Oui, pour la vie.

By PrincesseHarissa

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« Oui, pour la vie. » Je n'oublierais jamais ce jour ou il est entré dans ma vie. Je n'oublierais jamais ce... More

01 - Chapitre.
02 - Chapitre.
03 - Chapitre.
04 - Chapitre.
05 - Chapitre.
06 - Chapitre.
07 - Chapitre.
08 - Chapitre.
09 - Chapitre.
10 - Chapitre.
11 - Chapitre.
12 - Chapitre.
13 - Chapitre.
14 - Chapitre.
15 - Chapitre.
16 - Chapitre.
17 - Chapitre.
18 - Chapitre.
19 - Chapitre.
20 - Chapitre.
21 - Chapitre.
22 - Chapitre.
23 - Chapitre.
24 - Chapitre.
25 - Chapitre.
26 - Chapitre.
27 - Chapitre.
28 - Chapitre.
29 - Chapitre.
30 - Chapitre.
31 - Chapitre.
32 - Chapitre.
33 - Chapitre.
34 - Chapitre.
35 - Chapitre.
36 - Chapitre.
37 - Chapitre.
38 - Chapitre.
40 - Chapitre.
41 - Chapitre.
42 - Chapitre.
43 - Chapitre.
44 - Chapitre.
45 - Chapitre.
46 - Chapitre.
47 - Chapitre.
48 - Chapitre.
49 - Chapitre.
50 - Chapitre.
51 - Chapitre.
52 - Chapitre.
53 - Chapitre.
54 - Chapitre.
55 - Chapitre.
56 - Chapitre.
57 - Chapitre.
58 - Chapitre.
59 - Chapitre.
60 - Chapitre.
61 - Chapitre.
62 - Chapitre.
63 - Chapitre.
64 - Chapitre.
65 - Chapitre.
66 - Chapitre.
67 - Chapitre.
68 - Chapitre.
69 - Chapitre.
70 - Chapitre.
71 - Chapitre.
72 - Chapitre.
73 - Chapitre.
74 - Chapitre.
75 - Chapitre.
76 - Chapitre.
77 - Chapitre.
LES FILLES ?
- Snap/suite
Un retour ??

39 - Chapitre.

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By PrincesseHarissa

Elle se retourne avec un regard perdu. Le mec en question se retourne et c'était bien évidemment Azzedine, son soit disant "petit ami" comme on le dit si bien.

- Nesrine : Neyla ?

- : Neyla ? Mais t'es sérieuse toi ? Tu fou quoi avec Azzedine ?

- Nesrine : Bah rien on faisait un tour.

- : Je t'es dit quoi toi ? Si Bilel ou Youssef il te crame tu fais quoi petite conne ?

- Azzedine : Mais tu veux quoi sérieux ?

- : Toi tu veux quoi ? Pourquoi tu te mêle de notre histoire même ?

- Azzedine : Écoutes ma petite tu te calme c'est bon ?

C'est une blague ? J'explose de rire.

- : Laisse moi rire Azzedine. Non mais t'es un malade dans ta tête toi. Vas-y t'sais quoi casse toi de là.

- Azzedine : Je me casse pas tu vas faire quoi ?

- Nesrine : Azzedine... C'est bon.

- : Ouais écoute ta soit disant "meuf" et bouge d'ici parce que je risquerais de m'énerver.

- Azzedine : Fais gaffe à qui tu parle.

- : Rohh mais il bourre le crane celui-là. Nesrine rentre, tout de suite.

( ... )

Nous sommes enfin arrivé dans le quartier de nos parents. Nesrine était silencieuse pendant que moi j'écoutais de la musique à l'aide de mes écouteurs. Je tchèque les teneurs de murs et nous montons les escaliers. Je sonne à la porte et c'était Youssef qui nous avait ouvert le sourire au lèvres, pour une fois.

- Youssef : Wesh sœurette.

- : Youssef tu m'a manqué khoya.

- Youssef : On s'est vu avant hier mais bon...

- : Rohh arrête de casser mon délire.

Je m'installe au salon en compagnie de Youssef tandis que Nesrine était dans sa chambre.

- : Bon t'as quoi toi ?

- Youssef : De quoi j'ai quoi ?

- : Je sais pas t'es tout content. Il t'arrive quoi ?

- Youssef : Ahh si tu savais ma sœur...

- : Quoi ? Me dis pas que t'as trouvé une petite femme ?

Il rougit légèrement en laissant place à un petit sourire. Je le regardais stupéfaite. C'était la première fois que je le voyais ainsi.

- Youssef : Une grande femme ouais.

- : Mais non ?

J'étais choquée.

- : Elle s'appelle comment ?

- Youssef : Safiyah.

- : J'espère qu'elle est aussi belle que son prénom.

- Youssef : Elle est magnifique, beaucoup plus que son prénom.

