PURSUED [terminée]

By swxtmisery

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"Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas" Difficilement, fatiguée, j'ouvre mes yeux. Il... More

☠ W.A.R.N.I.N.G ☠
Prologue ✔️
Chapitre 1. ✔️
Chapitre 2. ✔️
Chapitre 3. ✔️
Chapitre 4. ✔️
DECEIVE
Chapitre 6. ✔️
Chapitre 7. ⚠ ✔️
Chapitre 8. ✔️
Chapitre 9. ⚠ ✔️
Chapitre 10. ✔️
Chapitre 11. ✔️
Chapitre 12. ✔️
A BIG BIG....
Chapitre 13. ✔️
Chapitre 14. ⚠ ✔️
Chapitre 15. ✔️
Chapitre 16. ✔️
Chapitre 17. ✔️
Chapitre 18. ✔️
Chapitre 19. ✔️
Chapitre 20. ✔️
Chapitre 21. ⚠✔️
BONUS - FLASHBACK
Chapitre 22. ✔️
Chapitre 23. ✔️
Chapitre 24. ✔️
Chapitre 25. ✔️
Chapitre 26. ✔️
𝑪𝒉𝒂𝒓𝒂𝒄𝒕𝒆𝒓𝒔
Chapitre 27. ✔️
Chapitre 28. ⚠ ✔️
Chapitre 29. ✔️
Chapitre 30. ✔️
Chapitre 31. ✔️
Chapitre 32. ✔️
Chapitre 33. ✔️
Chapitre 34. ✔️
Chapitre 35. ✔️
Chapitre 36. ✔️
Epilogue.
L'EGARÉE
BONUS
100k!!!

Chapitre 5.✔️

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By swxtmisery

Je me réveille doucement sans pour autant l'être complètement. Après quelques secondes ; ma vue s'est améliorée. Je considère un homme qui s'avance vers moi. Je ne vois pas son visage. Il est flou, inimaginable. Il s'approche avec un objet. J'essaye de me débattre en voyant le sang dégouliner le long de la lame. Je cherche à hurler, mais je suis muette. J'aspire à déguerpir, je suis pourtant enchaînée : je ne peux pas m'enfuir.

Je n'entends rien d'autre que ces cris sourds que je lance. Je ne sais pas où je suis. Qui est cet homme ? Que veut-il ? Je ne perçois rien ; je peux néanmoins avouer qu'il a une cagoule sur le visage.

J'ai mal et je ne sais même pas où. Je sais que je souffre, mais je ne sais pas comment. J'ai froid. Mes pieds nus sur le béton sont engourdis et mes cheveux relâchés me chatouillent un peu la nuque. Je regarde autour de moi et remarque que je me trouve au milieu de la pièce sans fenêtre. Une faible lumière passe sous la porte. Brillante ; aveuglante. Des bruits de pas approchent et font un jeu d'ombres. L'accès s'ouvre suivi d'un petit bruit aigu.

J'essaie de tirer pour briser les chaînes en fer et ce sont mes poignets qui en paient le prix. Une main rude caresse mon ventre.

— Tu veux voir ton frère ? Chuchote l'homme.

Sa voix résonne et s'amplifie dans la pièce vide. Il me contourne et se plante devant moi, sa prisonnière. Il parcourt mon buste à l'aide d'une de ses dagues.

— Qu'en dis-tu ?

Par je ne sais quel courage, je lui crache au visage. Il enfonce légèrement le tranchant de la dague dans mon ventre, faisant couler son sang. La brulure de l'objet coupant dans ma chair est vive.

Je crie et essaye de me débattre du mieux que je le peux. La douleur est insoutenable. Je tente du mieux que je peux pour ne pas hurler, mais impossible ; je n'arrive pas.

Puis, il enlève son couteau et s'éloigne.

— Tu as tué ton frère.

Je me mords la lèvre pendant que les larmes coulent abondamment ; ne pouvant les empêcher de tomber. J'ai mal. Partout et pourtant il n'a planté le canif qu'à un seul endroit.

