Anna
____
— Comme je viens de te l'expliquer, Anna, ta tante va bien, elle a juste eu un petit malaise, même moi, je n'ai pas pu la voir.
L'infirmière interdit les visites.
Me balance le père de Halil à la figure.
J'étais encore plus inquiète et paniquée après les explications de ce dernier ; je ne sais pas pourquoi, mais j'arrivais plus à croire à ses dires .
Moi: mais ...
Lui : Mais rien, s'il vous plaît, allons-y, j'ai un rendez-vous urgent.
Tu reviendras dans quelques jours. Ne t'en fais pas : si la moindre petite chose se passe, le chef me contactera et je te le dirais de suite, d'accord ?
Le chef : oui, exact Ne vous inquiétez pas, madame, c'est juste un petit malaise.
Moi : un petit malaise et je ne peux pas la voir ?
Je suis vraiment désolé, mais vous nous cachez quelque chose.
Père de Halil : Tu penses qu'un vieux père comme moi va venir te raconter des conneries ?
Lance-t-il ?
Je sentais clairement la colère sur son timbre vocal .
Bah là, je suis plus suspicieuse, mais je ne vais pas parler, je vais revenir pour sans que lui ou halil ne le sache et de gré ou de force, je verrais ma tante.
Halil : allons-y, Anna, on reviendra, je te promets.
Moi : ne me promets rien, j'en t'en supplie.
J'en ai marre des promesses, je ne veux même plus entendre ce mot.
Terminais-je avant de tourner les talons et de sortir de cet enfer ?
Je sentais Halil me suivre.
– Anna attend.
Je ne pouvais plus me contrôler ; mes larmes ne se contenaient plus.
BORDEL !
Mami Cisse
________
Je les vois monter dans une voiture, oh mon dieu ! Est-ce qu'Anna aurait découvert la vérité ? Ne me dites pas que ma sœur lui a tout révélé, mais comment cette dernière a pu savoir qu'elle ne sait pas qu'Anna est sa fille, ce n'est pas possible.
Que fait Anna avec Abdou ?
Que fait cette batarde avec Abdou ?!!!?!!!?????!??!??
Ma tête va exploser, il faut que je vois cette peste, Astou n'a pas le courage de me trahir, elle est trop peureuse pour ça.
Non amoul fit bobou.
(...)
— Bonjour, je suis venue rendre visite à Astou Cisse, je suis sa meilleure amie Mimi Fall.
Je lançais en utilisant un faux prénom, je sais très bien qu'Amina Diop a porté plainte contre nous deux, je ne peux me permettre d'être prise.
— Eh bah, elle en a de la visite aujourd'hui, cette bonne femme.
Répond la personne chargée d'autoriser les visites.
Moi : Ah bon ? Pourtant, je suis la seule connaissance ici à Dakar, du moins, c'est ce qu'elle m'a dit.
— Ce n'est pas ce que disait la fille qui est passée avant vous, soit disant, c'est sa tante.
Moi : ah bon ?
Lançai, je faisant la surprise.
— Ah oui ! Mais bon, je m'en fou et, comme on l'a dit à la première, ce n'est pas possible de la voir aujourd'hui.
Madame a eu un malaise.
UN MALAISE ?
— Oh non, elle est morte ?
Lui : comment ça, morte ? Répond-t-il fronçant des sourcils.
Je vous ai dit qu'elle avait fait un malaise.
Malaise, vous comprenez le français ?
Oh, c'est dommage.
— Oui, j'ai mal entendu, mais comment ça ?
Qu'est-ce qui est arrivé à ma sœur ? Oh, mon Dieu. Est-ce qu'elle va bien ?
Je lançais, faisant la femme inquiète.
— Oui, elle va bien, mais elle ne peut pas recevoir de visite.
Mais vous pouvez revenir d'ici quelques jours.
Non, je ne peux pas me permettre, il faut que je la vois.
il faut que je saches ce qui sait passer.
Je me laisse tomber au sol.
En criant. Hurlant, telle une folle
— Oh mon Dieu, Astou est morte, mon amie est morte, vous voulez me cacher la vérité ?
WOYYY
— Madame, relevez-vous ! Vous voulez finir en prison ?
— Je m'en fou, vous me cachez la mort de mon amie, woyyyayy.
— Madame, je vous le répète, elle n'est pas morte.
— MAIS que se passe-t-il ici ?
— Chef, cette femme veut voir aussi la femme qui a fait un malaise.
Je lui ai expliqué que c'était impossible, mais elle insiste, pleurant telle une madeleine, disant qu'elle est morte. C'est la raison pour laquelle on interdit la visite.
