L'histoire des corbeaux

By Eliose_12

184 30 0

Théo doit-il laisser son ami mourir, ou le sauver, en prenant le risque qu'il sombre dans la dépression, et q... More

Éphémère
Là malédictions de Térié
Cimetière
Populaire
Chute libre
Joyeux anniversaire
A l'état sauvage
Vent violent
Les âmes ont un prix
Addiction
Folle
L'anis etoilé
Créatrice de chaîne
Tache de sang, Tableau souillée

Égoïste

7 2 0
By Eliose_12

Sweater weather - our last nigyt

Je sursaute quand l'agrafeuse percuter le parquet, provoquant un bruit sourd. Il résonne en moi, faisant vibré toutes les cellules de mon corps, ravivant des souvenir affreux qui me coupe le souffle.

Le sol devient soudainement froid, me provoquant un frisson. La terre ce met a tourné, je m'appuie alors contre le mur, pour évité de tombé. Je ramène mes genoux a ma poitrine en les entourent de mes bars, et enfouis ma tête dedans.

Ma cage thoracique ce referme sur mes poumons, m'empêchants de respirait correctement. Des larmes viennent brouillé ma vue. Me sentant oppresser je relève la tête. La pièce semble de rétrécir de second en seconde.

Mon estomac ce retourne, faisant montré un gout de bile dans ma bouche. Mon envie de vomir devient imminente. Par réflexe je place ma main devant mal bouche. La lumière de la lune s'efface petit a petit pour laisser place a une obscurité qui ne fait que m'oppresser encore plus. Quand je crus m'évanouir, je l'entendit crier dehors.

- Viens m'aider !

Ne voulant pas l'énerver d'avantage, je me relevé brusquement, même trop vite. La terre ce met a tourné, je vacille, avent de m'appuyer sur le mur. Je me redresse doucement, avent de sortir. Une fois a l'extérieure, l'air frais s'infiltre dans mes poumons, et j'ai du mal a savoir si cela me détend ou me fait mal.

Je me penche en avent et pose mes mains sur mes genoux, j'essaye de reprendre mon souffle. Je tente de me souvenir des minutes précédent, mais tout est flou. Les souvenirs ce bouscule entre eux, et provoque un brouhaha qui me scie la tête.

Je ne tiens plus, et crache mon repas du midi. l'acide brulant ma gorge me fait toussé. j'essuie ensuite ma bouche, puis penche ma tête en arrière.

- Ça va mieux ?

Je lui lance un regard en coin, pendant que le vent fait virevolté mes cheveux. Je hoche la tête positivement, avent de le rejoindre au coffre de la voiture. Je saisie la charge, qui avait perdue de la stabilité, puis la pousse dans la voiture avec son aide.

Le poids du tapis m'empote avec lui. Mon père me redresse, avant d'essuyé la poussière, présente sur mon épaule, de sa main.

- Aller monte dans la voiture.

Il marche jusqu'a la portière avent de l'ouvrir, pendant que je reste immobile devant le coffre fermé de la voiture.

- Dépêche toi.

Déclare-t-il avant de ce glisser derrière le volant. Je le rejoint ensuite sur le siège passager. Il démarre en silence. Encore tremblante je tourne ma tête vers la fenêtre, et regarde le paysage nocturne défilé.

- Tu en parler a quelqu'un d'autre ?

Je laisse sa phrase en suspend avent de répondre.

- Non, je n'ai appelé personne d'autre.

- Même pas a ta mère ?

Je ne peu m'empêcher de laisser échappé un petit rire.

- Je suis pas suicidaire.

Il reste silencieux face a cette réponse. Sans que je ne m'en rendre compte, une larmes coule sur ma joue. Je l'essuie tout en reniflant.

- C'est pas le moment de pleuré.

- Je contrôle pas. Lui répondis-je d'une
voix cassé.

- C'est la même excuse que tu me sort a chaque fois.

Une braise de colère née en moi. Je commence a regretter de l'avoir appeler.

- Je t'ai déjà dis que si j'avais pue l'éviter je l'aurais fait.

- J'espère bien, tu nous a bien mit dans la merde.

- Si tu voulait pas m'aider tu n'avais cas pas venir.

J'ai parler plus fort que ce que je pensais, et je m'attend a un retour de flemme. Mais il reste silencieux.

- Tu est ma fille je suis obligé de t'aider.

Je tourne la tête vers lui. La lune derrière lui, éclaire son visage, rendant certain de ses traits obscure. Il ne ma jamais parus aussi paternel et effrayant que maintenant.

Quelque minute plus tard la voiture s'arrête brusquement. Il s'ait arrêter dans ce qui semble être une forêt. Je regard autour de moi, ne reconnaissant pas l'endroit.

- On est où ?

- Au canal.

