PURSUED [terminée]

swxtmisery द्वारा

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"Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas" Difficilement, fatiguée, j'ouvre mes yeux. Il... अधिक

☠ W.A.R.N.I.N.G ☠
Prologue ✔️
Chapitre 1. ✔️
Chapitre 2. ✔️
Chapitre 3. ✔️
Chapitre 4. ✔️
DECEIVE
Chapitre 5.✔️
Chapitre 6. ✔️
Chapitre 7. ⚠ ✔️
Chapitre 8. ✔️
Chapitre 9. ⚠ ✔️
Chapitre 10. ✔️
Chapitre 11. ✔️
Chapitre 12. ✔️
A BIG BIG....
Chapitre 13. ✔️
Chapitre 14. ⚠ ✔️
Chapitre 15. ✔️
Chapitre 16. ✔️
Chapitre 17. ✔️
Chapitre 18. ✔️
Chapitre 19. ✔️
Chapitre 20. ✔️
Chapitre 21. ⚠✔️
BONUS - FLASHBACK
Chapitre 22. ✔️
Chapitre 23. ✔️
Chapitre 24. ✔️
Chapitre 26. ✔️
𝑪𝒉𝒂𝒓𝒂𝒄𝒕𝒆𝒓𝒔
Chapitre 27. ✔️
Chapitre 28. ⚠ ✔️
Chapitre 29. ✔️
Chapitre 30. ✔️
Chapitre 31. ✔️
Chapitre 32. ✔️
Chapitre 33. ✔️
Chapitre 34. ✔️
Chapitre 35. ✔️
Chapitre 36. ✔️
Epilogue.
L'EGARÉE
BONUS
100k!!!

Chapitre 25. ✔️

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swxtmisery द्वारा

Hello le people. Ce qui suit n'est peut-être pas "ADULTE-ADULTE", mais il peut y avoir des choses gênantes quoi, alors bon, tu peux lire, mais si tu deviens rouge dès le début, je te laisse aller un peu plus loin dans l'histoire LOOOOOL

Bises les gens.

**************************************************

Il s'attaque à ma nuque tout en l'embrassant pendant que je mords ma lèvre pour ne pas échapper de bruit gênant. Une de mes mains tire sur ses cheveux pendant que l'autre glisse le long de son dos, jusqu'à ce qu'il vienne me mordre lobe de l'oreille. Une sensation bizarre se trame au bas de ventre. Déposant à nouveau mes lèvres sur les siennes, je ne me prive pas pour le caresser et l'embrasser encore une fois.

Je le pousse sur quelque chose de mou, encerclé par deux murs. J'attrape sa nuque et son souffle chaud s'écrase contre ma peau. Son front se pose contre mon épaule et quelques secondes passent sans qu'il ne dise rien ... Liam enfouit son visage dans mon cou et m'embrasse avec langueur. Je soupire de plus belle. Décoiffe ses cheveux humides et rebelles. Épouse son corps qui tente de fusionner avec le mien.

— Tu sais dans quelle merde tu te mets Aurélie ?

Sa voix grave parvient à mes oreilles en un seul murmure. Mes hanches bougent contre les siennes sans s'arrêter alors qu'il essaye par tous les moyens de les stopper.

— C'est ça ce que tu veux depuis le début. Tu le veux aussi et tu ne peux pas mentir.

Je désigne du doigt la bosse qui se forme en bas. La ceinture entrouverte, on peut apercevoir le caleçon gris. Il me touche mais sans aller plus loin, il le veut mais se retient.

— Je sais que tu ne pourrais pas t'empêcher de faire quelque chose. Profite, je suis bourrée.

— Justement, on pari combien que demain tu ne te souviendras de rien ?

Sans me reconnaître, je râle d'impatience pour qu'il me touche, là où ça me brûle. En plongeant mes yeux dans les siens, je guide sa main là où l'envie brûle, là où je n'ai pas été touchée depuis très longtemps. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Demain, je le regretterai probablement. Avec certitude, même. Mais ce soir, les conséquences m'importent peu. L'alcool y est certainement pour quelque chose.

— Arrête de penser, Aurélie, m'ordonne-t-il plus qu'il me le conseille.

Son érection frotte contre mon intimité, j'active le rythme tandis que ses caresses me font perdre la tête. Il m'empoigne plus fort, gagne du terrain, frôle mon intimité qui n'attend que lui. Puis il se relève et me laisse frustrée, enflammée. Il me soulève, mes jambes s'accrochent et ne veulent pas se détacher. Il dépose une pluie de baiser tout en ayant une de ses mains enlacées avec les miennes. Il parle mais je n'entends rien de ce qu'il me dit, des mots chuchotés rentrent aussi vite qu'ils sortent. Il place dans mon dos mes poignets, les bloquant pour ne plus que je bouge.