- : Ohh je suis choquée là ! Jamais de la vie je penserais que tu te marierai.

- Youssef : Moi aussi w'Allah. Mais elle c'est la bonne, j'en suis sûr. C'est la seule qui peut me calmé quand je suis énervé. C'est la seule qui peut me faire rire quand je suis pas d'humeur. C'est la seule qui a volé mon guelb.

- : Mais non, c'est pas toi ça. Youssef il parle pas comme ça.

- Youssef : Figure toi que grâce à Safiyah je me suis repentit.

- : Ma sha Allah khoya.

J'étais fière de lui, fière de mon frère.

- Youssef : Merci Neyla. Cette après-midi t'es libre ?

- : Oui pourquoi ?

- Youssef : Safiyah voulait que vous passiez l'après-midi ensemble histoire de faire connaissance tu vois.

- : Ah ouais ? Bien sûr qu'on fera connaissance !

J'étais vraiment excité de rencontré ma future belle-sœur. La femme qui a sut changé mon frère, celle qui a purifié son cœur. Je ne sais vraiment pas comment elle a réussit à le changer, mais je lui tire mon chapeau.

- Youssef : Ahh bah hella alors. Je lui envoie un message.

- : Je suis fière de toi mon frère.

Il m'embrasse le front longuement. C'était tellement rare que j'en avais versé une larme.

- Youssef : C'est moi qui est fière de toi Neyla.

( ... )

Me voilà vêtu d'un jilbeb noir et ample, ainsi que mon voile noir. J'étais enfin prête pour aller à la Mosquée accompagné de ma future belle-sœur. Safiyah voulait premièrement prier puis elle m'avait laissé le choix pour le reste de l'après-midi. Je lui avais donc proposé de nous promener dans un parc, celui ou Younes m'avait emmené. Elle avait accepté avec grand plaisir, Youssef m'avait donné son numéro. Je quitte la maison, et vais à la Mosquée.

( ... )

Nous avons enfin fini de prier. J'étais soulagée mais surtout apaisé. Le fait d'entré dans un lieu Saint, m'avait donné une impression de m'être purifié le cœur. J'en avais également profité pour faire des du'uas. Des invocations pour ma mère et mon père, des invocations pour mon frère Bilel, des invocations pour mon frère Youssef et pour Safiyah, sa future femme. Et enfin des invocations pour l'homme que j'aime, Younes. J'espère qu'il va bien en Espagne. Il me manquait énormément.

Safiyah et moi quittons la Mosquée pour se promener vers le parc. Nous étions silencieuse, préférant contempler le magnifique paysage qui s'offrait à nos yeux.

( ... )

Nous avions acheté des glaces et nous sommes désormais assise sur l'herbe, Safiyah et moi.

- Safiyah : Parle moi de toi.

- : Je m'apelle Neyla, âgée de dix-neuf ans et déjà marié à Younes. Je suis Tunisienne mais ça tu le sais déjà. Je vis ma petite vie tranquillement. A vrai dire il n'y a pas grand chose à dire pour ma part et toi ?

- Safiyah : Je m'appelle Safiyah j'ai vingt-deux ans et je vis avec mes parents el hamdûlillah. Je suis d'origine Algérienne. Je suis une fille unique, pour mon plus grand malheur. Mais je dis el hamdûlillah quoi qu'il arrive. Je porte le voile depuis mes dix-neuf ans et je prie depuis mes treize ans.

- : El hamdûlillah ûkhty. Youssef avait bien raison tu es magnifique, aussi belle de l'intérieur que de l'extérieur.

Safiyah était une très belle femme à la peau dorée, de jolies yeux bruns très clair et une taille impressionnante.

- Safiyah : Merci ma belle. Tu es encore plus belle que moi. J'ai remarqué que tu avais les même yeux que Youssef, bleu clair.

- : Oui, merci. Sans être indiscrète, tu mesure combien ? Parce que ta taille m'impressionne assez, ma sha Allah.

- Safiyah : Il n'y a rien de grave ma chérie. Je mesure un mètre quatre-vingt et toi ?

- : Ouhh je me sens petite mddr, moi je mesure un mètre soixante-dix.

- Safiyah : Ne dis pas de bétises Neyla.

- : Sinon toi et Youssef ? Comment vous vous êtes connu ?