— Non, je ne l'ai pas tué.

— Si ! Tu l'as tué ! Crie-t-il. Tu as abandonné ton frère ! Ta famille !

J'éprouve le besoin de parler, mais rien ne sort. Je sens juste mes nombreuses larmes couler sur mes joues sans pour autant sentir celles-ci mouillées.

Je ne sais pas quoi faire. Me débattre ne sert probablement à rien à ce que je voie. Plus je me défends, plus ça le rend fou. Son visage reste caché.

— Jouons à un jeu Aurélie, rigole-t-il.

Tout d'un coup, je ne me trouve plus dans la pièce mais dans une forêt.

— Nous allons faire la même chose qu'à ton frère.

Je jette un coup d'œil sur mon corps et remarque qu'il n'y a plus de chaine qui entoure mes poignets.

— Tu as 5 secondes pour t'éloigner le plus possible.

J'entends sa voix qui résonne dans toute la forêt, comme si c'était un esprit.

— Si tu es dans la ligne de mire : Boum, explique-t-il. T'as compris ? s'informe-t-il. Maintenant cours, souffle une voix dans les airs.

Je suis tétanisée et je respire fortement. Je ne bouge pas. Ma lèvre tremble et mes membres aussi. Je tourne en rond, regardant à côté de moi et au-dessus de moi. Rien. Je peux simplement voir une forêt sombre, qui n'est pas du tout rassurante. Puis une grosse voix virile, qui rendrait presque sourd, tonne :

— Cours !

Je me réveille en sursaut. Mes yeux se sont ouverts brusquement. Je respire doucement, les refermant. Je passe ma main sur mes yeux pour essuyer les larmes qui ont probablement dû tomber pendant que je dormais.

Attends. Mes mains. J'ouvre mes yeux pour remarquer qu'elles sont détachées. Je suis dans un lit. Pas une chambre en effet avec une commode et tout ce qui va avec. Mais juste un lit avec un matelas (sale et des taches de sang dessus). Sur le mur aussi il y en a.

Eurk.

Je peux bouger librement. Je ne suis pas attachée à une quelconque chaîne ou ficelle. Mon premier réflexe a été de me lever et de courir vers la porte pour tenter de fuir.

Mauvaise nouvelle : elle est fermée à clef. C'est un vieux verrou que l'on ne peut surement pas reproduire. Je me laisse tomber contre la porte. Croisant mes jambes en les ramenant vers ma poitrine.

Je ne sais même pas pourquoi je suis encore en vie. Il faut que je sache pourquoi il me garde dans cet endroit pourri alors qu'il suffirait juste de me tuer. Comme ça, on est sûr que je ne balance pas à la police où habite ce criminel.

J'entends le bruit des clefs dans la serrure. Je me décale juste pour laisser passer cette personne qui veut entrer. Quand la porte s'ouvre, je me lève directement. Je peux peut-être tenter de partir d'ici. Je vois un homme de dos. Pas les cheveux blonds, ni bruns, mais noirs, de longs cheveux noirs. Attachés en un chignon, quelques mèches à l'arrière trop petites se détachent une par une. Il porte un pull, un slim noir et blanc.

Je ne bouge pas et garde ma main à plat sur le mur derrière moi. Il ne m'a pas encore repéré. J'ai peut-être une chance ?

Il tourne soudainement la tête à environ vingt-cinq degrés. J'arrête de respirer. Il faut que je bouge si je veux espérer avoir ma chance. Je ferme les yeux et me concentre sur ma respiration qui est très forte. On pourrait entendre mon cœur battre à des kilomètres.

Quand j'ouvre les yeux. Je crie de surprise.

Il est devant moi ; plus grand que moi. Ses yeux noirs me regardent sans sentiment. Sa barbe naissante sur toute sa mâchoire. Il me fait peur. Encore plus que Liam. Ses yeux étaient vides. Ils ne reflètent rien mis à part le néant : comme un trou noir où il ne vaut mieux pas s'y plonger.

