Oui, pour la vie.

By PrincesseHarissa

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« Oui, pour la vie. » Je n'oublierais jamais ce jour ou il est entré dans ma vie. Je n'oublierais jamais ce... More

01 - Chapitre.
02 - Chapitre.
03 - Chapitre.
04 - Chapitre.
05 - Chapitre.
06 - Chapitre.
07 - Chapitre.
08 - Chapitre.
09 - Chapitre.
10 - Chapitre.
11 - Chapitre.
12 - Chapitre.
13 - Chapitre.
14 - Chapitre.
15 - Chapitre.
16 - Chapitre.
17 - Chapitre.
18 - Chapitre.
19 - Chapitre.
20 - Chapitre.
21 - Chapitre.
22 - Chapitre.
23 - Chapitre.
24 - Chapitre.
25 - Chapitre.
26 - Chapitre.
27 - Chapitre.
28 - Chapitre.
29 - Chapitre.
30 - Chapitre.
31 - Chapitre.
32 - Chapitre.
33 - Chapitre.
34 - Chapitre.
35 - Chapitre.
36 - Chapitre.
37 - Chapitre.
38 - Chapitre.
39 - Chapitre.
40 - Chapitre.
41 - Chapitre.
43 - Chapitre.
44 - Chapitre.
45 - Chapitre.
46 - Chapitre.
47 - Chapitre.
48 - Chapitre.
49 - Chapitre.
50 - Chapitre.
51 - Chapitre.
52 - Chapitre.
53 - Chapitre.
54 - Chapitre.
55 - Chapitre.
56 - Chapitre.
57 - Chapitre.
58 - Chapitre.
59 - Chapitre.
60 - Chapitre.
61 - Chapitre.
62 - Chapitre.
63 - Chapitre.
64 - Chapitre.
65 - Chapitre.
66 - Chapitre.
67 - Chapitre.
68 - Chapitre.
69 - Chapitre.
70 - Chapitre.
71 - Chapitre.
72 - Chapitre.
73 - Chapitre.
74 - Chapitre.
75 - Chapitre.
76 - Chapitre.
77 - Chapitre.
LES FILLES ?
- Snap/suite
Un retour ??

42 - Chapitre.

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By PrincesseHarissa

- : Sort de chez moi.

- Adama : Alors ton pédé t'as laissé seule ?

- : Tu me veux quoi au juste ?

- Adama : Ta gueule salle pute.

- : Non je ferme pas ma gueule t'es qu'un gros pédé.

- Adama : RÉPÈTES ?

- : Ouais, t'es le roi des pédé, t'as pas de couilles ça te vas ou tu veux que je te fasse un dessin ?

Décidément, je suis suicidaire.

J'ai senti ma joue se chauffer instantanément après qu'il me l'ai giflé. Ma tête attérit à l'autre bout de l'appartement. J'étais ébahie.

- : Tu viens me frapper quand y a pas Younes. Enfaîte t'as pas de couilles d'affronter mon mari. T'es pas un homme Adama w'Allah t'es qu'un gros tahane la vie qu...

Il ne me laisse pas le temps de terminer ma phrase. Il me rue de coups. Je n'étais plus maître de mon pauvre corps. Ma tête devenait lourde, mes paupières somnolentes et mon corps criait ma douleur. C'est avec difficulté que je ressentais un liquide chaud qui coulait le long de mon ventre. Doucement je ressentais une arme qui pointait mon crane.

- Adama : Maintenant tu ferme ta gueule salope.

Je ne criais plus, je ne pleurais plus, je ne parlais plus. La peur s'emparait de mon corps. J'allais sûrement mourir au moindre fait ou geste produit. Je n'étais pas prête à ce qu'il vienne chez moi. C'était rapide, imprévisible, mais surtout féroce.

- Adama : Il est ou ton pédé ?

Je ne lui répondit pas, trop occupée à être effrayée.

- Adama : T'es sûre de toi ?

J'hochais la tête avec difficulté.

Il me caressait la joue en suivant le rythme de ma peur.

- : Me touche pas, avec tes mains sales là.

- Adama : Ferme ta salle gueule ou je te bute.

Je respirais très fort. J'étais tétanisée. Il me caressait le cou sensuellement tout en pointant son arme en ma direction. 

- Adama : Mhhm. Tu m'excite bébé.

J'aurais put le repousser, mais j'étais tellement froissée que je n'avais pas même la force d'avaler ma salive. Ses mains naviguaient mon dos qui frissonnais de dégoût et ses yeux découvraient mon corps, mais son regard était surtout insistant sur ma forte poitrine. J'étais anéantie. J'invoquais Allah pour qu'il puisse m'aider tandis que lui m'enlevai mon haut de pyjama.

- : Tout mais pas ça...

J'étais sanglante de peur, de dégoût, de larmes.

- Adama : Tu dois avoir l'habitude avec Younes, on va bien s'amuser.

C'est durement que je repousse sa main droite qui se positionnait sur mon ventre. Avec son autre main il pointait son arme sur mon front, entre les yeux. Je les fermais en prononçant l'attestation de foie.

- Adama : N'aie pas peur ma beauté.

Doucement, il m'emmenait dans ma chambre en me poussant par la taille. Je le suppliais pour qu'il n'assouvisse pas ses besoins. Il allait me retirer ce que j'avais de plus chère en moi, ma fierté, mon bijoux, ma seule fortune. C'était à Younes que je devais offrir, ma virginité, c'était à lui, à Younes. Il me plaque contre le mur brutalement nos souffles s'entremêlaient. Je sentais son regard insistait sur ma poitrine, une seconde fois. J'humais son odeur d'alcool, répugnante.