- Safiyah : C'était un jour janvier, il faisait froid et il pleuvait. Je rentrais du boulot quand j'avais croisé un homme assis sur un muret complètement ivre starf'Allah. C'était bien évidemment Youssef. Il ne tenait presque plus debout, alors je lui avait proposé mon aide. Il me repoussait, violemment à dire vrai. Sa capuche baissé, il la relève et là il me regardait et moi également. Il était magnifique je dois l'avouer. Il m'avait dit : "Ne traîne pas dehors, surtout pas avec moi". Sa voix dure et rauque me faisait trembler. Je n'ai pas plus insisté je l'ai laissé. Je ne suis pas une fille qui force la personne. Je suis donc rentré chez moi. Durant une bonne semaine je ne l'ai plus revu. Pour moi, ce n'était qu'un simple banlieusard. Mais je me suis dit que dans le fond il doit être un homme bon, au grand cœur. Mais il veut cacher ses sentiments comme tous les gars de cité d'ailleurs. Un jour je l'ai croisé, toujours avec sa capuche qui lui cachait son visage, je faisais mine de ne pas l'avoir vu. Mais il me retenait par le bras. Je lui avait lancé un "Selem aleykûm" et il m'avait répondu. Sa voix rauque et grave me faisait toujours le même effet. Je voulais partir mais il me retient, ne seconde fois. Il m'avait dit : "Tu t'apelle ?" j'avais hésité un petit moment mais je ne lui ai pas répondu. Je suis parti, je n'avais pas l'habitude de parler à un homme. Un moi plus tard, je l'ai croisé au bord de la mer. Je suis parti le voir, il fumait un joint. Pour la première fois j'ai vu son visage. Un visage angélique. Ses yeux bleus sa cicatrice près de sa joue, tout m'avait charmé chez lui. Il me faisait de la peine, je lui avais demandé pourquoi il fumait et pourquoi il buvait et il m'avait répondu : "Tu sais pour oublié ma vie, je me bourre le crâne avec toute cette merde. Et pendant un moment j'oublie ma peine. Tu sais la vie n'est qu'une chienne." Je lui avait demandé son prénom et il me l'avait dévoilé. Je lui ai alors donné le mien "Safiyah, t'es aussi belle que ton prénom" voilà ce qu'il m'a répondu, j'ai rougit. Trop mal à l'aise devant lui. Et puis il m'avait dit : "Safiyah t'approche plus de moi, je veux pas te salir. T'es une perle alors que moi je suis qu'une merde." et il est parti. Depuis ce jour là il était toujours présent dans ma tête. J'essayais de l'oublier, mais en vain. En mars, je sortais de la Mosquée. Il était là, debout contre sa voiture. Il voulait que je monte dans sa voiture mais j'avais refusé. Il m'avait juré qu'il ne me ferait pas de mal puis j'ai finit par accepter. Il nous a emmener dans une vallée, impressionnante. Nous étions seuls au monde quand il me dit : "Parle moi de l'Islam, parle moi d'Allah" j'étais vraiment surprise, mais je lui ai sourit en répliquant : "L'islam n'est pas une nouvelle religion. Son message est le même que celui prêché par les prophètes du passé tels Noé, Abraham, Moïse et Jésus, que la paix soit sur eux tous. Mais l'ultime message de Dieu, à l'humanité, fut révélé à Son dernier prophète, Mohammed, afin de faire renaître les enseignements perdus des prophètes du passé et de reconfirmer Son message éternel. Devenir musulman est facile. Tout ce que la personne doit faire est de prononcer, avec conviction, la phrase appelée « attestation de foi ». C'est la shahada" bref, je ne vais pas tout te raconter. C'est beaucoup trop long. Nous avions passé trois heures entrain de parler d'Islam puis il m'a dit : "Maintenant que je sais ce que c'est, je veux que tu m'aide à appliquer l'Islam."

Elle commençait à pleuré, silencieusement.

- Safiyah : W'Allahi que si je pouvais lui donner ma foie et mon adoration pour Allah je le ferai. Il m'avait touché. C'était vraiment peinant de voir un musulman dans cet état là. Je... J'étais triste de le voir ainsi, alors j'avais fait le maximum, pour lui apprendre notre si belle religion.

Prononça t-elle entre trois larmes.

- : Ma sha Allah je suis impressionnée.

- Safiyah : A partir de ce jour, chaque jour nous parlions de l'Islam sur cette vallée. Chaque jours nous abordions un nouveau sujet. Chaque jour, il changeait, il diminuer ses cigarette et son alcool jusqu'à en arrêter. Au moi de mai j'avais abordé le mariage en Islam. Il m'écoutait instinctivement, il était vraiment épanouie. Il ne me coupait jamais. Puis, à la fin de cette après-midi il m'avait dit : "Je veux que tu devienne ma femme". J'avais pleuré, des larmes de joie. Mais également des larme de peur. J'avais peur, mais de quoi ? Moi même je ne sais pas. Et voilà depuis un moi qu'il m'a laissé réfléchir puis j'ai finalement accepté. Il était devenue un homme bon, et je veux continuer de lui apprendre l'Islam dans le hlel. Il y a deux semaine j'ai accepté et aujourd'hui il m'a présenté sa sœur, logiquement, toi. Il compte me présenté à votre mère. Bientôt in sha Allah. Nous n'avions jamais fait d'approche, ni même un câlin.

