches, alors que lui, paraissait surpris de ce revirement de situation. 

Il me laissa faire, en posant ses mains sur mes hanches, et il finit par lâcher des râles grave, qui faisaient bouger sa pomme d'Adam, lorsque je me frottai et ondulait fort des hanches contre lui. 

Je me contractai alors, ayant un spasme de plaisir, et il finit par bouger des hanches d'avant en arrière avec moi, pour multiplier notre plaisir. Alors que je finis par allonger ma poitrine contre lui, et que ma robe recouvrait nos bassins, il saisit le haut de ma robe et la déchira, laissant apparaître mes seins à sa vue. 

Il grogna, et finit par jouir en moi, alors que je n'avais pas tout à fait finit.

J'étais essoufflée et un peu déçu, mais je ne lui fis pas savoir. Alors qu'il reprenait son souffle, je m'enlevai de lui et ma robe en lambeau tomba sur le lit. Je sentis sa semence couler de mes chaires, et je souris. 

- Tu es incroyable ma douce, chuchota Zach qui me regardait, admirateur. 

Je ne répondis rien, et il remarqua mon trouble. 

- Qu-est ce qu'il se passe mon amour ? me demanda t-il, alors que je m'assis contre la tête de lit.

- Rien je... je n'ai pas finis, dis-je finalement, cramoisis. 

Son visage s'assombrit, et la colère passa sur son visage.

Il se redressa, rampa sur le lit jusqu'à moi, et écarta mes jambes d'un geste. Il plongea la tête entre mes jambes, et j'ouvris la bouche de surprise, pendant qu'il me regardait d'un regard prédateur. 

- Je finis toujours ce que j'ai commencé, sache le Debby... susurra t-il avant de replonger la tête dans mes chaires, en m'en faisant presque trembler...

~~~~~~~~~

FIN PASSAGE CHAUD :)

Quelques instant plus tard, j'avais presque hurler à m'en briser les cordes vocales tellement il avait prit soin de moi. 

Nous étions posé dans les couvertures, nus, l'un contre l'autre, Zach dormant tranquillement contre mon épaule. Je songeai alors ce que cela impliquait, d'être l'âme sœur de Zachary. 

J'allais devenir l'épouse du roi, donc la reine des vampires... 

J'entendis alors des cris dans la salle de réception, alors que j'allais presque m'endormir. 

Quoi encore ?

Je regardai Zach, qui dormait d'un sommeil de plomb, et je me levai, pour mettre sur mon dos la chemise de mon compagnon, et une culotte, on ne savais jamais,  puis je sortis de la chambre à pas feutrés. 

En refermant la porte et en regardant dans la salle de bal, je vis un homme qui me paraissait familier. Je restai alors figée. C'était le loup garou que j'avais tuer par erreur il y a plusieurs mois maintenant. 

Il était en plein milieu de la salle, et les gens le regardaient avec effrois. Il avait un oeil noir et un oeil rouge, comme si il était à moitié quelque chose. 

Et je compris au trou béant dans sa poitrine, qu'il était devenue une espèce de mort vivant, que l'on appelant communément, un larbin. 

Alors que je m'avançai à grand pas, prête à combattre, il commença à attaquer des nobles. Alors je n'hésitai pas. 

Je fonçai sur lui, en surgissant dans la salle comme un démon vengeur, et je lui assénai un coup de poing en plein dans la face. Il recula un peu, surprit de l'attaque, mais il n'afficha aucunes émotions de douleurs.

Il avança vers moi.

- Tu m'as.... tué... dit-il d'un ton zombifié.

- Par erreur... je sais que c'est regrettable mais c'est comme ça.

- Menteuse...

J'étais en rogne, je lui mis donc une claque, ce qui lui fit tourner la tête à gauche.

Les larbins étaient puissants, et celui ci avait l'air de pouvoir me broyer quand il voulait. 

Soudain, il prit mon bras et me balança de l'autre côté de la pièce. J'atterris de plein fouet sur le trône et je lance du tac au tac :

- Quand on veut envoyer valser une femme, c'est sur la piste de danse, et pas en la jetant contre un meuble, goujat sans tenue ! 

Je me levai, en ignorant les cris de Maria qui me disait de reculer, et je me dirigeai vers lui. Je lui attrapai le cou, et je le serrai de toutes mes forces, avant de l'envoyer au plafond, qu'il finit par traverser. 

On n'entendit plus rien, et je m'inquiétai, sur mes gardes. Puis , je sentis un léger vent derrière moi et des exclamations venant du monde dans la pièce. J'avais compris qu'il était derrière moi. 

Il me prit par la nuque et essaya de me faire basculer en arrière, sauf que je me penchai en avant pour le contrer, et je tirai sur un de ses bras. Il tomba en avant et s'étala à terre dans un bruit sourd. 

- Louper mon vieux, sifflai-je. 

Il se releva presque instantanément, et il me prit sur son épaules. Je me débâti en hurlant, et il finit par me descendre, et me plaquer la poitrine contre le mur, dos à lui. 

Il me prit par les cheveux, et me frappa la tête contre le mur. Mon nez craqua sous le choc et je compris qu'il m'avait pété le nez, ce connard.

- CA FAIT LA DEUXIÈME FOIS QU'ON ME PÈTE LE NEZ ALORS CA SUFFIT ! hurlai-je. 

Oh oui, oui oui, ca allait chier.

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