Perdue dans cette dunya

By la_dzeuu

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La vie ? Ou la dunya ? Elle est rongée par son passé et sa seule source de motivation est la haine. Femme fo... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 44
Chapitre 45

Chapitre 43

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By la_dzeuu

عَلَيْكُمُ السَّلَامُ وَرَحْمَةُ الله وَبَرَكاتُهُ
Bismilah

Paulo *préoccupé*: il y a un léger problème ; ce n'étais pas prévu que tu sois accompagné, nous avions un accord Jibril et moi.

Imrân *serein* : Jibril a jugé préférable sa présence.

Paulo *suspicieux*: Llamaré a este loco antes.
( J'appellerai ce fou tout à l'heure)

C'est fou comment ils arrivent à parler comme ci j'étais pas là, mais ce qui est sur, c'est que je devais tout faire pour leur montrer mon aisance.

Moi *les interrompant* : ¿Cómo van a ser las próximas semanas?
( Comment va se dérouler les prochaines semaines ?)

Paulo *surpris* : ¡ Por lo que veo, hablas nuestro idioma ! Dit-il le sourire scotché aux lèvres.
( À ce que je vois tu parles notre langue ! )

Moi *le sourcil arqué* : Jibril no envía agentes pésimos, señor Paulo.
( Jibril n'envoie pas de minables agents, monsieur Paulo)

Paulo : je vois ça...

Imrân *en tapant ses mains* : bon on va dormir où  Paulo ?  Dit-il tout à coup afin d'interrompre ce pitoyable échange.

Paulo : ici même.

Ça ne me plaît pas du tout ...

Il faut que j'agisse et au plus vite seras le mieux.

Moi : veuillez m'excuser quelques instants, lançais-je avec un faible sourire.

Je sort dehors, et vérifie  autour de moi pour que personne ne puisse m'entendre.

Seul le bruit de mes pas sur les cailloux se font entendre, sous ce soleil intense qui brûle ma peau.

Une fois chose faite je sort mon téléphone de ma poche et appelle Jibril, en espérant qu'il réponde de manière rapide.

Début de Conversation téléphonique


Jibril : oui ?

Moi : y'a un léger soucis pour ma part.

Jibril : et lequel mademoiselle ?

Moi : je refuse de loger cette villa infestée d'agents.

Jibril : et pourquoi ça ?

Moi : ce sont des hommes et ils sont affamés, à peine rentrer dans la villa que je sent les projecteurs sur moi.

Jibril : et le problème a tout ça ?

Moi : le problème est que ce serait regrettable que tes relations commerciales avec Paulo ne s'arrête d'ici peu parce que j'aurais tuée plus d'un.

Jibril : ton idée ?

Moi : je me prend un hôtel .

Jibril : rectification, vous vous prenez un hôtel.

Moi *sec* : je suis très bien sans Imrân merci .

Jibril : c'était pas une suggestion .

BIP BIP BIP

Fin de la conversation téléphonique

Arghhhhh il m'énerve !!

Ceux qui raccrochent au nez sachez que vous êtes les plus détestable !

Je ne veut pas y aller avec l'autre macho, mais j'ai pas le choix !

Je repars dans la villa et cherche Imrân afin de l'informer de ce petit changement.

Je parcours la villa et essaye de ne pas prêter attention à ces mexicains.

La plupart sont costaud avec pour caractéristique leurs corps recouverts, voir camouflés de tatouages à encre noir. Parfois même aussi noir que leurs regards qui transpercent rien qu'un petit coup d'œil.

Vaut mieux ne pas attirer d'ennuis, vraiment pas.

Je cherche Imrân et le trouve dans un vaste jardin entrain de fumer.

Imrân fume ?
C'est surprenant...

Je marche en sa direction et celui ci se retourne quand il entend mes pas, pour par la suite se remettre dans sa posture initiale, c'est à dire regarder devant lui.

Moi : on a un petit changement.

Imrân : t'as foutu quoi ?

Moi : Jibril a dit qu'on devait prendre un hôtel.

Imrân : pour quel motif ?

Moi : raisons de sécurité.

Imrân inhale une dernière taff, jette sa cigarette et se retourne vers moi, le regard arrogant.