Chef : Madame, comme il vous l'a expliqué, c'est ce qui s'est passé, vous devez partir maintenant. Revenez un autre jour ».
Moi: mais chef ...
Lui : Partez, madame, je ne veux pas être désagréable.
garde amène la détenue, c'est par ici.
Demande t'il A une autre personne qui se trouvait derrière moi .
- mami cisse?
Mon cœur faillit sortir de ma poitrine quand j'entendis ce nom.
Oh mon Dieu ! On m'a reconnu, je vais aller en prison. Qui vient de prononcer ce prénom ?
Qui est-ce ?
Je tournai ma tête vers la personne qui venait de parler. Je manquais clairement de m'évanouir.
Cette personne était menottée, se trouvant à côté d'une des gardiennes.
Qui est cette personne.
Le chef : Ramatoulaye Vous connaissez cette femme ?
-bien sûr chef c'est mami la ....
Moi : je suis son amie à elle aussi.
Lançais-je, lui coupant dans son élan.
Oh mon Dieu ! Je me rappelle maintenant que c'est Rama, la personne qui m'avait aidé à accoucher et à voler les enfants de ma sœur. Mais que fait-elle à Dakar ?
Ma conscience : tu vas vraiment faire genre que tu ne le sais pas, Mamie ?
Non, non.
Moi : C'est mon amie aussi, chef, je peux lui parler ?
Je peux te parler. Ramatoulaye S'il te plaît
Lançais-je, la suppliant des yeux de se taire.
Chef : Vous voulez lui parler ? Vu que vous n'avez jamais de visite, c'est au moins bien de parler avec quelqu'un.
Elle : Euh oui, bien sûr.
Mami Cisse
_________
Je les vois monter dans une voiture, oh mon dieu ! Est-ce qu'Anna aurait découvert la vérité ? Ne me dites pas que ma sœur lui a tout révélé, mais comment cette dernière a pu savoir qu'elle ne sait pas qu'Anna est sa fille, ce n'est pas possible.
Que fait Anna avec Abdou ?
Que fait Anna avec Abdou ?!!!?!!!?????!??!??
Ma tête va exploser, il faut que je vois cette peste, Astou n'a pas le courage de me trahir, elle est trop peureuse pour ça.
Non amoul fit bobou.
(...)
— Bonjour, je suis venue rendre visite à Astou Cisse, je suis sa meilleure amie Mimi Fall.
Je lançais en utilisant un faux prénom, je sais très bien qu'Amina Diop a porté plainte contre nous deux, je ne peux me permettre d'être prise.
— Eh bah, elle en a de la visite aujourd'hui, cette bonne femme.
Répond la personne chargée d'autoriser les visites.
Moi : Ah bon ? Pourtant, je suis la seule connaissance ici à Dakar, du moins, c'est ce qu'elle m'a dit.
— Ce n'est pas ce que disait la fille qui est passée avant vous, soit disant, c'est sa tante.
Moi : ah bon ?
Lançai, je faisant la surprise.
— Ah oui ! Mais bon, je m'en fou, moi et pour vous, comme on l'a dit à la première, ce n'est pas possible de la voir aujourd'hui.
Madame a eu un malaise.
UN MALAISE ?
— Oh non, elle est morte ?
Lui : comment ça, morte ? Répond-t-il fronçant des sourcils.
Je vous ai dit qu'elle avait fait un malaise.
Malaise, vous comprenez le français ?
Oh, c'est dommage.
— Oui, j'ai mal entendu, mais comment ça ?
Qu'est-ce qui est arrivé à ma sœur ? Oh, mon Dieu. Est-ce qu'elle va bien ?
Je lançais, faisant la femme inquiète.
— Oui, elle va bien, mais elle ne peut pas recevoir de visite.
Mais vous pouvez revenir d'ici quelques jours.
Non, je ne peux pas me permettre, il faut que la vois.
il faut que je saches ce qui sait passer.
Je me laisse tomber au sol.
En criant. Hurlant, telle une folle
— Oh mon Dieu, Astou est morte, mon amie est morte, vous voulez me cacher la vérité ?
WOYYY
— Madame, relevez-vous ! Vous voulez finir en prison ?
— Je m'en fou, vous me cachez la mort de mon amie, woyyyayy.
— Madame, je vous le répète, elle n'est pas morte.
— MAIS que se passe-t-il ici ?
— Chef, cette femme veut voir aussi la femme qui a fait un malaise.
Je lui ai expliqué que c'était impossible, mais elle insiste, pleurant telle une madeleine, disant qu'elle est morte. C'est la raison pour laquelle on interdit la visite.
