Mon père: C'est eux les invités, c'est ta belle famille qui vont venir de rencontrait.
Je me fige.
J'ai bien entendu ? Ou je rêve la ?
Non sa doit être un rêve.
J'étais sous le choc, outré.
Donc si je comprend bien ma « belle famille » arrive d'une seconde a l'autre sans que je ne suis au courant ?
Je me retourne instinctivement.
El la..
La sonnette de la porte retentit.
C'était trop tard, il étais devant la porte.
Je regardais mon père droit dans les yeux tandis que ma mère étais en train d'ouvrir la porte.
Moi : non, non papa, t'a pas fait sa ?
J'avais aucune émotions , j'entends 2 seconde après les bruits de chaussure devant l'entrée.
Mon père se lève et me dit d'un ton sec.
Mon père : Désolé.
Du coin de l'œil je vois une dame, d'un cinquantaine d'année.
Voilée, une belle dame, elle étais habillée d'une
abaya beige qui lui recouvrait les pieds.
Elle devais être la mère.
Juste derrière, un homme d'une cinquantaine d'année.
Attend 2 seconde.
Cette homme, cette homme....
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Flashback : chapitre 1
A peine rentrée dans le salon, j'aperçois un homme d'une cinquantaine d'années, assis a côté de mon père.
Moi : Salem Aylekoum.
Les deux hommes se retournèrent immédiatement,
L'homme avais une allure soigné.
L'homme : Salem Aylekoum.
Mon père : Viens dire Salem a monsieur Mounir Nesayem.
Je m'approche en direction du se fameux Mounir , il avais l'air bizzard, à chaque pas que je faisais, il examinais chaque partit de mon corps, bout à bout.
En lui serrant ma main, on se fixa du regard, j'avais l'impression qui voulais transpercer mon âme.
Fin du Flashback.
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C'était cette homme, ce fameux Mounir.
Je le reconnais bien.
C'était donc la raison de sa venu.
Sa devais être sans doute le père.
J'étais perdu, je voyais trouble.
Je réalisez pas ce qui ce passait.
Je les voyez arrivé, mais je n'ai eu aucune émotions.
J'avais l'impression d'être trahie, tromper, abandonner.
Et là je le voit arriver, son bouquet en main.
Mon fameux «mari».
Il étais très grand, à vu d'œil il devais mesurer 1m95.
Un grand brun ténébreux.
Il est athlétique, il a les épaules assez large.
Un dégradé de 3 jours.
Une barbe taillée.
Belle lèvre et dents.
Les yeux claire, un visage très fermé.
II étais habillé d'une chemise blanche et d'un pontalon noir.
Un très bel homme on va pas se mentir.
Mes parents saluées ses parents.
Il posa le regard sur moi, il me mitraillée du regard et moi de même.
II avais la mâchoire serrée.
Je me dirige vers sa mère et lui fait la bise, arrivais à son père.
Je me contente de lui serrez la main.
Arrivais à son tour, il me tend le bouquet.
Je le prend et lui lance un merci à voix basse.
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10 minute se sont écoulée.
Ils étaient assis autour du salon, ils parlaient tout entre eux.
De quoi ?
Je n'en savais absolument rien.
Chaque minute qui passait, je me remémorée chaque instant de ma vie.
Quand j'ai expliqué que j'étais pas contre qu'il me fasse rencontrer quelqu'un, je le pensais vraiment.
Mais me dire qu'il m'a absolument rien dit, je me sentie trahis.
J'étais encore trop jeune pour me marier, je n'ai que 22 ans.
Je viens à peine de décrocher le métier que je voulais, c'était encore trop frais pour me marier.
Je commençais à angoisser, j'avais mal au cœurs mais pas de mal au cœurs.
J'avais réellement l'impression qu'on étouffait mon cœurs, la sensation est horrible.
Mais je gardais le sourire.
Comme cette grande me l'a apprise.
Cette femme m'a apprise à gardait ce masque même si le moment étais si délicat.
Bree Van kamp.
Je souriait, mais c'était faux.
Et Nidal l'a remarqué , il étais assis juste à coter de moi.
Il mis sa main sur mon genoux.