— Alors comme ça quelqu'un de la police vient nous rendre visite ? Liam ne m'en voudra pas si je touche à toi.

C'est à ce moment-là que tout disparaît autour de moi pour laisser la froide, sombre et horrifiante réalité de ce qui allait suivre : ça allait être entre lui et moi. Mais dans cette réalité, il y a une voix tout au fond de ma tête, qui m'a juste donné un ordre : « ne lui donne rien ». Je me débats du mieux que je peux.

Une gifle, il se jette sur moi. Je me débats, le frappe, le repousse. Une deuxième gifle, maintenant il me balance sur le lit. À bout de nerfs, je hurle comme jamais et lui, en riant à moitié, annonce :

Vas-y, crie si tu veux, j'aime entendre vos cris.

Il n'y avait aucun sens caché dans son humour sinistre. Il emmêle rapidement ses mains dans ma masse de cheveux et tire durement. Ses mains sont tellement grosses, j'essaye de défaire sa prise, mais une de mes mains se retrouve derrière mon dos. Ils sont définitivement tous fous dans ce putain d'endroit !

Je continue à me battre mais je m'épuise face à sa force. Il faut que je trouve le courage et la vigueur de me défendre. Le frapper au bon endroit ; même l'entrejambe serait parfait. Mais je n'ai rien avalé, depuis.... Beaucoup plus de jours que je ne le pense. Je suis faible. Mon corps à commencer à utiliser l'énergie dont mes muscles ont besoin. Le sucre me manque énormément. Je ne peux rien faire.

— Arrêtez, s'il vous plaît, pleuré-je presque.

Je le supplie.

Arrête tes enfantillages.

Mes yeux se ferme tranquillement à cause de la fatigue. Ma bouche ouverte, à cause de la douleur trop grande, se referme doucement. La douleur que j'éprouve commence à se dissiper. Un nom s'échappe et arrive à mes oreilles.

Je me sens partir. Doucement. Dites-moi que je meurs. C'est mon plus grand souhait car je n'aurais plus le fardeau que j'ai en ce moment.

Comparée à tout ce que je vis depuis ces quelques jours. La mort me semble être un paradis.

*

J'ouvre mes yeux. Je les ferme. Je les ouvre. Je les ferme. Je fais la même action à plusieurs reprises jusqu'à les ouvrir complètement. Il fait nuit. Mais pas nuit parce qu'il n'y a aucune fenêtre et que je ne vois rien. Non ; une vraie nuit. On peut clairement voir la lune dehors grâce aux volets ouverts.

Dommage pour moi, je ne suis pas morte.

Cette fois-ci, je suis dans une chambre. Une véritable chambre. Avec une commode, un miroir et... Une personne qui dort sur une chaise pas très loin de moi. Le blond. Ses yeux sont clos et sa main écrase sa joue pour prendre appui. Ses sourcils sont froncés comme s'il faisait un cauchemar – ou tout simplement concentré.

Quand je souhaite me lever, je suis tout de suite arrêtée par une chaine liée sur mon pied. Je m'en serai doutée. C'était trop beau pour être vrai ; ne pas avoir de barricades partout et ne pas être attachée ? Trop facile.

Je souffle et laisse tomber ma tête sur le coussin mou. Ça fait longtemps, même trop longtemps que je n'ai pas touché un bon lit. Mon dieu, ça fait du bien. Je ne veux plus bouger mon cul d'ici. Quoi que...

— Tu vas mieux ? Intervient une voix.

Je tourne ma tête vers le son et remarque que le blond est réveillé. L'ai-je réveillé ? Sans plus tarder, je hoche jute la tête tandis que je le vois se lever. Il s'approche d'un pas lent vers moi. Trop lent.