Chef : Madame, comme il vous l'a expliqué, c'est ce qui s'est passé, vous devez partir maintenant. Revenez un autre jour ».
Moi: mais chef ...
Lui : Partez, madame, je ne veux pas être désagréable.
La garde amène la détenue, c'est par ici.
- mami Cisse?
Mon cœur faillit sortir de ma poitrine quand j'entendis ce nom.
Oh mon Dieu ! On m'a reconnu, je vais aller en prison. Qui vient de prononcer ce prénom ?
Qui est-ce ?
Je tournai ma tête vers la personne qui venait de parler. Je manquais clairement de m'évanouir.
Cette personne était menottée, se trouvant à côté d'une des gardiennes.
Qui est cette personne.
Le chef : Rama Vous connaissez cette femme ?
-bien sûr chef c'est mami la ....
Moi : je suis son amie à elle aussi.
Lançais-je, lui coupant dans son élan.
Oh mon Dieu ! Je me rappelle maintenant que c'est Rama, la personne qui m'avait aidé à accoucher et à voler les enfants de ma sœur. Mais que fait-elle à Dakar ?
Ma conscience : tu vas vraiment faire genre que tu ne le sais pas, Mamie ?
Non, non.
Moi : C'est mon amie aussi, chef, je peux lui parler ?
Je peux te parler. Ramatoulaye S'il te plaît
Lançais-je, la suppliant des yeux de se taire.
Oh mon Dieu ! Je me rappelle maintenant!!!
c'est Rama
la personne qui m'avait aidé à accoucher et à voler les enfants de ma sœur. Mais que fait-elle à Dakar ?
Ma conscience : tu vas vraiment faire genre que tu ne le sais pas, Mamie ?
Non, non.
Moi : C'est mon amie aussi, chef, je peux lui parler ?
Je peux te parler. Ramatoulaye S'il te plaît
Lançais-je, la suppliant des yeux de se taire.
Chef : Vous voulez lui parler ? Vu que vous n'avez jamais de visite, c'est au moins bien de parler avec quelqu'un.
Elle : Euh oui, bien sûr.
Chef : amener le dans le parloir, vous avez 15 minutes.
(...)
Moi : Ramatoulaye, que fais-tu ici ?
Demandais-je, assise en face d'elle.
Elle : Tu te fous vraiment de ma gueule, toi, sale vieille salope.
C'est qui, qui est allée voir la police disant que j'avais détruit une grossesse en provoquant une fausse couche ?
Oh mon Dieu, c'est vrai !
Flashback
________
Quelque heure après la naissance d'Anna
______________________________
Mami Cisse
________
Je venais de donner l'enfant à son géniteur.
Moi : Abdou, je ne veux plus revoir cet enfant et quant à Anna, car je vais lui donner ce prénom-là. Je vais m'en occuper, vu que j'ai perdu l'enfant que j'attendais de toi.
Abdou : ne t'en fais surtout pas et toi, assure-toi de tenir ta promesse.
Bon, je vais partir, ma femme m'attend pour voir l'enfant que j'ai adopté pour sauver notre mariage.
Moi : Oh, j'avais oublié que tu t'étais remarié, Ndeysane! Et j'ai aussi oublié que ta pauvre femme était stérile.
— Évite-moi ton sarcasme, au revoir !
Moi : Eh, attend ! Pas aussi vite.
Lui : quoi encore ? Ne me demandez pas plus d'argent, car je ne vais te donner aucun centime de plus. Et soit heureux que je ne t'ai pas dénoncé à la police pour avoir tué ma première femme.
J'éclate de rire.
– Qui a tué ta première épouse ?
Je te rappelle que c'était un accident et où est ta connasse de belle sœur Amina Diop ?
Lui : Ne me demandes pas, Dieu, je ne sais pas où elle se trouve et ça me va parfaitement de cette façon.
Bon, tu veux quoi ?
– Je veux qu'on se débarrasse de ce docteur ou infirmière ou je ne sais quoi.
C'est une vicieuse, je la sens venir, elle peut nous poser problème dans le futur.
Lui : Hum, tu penses ?
Bon, ne t'en fais pas pour ça, on va lui coler une fausse couche à la figure. J'ai un ami policier, c'est le futur chef d'une brigade à Dakar, il s'appelle Amadou Diouf.
Il va nous régler le problème en deux temps, trois mouvements. Oublie-la, je gère.
Retour au présent.
____________________________
Oh mon Dieu ! C'est vrai que j'avais demandé à Abdou Fall (père de Halil).
De la mettre hors jeu.
