Surprise [Nouvelle] ✔

By Annabeline

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Rose, Dave, Fary, Daman. Une réunion junky dans un hôpital abandonné. Une odeur immonde. Saurez vous diffé... More

... surprise.

surprise...

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By Annabeline

C'était la première fois que Rose mettait le pied dans un endroit aussi sordide. En plus d'avoir dut traverser une forêt dans le noir, la nuit, elle devait en plus entrer dans cet infâme hôpital abandonné. Le batiment se tenait devant elle. Elle pouvait discerner dans la nuit son contour cubix et ses fenêtres brisées pour certaine, ainsi que son état lamantable.

Avec un frisson de peur, elle s'avança d'un pas rapide. Elle jetta un coup d'oeil et ce rendit compte qu'elle était en retard.

Rose avait fait cinq ans d'études pour devenir infirmière, avant de devoir tout arrêter faute de résultats : ils étaient lamentables, elle était la pire étudiante de l'école. Si elle avait réussi à entrer dans cette école, c'était uniquement grace à l'influance de son père. Mais en voyant ses résultats catastrophique, il l'avait tout simplement regnier. C'est là qu'elle s'était mise à fréquenter des personnes peu recommandable, grisée par le danger, exciter par ces bad boys qui la traitaient comme une mule. Mais vite, bien trop vite, elle était devenue dépendante d'eux : quand elle s'en est apperçu, il était trop tard pour sortir du système. Ils la tennaient entre leurs griffes, impossible pour elle de s'en sortire indem. Elle s'était alors résignée après une tumultieuse altercation avec son mac, qui lui avait valut quelques cheveux arrachés et un énorme ématome à la hanche. La chute avait été brutale.

En entrant dans l'hôpital, elle monta au premier pour trouver la bonne chambre. Elle regardait à peine autour d'elle, craignant d'y voir des rongeurs. Sur le sol, des bouts de scotches lui indiquaient le chemin vers la bonne chambre. La porte était ouverte. Dans la pièce, des cannapés et un lit avaient été poser contre les murs, dans un coin étaient entassé les anciens meubles qui encombraient la pièce, sauf quelques uns qui avait étés jeter dehors. Les cannapés étaient miteux, et des juncky y étaient assis, presque les uns sur les autres, déjà drogué ou en train de fumer comme des pompiers. Trois étaient étendus sur le lit en fer, user, surmonter d'un matela à moitier éventrer. Deux hommes, bien portant contrairement aux autres, s'avancèrent vers elle.

- T'en a mis du temps ! s'exclame le plus jeune et le plus petit.

Il prit la malette de Rose pour la poser brutalement sur une étagère et l'ouvrir. Il observa un long moment son contenus avant de s'effacer pour la laisser faire. L'autre la dévisagea, ne dit rien, puis s'effaça à son tour dans un coin après lui avoir tendu un sac à dos.

Le plus jeune, Dave, avait les cheveux court, mais pas raser. Il avait les épaules qui tressotait, signe de son empressement à quitter cette endroit pourri. Jamais il n'aurait cru devoir livrer de la merde dans ce genre d'endroit. Si on lui avait dit, quelques annèes plus tôt, que ce genre de réunions pour drogués existait il n'en n'aurait rien cru. Mais ça ce passait désormais sous ses yeux. Il observait ces loques humaines ce faire injecter leur dose dans les veinnes par une fille, sûrement une pute à la solde du gars qui lui avait demander de livrer tout ça.

Dave était dégoûter. Et comme pour en rajouté une couche, l'endroit ses mis à empester. Un mélange de pourriture et d'excrément longuement conservé. Il fut pris de nausés. Il regretta soudain amèrement d'avoir suivit les traces de son cousins et virer apprentis dealeur. Mais que lui restait-il comme choix ? Il devait absolument aider sa mère financièrement et sa copine n'était pas le genre de fille qu'on emmène au Mcdo pour son anniversaire. L'occasion était tomber au bon moment, dans un moment de vulnérabilité : il l'avait saisit sans y avoir réfléchis une seule seconde. Il n'avait vu que les larmes de sa mère et les lèvres douce de sa chérie.