Quand il est enfin à ma hauteur. Je le regarde attentivement. Il défait d'abord la chaine de mon pied puis lève les yeux vers moi. Son corps devient imposant tout à coup. Pourtant, il n'a pas de larges bras aussi musclés que Liam. Je dirai même qu'il est plus fin que lui. Ses larges épaules, recouvertes d'un T-shirt blanc, sont compensées par sa taille fine qui lui donne une allure de mannequin. Il n'est pas du tout musclé avec de gros biceps mais je pense qu'il sait s'entretenir correctement.

Voyant qu'il lève la main, je ferme instantanément les yeux par réflexe – bizarre en attendant de recevoir un coup. Je deviens plus que faible.

Ne sentant rien venir, j'entrouvre les yeux doucement puis remarque qu'il me tend simplement une main avec de longs et fins doigts. Je dérive mes yeux aux siens puis à sa main et inversement. En le reluquant quelques secondes, on peut facilement remarquer que son blond déteint sur les racines comme s'il avait fait une couleur.

— Je ne vais pas te manger, articule-t-il. Par contre, toi tu as besoin de manger, si tu ne veux pas mourir dans quelques jours, m'explique-t-il. Liam m'a demandé de prendre soin de toi jusqu'à qu'il revienne.

Avec hésitation, je prends sa main et il me tire pour que je puisse être debout. Je ne comprendrai jamais ce qu'il vient de se passer. Il y a quelques heures (en admettant que je ne sois pas là depuis plus de 24 heures), j'étais enfermée dans une pièce sombre, sans lumière, avec aucun moyen de m'hydrater ou de manger. Et là tout à coup, on m'« entretient » ?

De plus, pourquoi « Liam m'a demandé » ? Quel rôle joue-t-il dans cette histoire ?

Il me pousse vers la porte pour sortir de la pièce. Il me suit de près sans pour autant me toucher.

— Je suis charitable seulement parce que j'ai la flemme de débarrasser ton corps aux ordures si tu venais à mourir, prétexte-t-il.

C'est sympa de sa part (même s'il ne le fait pas pour moi). Je croyais que Liam lui avait demandé ?

Avant de rentrer dans la cuisine, je remarque la porte d'entrée. Le hall n'est pas du tout le même que dans mes souvenirs – quand je suis arrivée je parle. Bien qu'il ait fait presque nuit et que j'étais à moitié choquée/perdue, je me rappelle très avoir vu deux grandes fenêtres de part et d'autre de la porte.

Je secoue la tête et décide de rentrer dans la cuisine. Je remarque une horloge sur le mur, juste au-dessus du plan de travail. Plutôt moderne ; elle indique une heure du matin. Bien, maintenant j'aimerai savoir le jour : ça m'aiderait à savoir depuis combien de temps je suis ici.

— Nous sommes le combien ?

Je m'enquiers entre la petite voix cassée et sèche. Enfin bref, ma gorge me brûle, j'ai besoin de boire quelque chose pour l'apaiser.

— Pourquoi tu veux le savoir ?

Il sort un restant de salade sur une petite table. Je me retiens de sauter dessus pour le manger directement. Je serais capable de manger tout ce que je trouve à ce moment précis.

— Tu n'en as pas besoin.

Je ne sais pas où je suis, ni depuis combien de temps je suis ici. Depuis que l'on m'enferme, je ne sais plus rien de toute façon.

Je hoche doucement la tête et contemple mon assiette avant de commencer à manger. Ce n'est pas le meilleur des plats, mais j'ai une faim de loup et peu importe ce que je mange, je vais probablement trouver ça bon.

La pièce n'est éclairée que par la télévision brouillée par des bruits incessants. Je grimace. Je passe une main sur mon ventre puis sur ma bouche. D'un coup, je me lève et me précipite dans les toilettes entrouvertes que j'ai pu apercevoir un peu plus tôt avant d'entrer dans la cuisine. Je me penche sur les toilettes et vomis.

Ce n'est pas bon. Le goût du vomi n'est clairement pas appréciable. Ma tête dans la cuvette, je recrache tout ce que je n'ai pas mangé depuis quelques jours.

