MARCIIIIIIII MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI MARCI.
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
Yurio et Otabek : Étant donné que notre auteur n'a pas été capable de dire quelque chose de cohérent depuis le début de ce chapitre à part merci, nous allons nous charger nous mêmes de vous parler.
Otabek : Donc ce que Alexandra voulais vous dire avant de se transformer en légume c'est merci.
Yurio : Elle dit que c'est son meilleur classement de toutes ses histoires jusqu'à maintenant.
Otabek : Elle dit aussi que c'est seulement grâce à vous.
Yurio : Et qu'elle vous aime énormément. (pourquoi est-ce que c'est à moi de dire cette phrase ridicule ?)
Yurio et Otabek : Donc de la part Alexandra, nous et tous ses maris, fiancés et colocataires merci beaucoup.
Et à la prochaine.
Tchüss.
Ps de Yurio : Je vais me répéter mais arrêter de la transformer en légume.
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH
BLEUHBLEUHBLEUHBLEUH