Instinctus - zjm

By StoriesByClo

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En 4518, le virus Instinctus s'est déclenché et nous n'avons trouvé aucun moyen de l'arrêter. Les pulsions de... More

Extrait
Premier chapitre
Deuxième chapitre
Troisième chapitre
Quatrième chapitre
Cinquième chapitre
Infos & Covers
Sixième chapitre
Septième chapitre
Huitième chapitre
Neuvième chapitre
Dixième chapitre
Onzième chapitre
Treizième chapitre
Quatorzième chapitre
Quinzième chapitre

Douzième chapitre

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By StoriesByClo

C'est bien la première fois que je vois de la surprise passer dans les yeux de celui qu'ils appellent leur « maitre. Ces deux mots énoncés. Notre bébé. C'est aussi une révélation pour moi-même cependant l'Alpha-né semble deux fois déstabilisé que moi même s'il affiche de nouveau son expression habituel quelques secondes après.

- Je ne les laisserai jamais faire, murmure-t-il sur un ton dur en effleurant ma joue.

Et son regard sincère m'abasourdit littéralement. J'entrevoie une minute une part humaine que je pensais inexistante chez ces monstres dénué de sentiments ou compassion cependant je chasse très vite cette idée, me rappelant de quoi ils sont capables.

Sa main sur ma joue remonte jusqu'à mes poignées, fermement entravés par les chaînes et il me fixe tel un faucon guettant les moindres gestes de sa proie.

- Je vais te libérer, m'apprend-il lentement. Si tu tentes quoi que ce soit, ce sont les tiens qui le payeront.

Je me raidis automatiquement et lui lance un regard haineux. L'idée qu'il puisse avoir une quelconque humanité encore caché en lui se désintègre entièrement.

Il exerce une forte pression sur mes liens et je reste stupéfaite en les entendant craquer et tomber. Je me frotte mes poignées endolories et me retiens de lui demander comment il a fait.

- Il nous reste quelques heures avant d'arriver à destination, tu dois te reposer.
- Je n'ai pas envie de dormir, je rétorque sèchement, mentant.
- Ce n'était pas une question, contre-t-il en se levant, me regardant désormais de haut.

J'ignore sa phrase et essaie de me relever cependant mes jambes, trop engourdies, me lâchent. Aussitôt Zayn m'attrape et me stabilise. Je le repousse et titube jusqu'à la table en bois où se trouve la bougie pour prendre appui. Mon corps entier me fait mal, je meurs de faim et de soif, je n'ai jamais été aussi faible.

Je respire profondément et avale ma salive cependant je suis tellement assoiffée que le simple fait de déglutir m'enflamme la gorge. Cette punition me réduit en miette sur le plan physique, mon corps a été poussé à l'extrême mais j'essaie vainement de montrer que je peux être plus forte que ça.

- Iris ! S'exclame Zayn et la minute d'après, la jeune femme coiffée d'une longue tresse apparaît en écartant le rideau.

Elle fixe directement son regard sur le seule homme de la pièce, m'ignorant complètement.

- Occupe-toi d'elle, lui ordonne ce dernier.

Son nez se retrousse tout comme le mien en entendant ces paroles.

- Je n'ai pas besoin-..
- Ne conteste pas ce que je dis, me coupe-t-il froidement et les ondes qui émanent de lui m'oblige à faire profil bas.

Je n'ai malheureusement pas de force.

- Et je te déconseille d'essayer de la tuer, ajoute-t-il en s'éloignant. Tu ne voudrais pas tuer le peu de vraie famille qu'il te reste.

Il s'en va dans la pièce qui m'est inconnu et dont je ne peux avoir un aperçu à cause du rideau. Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que la dénommée Iris le suit, me laissant statufiée suite à ses mots. Je reste immobile pendant de longues minutes et je suis si plongée dans mes pensées que je sursaute quand la jeune femme réapparaît. Mon attention se focalise – non pas sur elle mais sur ce qu'elle tient dans une de ses mains : un panier de fruits.

Elle me le tends et je ne me fais pas prier, lui arrachant presque des doigts. Encore trop faible pour me maintenir debout correctement, je m'assois et croque dans le premier fruit qui me passe sous la main. C'est une prune. Le jus coule rapidement dans gorge et je pousse un profond soupir.

Pendant les minutes qui suivent, je mange, accepte l'eau qui m'est proposé ainsi que la bassine pour faire ma toilette. Alors que j'enfile la tunique extrêmement fine que m'a donné Iris, les paroles de Zayn me reviennent.

- Alors nous sommes de la même famille ?

Son corps se raidit à ma question et ses doigts se figent autour de sa tresse qu'elle refaisait.