Sans donné plus de détaille, il sort de la voiture, et claque la portière. Je l'imite. Il ouvre le coffre, dévoilant le tapis roulé. Nous le considérons quelque minute. Et dire que ma mère l'adorait.

- Prête ?

Je hoche la tête positivement. Nous prenons ensuite la charge, avent de la jeter sur le sol. Mon père s'empare d'une lame plus que tranchante, et ce met a écharpe le bout de moquette. Il ce relève ensuite, sans quitté des yeux les sacs plastique qui ce trouvaient a l'intérieur du roulé.

- Marteaux.

Je lui tant l'outil. Il le prend, avent s'acharner sur les sacs plastique taché de sang. Il les martèle de coup de marteaux, faisant craqué tous les os, et giclé les reste de sang. Il s'arrête en suite essoufflé, avant de laisser tombé le marteaux sur les feuille morte.

- Fait voir la scie.

Je prend un bout de tissus dans les mains, puis saisie l'objet avent de lui donné. Il je jette au milieu des sacs, puis ce met a genoux, rassemble ce qu'il reste du tapis, pour former un baluchon, puis ce dirige dans une direction inconnue, je le suis.

Au bout de quelque pas nous nous retrouvons face au Canale. Il s'arrête au bord, avant de poser son fardeaux devant lui.

- Aide moi a jeter les sacs.

Je me place a ses cotés, puis nous prenons les sacs un a un pour les jeté dans le Canale. Chaque sasc produit des vibration dans l'eaux accompagné d'éclaboussure qui nous heurte quand on les lances trop fort. On regarde ensuite les dernier ondes ce dissiper pour laisser le calme de l'eau revenir.

- Tu est au courent qu'il y 99% de chance qu'on retrouve son corps un jour ?
- Je sais.
- Que ce que tu feras ce jours là ?
- Je disparait.
- Exactement.
- Et toi ?
- Je garderait le silence.
- Tu sais faire que ça.
- En attendant c'est ça qui va nous sauvez pendant un temp.

Plus personne ne dit un mot, on laisse le silence s'installer.

- Va m'attendre dans la voiture.

J'acquiesce, avant de faire ce qu'il me dit. Une fois sur la siège, la voiture ce met a bougé quand il rentre le reste de tissus, et le marteaux dans le coffre.

je le regarde ce diriger vers la forêt. Une fois qu'il est hors de la vue, je décide de lui suivre. Les feuilles craquent sous mon poids, lui indiquant que je suis là.

Une fois que je suis a ses côté il sort son paquet de cigarette, puis s'allume une clope. Ma gorge ce sert, m'empêchant de respirait. Mon corps tremble de plus en plus. Je croise mes bars, et les frotte pour réchauffer mon corps face au froid de la nuit.

- Tu va te mettre a pleuré ?

- Je suis désolé.

Ma voix ce casse dans l'atmosphère.

- Je voulais pas le tuer... je te jure. Lui déclarais-je en sanglotais.

- C'est pas grave.

- J'aurais pas du t'appeler, j'aurais du me dénoncer a la police.

Mes pleures deviennent de plus en plus incontrôlable, et ma voix de plus en plus brisé.

- Surtout pas, tu as bien fait de m'appeler. Il était hors de question que tu aille en prison pour ce qui as fait.

- Mais j'ai tuer un homme.

- Un homme qui allait te tuer.

Je sursaute quand il hausse la voix. Mon souffle est de plus en plus saccadé, mes poumons on du mal a recevoir l'air que je leurs offrent. Ma vue ce trouble, alors que le monde vacille.

Il tire sur sa cigarette, puis souffle la fumé.

- Tu seras toujours seul contre le monde. Tous le monde finiras par te laisser tombé, même moi. Parfois tu n'a pas le choix. C'est soit toi, sois les autres. Si tu ne lui avait pas trancher la gorge avec cette bouteille, c'est lui qui t'aurais tuer. Et il est hors de question que je t'enterre. Tu comprend ?

Je hoche la tête positivement.

- Dans ce monde il faut savoir être égoïste, si tu ne veux pas côtoyer la mort trop souvent.

Il écrase son mégot aux sol, avant de regarder l'horizon, puis de tourner les talons.

- Aller vient je te ramène chez toi, il ce fait tard.

Continue Reading

You'll Also Like

237K 1.9K 23
Smut. But not all of it. This book is basically just me, a girl, writing out her fantasies with the men in Call of Duty. I do take requests.
3.6K 88 200
Ceci est la troisième histoire a propos des SCP. Cette fois-ci il est question des SCP de 400 à 499. BONNE LECTURE. Les articles présentés ici ont ét...
85K 1.9K 49
Alissa Iris De León the daughter of both the Spanish and Italian Mafia. A week after she was born she was sent away from her 2 brothers to live with...