Olivier : On peut se joindre à la partie ?
Fanny : Oui, bien sur.
Julie : Fanny, tu peux venir voir sil te plait ?
Fanny : Oui
Julie : Je ne veux pas leurs parler de ma blessure...
Fanny : Pourquoi ?
Julie : Je ne veux pas qu'il sache.
Fanny : D'accord mais fait gaffe ok ?
Julie : Ouais
Nous jouons tous ensemble, puis ce que je craignais est arrivé. Ma cheville a lâché. Je me suis étalé devant tout le monde pour la 2ème fois ! Génial !
Hugo, Antoine et Fanny courent vers moi.
Antoine : Juliiie ca va ?!
Je ne repond pas, j'ai vraiment mal.
Antoine : Viens je t'amène a l'infirmerie.
Julie : Non non surtout pas ! Heuuu je veux dire ca va aller merci.
Ouf je me suis rattrapée.
Hugo : T'es sur ca va ?
Julie : Ouais ...
Fanny : Julie tu sais ce que tu as à faire.
Julie : Ouais..
Antoine : Quoi ?! Qu'est ce que vous racontez ?
Julie : Rien rien allez jouez.
Ils repartent tous jouez et je vais dans ma chambre en boitant. Une fois dans ma chambre, je prend mes cachets pour ma cheville.
Julie : Rooo p****n d'cheville !
TOC TOC TOC je cache vite fait tous ça dans le placard et me rassois sur mon lit en boitillant.
Julie : Entrer !
Antoine : Dis Julie ca va ? J'ai l'impression que tu nous caches quelque chose.
Julie : Je n'ai pas envie d'en parler.
Antoine : T'es sur ? J'en parlerai a personne si tu veux.
Julie : Ce n'est pas ce qui me dérange. C'est juste un passé douloureux.
Antoine s'assit sur mon lit et Stuart viens se coucher sur ses pieds. Antoine le caresse et me dit :
Antoine : Je t'écoute.
Julie : C'était au lycée, avec Fanny nous avions intégré l'équipe féminine de foot. Nous jouions sur de l'herbe mouillée, j'était le goal. J'ai voulu rattraper un ballon, mais j'ai glissé et ma cheville s'est fracturée sur le poteau. J'ai porté un plâtre pendant 7mois. Quand c'est arrivée je me suis promis de ne plus jamais allez sur un terrain de ma vie mais Fanny m'a convaincu du contraire et cela fait maintenant 2 ans que j'ai repris les entrainement. Fanny a avais cessé elle aussi de jouer pour moi, je ne lui ai jamais pardonné. Depuis je joue rarement..
Antoine : Merde, je suis désolé. Il me prit dans ses bras.
Julie : Ce n'est pas grave.
Antoine : Je vais reussir a te faire aimer le foot comme avant.
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