Le vrai amour n'est pas mort,
il est dans la Bible.
🧿
SHAHÎN
4h30
Un coup de dérapage, on vient d'arriver devant la maison. Heureusement qu'on a cerné les policiers.
Je descend en même temps que Kidali, on chope les sacs remplis de plato* a l'arrière puis on court en direction de la villa.
*argent
Kidali — C'était chaud man
— Ouais en vif ça pue fort.
Kidali — Première fois ça s'passe ça
— J'espère c'est pas une idée de Brahim la vie d'ma mère j'vais lui en donner une.
Je marche énervé Kidali il rigole en voyant ma démarche mais je calcul pas, j'ai une bonne intuition. Je suis sur il a ajouté son bec dedans c-ui là.
On ouvre la porte, directe on va au salon.
Brahim — Vos valises j'espère qu'elles sont prêtes on bouge.
— Pour ? Tu prends aucune décision ici.
Je regarde mon oncle qui se contente de fumer son cigare, il est d'venu une tapette c-ui la ou quoi ?
qué-cho.
— C'est normal qu'on s'est fait courser par une voiture de poulet ?
Brahim — Entre guillemets ouais.
Je ricane puis je jette les sacs devant mon oncle avant de craquer mes doigts.
— Tu joues a quoi ? C'est ta mère qui-
Directement il se lève visage rouge.
Il avance vers moi, j'avance encore. Oncle ou pas je lui b**** ses morts, on verra qui est qui maintenant.
Brahim — HEY VAS-Y PARLE PAS DE MA MÈRE !
— SINON QUOI ? ARRÊTE DE ME CASSER LES COUILLES PUTAIN. C'EST PAS TA REUM-
Mon oncle nous pousse directement.
Je suis grave chaud, Brahim me regarde mal je vais lui faire bouffer ses yeux on dirait ceux de zepeck là, il va voir clair d'un coup.
Brahim — Nahib bouge, je vais le régler. Sa mère qui s'est fait baiser par-
Il s'est arrêté de parlé directement, je sais pas elle m'est venu d'où la force. Vraiment le saint esprit comme dirait Haîley, j'ai poussé mon oncle puis j'ai commencé à frappé Brahim.
C'est un malade lui il parle de ma mère ?!
Le mec il est née on a mis un point d'interrogation sur son acte de naissance personne savait c'était qui mon reuf.
Bien sur il m'envoie aussi des patates mais tellement je suis énervé je calcul pas, je lui envoie des chassés dans le ventre. Tout y passe.
Je me sent soulevé en arrière.
Ange: Le mot insolent crée en 2021,
Shahîn 2020.
— AZI LACHE MOI ! DERNIÈRE FOIS TU PARLES DE MA MÈRE.
Brahim — -rire- C'EST PAS DE MA FAUTE SI TON ONCLE L'A PRIS EN LEVRETTE.
Ange: Est-ce que c'est la fin du
monde..dites moi ?
HAÎLEY
Et là j'ai vu la fille qui m'a accompagné avec mes sacs avant hier. Elle vient vers nous habillé d'un jogging noir et d'une paire de jordan grise et noir. Même comme ça elle respire la richesses avec son maquillage, bijoux et banane Louis Vuitton.
Melissa — Donc le-
— Oublie t'inquiète.
Elle me regarde deux secondes puis lève les épaules.
Elle sort de son sac une cigarette puis Aliyah lui fait un signe.
Aliyah — On décale au pont ?
Melissa — Azi
Aliyah — Oh salut Haîley ça va ?
Elle vient vers moi puis me prend dans ses bras, j'ai pas vraiment compris mais je me suis dis qu'ici ils sont comme ça hein. Elle s'est détachée de moi, je lui ai fais un faux sourire.
— Ça va et toi Aliyah ?
Aliyah — Yes grâce a Dieu.
Melissa — Genre vous vous connaissez d'où ?