- Adama : Je savais pas que t'avais une paires de seins pareilles. Younes doit te faire dinguerie.

Il rit d'un rire diabolique et malsain. Il séchait mes larmes, de ces mains salit par son être. Sa main gauche me caressait légèrement le dos pour descendre à mon fessier il se mit à le malaxer doucement, puis fortement. J'étais horrifiée. C'est avec une rapidité impressionnante qu'il me baissa mon bas de pyjama.

Je menaçais mes larmes pour ne pas qu'elles coulent encore plus, mais elles me refoulaient, encore et encore. Des gémissements plus fort les uns que les autres s'offraient à mes désastreuses oreilles. Il se mit à baiser ma joue, et de sa maudite langue il me la léchait. Je ne pouvais plus pleurer. Il malaxait maintenant ma poitrine en se déposant des baiser sur mon cou. Son arme toujours contre ma peau. Il embrassait mon buste puis ma poitrine. Il me suçait la peau, qui laissait des taches rouge et légèrement violettes. Il se mit à effleuré du bout de sa langue mon ventre puis il se mit à embrasser mes fesses. Après avoir désemparé mon postérieur il se levait en tentant de m'embrasser, mais j'essayais d'y échapper. Doucement il me mordillait les lèvres. Puis brutalement il m'allongeait sur mon lit. Sa bouche humide griffait mon bas ventre en visitant mes cuisses. Je redoutais le pire. Doucement je perdais contrôle, mes yeux étaient clos. Je l'entendait gémir, mais mon corps ne répondait plus au secour. 

Allah est Miséricordieux, il est Tout-Puissant. Ces mots résonnaient dans ma tête.

( ... )

Me voilà recroquevillée sur moi même, contre ce mur crasseux toute nue. Les larmes naviguaient mon visage assombri par la haine. J'observe cette pauvre pièce. Je ressentais une atroce douleur au niveau de mon intimité. Je baisse mes yeux vers celle-ci. Mon bas ventre baignait dans du sang aussi rouge que ma colère. Un vulgaire drap blanc était allongée sur le sol, c'est durement que je l'étale sur mon corps. Il avait volé ma virginité. Mais il avait également brisé mon cœur. 

- : NON NON NON PAS ÇA YA RABBI QU'EST-CE QUE J'AI FAIT ? AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !

Je suffoquais ma terreur toujours en me griffant le visage et en m'arrachant les cheveux. La porte qui libérait cette pièce s'ouvrait et laissait apparaitre Adama. sourire vainqueur était dessiné sur son vulgaire visage.

- Adama : C'était trop bon, t'es bonne sa mère ma poulette.

C'est brutalement que je me mis à crier, tandis que lui explosais de rire. Le voir rire me procurait une haine indescriptible.

- : FILS DE PUTE.

Il s'approche de moi en me ruant de coups aussi forts les uns que les autres. Mon cou se tordait je perdais la conscience.

( ... )

J'ouvre mes yeux avec beaucoup de mal, je voyais blanc, tout était de couleur blanc. Je ne pouvais pas parler, ma gorge était irritée et j'avalais durement ma salive. C'est peu à peu que je regagnais la vue. J'étais allongée sur un lit d'hôpital. Il était là, assit sur cette chaise métallisée. Le regard vide, le teint pâle et son visage marquer par ses cernes. Younes était là, à me fixer. J'étais faible mais surtout achevée par ce qu'il m'était arrivé.

- Younes : T'es réveillée Neyla ?

J'hochais la tête comme je pouvais. Il appuie sur un bouton rouge et c'est une infirmière qui vint à mon secourt. 

- Infirmière : Comment vous-sentez vos madame ?

J'agitais mon visage en pleurant. Je ne pouvais pas parler. Younes me regardait avec un air inquiet.

- Younes : Pourquoi elle parle pas ?

- Infirmière : Il lui faut de l'eau.

Elle me tend un verre d'eau, que je bois avec l'aide de Younes. Je me sentais fragile, fatiguée, exténuée, épuisée.

- Infirmière : Vous pouvez parler ?

C'est durement que je prononce un oui.

- Infirmière : Bien, madame, je dois vous annoncer que vous étiez dans le comas durant maintenant trois mois. Je suis vraiment désolée.

__________

Selem aleykûm. Vous allez bien ?

Ce chapitre est dédié à Asia_Soum62 voilà hbiba. J'en profite pour te faire pleins de bisous.

C'est finit pour ce malheureux chapitre. C'était assez chamboulant. Désolée pour les quelques précisions. Mais c'était pour vous montrer à quel point c'est horrible de se faire violer et à quel point ça peut détruire des vies. Je ne sais pas si ça était bien expliquée, je ne me suis jamais fait violer el hamdûlillah et je ne sais pas comment ça se passe. J'ai fait le maximum pour qu'on soit à la place de Neyla. Voilà j'espère que ça vous a plut, malgré ces durs événements. 

Dîtes moi ce que vous en pensez, ce que vous aurez fait en commentaire.

Comment sera la suite de cette histoire ?

Qu'Allah nous protège de ce monde. Dîtes Amîn.

  Je vous laisse en vous faisant de gros bisous.   


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