Il recrache sa fumée sur mon visage et dit :

Imrân : je le savais *rire nerveux* , tu vas faire sauter nos plans. Du jour au lendemain Jibril t'intègre dans le réseau ? Je savais que c'était bizarre, beaucoup trop bizarre. Écoute moi bien, maintenant c'est moi qui décide, qui appelle et donne des nouvelles c'est clair ? Madame a décidé que elle voulait pas rester car y'avait des hommes, laisse moi rire, à la villa t'étais bien contente de lécher Sofiane pour ensuite aller chez lui, coller Hosni pour avoir une meilleure image et sucer Jibril pour avoir la vie sauve, sale p-

Moi : Jibril a donner des ordres, et tu sais très bien ce qui arrive quand on désobéît. Contente toi de trouver une voiture pour nous ramener dans un hôtel, c'est tout ce que t'as à faire pour l'instant, à moins que ce ne soit trop demandé car tu es un incapable.

Et sur ces derniers mots, je m'en alla pour rentrer dans la villa, le laissant pointé là, tous seul, comme un con.

Franchement ce qu'il dit me passe complètement au dessus de la tête, je connais la vérité et j'ai rien à prouvé à personne.

Je m'en vais récupérer ma valise et cherche Paulo, vaut mieux le prévenir en face au lieu que ce soit Jibril qui lui dise.

Je le trouve dans une pièce qui semble être un salon, assis sur un canapé avec une autre personne, portant ses lunettes de soleil, la mâchoire carré et l'air très sérieux, voir pas commode.

À ma vue Paulo se lève avec le sourire et dit :

Paulo : ¡señorita! Quel plaisir de te voir; s'exclama—t-il

Décidément ce gars est très ... théâtrale .

Moi : je suis désolée de te l'annoncer comme ça Paulo mais, Jibril a jugé préférable que mon collègue et moi allions à l'hôtel , pour raisons de sécurité, vous savez mieux que quiconque que niveau sécurité aucune faille n'est possible.

Paulo*déçu* : Sí, lo entiendo
( Oui, je comprends )

Moi : encore une fois perdón Paulo.

Paulo : No te disculpes, las reglas son las reglas.
(Ne t'excuses pas, les règles sont les règles)

Et sur ce je m'en vais, avec mon baguage et me dirige dehors, vers le portail de la villa.

Une fois dehors je me rend compte que le soleil est encore plus intense que tout à l'heure alors je sort de mon sac de la crème solaire et m'en met sur les bras et le visage à l'aveugle.

Après 5 minutes Imrân sort de la villa avec sa valise et me dépasse pour se diriger vers une voiture.

Il ouvre le coffre de celle-ci et met sa valise, je m'approche alors et met la mienne dedans pour que juste après il referme le coffre, puis me regarde.

Imrân *dégouté* : espèce de crado.

Moi : répète ?

Imrân : tu sais pas te laver le visage ?

Moi : ...

Bon j'ai mal étalé la crème...

Je me met face à la vitre de la voiture pour qu'elle me serve de reflet et me rend compte qu'au dessus des lèvres et en haut du front de la crème se fait toujours présente.

J'enlève les résidus en étalant la crème afin qu'elle s'imprègne dans ma peau puis monte du côté passager dans la voiture.

Et je viens de me rendre compte qu'il s'agit de la même voiture qui nous a récupéré à l'aéroport.

Je regarde à travers ma vitre et voit Paulo sortir de sa demeure pour serrer la main à Imrân qui était toujours dehors, j'appuie alors que le bouton baissant la vitre pour lui sourire et lui dire au revoir.

Une fois chose faite, Imrân monte dans la voiture et démarre pour que nous puissions quitter cette résidence, plutôt luxueuse.










































[...]




















































Nous étions en train de rouler à la recherche d'un hôtel, plus précisément l'hôtel Banyan tree, à Puebla même.

Un quartier touristique, nous attirerons moins l'attention si nous nous faisons passer pour de simples touristes.

Arrivés dans un angle de rue j'aperçois le fameux hôtel, et me rend compte qu'Imrân l'avais aussi remarqué.

Nous nous garons, prenons nos valises et entrons dans ce lieu, à savoir que mon collègue et moi n'avions pas parlé depuis...

Une fois devant l'accueil Imrân prend la parole :

Imrân : Buenas noches señora, queríamos reservar por favor.

Dame : hola, combien de nuit señor ?

Imrân : 1 semaine señorita.

Ils étaient en train de parler, comme ci j'étais pas là, mais le plus grave, c'était que la femme faisait la belle devant Imrân, et c'était bien drôle à voir car il s'en fiche complètement.