Pour Fary, la situation était différente. Il ne faisait que remboursé une dette, rien de plus. C'était son derniers coup, avant de décrocher définitivement, et de commencer un nouveau départ avec ses deux petites princesses qui l'attendait à la maison. Sa copine et sa jolie petite fille de seulement quelques mois. C'était elle, son petit coeur en guimauve, qui l'avait résolu à tout plaquer, ses activités à la con, ses potes à problèmes : il refusait catégoriquement que sa fille ait un papa en taule ou vendeur de drogue dure. Briser les liens avec toutes ces histoires s'était avéré délicat et compliqué, mais à force d'arrangement, il avait réussi à couper les ponts. Dès que son pied auras franchit les portes de cet amat de béton pour rejoindre la forêt, sa dette serais entièrement payer et il pourra laisser cette histoire derrière lui.

Retrouver son ange, c'était tout ce qui lui importait pour le moment.

Une odeur horrible lui chatouilla les narines, à tel point que les images de sa fille en furent souiller. Il reprit ses esprits et ce boucha le nez quelques secondes.

- J'en ai ras-le-bol. Je me tire ! s'exclame son coéquipier, Dave. Toi, la nana, si tu veux pas traverser la forêt toute seule une seconde fois dépêche.

Puis le petit blond sortis le pas léger mais précipiter. Fary jetta un coup d'oeil en biais à la jeune fille qui piquait les toxicos déjà au 18ème ciel et amorphe. En ce sentant observer, Rose ce retourna et ce contenta de hausser les épaules. Fary ne chercha pas plus loin et du haut de ses un mètre quatre vingt dix, s'éloigna à grande enjambé pour rejoindre son colègue, mais avant de franchire la porte, on le retint par le bras.

- Ca pus, pas vrai ?

C'était un gamin, à peine mineur, et définitivement trop jeune pour assisté à ce genre de regroupement de drogués. Il avait les cheveux bleu, Fary le devinait même dans l'obscuriter. Quand le garçon a lever les yeux vers lui, il s'attendait à les voir rouge, défoncer comme il devait l'être. Mais non, ses yeux étaient normaux. Fary se demanda ce qu'il foutait ici ce gamin. Il en eu presque un pincement au coeur en voyant son visage enfantin.

Malgré tout, il se dégagea et partit sans plus de cérémonie. Sa famille et sa nouvelle vie l'attendait. Il trouva Dave adossé à un mur, en train de l'attendre. Dave avait, même si il ne l'avouerait jamais, la trouille de sortir d'ici tout seul. Son compagnon d'infortune le dépassa et Dave ce redressa pour le suivre.

Sans le savoir, tout deux s'interrogeaient en silence sur cette odeur dégueulasse qui remplissait petit à petit l'hôpitale.

C'était un vieille hôpitale qui datait beaucoup. Si il est autant reculer, c'est parce qu'il acceuillait des patients mis sous quarantaine, atteint des derniers résidus de peste et autre maladie horrible. Mais un virus ce serais répandut dans l'hôpitale faisant mourire patients et employés, après que le lieu ai été entièrement désinfecter il fit faillite. A cause de son histoire macabre, personne ne voulait de cet hôpitale et il restait là à pourire.

Coupant court à ses pensées, Fary entendit un bruit. Un grognement.

- On doit pas traîner, il y a peut être des chiens sauvages dans le coin, dit-il en regardant partout autour de lui.

Dave s'arrêta brusquement devant les escaliers menant au rez-de-chaussé. Il retint Fary par le bras, et celui-ci le dévisagea étrangement. Dave était devenu pâle, très pâle.

- C'est quoi, ça ? Ca y était pas quand on est monter, dit-il d'une voix blanche.

Fary observa à son tour. Derrière eux, une fenêtre éclairait légèrement les marches grace à la pleine lune. Ses yeux tombèrent sur quelque chose d'étrange, sur la première marche. Un bras. Un bras sale, norcit, avec de la peau arracher. Et juste à côter, dans l'ombre de la rambarde à moitier cacher par celle-ci, deux billes bleus les fixaient. Une tête au cheveux presque arracher, un oeil entourer de pue, un nez dont il manquait le cartilage.

Fary leva les yeux. Dans la nuit, dans l'ombre des murs, des gens. C'était un véritable troupeaux, qui les fixaient, immobile et le visage livide. Leurs cheveux manquaient et tombaient, ils portaient des blouses de patient, certains de medecins, ils étaient de toutes les tailles, de tout les ages, leurs peaux était strié de tâches noirs, tâcher de sang et leurs plaies étaient mochement infectés. Tous, sans exceptions, les fixaient. Ca puait.