- Tu ne comptes pas à mes yeux. Ni toi, ni les autres petites choses que tu essaies de protéger au péril de ta vie.

C'est la première fois que j'entends sa voix et je la trouve mélodieuse malgré la brutalité de ses mots. Moi qui pensait qu'elle allait continuer à m'ignorer voit ici une possibilité de recueillir plus d'informations.

Elle me regarde enfin droit dans les yeux et alors, je comprends. Tout me revient et m'explose à la figure.

Son visage familier. Les révélations de Zayn.

« Quatre enfants. Ta mère a mis au monde quatre enfants mais seulement deux était de ton père. Les deux autres faisaient parti du plan pour ne pas être repéré. Tout comme comme sa mère, ton père savait que c'était dans cette génération que tout allait basculer, c'est pour cela qu'ils ont orchestré tout cela et quand il y a quelques années, mon père est venu chercher ce qu'il pensait être l'élue, ce n'était rien d'autre qu'une enfant conçu de l'adultère de ta mère. Cette enfant qu'il a volontiers donné en faisant croire à ta mère qu'elle était morte d'une infection et dont personne n'a jamais plus parlé car ton père l'interdisait, se disant à jamais affecté par cette perte. »

Son visage familier. Elle ressemble à Mère et Moira !

Cette découverte me heurte avec tellement de force que je recule jusqu'à me cogner contre la table et faire vaciller la bougie dessus.

- Nous sommes sœurs.
- Ne redis plus jamais ça ! Crache-t-elle en me toisant.
- Nous sommes sœurs, répété-je, encore sur le choc.

Elle s'avance brusquement et ses yeux bleus d'une profondeur inouï se plongent dans les miens.

- C'est toi qu'ils ont kidnappé, continué-je à voix haute, mon cerveau assemblant toutes les pièces du puzzle. Tu es née après Éther, tu es celle dont tout le monde a fait taire le nom.

Elle déglutit et plisse les yeux.

- Il ne m'ont pas kidnappé idiote ! N'entends-tu donc que ce qui te permet d'avoir la conscience tranquille et de mieux dormir ? J'avais cinq ans quand les transgresseurs sont venu dans « notre » petit village et je n'ai pas été enlevé, ton père m'a donné tel un vulgaire objet ! Le sang de « Mère » coule peut-être dans nos veines mais ne pense pas que nous sommes unis pour autant. Cette énergumène que tu as chéri et que tu appelais « Papa » m'a sacrifié. Pour toi.

Encore une fois ces mots reviennent. Sacrifice. Pour toi. Je baisse les yeux mais les relève immédiatement, refusant de me laisser aller à la déprime.

- Et alors ? Tu penses que c'est ce que j'ai voulu ? Que j'étais au courant de tous ses plans ? Quoi qu'il ait fait aujourd'hui ça change rien au fait que nous sommes sœurs. Nous sommes une famille et nous devons nous unir, nous protéger.
- Je n'ai pas de famille ici, ni ailleurs. Je me bats pour moi.
- Nous sommes plus fort que quand nous sommes unis.
- C'est là que tu te trompes, petite sœur, m'arrête-t-elle en secouant la tête et appuyant ironiquement sur les deux derniers mots. Tu ne connais rien de ce monde, moi je le connais depuis mes cinq ans, j'ai vu de mes propres yeux pendant que toi on te terrait dans les bois. Plus tu as des personnes auxquelles tu tiens, plus tu accrois tes chances de mourir.

Elle respire profondément et une lueur de tristesse passe dans son regard avant qu'elle poursuivre :