Soudainement je ressentit l'envie d'aller au toilette, et ce de toute urgence, alors je les interrompent :

Moi : excusez-moi moi mais où sont les toilettes ?

Et vu comment elle me guette j'crois que ma petite intervention durant son jeu de séduction ne lui a pas plu du tout.

Dame : on ne vous a jamais appris à ne pas couper la parole ?

Moi : et vous on ne vous a jamais appris à être aimable envers vos clients ?

Dame : je vous demande pard-

Moi*sourire malicieux* : ohh pendant que j'y pense votre technique de drague elle est pitoyable.

Dame *grimaçante* : au bout du couloir à droite .

Moi *souriante* : merci madame, ce n'étais pas si compliqué ! Lançais-je en partant dans la direction indiquée.

Je marche alors dans cet hôtel et trouve enfin les fameuses toilettes; désolée mais j'en pouvais plus.

Le vol et compagnie m'as mis KO en plus.

Une fois mes affaires finis je sort et n'aperçoit plus au loin Imrân; il a du monter dans la chambre.

Sauf que le problème, vous le savez mieux que moi ...

Où est ma chambre ?
Sauf que pour le savoir ...

Je regarde de loin l'accueil et c'est toujours la même poufiasse, sauf que je n'ai pas le choix.

Je me dirige alors vers cette pétasse et heureusement il y avait personne d'autre.

Je me présente alors devant son comptoir alors qu'elle était au téléphone en train de noter des informations pour ensuite raccrocher mais garde la tête basse , a toujours écrire sur son calepin.

Dame : que puis-je faire pour vous ?

Moi *sourire* : m'indiquer ma chambre.

À ma voix elle m'as reconnu c'est sur et certain car son expression du visage a changée et elle se stoppa net d'écrire.

Elle relève doucement la tête vers moi et dommage pour elle c'est bel et bien moi; faut voir la grimace qu'elle emploi c'est hilarant .

Moi : dois-je me répéter ?

Dame : même sans lui vous êtes toujours aussi arrogante ?

Moi *rire* : bah alors là c'est mal me connaître.

Dame : une vrai pétasse celle-là !

Sans qu'elle s'y attende je me rapproche du comptoir et la chope par le cou et la rapproche de moi, ce qui fait que son cul ne touche même plus la chaise, si je la lâche elle se casse la gueule contre son beau comptoir de riche.

Moi : l'amabilité n'étais pas inclus dans votre formation ? Mais draguer ses clients et ne pas respecter les femmes si ? Écoute moi bien la fausse blonde on ne se connaît pas toi et moi donc vaut mieux pour ta petite gueule de faire profil bas et de me donner le numéro de chambre .

Dame : 227

Moi : c'était pas si compliqué, lançais avant de lâcher brutalement son cou pour ensuite partir.

Elle s'est écraser contre le comptoir et à mon avis un petit bleu au niveau du menton apparaîtra, voir une coupure.

Mdr elle fait la maligne avec qui celle là ?

Je me dirige vers un ascenseur, monte dedans après 2-3 minutes d'attente et appuie sur le bouton menant au 2ème étage .

Heureusement il n'y avait personne dans l'ascenseur car je pense que je n'aurais pas supportée je suis légèrement de tension.

Une fois arrivée les portes s'ouvrent et je m'engage dans ce beau couloir je dois l'admettre.

Je marche et essaye de trouver la chambre 227 et j'espère pour elle qu'elle ne s'est pas trompé car ça voudrais dire qu'elle a une bonne mémoire vue qu'elle n'as pas regarder ses archives de réservation.






























220








































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227





























BINGO !





Attendez j'ai pas les clés .

Et j'espère que l'autre a pris 2 chambres !

Je toque mais pas de réponse ...

Je presse la poignée pour tenter de l'ouvrir et effectivement la porte n'est pas fermée à clé.

Je rentré discrètement dedans et aperçois de loin les affaires d'Imrân sur le lit , et oui il y a qu'un seul lit.

Je ne me suis pas trompée de pièce c'est déjà ça, mais où est-il ?

C'est là que je me rend compte qu'un bruit se fait entendre depuis mon arrivé, dans la pièce d'à côté .

De l'eau qui coule ....

Il est dans la douche.

Je sort de sa chambre et toque dans la chambre 226 , qui est à côté et pas de réponses, je presse la poignée mais elle se fait rejeter automatiquement.

Porte fermée.

La chambre 227 est la dernière de cette partie du couloir donc la 226 est forcément ma chambre, du moins j'espère.

