Si un jour tu viens à devoir périr, laisse-moi être celui qui mettra terme aux jours heureux que tu m'as fait passé.
Car ta mort sera la mienne et ne tiendra pas longtemps en joug l'amour que j'ai éprouvé.
Où tu iras, je serai ; où tu pleureras, je te vengerai.
Car je suis le cavalier de ton cœur, comme tu as été le bleu pur, ayant pansé mes peines, mes chagrins et mes maux.