— Tu peux rendre mes mains ? Je demande la tête en arrière alors qu'il mord lentement ma peau.

Il relève sa tête. Sa main gauche se pose sur le bas de ma cuisse et la caresse.

— Pourquoi ?

Sa bouche touche doucement un de mes seins, sa langue fait le tour, me provoque sans jamais s'arrêter. Il arrête quelques secondes pour que je puisse parler.

— Nous jouons à deux.

— Je ne crois pas que tu es en mesure de faire quoi que ce soit Aurélie.

Je n'ajoute rien alors qu'il redescend sa tête au même endroit que tout à l'heure, il suçote ma peau, la mord, l'embrasse. Mes mains toujours emprisonnées dans les siennes, essayent de se défaire. Sous ses doigts, ma peau brûle ; elle meurt d'envie d'aller plus loin alors que ma raison me criait d'arrêter.

Il caresse ma joue, me regarde dans les yeux et se mord la lèvre. Il m'embrasse. Je veux plus, même au point de le regretter le lendemain. Après tout, je suis bourrée, défoncée. Il lâche mes mains et me laisse enfin partir à la découverte de son torse bombé, ses hanches et le reste de son corps.

Je nous fais basculer sur le côté pour pouvoir prendre le dessus, et étonnamment, il me laisse faire. Lorsque j'embrasse son cou, ses mains se posent sur mes hanches. Je sens ses doigts passer sur mes lèvres, qu'il dévore, descendre sur mes seins, qu'il frôle, et empoigner mes fesses, qu'il pétrit. Il me plaque contre lui, me faisant ressentir la force de son désir. Son érection est logée pile sur ma zone sensible.

Il ferme les yeux et se laisse aller à mes caresses. Il serre fortement mes hanches, et sa mâchoire se contracte de temps en temps. Glissant ma bouche jusqu'à son nombril, je joue un instant avec, avant de lui mordiller la hanche et de descendre directement sur le haut de sa cuisse. Sa tête se pose sur l'oreiller mais d'un coup sec, il me renverse. Son corps chaud se retrouve plaqué contre le mien, mais plus aucune action ne m'est permise.

Son regard ardent me force à le jauger alors qu'il ne bouge plus. Il semble réfléchir, mais je n'y prête pas trop attention. J'essaye de l'embrasser pour qu'il continue, mais il tourne la tête pour éviter un seul contact. Il souffle.

— Pas que tu pues l'alcool et la drogue, mais je ne ferai rien avec toi ce soir.

Il me lâche et se lève tandis que je continuais de le regarder. Je commence à avoir des nausées. Je me lève à mon tour précipitamment et attrape un seau rempli de glace pour gerber dedans. Je tousse juste après pour le goût infect qui se répète. La drogue, c'est mal. Alors pourquoi j'en ai pris ? Ma bouche s'ouvre à nouveau et du liquide sort. Je n'imagine même pas Liam regarder la scène, probablement en train de rire ou seulement faire autre chose pour ne pas jauger se désastre.

— C'est bien ce que je pensais. Tu ne tiens pas l'alcool.

— de la D.R.O.G.U.E, drogue. Tu sais ce que c'est ? Ou t'es trop stupide pour comprendre ? Je lâche méchamment.

Je ne sais pas pourquoi, mais au fond de moi. Ça me fait du bien de l'insulter.

— Je pensais que c'était une habitude de prendre de la cocaïne dans ton domaine ?

— Oh mais c'est le cas, mais pas avec un mec en chaleur à côté de moi.

— Normal, tu n'es pas gay, sinon t'aurais pas la bite à l'air.

Je pose le seau à mes pieds et pars à la salle de bain. Je me penche sur le lavabo et me lave la bouche de cette sensation et odeur horrible que j'ai recraché. En revenant dans la chambre, Liam ne se trouve pas très loin de moi. Je le regarde puis souris.

— Tu sais ce que j'aime le plus au monde ?

— Me faire chier ?

— Non, ça c'est la deuxième chose que j'aime le plus au monde.

Maladroitement, j'avance puis trébuche comme une merde sur le lit. Mes yeux se ferment tellement la fatigue est importante.

— T'es encore pire bourrée.

— Ferme-la, j'essaye de dormir.