Fary eu un haut le coeur, mais n'en laissa rien paraître. Dave par contre haletait, comme en pleine crise d'asme ou de pannique. Fary ravala son vomis et parla d'une voix à peine chuchoter.

- On fait demi-tour.

Dave l'entendit, et d'un pas extrèmement lent, ils reculèrent. Rien ne bougea. Ils continuèrent de reculer. Bientôt, il purent de tourner et marchèrent rapidement mais aussi silencieusement que possible. Devant la pièce des drogués, Rose rangeait tranquilement ses seringues.

- T'es copains reviennent, dit le jeune homme au cheveux bleu.

Rose ce retourna en froncant les sourcils. Toujours près de la porte, Daman regardait les deux garçons avancé le visage terrifier. L'odeur sembla plus intense que jamais.

Les deux garçons entrèrent, en tout cas Fary qui ce pencha à l'intérieur de la pièce. En voyant les gens amorphe dans les cannapés, il sut que c'était inutile d'essayer de les faires réagire. Il ce tourna donc vers Rose.

- On doit dégager, tout de suite, immédiatement, bouge de là et fait pas un bruit, dit-il précipitament.

Rose eu un moment de flottement. Elle réfléchie presque pas quand elle sortie précipitement à son tour. Fary allait partire quand il ce souvint du jeune au cheveux bleu. Il ce tourne vers lui, assis sur un accoudoire juste à coter de la porte, et qui paraissait en pleine fonction de ses moyens.

- T'a pas entendu ? Suis nous ! dit-il avec force et fermeter. Y a des trucs louche en bas et crois moi ils nous veulent pas du bien vue leurs tronches.

- J'attends quelqu'un ici, repond-t-il simplement. Tant qu'il est pas redescendue de sont nuage de drogué, je ne pars pas.

Fary compris qu'il parlait d'un des drogués dans cette pièce. Il était presser, très presser. Il pensa une seconde à essayer de le persuader de le suivre. Mais sa petite fille occupait toute sa mémoire. Il ne savait pas ce qu'il ce passait ici, il ne savait pas pourquoi, ni comment, mais son instinct lui dit d'abandonner ce garçon pour survivre. Une peur paranoïaque le submergeait.

Alors il est partit, courant le plus vite possible en rattrapant les deux qui montaient quatre à quatre les marches de l'hôpitale menant au troisième. Dans le couloir, ils entendaient les grognements des... des zombies. Oui, ils le pensèrent tous en même temps, ils étaient en train de vivre l'impensable. Une attaque de zombie.

Dave pensa à sa famille. En faîte, il pensait à sa mère, à ses cernes de fatigue, à son dos qui la faisait souffrire et il ce souvint de tout les sacrifices qu'elle a fait pour lui. Sa coquetterie, par exemple. Ou combien de fois elle s'est privée pour lui acheter la dernière paire de basquette qu'il voulait et coûtait une fortune. Les fois où elle lui criait dessus pour le réprimander sur ses mauvaises frenquations, et qu'il ce mettait à tout casser, voir même à devenir violent ; jamais sur sa mère, non, mais une fissure dans le mur. Son coeur ce brisa en repensant à sa mère, assise sur son lit dans le noir en train de pleurer. Sa petite amie, qu'il aimait même si, il en est sûr, elle ne l'aime que pour le fric. Dave aimerait tellement changer des choses dans sa vies : il ne veut pas mourir.

Rose aussi, pensa à sa vie. Elle aimerait tant revoir ses parents, leur dire qu'elle est désoler, qu'elle aurait dus plus les écouter, plus bossé. Elle ce souvint des bon moment passer avec ses amis, qu'elle adorait autant qu'elle les detestaient. Ils étaient tous tellement sympa : mais ils avaient causé sa perte. Et puis son mec. Son mec qui lui laissait un goût amer dans la bouche. Elle aurait aimé lui cracher au visage, et l'envoyer chier, une bonne fois pour toute. Elle ne veut pas mourir sans avoir dit la véritée au grand jour.

Tout les deux, en courant, s'accrochaient à l'espoir. Leurs pieds frappaient le sol en cadence, leurs souffle, court, désespérer, résonnait. Leurs rétines les brûlaient, les démengeaient, comme quand on épluche des ognons. Quelque choses leurs brûlaient la peau. L'odeur des zombies était immonde, peut être même à tel point qu'elle aggressait leurs système nerveux.

