Ses pieds m'ont changé

By LecteurEtLecture

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/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domi... More

La Rencontre
Premier face à face
Premier Contact
Pieds nus
Pris au piège
Première domination des pieds
Marqué à jamais
Négociations
Transcendance
Le Contrat
Routine ?
Chaussettes humides
Orgasme
Rapport intime avec ses pieds
Secret
Voyeurisme
Mensonge
Le tiroir
Sachet bleu
Esclave de Camille
Le nouveau contrat
Nuit aux pieds
Réveil difficile
Lavage et manipulation mutuelle
Expérience de Camille
Fellation fétichiste
Pas un bruit
Préparatifs tendus
Début de soirée
Les pieds de Léa (et pas que)
Clara...
Pieds de géante
Devenir sa chaussure ?
Apnée
Sans pitié
Intrusion

Trahir Camille ?

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By LecteurEtLecture

Je suis devant chez Camille. Il est 17h, ses parents rentrent dans trois heures. On a du temps.

Je ne vais pas vous mentir. J'ai beaucoup réfléchi à sa proposition et je ne vois pas comment je pourrais accepter. Camille semble le genre de femme à prendre un bras si je lui donne ma main. Il suffirait que j'accepte et souffre en silence pour qu'elle fasse comme au cinéma. Et autant je peux embrasser son pied durant des heures s'il est propre pour lui faire plaisir, autant là... C'est compliqué.

Mon objectif va être de trouver un meilleur compromis en face-à-face. Je veux qu'elle voie à quel point je suis déterminé pour que ça fonctionne entre nous.

J'ai frappé à la porte. Et Camille vient de m'ouvrir, une minute après.

Camille : Salut. Désolé j'étais au lit, je devais remettre mes chaussures avant de t'ouvrir pour ne pas salir mes chaussettes.

Moi : Oui... Salut Camille. Je veux qu'on discute en face. Ce sera mieux que sur Snap.

Elle m'a invité dans sa chambre. À peine entré que la pièce en elle-même est marquée par son odeur. Quand j'étais venu, il y a une semaine de cela, on sentait les produits de beauté, les draps propres et son parfum. Aujourd'hui, on sent elle et elle seule.

Camille : J'espère que l'odeur ne te dérange pas, de toute façon c'est de ta faute. À toi de prendre soin de moi.

Elle se couche sur son lit et enlève la chaussure et la chaussette du pied que j'avais fait au cinéma. De mon côté, je m'assois sur sa fameuse chaise de bureau, objet sur laquelle j'avais fait mon premier massage des pieds, et je la ramène au bord du lit.

Camille prend soin de l'enlever doucement et avec élégance pour mettre en valeur son pied

Camille : Tu as qu'à commencer par lui si vraiment c'est trop dur pour toi. Il est propre de ce matin.

Moi : Propre propre ? Non car ton pied de quatre jours tu ne le décris pas comme sale alors que...

Camille : Il n'est pas sale ! Je t'ai dit. Je prends super soin de ne pas avoir de saleté parasite. Mon pied n'est marqué que par lui-même. Je ne suis pas une dégueux enfin.

Hum.

Camille : Propre de ce matin sinon dans le sens laver. Avec du savon.

Quoiqu'il en soit. La voilà couchée, à me tendre son pied nu et propre de ce matin tandis que l'autre reste dans sa basket bien conservé. Le premier dégage tout de même une légère odeur. Mais comparée à ce que j'ai vécu l'autre jour, elle ne paraît ni puissante ni désagréable. En fait... c'est peut-être sa technique. Me marquer suffisamment fort pour que le reste paraisse plus simple.

Sans me poser de questions. Je commence à embrasser son pied tendu. J'avoue y être allé naturellement. Chose que je n'aurais jamais faite il y a une semaine. Et surtout, je regarde Camille réagir. Quand j'embrasse son pied, elle le tend d'autant plus. À tel point que si je recule ma tête, son pied me suit tel un aimant. Quand je sens son pied en insistant sur le bruit de mon inspiration, elle se mord les lèvres. Et là, si je le lèche du talon au sommet, elle gémit et projette sa tête en arrière sur son oreiller.

Camille : Tu vois. Ce n'est pas... dur... continue. Je veux que tu le fasses en entier.

Je masse son pied de plus en plus fort tout en respirant son odeur. Sans déplaisir ni plaisir pour autant. Et je finis même par sucer ses orteils pour tester ses réactions. Elle déboutonne alors son pantalon, passe l'une de ses mains au niveau de son entrejambe, puis elle se met à la bouger et gémir bruyamment. Surpris, je marque une pause.

Camille : Oh non, tu t'arrêtes pas.

Elle me frappe son pied en plein visage.

Camille : Continue.

Je ne vois pas bien sa tête car elle est entièrement couchée et je suis au bord de son corps. Mais les mouvements qu'elle fait lentement sur le lit avec sa main inoccupée montrent qu'elle prend son pied (sans mauvais jeux de mots). Elle agrippe sa couette, la relâche, tend sa jambe libre, le glisse vers elle, son dos cambre de temps en temps. Et moi de mon côté, excité par cette situation, je me mets à bander fortement et m'applique sur son pied.