Je sens des bras me pousser puis me remettre correctement dans le lit. Je sens ses biceps tendus, ses épaules contractées et sa peau brûlante. Une couverture me recouvre puis un corps chaud se plaquer contre le mien :

— C'est quoi cette fameuse chose que tu aimes le plus au monde ?

— Dodo, je grimace en un soupire.

J'attrape la couette et la place sur ma tête pour ne plus entendre sa voix agaçante qui parvient à mes oreilles. Je l'entends rire pour souffler une injure. Je l'entends bouger encore une fois puis pour la première depuis que je le connais, je m'endors sans avoir peur du lendemain...


****


Je ferme les yeux et les rouvre comme si je voulais me réveiller d'un rêve ou d'un cauchemar, comme si je cherchais à rassurer une partie de moi-même la lueur du jour rend mes yeux complètement aveugles pendant quelques secondes. Je me retrouve là dans une chambre inconnue. D'accord, je crois que je deviens folle, sincèrement. Je ne me souviens de rien, mais je ne pense pas qu'il soit compliqué de deviner ce que j'ai fait : j'ai fait une connerie. Mais était-ce le même avec qui je me suis défoncé ?

Il n'y a personne à côté de moi. Les draps sont vides mais chaud, mon corps, lui, est froid... Et... Nu dans l'étoffe blanche complètement désordonné. En levant le haut de mon corps, j'aperçois la pièce. Une porte est fermée et j'entends l'eau couler puis s'arrêter.

Je me lève précipitamment et attrape un objet, la porte s'ouvre et ma main part. Une poignée attrape mon bras et le vase s'écrase sur le mur. Les yeux bruns du tueur me font frémir. Me retrouver dans une chambre inconnue est le cadet de mes soucis, le problème étant le fait que j'ai couché avec le tueur série.

— Tu fais ça à tous tes coups d'un soir le matin ?

Ses cheveux et sa barbe sont mouillés. Je n'arrive pas à prononcer un seul mot. J'ai été tellement vulnérable cette nuit ? Mais qu'est-ce que j'ai fait.

Il fronce les sourcils puis me contourne. Il attrape son t-shirt et l'enfile.

— La police va arriver. Il faut bouger.

J'ai encore un peu mal à la tête à cause de ce que j'ai fait hier soir. Des flashs me reviennent. Drogue, danse. Les flics qui sont apparus. Je ne me souviens pas de la suite, mais on peut vite le comprendre. Je le regarde bouche bée alors qu'il s'approche et appuie une pile de vêtements contre me torse. Il me jauge et prononce encore ces mots :

— Bouge.

— Non.

Il s'arrête dans sa lancée. Puis se retourne vers moi. Le mot est sorti tout seul de ma bouche, je n'ai pas pu le garder.

— T'étais moins chiante hier.

Je tourne ma tête. Je me retiens de me frapper. Puis, devant moi, à quelques centimètres. Il saisit mon visage et je commence à trembler.

— Tu veux que je te dise quelque chose Aurélie ?

Je hoche la tête doucement pendant qu'un sourire se forme au coin de ses lèvres.

— Tu ferais mieux de t'habiller.

Ma bouche s'ouvre puis le pousse. Je n'ai jamais mis aussi vite mes vêtements. Liam a tourné le dos, son arme posée non loin de lui, je la fixe. Je regarde ailleurs quand il me jauge. En quelques secondes, il se trouve devant moi encore une fois, mais cette fois-ci avec un pistolet à la main. Il l'ouvre et des balles sont à l'intérieur.

— T'as intérêt de bouger lorsque je te le dirai Aurélie.

Je souffle tandis qu'il se dirige vers la fenêtre et qu'il jauge dehors. Son cul se pose sur le rebord et il charge, décharge son arme sans s'arrêter.

— Je n'aime pas le bruit.

Juste pour éveiller un peu plus mes nerfs, il le fait une énième fois.

— Je suis sûre que tu étais moins énervant hier.

Sa mâchoire se contracte. Je n'ai que très peu de souvenir. Seulement des images. Ça ne m'étonne pas de lui qu'il est profité. J'ai envie de lui sauter dessus pour avoir osé de l'avoir fait, mais... J'ai envie de me claquer aussi pour n'avoir rien fait. A moins que...

— Tu... Tu m'as...

Il me jauge puis souffle en regardant à nouveau par la fenêtre.

— Non. On n'a rien fait.