Ils étaient arriver au bout d'un long couloir. Les trois s'enfermèrent dans une... chambre. Fary et Dave prirent tout ce qu'ils trouvèrent pour s'enfermer dedans, ils baricadèrent la porte avec le lit et une armoir. Mais le bois de la porte, tout comme les meubles, était vieux et délabré. Ca ne tiendrait pas.

Fary ce tourna vers la fenêtre, et tenta de l'ouvrir en vain. Elle était bloquer. Fary pris la première chose qui lui vint sous la main, la porte d'un meuble bas, et frappa la fenêtre de toute ses force avec. Au premier coup, elle ce fissura, au deuxième elle ce brisa. Dans le couloir, d'infâmes grognement ce firent entendre. Dehors, la lune commencait à descendre.

- Putain, je veux pas mourir! cria Dave en ce prennant la tête entre ses mains.

Fary ce tourna vers eux. Dave pétait les plombs, et Rose pleurait, emmitoufler dans un coin.

- On peut peut être sortire par la fenêtre si... commence-t-il.

La portes fut rapidement deffoncer, et les meubles éjecter. Le cri percant de Rose réveilla Dave. Des hommes et des femmes à la peau noirci, recouvert de plaies purulante, la gueule grande ouverte et bavant une mousse blanche. Une odeur plus que pestilenciel, immonde, une odeurs d'oeufs pourries, de vomis, de cadavre. Un zombie essaya d'attraper Dave, d'une main à moitier dépourvus d'ongles, ensanglanter, ce jettant sur lui dans un équilibre précaire.

Ses réflexes le poussa à attraper le zombie et le repousser brusquement. Avec horreur, il vit un rat sortire de sa bouche. Tout s'enchaîna vite. Ces immondisses ce jettèrent sur eux, initier au bagarres de rues, Dave et Fary ce défendirent comme possible.

Mais pour un à terre, trois autres arrivaient.

La peur, la terreur les submergeas. Ils jouaient leurs vies. Ils gardaient à l'esprit leurs raisons de vivre pour ce battres, alors qu'un zombie refermait sa gueule sur leurs mollet ou leur chevilles. Ils étaient assaillis de partout. Un carnage. Une substance étrange s'échappait de leur corps, une sorte de sang grumeleux, visqueux et immonde. On aurait dit le placenta du diable.

Plusieurs zombies ce jettèrent sur Dave, qui tomba sur les morceaux de verres. Il tenta en vain de ce débarrasser, hurlant à la mort, mais du sang envahis sa gorge, puis sa bouche, et sûrement aussi du vomis. Immonde. Tout était immonde. Il s'étouffa. Les zombies ce délectères de sa chair.

Au même moment, Fary attrapa un bout de verre qu'il planta dans le crâne d'un des monstres. Il entendait les sanglots de Rose, et les dernières convulsions de Dave. Le désespoir l'envahit, sa fille lui semblait être un lointains souvenir maintenant. Parce qu'au même moment, il sentait quelque chose le ronger de l'interrieur. Des monstres s'étaient jetter sur son ventre, et l'avait gratter avec leurs dents et leurs doigts dépourvus d'ongles tranchant jusqu'à le transperçé et bouffer ses entrailles. Il les regardaient, vivant. Il souffrait, il pleurait, et si il avait pus il aurait crier. Mais du sang s'échapait de ses oreilles, de ses yeux, des rats et des insectes rentraient en lui pour fouiller ses entrailles : en réaliter, bien avant de s'étouffer dans son propre sang, il était déjà mort depuis longtemps.

Rose, en boule sous le lit, avai tout vue. Les larmes coulaient sur ses joues sans rien pouvoir faire les en empêcher. Elle venait de voir la mort, atroce, immonde. Le pue des zombies ce mêlait au sang de ces deux garçons, mort, qui faisait déchiqueter. Alors que ces bêtes affâmé arrachaient leurs chairs, du sang éclaboussa Rose.

Elle ne voulait pas mourir.

Elle retint le vomi qui remplissait sa bouche. Dans le noir, à la lumière de la lune, ces créature semblaient irréelles. Pourtant elles étaient là, mais ne faisait pas attention à elle. Les jambes tremblante, elle ce mit à courire vers la fenêtre. Des créatures ce retournèrent, peut être même certaines ce sont mises à la poursuivre. Elle sauta. Elle vola.

Et sa tête s'écrasa contre le sol.

Emportant avec elle, cette terrible odeur.

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