- Pendant des années, ils m'ont pris pour toi. Au début, c'était difficile, j'étais toute seule, je n'étais qu'un bébé de cinq ans qu'on avait séparé de ses parents. Et puis ils m'ont éduqué, j'ai grandi avec l'idée que j'étais celle qui allait « sauver le monde ». Ton monstre de père nous a tous eu. Au royaume, ils ne cessaient de me répéter que j'avais une valeur inestimable, si bien que j'ai fini par les croire. Je pensais que j'étais spéciale(elle pousse un rire jaune) J'étais traitée comme la future reine que j'étais censé devenir. Jusqu'au jour où Calliope a eu cette satané vision et que Cassiopea a déchiffré quelques lignes du livre ancestral. Depuis ce maudit jour, je suis réduit à cette vie ; à leur yeux, je suis plus qu'une vulgaire humaine dont la vie ne compte pas plus que celle d'un insecte.
- Tu dis que tu as grandi avec ces gens, qu'ils t'ont élevé ; ils t'aiment probablement assez pour te protéger, lui lancé-je, même si beaucoup de choses dans son discours m'échappent.
- Ils m'aimaient parce qu'ils pensaient que j'étais toi ! L'affection qu'ils nourrissaient tous à mon égard résidait dans le fait qu'ils pensaient que j'étais leur salut. Mais je ne l'ai jamais été en vérité, je n'étais que la ruse pour les empêcher d'avoir la vraie élue. Désormais, je ne suis plus sur le haut de la liste ; la seule chose qui me maintient en vie est ma beauté jugé hors du commun. C'est la seule raison pour laquelle je bénis cette femme qui n'a pas cherché à voir mon « cadavre » quand son mari lui a dit que j'étais morte d'une infection.
- Iris je-..
- Tu auras beau me dire tout ce que tu veux je ne changerais pas d'avis. Faire une alliance avec toi, ce serait faire une alliance avec la mort. Les transgresseurs te vénéreront tant que tu seras de leur côté mais te craindront et voudront ta tête si tu hésites une seule seconde à les trahir. Les rebelles veulent t'éviscérer pour trouver un pseudo-remède et les autres esprits saints qui connaissent la prophétie et sont moins scientifique, pensent tout simplement que tu es la seule à pouvoir ramener la lumière dans ce monde de ténèbres. Ce que je veux dire c'est que tu es très recherchée, beaucoup souhaitent que tu vives comme beaucoup veulent ta peau. Beaucoup feront en sorte que tu sois intouchable, que tu survives mais dans tous les scénarios, tu es la cible. Visualise ce que ça veut dire, si tu t'entoures de tes proches, tu fais d'eux des cibles aussi cependant une chose les distingue de toi. Des personnes donneront leur vie pour toi mais jamais pour la leur. Des cibles faciles, c'est tout ce que tu fais d'eux.

Les paroles de Séléné, de Zayn et de Niall font échos à celles-ci.

« Tu penses peut-être être forte car tu as ta sœur mais le fait est qu'elle te rend faible parce qu'on peut facilement passer par elle pour avoir ce qu'on veut de toi. Il te manipule grâce à elle et il continuera de le faire tant que ta sœur respira et sera à sa porté. » « Nous ne sommes pas comme toi, des idiots ne mourront pas pour nous » «  Tant que tu resteras avec nous, il y aura des morts mais tu ne figureras jamais parmi eux » « tu souffriras en nous voyant tous mourir malgré nous pour défendre ta cause. Tout ceux que tu aimes, Moira inclus. » « ...tu regretteras en comprenant plus tard que la seule façon que tu avais de nous épargner tout ce sang versé était de te tuer. »

Je tombe sur mes genoux en comprenant maintenant ce que tout cela veut réellement dire et que je refusais de voir en face : je vais devoir me battre. Seule. C'est ainsi que je peux sauver les miens. C'est en les éloignant de moi que je leur donnerais une chance de s'en tirer sains et saufs.

- Il faut que tu me fasses une promesse.

Elle me scrute avec méfiance et je continue :

- Prend soin de Moira.

Elle me regarde droit dans les yeux et je lis la réponse à l'intérieur avant même qu'elle n'ouvre la bouche.

- Je te le répète une dernière fois : Je n'ai pas famille ici, ni ailleurs. Je me bats pour moi.

Elle tourne les talons et s'apprête à partir.

- Vous avez probablement le même père. Dans un sens, c'est plus ta sœur que la mienne. Elle.. a juste cinq ans, le même âge que tu avais quand on t'a arraché à nous à ce que j'ai cru comprendre. Tu sais ce que c'est de grandir sans parents, ne lui inflige pas ça, tenté-je et elle s'arrête subitement.

Le désespoir dans ma voix est papable mais je ne peux m'en empêcher. Si je dois m'éloigner de Moira, il faut que je trouve quelqu'un pour s'assurer qu'elle va bien, pour la protéger, pour l'épauler.

Iris me jette un coup d'œil par dessus son épaule.

- Le monde est injuste. C'est l'une des premières leçons qu'elle apprendra.

Et elle continue son chemin sans se retourner. Je reste un bon moment à fixer le rideau par lequel elle a disparu, dépitée. Je réfléchis longuement à une solution jusqu'au moment où je me fais interrompre par Zayn.

- Viens te reposer, me dit-il sur un ton sévère.

Il écarte le rideau de sa main pour m'inviter à venir et je ne sais pas si c'est la perte d'espérance ou ma curiosité qui me porte dans ce compartiment que je n'ai cessé de m'imaginer tout le temps où je suis resté attaché.

Mes yeux s'écarquillent quand je découvre plusieurs bougies disposés à chaque recoin de l'endroit, l'illuminant. Ce qui me surprend surtout c'est l'immense couche disposé au milieu sur le sol. J'étudie attentivement car ce ne sont pas des choses avec lesquelles nous vivions dans la forêt, ce sont des choses qui me sont inconnus.