Je crois que je n'ai jamais autant expiré de toute ma vie : le soulagement, voilà ce que je ressens. C'était l'alcool. Seulement ça et il n'y avait rien d'autre. Heureusement, j'ai dû l'arrêter avant qu'il ne fasse quoi que ce soit. Cependant, me retrouver nu n'était certainement pas dans mes plans.

— On va devoir y aller, il quitte la vitre puis attrape sa veste.

Putain.

— La police est en bas.


****


La nuit est enfin tombée doucement autour de nous. Le seul bruit que j'entends est le vent qui se percute aux feuilles et qui touche ma joue. La fenêtre ouverte, je regarde la forêt sombre. Le peu de lumière qu'il y a est donné par la lune et par l'éclairage des fars. Liam ne parle pas, il est concentré sur la route.

— Tu as retrouvé cette personne dont tu m'as parlé ?

— Oui.

Ça ne m'étonne pas du tout de lui.

— Tu lui as dit au moins ce qu'elle a fait ?

— Oui. Maintenant arrête de me faire chier avec ça.

Il ne prononce rien d'autre. Il reste silencieux, comme s'il pouvait se brûler la langue s'il disait quelque chose de plus sur son passé.

— Comment on va faire pour trouver Emile ?

— C'est lui qui nous trouvera.

— Comment tu peux en être si sûr ?

Sa main serre le volant et ses sourcils se froncent, peut-être agacée par toutes ses questions.

— Emile me cherche depuis des années. S'il a l'occasion de m'attraper, il ne la laisserait pas passer.

— Je croyais qu'il me cherchait aussi ?

Un rire sort d'entre ses lèvres.

— Oh mais toi il t'a trouvée depuis longtemps.

Tout ça me dépasse. Comment se fait-il qu'il m'ait trouvé mais que je suis toujours en vie. « Tu es un témoin » ; « Tu as vu un détail qu'il a oublié de dissimuler ». Je veux bien être cette personne dont ils parlent, malheureusement pour moi, beaucoup de souvenirs se sont échapper.

— Toutes ces personnes sur le tableau, qui sont-ils ?

— Des liens.

Je détaille son visage impassible, concentrée, ne voulant certainement pas être dérangé. J'attends plus comme réponse et il le voit quand ma tête se pose sur le dossier. Il souffle.

— Emile connait des centaines de personnes et la plupart en font partis.

Je cligne des yeux et hoche la tête. Mon coude se pose sur la fenêtre et je recommence à ne rien faire. Je soupire et reprends alors qu'il regarde son téléphone :

— Donc mon supérieur connait -

En un instant, la voiture est garée et Liam sort. Mes sourcils se lèvent dans l'incompréhension et mon corps bouge brusquement loin de lui lorsqu'il ouvre ma portière.

— Sors.

— En pleine forêt ? ... Si tu en as marre de mes questions il fallait y répondre quand je t'en posais.

D'un air blasé, il saisit mon bras et me force à sortir. Il me colle au véhicule et claque la porte.

— Pour le nombre de questions que tu as posé jusque-là, je ne t'aurai pas abandonné ici mais je t'aurai plutôt coupé la langue.

Joyeux.

— Léon m'a envoyé un message. Emile est dans les parages. S'il l'est, certains de ces acolytes ne sont pas loin de nous, on va devoir abandonner le véhicule.

— Et comment il sait ça ? Je croyais qu'il changeait presque tout le temps de logement ?

— Il n'est pas le genre de Christina. Je lui fais confiance.

Je n'en doute pas une seconde.

— Maintenant. Tu bouges.

Toujours agréable. Il ne changera jamais. Vivement que j'en finisse. Alors que nous commencions à nous éloigner de la voiture, un bruit de sirènes parvient à nos oreilles. Je me retourne. Une voiture de police se gare et deux personnes en sortent. Liam s'arrête à son tour. Ils nous interpellent.

— Cours Aurélie.

Et c'est ce que l'on fait.


A/N_

  Ce chapitre ne comporte pas forcément d'action, mais il est important pour que je puisse écrire la suite !!

BON. Ils ne baisent finalement pas. Vous êtes triste? Heureux? On sait jamais. Bon j'avoue, au départ je voulais qu'il se passe quelque chose entre eux, mais finalement, j'ai changé tout ça,  comme vous pouvez le lire. Bon ils se chauffent, mais sans plus quoi.

Avez-vous des idées sur ce qu'elle "aime le plus au monde"?

On en apprend un peu plus à chaque fois sur ce qu'il se passe réellement dans cette histoire.

PS : Emile arrive bientôt, il se prépare dans l'arrière scène.


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