Aliyah — Avant hier on s'est croisé je l'ai aidé.
— Oui.
Aliyah — Et..vous vous connaissez comment ?
Melissa — C'est la roeuss a Ken'
— Keenan
Aliyah — Ici il l'appel Ken.
Je dis rien et je les suis, elles ont commencé à parler entre elles des filles du quartier, kongossa comme dis Keenan. Je parlais pas puisque déjà je connais pas les gens dont elles parlent puis être sociable pas trop mon fort.
Aliyah — Et toi t'en pense quoi Haîley ?
Elle me montre une photo d'un homme, avec des boucles d'oreilles et une cigarette. Il est bronzé et porte un survêtement, une photo de son instagram.
J'ai directement reconnu sinistre, le mec qui m'a frappé au braquage.
— Heu..pas mon style.
Melissa — Ah ouais ? Et c'est quoi ton style de keum.
— Je-
Aliyah — Les arabes je parie. Je dis ça parce que je te vois bien avec un arabes.
— J'ai pas de style. C'est la mentalité qu'on retient tout de façon.
Melissa m'a regardé puis allume sa cigarette.
Melissa — T'as vu comment elle est comme les meufs de ton quartier Aliyah ?
Aliyah — Ouais de ouf, mais t'inquiète pas Haîley tu vas changer. Les mecs comme ça c'est des vrais hommes.
— Je trouve pas.
Melissa — On veut pas PD nous mais un mec qui pose ses cojones tahu.
Aliyah — T'as déjà été en couple Haîley ?
Vous savez, j'était peut-être naïve avant mais avec tout ce qui m'est arrivée je sais reconnaître un menteur. Aliyah je sais pas si elle sait que je suis avec Shahîn... mais elle sait quelques choses.
Elle avance tel un serpent mais de loin je l'ai remarqué.
— Non, puisque t'es pas de cette cité qu'est-ce que tu fais ici toi ?
J'ai dis ça gentillement.
Elle m'a regardé sourire en coin.
Aliyah — Écoute chérie je sais que t'es la copine de Shahîn.
— Fallait commencer par là -rire-
Son visage s'est fermé d'un coup.
Melissa — Tu sors avec le Libanais ? Putain t'aimes le risque toi.
Aliyah — Tu sors avec lui mais il sort pas avec toi Haîley écoute-
Je lève les yeux au ciels puis je fais demi tour pour partir en direction du hall quand elle attrape mon bras et me retourne violemment.
Ange: Mon rival le démon prend des notes
devant le vice de la femme, vous doutez
encore ?
MADDIE
— Pourquoi vous êtes là ?
Hillary — J'en sais sûrement trop la famille Martini c'est comme ça, une famille dangereuse.
Impossible qu'Hailey soit comme eux.
— Vous- vous avez travaillez pour eux ?
Hillary — Oui exactement.
— Vous avez peut-être des nouvelles d'Haîley elle est wanted la go, c'est mon amie.
Elle se redresse directement.
Hilary — C'est votre amie ?!
— Oui oui !
Hillary — Faut que je lui parle-
— Je suis entrain de vous demander où elle est-
La porte s'ouvre sur Ishiro,
j'ai directement arrêté de parler.
Ishiro — Vous voulez un thé ou je vous dérange ?
Un peu des deux mais je vais m'abstenir je me contente de le dévisager. Il s'approche de nous et choppe Hillary puis sort une arme de sa poche.
— Seigneur Jésus de Nazareth ! Ça va pas mais qu'est-ce que tu fous une arme c'est pas un jouet mais-
Il m'a envoyé un coup droit avec l'arme. Carrément je suis resté allongé au sol, les larmes me montent. Je sent même mon nez rougir d'ici de douleur.
Hillary — MAIS QU'EST-CE QUE TU VEUX ! TOUT DE FAÇON ILS VIENDRONT ME CHERCHER !
🧿
J'attends vos avis sur la situation.