Je rentre de nouveau dans la 227 et attend sagement que monsieur finisse ses affaires en m'appuyant sur un mur, sans faire de bruit.







































5 minutes plus tard du bruit se fait entendre dans la salle de bain, et j'en conclu qu'il a finit .

La porte s'ouvre et Imrân en ressort, les cheveux mouillés et une serviette autour de la taille.

Et à ma vue il fut surpris .

Imrân : tu fais quoi ici ?!

Moi *droit dans les yeux* : j'attend sagement qu'on me passe les clés.

Imrân : ça va je te dérange pas ?

Moi *en roulant des yeux*: orggg ça va on voit pas ton pendentif .

Imrân se dirige vers un fauteuil où était posé une veste et y sort une clé de la poche et me la lance .

Je la rattrape sans difficulté et sort de cet appartement, en récupérant ma valise.

Une fois dans la 226 je pose la valise sur le lit et sélectionne des vêtements pour ensuite aller à mon tour dans la douche , mais avant je m'assure de fermer la chambre à clé.

Je me douche tranquillement, en lavant mes cheveux, qui poussent petit à petit.

Une fois chose faite je me sèche les cheveux au sèche cheveux et les lisses par la suite.








































[...]












































Il était 20hr et j'avais terriblement faim, je sort alors de cet hôtel et cherche un petit restau qui propose à emporter, et par chance pas loin de l'hôtel se trouve un petit fast food qui vend des tacos, et bordel ça fait bien longtemps !

Je commande pour moi et Imrân et retourne à l'hôtel directement après réception de commande.

Je toque chez Imrân et j'entends un bruit de serrure, il a fermé à clé fou rire, il a peur que ça se reproduise ou quoi ?

Il m'ouvre et me regarde méfiant, je lui tend son sachet et à l'instant où il l'attrapa je m'en alla pour rentrer dans ma chambre.

Décidément lui et moi ça va vraiment pas être simple.

Je mange et quel régale !

Une fois finit je jette les papiers , me lave les mains et met les habits de ma valise dans l'armoire, mise à disposition.

Je met un gilet et ouvre la grande fenêtre et met la tête dehors, c'est mon petit moment de calme.

Il fait nuit et seul les lumières des logements, lampadaires et phares de voitures se font voir.

Mais alors une odeur viens chatouiller mes narines, une odeur que tout le monde connaît.

La cigarette ...

Je tourne la tête côté droit et aperçoit Imrân à la fenêtre en train de fumer.

Je rentre, ferme la porte et m'apprête à dormir, car c'est un grosse journée qui nous attend.




































[...]











































Nous étions dans la voiture, en direction d'un célèbre restaurant de Puebla.

Et une fois arrivé nous rentrons et nous nous dirigeons directement au comptoir.

Serveur : ¡ Holà ! Que puis-je faire pour vous ? Vous pouvez vous asseoir je serais à vous dans un instant.

Moi : Holà , Paulo est là ?

Le serveur fronce automatiquement les sourcils et se voit méfiant, il pose le verre qui était entrain d'essuyer et je comprend directement qu'il prend en main une arme.

Moi *calme* : du calme nous sommes négociateur français , Paulo nous a déjà rencontré.

Serveur : quel cocktail ?

Imrân : Mojito

Serveur *sourire* : vous pouvez passer.

Nous nous dirigeons donc à l'arrière boutique.

Au fait le coup du cocktail et du Mojito était un mot de passe, toujours être prudent, surtout dans ce domaine.

Nous sommes dorénavant à l'arrière boutique et Paulo que j'aperçois de loin presse le pas vers nous.

Paulo : ¡Holà !

Moi : on commence par quoi ?

Paulo *en regardant Imrân* : elle perd pas son temps hahaha.

Imrân *sérieusement* : c'est le moins qu'on puisse dire...

Que les affaires commencent !

Paulo : vous voyez ces caisses ? Elles comportent chacune une poudre différente.

Moi *les bras croisés* : perdons pas de temps.

Paulo ramène 3 premières caisses et nous analysons les poudres à l'intérieur :

La première a l'air pas mal, c'est du cannabis frais.

La deuxième est trop sableuse, alors je fait signe à Imrân que non, nous c'est de la qualité qu'il nous faut, sinon Jibril risque de ne pas être content.

La troisième est d'une couleur blanc cassé, avec une texture poudreuse, c'est nickel.

Et on a fait ça toute l'après midi ...










































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