L'histoire des corbeaux

By Eliose_12

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Théo doit-il laisser son ami mourir, ou le sauver, en prenant le risque qu'il sombre dans la dépression, et q... More

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By Eliose_12


Begin the end ~ Placebo

J'observe attentivement le ciel obscure parsemé d'étoiles, qui semble si lointaine, et c'est le cas. La toisons argentée ne ma jamais parut aussi belle, que maintenant, quand je suis assis sur ce toi, les pieds pendant dans le vide. Je ne me suis jamais sentis aussi libre.

Je détache mes yeux de ce magnifique spectacle, quand j'entend du bruit derrière moi.

Le claquement des bouteille entre elle résonne dans le cahot de la nuit, pendant que Ludo monte l'escalier qui mène en haut du bâtiment, sur lequel j'ai décidé de passer la nuit.

- Je pensais pas que tu viendrais.

Pendant qu'il s'installe a coté de moi, je sort une cigarette, la loge au creux de ma main pour la cacher du vent.

L'air n'est pas si fraie d'habitude. Mon corps frisonne au contacte du froid sur ma peaux. Il n'est pas habitué a ces température.

- Tu aurais du prendre une veste.

Me déclare le nouveaux venue, en s'asseyant, a coté de moi, en tailleur sur le petit rebord.

- Je n'en aurais plus besoin.

- Pas faux, p'tit bière ?

Il me tend la bouteille décapsuler comme si c'était un trophée. Je jette un oeil a l'unique bouteille que j'avais porter, qui est désormais vide.

De ma main libre j'attrape alors le trophée qu'il me tend, et bois une premier gorgé. Les saveur de la boisson explose dans mon palet, avent de glisser dans ma gorge, laissant  un léger gout amer, dont je me lasserai jamais.

Je tourne ma tête vers mon camarade qui semble lui aussi ce délecter de ce gout qu'ont apprécie tan. Encore plus maintenant.

Je souffle la fumet de ma cigarette, et la regard filé au gré du vent, s'effacent petit a petit face au intempérie de la vie.

La braise de ma clope provoque une douce lumière, qui devient rapidement la seul source de chaleur, face au froid de la nuit.

- Tu ne voulait pas rester avec ta famille ?

Malgré les cries strident et gutturale qui perce l'atmosphère, les bruit de coup de feux, les sirène de police, d'ambulance et les vacarmes d'accident, j'entend tout de même le silence que Ludo ma donné comme réponse.

Soudain mon coeur ce sert, et l'air a du mal a ce frayait un chemin jusqu'a mes poumons. Je tourne la tête vers lui pour essayer de décrypter ses émotions. Ses lèvres souris, mais ses yeux brille d'une lueur triste, tendis qu'une larme coule sur sa joue.

Le song veut sortir, mais ils n'y arrivent pas. Je veux connaitre la réponse, mais j'ai peur de cette dernier. Je ne veux pas entendre ces mots sortir de sa bouche. Mais je n'est pas le choix, je dois lui demander. J'arrache alors mes corde vocale, et commence ma question.

- Ils sont...

- Mort ?  

Me coup-t-il, d'une voix douce, qui contraste avec ce qu'il ce passe au pied de cet immeuble.

Mon coeur loup un battement quand il essuie la larmes. Je me sans tombé dans le vide, quand je suis rattraper par ses mots.

- heureusement non. Ils ont prie la voiture pour aller ce réfugier dans un boom-coeur, j'espère qu'ils vont y arriver.

- Et tu ne va pas avec eux ?

- J'allais pas te laisser mourir seul.

- Mais...

- De toute façon je ne veux pas de cette vie. Je ne veux pas rester enfermer tout le reste de mon existence. je ne veux pas me priver de ce magnifique spectacle qu'on appelle la nature. Il marque une pose, avent de reprendre d'un ton plus doux; Et je pourrais te poser la même question. Pourquoi tu ne veux pas aller te réfugier ?

- Je n'ai plus personne pour qui rester.  Autant profiter de mes dernier instant.

Soudain Ludo lève sa bouteille vers le ciel.

- Trinquons a la fin du monde.

Je l'imite.

- A la fin du monde.

- Senté.

- Senté.

Ont fait s'entrechoqué nos bouteille dans le vacarme de la nuit.

Je penche la tête en avant pour observé le désastre qui ce produit sous mes pieds. Les gens coures de partout, suivies par des monstres énormes.

Des policiers tente tan bien que mal de réunir le plus de gens possible pour surement les amener dans les booms-coeurs.

Les ambulanciers tente de sauver le plus de personne possible, en vain.