Je lui essuie ses larmes en lui caressant le dos machinalement.

- : Vous avez vraiment une histoire magnifique. Tu es celle qui lui faut à mon frère, tu es parfaite pour lui. J'espère qu'il sera un homme pieux, encore plus que ce qu'il est. Je vous souhaite tout le bonheur du monde. Vous le méritez tellement. Je t'admire beaucoup Safiyah. Ma sha Allah.

- Safiyah : Merci Neyla, merci beaucoup. Ça me touche, vraiment.

- : C'est rien hbiba, arrêtes de pleuré.

Je l'enlace dans mes bras.

- Safiyah : Désolé je suis une personne plutôt sensible.

- : J'avais remarqué, tu n'a pas à t'excuser c'est pas grave. Au contraire ça fait plaisir.

- Safiyah : Ça me fait autant plaisir hbiba. Sinon tu es marié depuis combien de temps ?

- : Depuis déjà quelques mois, quatre ou cinq mois il me semble.

- Safiyah : In sha Allah kheir.

- : Choukran.

( ... )

L'après-midi midi s'est très bien passé. Safiyah et moi avions appris à nous connaitre et je peux vous dire que c'est une femme en or. Elle est formidable. Youssef ne s'est pas trompé, c'était bien la bonne.

J'étais entrain de parler au téléphone avec Aminata quand on toque à la porte.

- : Je te laisse hobi, on toque à la porte. Passe le selem à Aliyah par facebook.

En effet Aliyah était en Algérie. Son voyage a eu lieu quatre jours avant celui de Younes. Avant de partir nous avions passé une journée ensemble.

- Aminata : D'accord selem.

Je vais ouvrir à la porte qui laissait apparaître Aymen. Il me tchèque tout souriant.

- : Selem aleykûm, que me vaut ta venue ? T'es venue pour voir Kenza petit coquin ?

- Aymen : Selem, non même pas. Je suis juste venu te voir, pour veiller sur toi. Tu connais Younes...

- : Rohh je suis pas un bébé non plus. Tu veux boire un truc ?

- Aymen : Il veut prendre soins de sa petite femme. De l'eau s'il te plait.

J'avais légèrement rougi face a ce qu'il avait dit. Je vais lui apporter de l'eau et du Coca frais.

- : Voila, j'espère que tu aimes le Coca.

- Aymen : Merci ûkhty, t'assures.

- : T'inquiète, sinon avec Kenza première dispute.

- Aymen : Non mdr c'est elle, elle m'a boudé parce que qu'on s'est pas vu cette semaine.

- : Mdrr c'est du Kenza ça.

- Aymen : Comme d'habitude, après je vais lui acheté des granola et elle me reparlera cash !

- : C'est bon t'as trouvé la technique pour qu'elle te boude plus !

- Aymen : T'inquiète ma sœur.

( ... )

La sonnette retentit. Je vais ouvrir et je vois Sonia, accompagné d'une boite de chocolat, mes preférés. Je l'a fait entré. Je voulais l'enlacer dans mes bras, mais je me retenais.

- Sonia : Selem aleykoum...

- : Aleykoum selem.

Elle s'installe dans le salon, je vais chercher les chocolats chauds et je me pose avec elle. Pourquoi Sonia est venu ? Je sais pas.

- Sonia : Voilà si je suis venu c'est parce que tu me manque et je sais qu...

Elle se met à pleuré silencieusement. Je vous avoue que ça me touchait vraiment, je déteste la voir pleuré c'est ma sœur de cœur. Malgré ce qu'elle m'a fait elle restera toujours dans mon coeur.

- Sonia : Donc.. J'en ai marre de cette situation wAllah, j'en peux plus ! T'as vu la je pleure encore une fois. Je sais que ça se fait pas ce que j'ai fait. Mais je l'aime ton frère. Mais tu sais quoi si tu veux que je le quitte pour toi je le ferais ! Oui je le ferait pour toi ! Neyla je t'aime ! Je peux pas vivre sans toi. Pardon., j'ai envie qu'ont redeviennent comme avant. Ma sœur me manque...

Je la regarde droit dans les yeux et vois qu'elle est sincère.. Puis après tout dieu pardonne, alors je suis qui pour ne pas pardonné ?

- : T'es prête à tout pour moi ?

- Sonia : A tout Neyla.

- : Je veux que tu quitte Bilel.

__________

Selem aleykûm mes Harisettes, comment ça va ?

J'espère que ce chapitre vous a plut. J'en ai profité d'être seule pour demander l'ordinateur de ma tante et pour vous tapper la suite. Je ne me suis pas corriger mais je le ferait demain, chez moi. D'ailleurs j'ai passé un excellent week-end et vous ?

Quel sera la réponse de Sonia ?

Gros bisous mes Harisettes.

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