Ses gémissements se transforment en grognements sexy. On sent que son excitation monte à petit feu. Néanmoins elle retire son pied de mes mains. Faut dire que je l'ai bien usé, cela doit faire déjà dix minutes que je le sens, lèche et suce à tout va. Elle me jette son autre jambe dans ma direction.

Camille : Maintenant, fais l'autre. Et sens bien avant de le nettoyer avec ta langue. Je veux que tu ressentes toute la douleur qu'a eu mon pied à l'idée que tu ne veux pas de lui.

Rien que le fait d'avoir son pied emballé dans sa chaussette et chaussure proche de moi. Je peux sentir déjà une odeur puissante émaner de lui. Je ne peux pas. Résultat, je ne bouge pas durant plusieurs secondes, et Camille stoppe le mouvement de sa main lui faisant du bien.

Camille : Allez, retire tout et sens-le. Tu attends quoi ?

Moi : Camille... Je ne peux pas.

Camille : Faut que je fasse tout moi-même.

Elle se redresse en avant et enlève sa chaussure. Elle retire ensuite sa chaussette tout doucement.

Le voilà donc... Son pied puissant et fort qu'elle a décidé de ne pas laver exprès

Camille : Ah ça fait du bien de le libérer.

Aussitôt libre qu'une odeur immense monopolise la pièce. Son pied semble moins luisant que tout à l'heure, certainement car Camille est rentrée plus tôt de ses cours aujourd'hui et qu'elle ne bouge plus depuis des heures. Mais pour autant, sa chaussette semble soufferte de sa sueur vue les marques dessus et son pied également. On voit qu'il est usé dans les zones de contact avec le sol.

Par contre. Tout semble propre. Ongles parfaits, pas la moindre particule noire. Si je n'avais pas d'odorat et que je n'étais pas attentif à sa peau plus gonflée due à la présence de peau usée et sueur, j'aurais pu croire qu'il est lavé à l'instant.

Camille : Tu as vu ? J'en prends soin. Je fais attention qu'il soit chargé que de ce que je produis. Et c'est tout. Maintenant. Tu sais ce que tu dois faire.


Elle projette soudainement son pied vers mon visage en écartant les orteils. Par instinct, je relève mes bras et repousse son agression. Comment veut-elle que je sente ça ? Je mourrais sur place ! Le problème maintenant est que j'ai possiblement lancé un peu trop fort sa jambe. Au point que Camille bascule de son lit et se retrouve... pied-à-terre.

Camille : Pu... T'es pas sérieux toi. Tu ne tiens pas à ta vie.

Elle fixe son pied odorant au contact de son plancher. Sa main encore sur le lit qui servait à la retenir de sa chute est crispée et fermée. Sa poitrine gonfle d'énervement et Camille fronce les sourcils.

Camille : Tu viens de niquer mon pied que j'avais préparé depuis 4 jours pour toi. Maintenant il est bon à être lavé !

Même si elle est énervée. J'ai la satisfaction d'avoir trouvé son point faible ! Elle ne supporte pas de devoir marquer avec ses pieds s'ils se retrouvent touchés par autre chose qu'elle ou ma tête. Héhé. Adieu son marquage de 4 jours.

Camille : Tu sais quoi ? J'en ai rien à faire.

À ses mots. Elle fait un jeu de jambes furtif dans lequel je me retrouve perdant et coincé. Je ne sais pas si elle fait du sport de combat, mais le haut de mon corps se retrouve coincé entre ses jambes et mes bras sont coincés avec. Qu'est-ce que...

Camille : Ça, tu vois, c'est ma chaussure de mon pied de 4 jours. Je ne peux pas remettre mon pied dedans vu que tu l'as ruiné. Ne bouge pas !

Me débattre paraît impossible. Et plus je tente de glisser un bras vers le haut pour le libérer de ses jambes, plus elle sert et cela me coupe les voies respiratoires.

Camille : Donc regarde. Je vais mettre mes jolies chaussettes de 4 jours dans la chaussure. Je vais prendre ma chaussure. Qui au passage je les porte depuis plus d'un an. Et tant pis pour toi !

Sa main équipée de son mélange chaussette et chaussure se lance sur moi. Elle vient plaquer l'ouverture au niveau de mon nez et ma bouche et elle appuie. Elle appuie. Elle appuie. Au point se sentir la chaussette enfoncée dedans venir se coller à mon nez. Et bien entendu, elle a pris soin de mettre le côté où il y avait les orteils du côté du trou de la basket. Sa chaussette est tout humide, tout comme sa chaussure. Je me retiens de respirer.

Camille : Tu aurais pu sentir et lécher mon pied quelques minutes. Tu vas maintenant sentir ça des heures, tu m'entends ?

Elle serre d'un coup sec ses jambes. Vidant l'air de mes poumons pour me forcer à inspirer. Je... Je ne vais pas avoir le choix.

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