Les habitant paniquer, qui tente de rejoindre les planque en voiture, ce percute entre eux, créant des accidents a tout les coins de rue. Pour le plus grand bonheur de ces monstres.

Ces monstres qui sont arrivaient sans prévenir. Ils ont débarqué de nul part, et ont semé le chaos. Ces monstres qui ont tué toute ma famille. Ces monstres qui ne sont la que pour tuer.

- Tu ne crois pas que c'est la terre qui les envoies ? 

Je laisse les bruits effrayant de la nuit répondre a ma place, pour l'encourager a developper son idée.

- Peut-être que ce son seulement des lymphocyte qui défende la terre d'un virus ou d'une maladie, cet a dire nous.

Je considère ce qu'il vient de me dire, en buvant une nouvelle gorgé. C'est définitivement la meilleur bière que j'ai jamais bue.

- Tu pense qu'elle en a eu marre de nous, comme ont a marre d'un rhume ?

- Peut-être pas qu'elle en a eu marre, peut-être juste qu'ont la trop détruite.

- Ça ce tiens.

Je relève la tête vers le ciel, pour observait l'espace.

Je ne m'en lasserais jamais.

Je ne me lasserais jamais d'imaginé a quoi ressemble la terre de la haut. De m'imaginer a quoi ressemble les autre planète. Si elle ont une faune et une flore différente de la notre.

Si il existe des soleils seule, ou si ils ont tous des planète avec eux. Je ne me lasserais jamais de ces petits moment ou je laisse cours a mon imaginations, pour imaginer ce qu'il ce passe dans l'immensité de l'univers.                                                                                                          

Parfois je fixe une étoiles. Et je me demande si elle est morte.

Même si l'étoile a périt depuis une semaine, la lumière met tellement de temp a arriver jusqu'a nous, qu'ont croie qu'elle est encore en vie. Mais quand la lumière a fini son chemins, l'étoile disparait a jamais, emportant les astres qui ce trouvais autour d'elle.                                                                    

Il m'arrive de me demander si certaine personne ne sont pas des étoiles morte vue de la terre. Certaine personne son morte de l'intérieur, mais ne veulent pas le montrés.

Quand la noirceur a bouffer toute la lumière qu'elles pouvaient produire elle s'éteignent, et c'est a ce moment la qu'on ce rend compte qu'elle sont partie depuis longtemps.                          

C'est comme Ludo et moi. Si on est ici, au lieux de courir jusqu'a un boom-coeur, c'est par ce qu'ont est des étoiles morte, vue de la terre.

- Merci.                                                    

Ma voix perce le boucan pour parvenir a lui. Mes mots ont pour effet de lui esquissé un sourire.

- Pourquoi ?

- De d'être laisser emporté par mon étoile mourante.

Il ne peut réprimander un rire, avent de tapé dans sa bière, pendant que je porte ma clope a ma bouche.

- La mienne était mourante aussi de toute façons.

Un sourire déforme mes lèvres. Ont va mourir ce soir. Le monde est plongé dans le chaos. Des gens hurlent, soufre, meurt. L'humanité va surement disparaitre. Et pourtant, je crois que je ne me suis jamais sentis aussi bien.

Une fois ma bière fini, je laisse tombé la bouteille dans le vide, pour la regarder s'écraser sur le sol, et ce briser en plusieurs morceaux. Ludovic me jette un regard étonné, avent que je ne lui réponde d'un ton ironique.

- Ont est plus a ça prés.

Il hausse les épaules, et m'imite. Je consulte ensuite l'heur et la date sur mon téléphone:


Lundi 25 décembre
00h00

- Joyeux noël. Déclarai-je en rangeant mon téléphone dans ma poche.

- Joyeux noël.

Soudain un bruit résonna derrière nous. Ont avait pas besoin de ce retourné pour savoir ce que c'est, mais la peur nous pousses a le fair.

Un de ces énorme monstres avait réussit a monté jusqu'a nous, et nous fait désormais face.

Il s'approchât d'une telle lenteur, que je pensait qu'il ne nous atteindrait jamais.

Mais si.

Il arriva bien jusqu'a nous. En une fraction de seconde je me sens tombé dans le vide. Pour de vrai cette fois ci.

Le monstre ma poussé.

Il n'a même pas chercher a ce nourrir.

Il ma laissé une mort moins douloureuse.

Il ma laisser rejoindre la bouteille que j'avais jeté.

Il ma laisser chuter une dernière fois.

Ma dernier chut avant un repos éternelle.

Ma dernière chut, qui elle, sera sans douleur.

Ma dernier chut, qui me fait même sourire.

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