Ce chapitre est presque du copier collé du chapitre trois du deuxième tome de Percy Jackson ( la mer des monstres) de Rick Riordan.
Je suis désolé pour le manque d'originalité. Mais ce passage me permet de pointer l'inefficacité de la magie d'Heather face aux monstres mythologiques.
De plus, je clôture très rapidement la première année.
~OoO~
Le reste de l'année se passe sans aucun accident, tout comme les vacances de Printemps. La fin de l'année arrive rapidement. Je passe une semaine comme convenu avec mon père. Mais une lettre de Clarisse me demande me rendre plus rapidement à la Colonie.
On avait empoisonné l'arbre de Thalia. Les barrières magiques étaient détruites et ils avaient organisé des patrouilles frontalières.
Mon père me dépose donc rapidement à une centaine de mètre de la Colonie. Même s'il ne courre presque aucun danger, il ne tient pas à ce que sa véritable nature soit découverte.
Ce que je découvre en m'approchant du grand pin, me surprend. Deux énormes taureaux en bronze, grands comme des éléphants, soufflaient du feu sur des sang-mêlé en armures.
Je reconnais tout de suite Clarisse qui commande les autres. J'abandonne mes valises et me jette dans la bataille, ma dague à la main. Je ramasse une épée et un bouclier par terre, et commence à me battre au côté de ma meilleure amie.
Quand elle se rend compte de ma présence, elle me sourit. Son armure était carbonisée, elle se battait avec une hampe de lance cassées, l'autre moitié était planté dans l'articulation métallique du taureau de gauche.
Le feu brûlait autours de nous. Et pas que le feu, un des Héros fut touché par les flammes, le panache de crin de son casque flambait. Les dix guerriers étaient terrorisés mais se battaient avec tout le courage dont les fils et filles d'Ares peuvent faire preuve.
Désespéré de voir sa petite armée dispersée, Clarisse leur hurle des ordres pour les regrouper en phalange. Mais seul six l'écoute, et forment un mur avec leur boucliers, leur lances sorties, pointées vers les monstres.
Soudain, un des taureaux se précipite vers la gauche sans aucune raison et paraît confus, mais je ne pus approfondir mon observation que déjà l'autre taureau nous charge à une vitesse redoutable. Je le vois se rapprocher de plus en plus. Ses yeux sont des rubis gros comme des poings et ses cornes en argent polis. Quand il ouvre sa gueule articulé, un geyser de flamme en jaillis.
- Serrez les rangs ! ordonne Clarisse.
Alors que nous sommes tous concentré à essayer de ne pas fuir la mort probable qui va suivre, un cri s'élève,
- Attention ! Derrière toi !
Tout se déroule alors très rapidement, on se retourne vers la source du cri pour découvrir un garçon brun mais surtout l'autre taureau qui fonce lui aussi sur nous.
Soudain un choc violent nous fait tomber. Je vois Clarisse voltiger cul par-dessus tête et s'écraser sur un carré de terre rougeoyante. Le taureau continu de charger, arrosant les guerriers de feu. Instantanément, leurs boucliers fondent.
Les sangs mêlés s'enfuient sans demander leur reste. Nous laissant, Clarisse et moi face aux taureaux. Impuissante, je vois l'autre taureau foncer sur mon amie.
Je laisse tomber l'arme et le bouclier par terre et saisi ma baguette. Je murmure une formule en grec ancien, ravdi*, et ma baguette de transforma en un long bâton en bronze, sa véritable forme. Je me relève d'un coup et me précipite vers Clarisse, mais le brun qui avait crié fut plus rapide que moi et la sort de la trajectoire du Monstre. Il profite de sa proximité avec lui pour lui asséner un coup qui entailla profondément son flanc.
- Lâche-moi ! Hurla Clarisse en le bourrant de coups de poings. Va au Styx, Percy !
Merde, c'était Percy Jackson, je ne l'avais pas reconnu. J'aperçois Annabeth au loin, elle crit aux autres héros de se déployer et de détourner l'attention des taureaux.
Percy laisse s'écrouler Clarisse au pied du pin et fait face aux taureaux. Je les rejoins. Un des taureaux charge vers nous, mais cette fois je lui lance un sort pour le ralentir, argí kínisi**, malheureusement ça ne fonctionne pas longtemps.
Il traverse là où la barrière magique aurait dû l'arrêter sans plus de difficulté.
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*ravdi, en grec, bâton.
*argí kínisi, en grec, ralenti.
~OoO~
Prochainement, Chapitre 14 - Combat partie II.