Lorsque j'ai fini, je relève quelque peu la tête et je vois le blond adossé à l'encadrement de la porte. Les bras croisés, il me regarde avec un peu de pitié pour moi. Il souffle puis me tend une serviette. Je le zieute, lui et la serviette, puis la prends finalement pour m'essuyer la bouche recouverte de liquide.

L'odeur qui me parvient à mes narines me redonne envie de vomir. Mais je me lève simplement et secoue la tête pour fermer les yeux en essayant d'oublier que je viens de vomir mes tripes.

Alors que je passe la porte, l'homme spécule :

— Trois.

Je tourne la tête sans savoir pourquoi il me dit ce chiffre si soudainement.

— Presque trois jours que tu étais dans la cave.

Je m'attendais à plus, beaucoup plus. Mais après réflexion, c'est logique : si j'étais restée une journée de plus sans avaler quelque chose, ça n'aurait pas été sans conséquences. Bien que l'on m'ait donné quelques verres d'eau durant ces derniers jours, je me sens comme une montre inutilisable : je suis patraque. 

En songeant sur mon sort, peut-être quelqu'un a remarqué mon absence ? Ou pas ? Pitié, dites-moi que je ne fais pas partie de ces personnes invisibles.

Il faut que tu avales quelque chose. Liam ne va pas tarder et je n'ai pas envie de l'entendre ronchonner. Mange, m'ordonne-t-il en montrant du doigt l'assiette que j'ai à peine entamée.

J'hésite à ce moment-là. Je peux partir, c'est vrai ; je ne suis pas attachée et l'homme qui me recommande de manger ne semble pas à avoir une arme sur lui. J'ai peut-être une chance ( ?).

Mais pas maintenant, il faut que je mange ! Si je veux espérer fuir, je dois manger, boire, reprendre des forces pour courir le plus vite possible loin d'ici.

Je me rassois sur ma chaise et continue de manger. J'analyse ce qu'il y a autour de moi. La porte n'est pas fermée à clef ce qui peut me permettre de m'évader plus facilement. Le blond allume un joint, ne prêtant pas attention à ma personne.

Je finis de manger et me lève d'une manière lente. Placée devant l'évier, je jauge un placard qui est ouvert avec des couteaux dedans, aiguisés. Je pose délicatement l'assiette dans l'évier et saisis un schlass en le dissimulant sous mes vêtements.

Le blond n'est pas loin de moi, il ne semble clairement pas préoccuper par ce que je fais. Je laisse couler l'eau quelques secondes avant de couper le robinet. Je quitte la cuisine alors que l'inconnu réagit enfin.

— Wow wow calme-toi, tu vas où là ?

Je ne réponds pas et continue de marcher pour accéder à l'escalier. J'ai ma chance pour sortir d'ici. Son avantage : ma faiblesse suite au nombre de jours où je n'ai ni mangé ni bu. Mon avantage : l'inattention qu'il a avec moi et ... L'arme blanche.

Il est compétent, mais prévisible.

Le blond continue de me suivre et me rattrape. Je sors le poignard.

— Merde mais qu'est-ce que –

Soudain, je plante la lame dans son épaule et un cri assourdissent se fait entendre. Maintenant ou jamais. Je sors de la cuisine. Je cours, je m'avance vers la porte. Je suis à 5 mètres, 4 mètres, 3 mètres.

La porte s'ouvre. Je suis terrorisée.

La personne fronce les sourcils en me voyant juste devant lui. J'ai le front presque en sueur, les yeux grands ouverts comme ma bouche.

— On te donne un peu de liberté et c'est comme ça que tu nous remercies ?

Il regarde derrière moi et sourit.

— Je pense que tu vas vraiment m'être utile Aurélie. 

A/N_

Les choses deviennent de plus en plus intéressante vous ne trouvez pas ? ;)

Après ce qu'Aurélie lui a fait, pensez-vous qu'il sera gentil désormais ?

Que prévoie Liam à votre avis ?

N'hésitez pas à voter et à donner votre avis, ils me font toujours aussi plaisir !

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