Je le regardai , il savais ce qu'il se passait.
Mais il ne dit rien, comme à sa grande habitude.
Mon père étais assit juste en face de Mounir et l'homme qui se présumée être mon mari se trouvée juste à côté de mon père.
Mon regards se diriger systématiquement vers cette homme , à chaque fois que je poser le regard sur lui, il me regardait mais je détourner mon directement mon regards.
II étais déstabilisant, à chaque fois qu'il posait le regards sur moi j'avais l'impression que j'avais commis un meurtre.
*** : Non haha, elle est super belle Mach'Allah.
Je tourne me regards vers la mère, elle étais souriante, sa se voyais grâce à son visage qu'elle a un bon fonds.
Je lui souris en retour.
Ma mère : Va chercher le thé Nesayem s'il te plaît.
Je m'exécute, je me lève et me dirige vers la cuisine.
Mettent les dessous de vers en dessous tes tasses de thé je sens une présence derrière moi.
Je regarde derrière mon dos et je le vois.
Il étais juste derrière moi, les mains dans les poches attendant ma réaction.
Je me retourne tout doucement.
Moi : Tu vas bien ?
Purée j'ai trouvée rien d'autre à dire ?
Lui : Tu t'appelle comment déjà.
Sa voix.
Sa voix me glacer littéralement le sangs.
Mon corps frissonne à l'entende de sa voix rauque.
Sa voix avais de la puissance, du pouvoir même.
Moi : Nesayem et.. et toi ?
J'étais stressé, on pouvait le ressentir à 10km.
Du fait que j'esquivais son regards.
Lui : Wijdan.
Chaque lettre qu'il prononçais, la pièce se refroidissait de plus en plus tellement, il parlais avec froideur.
Je hoche la tête et me retourne.
Pour prendre le plateau.
Wijdan :je ne veux pas de se mariage.
J'ai été pris de cours.
donc ce que tu vas faire mademoiselle, c'est faire la fille sage en attendant que cette fichu soirée ce passe et tu m'oublies c'est claire.
Il me regardais avec des yeux près à m'assommais.
Donc lui aussi ne savais rien de ce qu'il allait se passait cette soirée.
Comment lui faire comprendre que moi aussi j'ai été comme il dit « pris de cours » et je j'allais sûrement pas mariai un homme qui pote des mocassins en forme de bec de canard.
Ces paroles ne m'avais pas plus, je pose mon plateau et m'approche.
C'est fini de faire la fille gênée Nesayem.
Montre enfin qui tu étais vraiment.
Moi : Écoute moi bien , si tu pense que je suis contente de ta venu tu te trompe totalement, j'ai été au courant de ta venu le moment où tu as posé tes pieds ici.
Donc ce que TOI tu vas faire c'est vite arrêter de penser que je suis là pour tes beau yeux et de vite redescendre.
Je reprend mon plateau et me dirige vers la sortie de la cuisine.
Je lance un dernier, il me regardais toujours.
Je pose le plateau sur la table suivie de monsieur derrière et leurs demande tour qui en voulais ou pas.
Je leurs tend leurs verre.
Et m'assoit.
J'ai passer toute la soirée à sourire et attendre que cette putain soirée ce termine.
A chaque question poser, je répondais automatiquement suivis d'un sourire plus qu'hypocrite.
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Nous : Aylekoum Essalem.
On les a accompagnés jusqu'à la porte.
Je savais qu'une fois que cette porte sera fermée.
Je n'allais plus être la même.
Ma mère ferme la porte à clefs et me bouscule légèrement de l'épaule gauche.
Je suis restau statique, j'attend que mon père se retourne pour ses expliquations.
Mon père : il est pas mal non ?
Moi : Tu rigole j'espère.
Mon père : Tu m'as dit que sa te posait pas de problème que je te fais rencontrer quelqu'un.
Bas maintenant c'est fait.
Moi : Il faut que tu me prévienne ! Comment tu vas leur dire que y'aura aucun mariage maintenant ?
Mon père me regarde , il sort du couloir principal et s'assoit sur le canapé.
Mon père : Je vais rien leur dire tu vas te marié avec lui c'est tout.
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