- Couche-toi, m'ordonne l'Alpha-né, une coupe à la main.

Mon cerveau me dit « non » mais j'obéis, la fatigue prenant le dessus. J'étais si plongée dans la contemplation de cette pièce inconnue que ce n'est que quand je pose un genou sur la couche que je me rends compte qu'Iris se tient en tenue d'Eve allongée à l'autre bout. Je détourne aussitôt le regard et ne me pose aucune question, préférant lui tourner le dos comme elle l'a fait.

Du coin de l'œil j'observe Zayn vider son récipient puis aller souffler sur toutes les bougies pour nous plonger dans le noir. C'est quand il éteint à dernière que je remarque du côté d'Iris une ouverture et une échelle en bois. Elle est assez grande pour nous éclairer faiblement et nous permettre de voir le ciel étoilé. Un bruit m'oblige à détourner le regard et je réalise que Zayn se dévêtit. Je devrais détourner mon regard comme avec " ma demi sœur " mais j'en suis incapable.

Je reste fixer son corps et alors, mon corps réagit encore une fois étrangement. Une douce chaleur me parcourt et je serre les cuisses. Ce simple mouvement attire l'attention de l'Alpha-né et nos regards se croisent, me faisant ressentir une sensation de gêne à laquelle je ne suis pas habituée.

Qu'est ce que c'est que ça ?

Je suis la première à détourner le regard, déstabilisée et le corps en ébullition. Je reprends ma position initiale c'est à dire couché sur le flanc gauche. Le rythme respiratoire lent et profond d'Iris m'indique qu'elle dort. Zayn se couche entre nos deux corps.

- Nous avons été conçu pour nous satisfaire, souffle-t-il, répondant à ma question précédente. Tu peux essayer de lutter autant que tu veux, ton corps voudra toujours le mien.

Ce n'est pas dit de manière arrogante et c'est bien cela qui me surprend, bien que je ne crois point ce qu'il raconte. Je fais semblant de n'avoir rien entendu. Les minutes passent et j'aimerais dormir mais je n'arrive pas. Je me répète que c'est à cause des informations que je viens d'apprendre, que c'est parce que je viens de rencontrer ma demi-soeur caché, qu'elle dort juste à quelques centimètres , que je partage une couche avec l'ennemi mais quelque part au fond de moi je sais vraiment pourquoi je n'arrive pas à trouver le sommeil. J'ai peur de rêver, de ressentir à nouveau ce que j'ai ressenti quand ils me l'ont arraché.

Je me repositionne sur le dos et remarque que Zayn a enroulé ses bras autour d'Iris. Mon corps est parcouru d'un léger spasme comme s'il essaie de me signifier quelque chose et la créature à l'intérieur grogne avec insistance. Je me trémousse pour les sortir de mon champs de vision puis finit par m'extirper hors de la couche. Sans faire de bruit, je me dirige vers l'échelle et monte rapidement.

Je plaque ma main sur ma bouche pour réprimer mon cri de surprise en découvrant l'océan à perte de vue. Je comprends alors les balancements de mon cœur et les haut-le-cœur. Prudemment, je me dirige vers la rampe à l'avant, ayant encore du mal à y croire. Jusqu'ici, je n'avais vu la mer que dans les livres de Père. Iris a raison, : j'ai passé toutes ces années terré dans notre petit village, caché du monde.

Je nage actuellement dans l'inconnu. Le vent frappe sur mon visage et balaye mes cheveux en arrière, ranimant ce sentiment de liberté dont je suis privée depuis l'attaque. Je ferme les yeux et respire profondément en écartant les bras, accueillant avec plaisir cette force de la nature. Lentement, j'ouvre les yeux et contemple l'immense cercle qui se trouve au dessus moi. La lune. Elle est magnifique.

Je l'admire de nombreuses minutes sans m'en lasser puis une voix grave m'interrompt dans ma contemplation.

- Je croyais t'avoir ordonné de te coucher.

• NDA : Bonsoir, j'ai publié ce chapitre plus tôt sans faire exprès alors que je n'avais pas fini de corriger. Du coup je l'ai annulé puis republier une fois terminé, cest pour cela que quand certains d'entre vous ont cliqué sur la MAJ ça ne fonctionnait pas.

Quoi qu'il en soit, désolée !
J'espère que ce chapitre vous a plu. Vous en avez appris plus ?

Alors Iris ? Que vous inspire-y-elle ?
Pourrait-elle être une personne de confiance ?

Héméra arrivera-t-elle a la convaincre ?

Alors vos pronostics pour la suite ?

Zayn et Hémy ?

Bisous et à bientôt 😘

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