Elle : Oh, tu t'absentes, ma chère ?
Ou tu commences à te souvenir de ce que tu m'as fait ? T'as mémoire, te reviens ?
Moi : Je me souviens maintenant, mais je ne savais pas que tu te trouvais ici.
Elle : Eh bah, bravo ! Maintenant, tu le sais et je t'assure que tu vas y rester avec moi, car je sais qu'une certaine Amina Diop a porté plainte contre toi et tu es sœur.
Et oui, j'ai vu ta sœur et je lui ai tout raconté.
Elle connaît maintenant toute la vérité à propos de ses enfants et de tout ce que tu as fait.
Mon cœur s'arrêta de battre un moment.
OH SEIGNEUR !
Donc Anna a dû savoir toute la vérité.
Non, cela n'est pas possible.
— Non, tu me mens, je ne peux pas croire à ce que tu dis.
Elle : Mais je m'en fiche que tu me crois ou non . Ce que tu peux vraiment croire, c'est que je vais te dénoncer ici et maintenant.
Moi : bah, si tu ne veux pas sortir de prison, fais-le.
Elle : Comment ça ?
Moi : c'est moi qui t'ai fait rentrer dans cet endroit , non ?
Bah je peux t'y faire sortir sans aucun problème, vu que c'est le responsable de ce pénitencier qui a trouvé les preuves pour ton emprisonnement et a fait en sorte que tu sois dans cette prison-là.
Elle me regarde semblant réfléchir.
— Ah, et tu crois que je vais te faire confiance ?
Ou croire à ce que tu dis ?
On ne se joue pas d'une prostitué deux fois.
Moi : Je sais que ma parole n'a aucune valeur pour toi.
Mais même si tu me dénonces, je n'irais pas en prison, vu que je connais l'inspecteur et qu'il travaille pour Abdou Fall.
Elle : Oh, je savais que c'était Abdou Fall.
Je l'ai vu avec ta sœur, j'espère que ce dernier l'a reconnu et qu'il lui a parlé par rapport à Anna.
Putain !
Il l'a vu, c'est sûr qu'Anna, c'est tout.
Je me lève de la chaise et tourne le dos à cette folle, ne lui laissant pas le temps de parler.
Elle : Tu vas où ?
Attraper-là, c'est mamie Cisse, la sœur d'Astou Cisse.
Elle va partir attraper le gardien.
Je ne me retourne même pas, me dirigeant vers le bureau du chef.
J'ouvre la porte directement sans frapper.
Les gardiens étaient derrière moi. Je sentais des armes braquées derrière moi.
Chef : Mais c'est quoi ce bordel !
Vous êtes folle ou quoi ?
Moi : Amadou Je veux vous parler de suite et c'est à propos de Ramatoulay, la fille dont vous avez accusé vous et Abdou Fall d'un crime qu'elle n'a pas commis.
Il ouvre les yeux.
— Laissez-nous baisser vos armes.
(.)
Lui : donc, c'est vous, mamie Cisse ?
Moi : en chère et en os
Et je veux voir ma sœur, je ne vais pas le répéter.
Lui : Eh bah, je regrette, m'as chère. Abdou est celui qui me paye des millions, il a demandé à ce que personne ne le voit régler ça avec lui.
Et partez, d'ici de suite avant que je ne vous arrête, et je peux vous promettre que votre parole ne sera rien en face de ma personne.
Moi : mort de rire , c'est ce que vous croyez ? Vous pensez vraiment que je n'ai pas de preuves que je ne me suis pas protégée contre tout ceci ?
Lançais-je ?
Je mentais carrément.
Moi : je ne veux pas de problème avec vous, je veux juste voir ma sœur.
Lui : Comme je viens de vous le dire, c'est impossible.
Moi : appelez-moi Abdou Fall dans ce cas.
Lui : Tu n'as pas son numéro, toi, sa maîtresse ?
Demande t'il sur un ton ironique
Moi : je ne suis plu sa maîtresse le train vous a laisser à la gare à ce que je vois .
Il rigole avant de composer ce qui semblait être son numéro, d'appuyer sur appel et de me passer le téléphone.
Lui : Allo amadou, que se passe-t-il ? Y a-t-il un problème avec Astou ?
— Ce n'est pas le chef, c'est moi.
Ta chère ex-maîtresse
Lui: mami?
— Oh, ça me touche de voir que tu n'as pas oublié ma voix.
Je veux te voir tout de suite dans le bureau du chef amadou .
Tout de suite !
________________________________
Oh je sais que vous êtes perdu mais ,
Vous allez tout comprendre au fil des chapitres!