Blood Fragments

By senshi533

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Alma Joriz, voilà la personne que j'étais, lorsque mes seules préoccupations étaient de trouver un taxi après... More

Prologue
Chapitre 1 : Je m'appelle Clarissa.
Chapitre 2 : Le numéro n'est plus attribué...
Chapitre 3 : La face cachée.
Chapitre 4 : Un bruit sourd.
Chapitre 5 : Une soirée sans les invités principaux ?
Chapitre 6 : La douche froide.
Chapitre 7 : Vengeance !
Chapitre 8 : Une cible.
Chapitre 9 : Anniversaire !
Chapitre 10 : Une flèche déviante.
Chaptitre 11 : La constellation de la flèche ->
Chapitre 12 : Le calme avant la tempête...
Chapitre 13 : Une sombre organisation.
Chapitre 14 : L'envers du décor...
Chapitre 15 : Fuir ou mourir ?
Chapitre 16 : Une fugitive malgré moi.
Chapitre 17 : Une cohabitation forcée.
Chapitre 18 : Fuir la réalité.
Chapitre 19 : Menotté.
Chapitre 20 : Prise au piège.
Chapitre 21 : Risque ou vérité ?
Chapitre 22 : Un fragment du passé.
Chapitre 23 : Dos à la cible.
Chapitre 25 : Goutte de sang.
Chapitre 26 : Un pied entre chaque monde.
Chapitre 27 : Décollage imminent.
Chapitre 28 : Affreuse réalité.
Chapitre 29 : Le silence.
Chapitre 30 : Folie malsaine...

Chapitre 24 : L'insertion d'Alec.

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By senshi533

- Un jour en rentrant, je l'ai trouvé dans le jardin, elle était là, suspendue à un arbre la corde au cou.

- J'ai essayé de la défaire le plus rapidement possible, mais c'était trop tard. Se confesse-t-il, ma respiration devient si lourde et saccager, que j'ai l'impression d'avoir des blocs de ciments contre ma poitrine.

Ça devait être tellement éprouvant, d'affronter une mère dépressive au quotidien qui a fini par se suicidé.

- J'ai hérité de la garde de mon p'tit frère, on a dû déménager, sans aucun revenu financier dans les poches.

- J'ai cherché des petits boulots en tant que vigile de nuit, livreur ça ne rapporté pas assez, j'ai dû me trouver autre chose.

- C'est là que Carl m'a approché pour me proposer du boulot le type que tu avais vu au stand de tir. J'avais entendu des échos à son sujet sur ses différents business.

Comment l'oublier, c'est à cause de ce salaud que ma vie, c'est transformé en film d'horreur.

Il était là avec son costume soigneusement porté, et ses cheveux coiffer au millimètre près.

T-elle un homme qui n'a rien à se reprocher, c'est donc sous ce nom qu'il se fait appeler. Carl.

- Dans un premier temps, je l'ai envoyé se faire foutre, mais mon petit frère a eu vent que Carl m'avait proposé un job et que j'avais refusé.

- Ça ne lui a pas plu, et sans me tenir au courant ce con à bossé pour lui,  je l'ai appris parce qu'il n'est jamais rentré à la maison.

La voix rauque d'Alec résonne en échos dans ma boîte crânienne.

« Il n'est jamais rentré à la maison »

Je continue de l'écouter sans l'interrompre, tout en avançant pour m'appuyer sur la rambarde du balcon, me plaçant à côté de lui.
Le cœur comprimé dans ma poitrine, appréhendant  la suite de l'histoire.

- Je l'ai cherché pendant plusieurs jours, jusqu'à ce que Carl me contacte pour m'informer qu'il le tenait en captivité.

- Il m'a donné un rendez-vous pour qu'on puisse discuter du processus, de récupération de mon p'tit frère.

- Il leur avait perdu une somme colossale en drogue plus de cinquante mille dollars, donc ce fil de pute m'a proposé deux deals.

Une certaine crainte et appréhension, fait pulsé au maximum mon cœur, en avoir la nausée dans l'attente de savoir quel deal lui a proposé ce salopard de Carl.

- Soit, il le déshabillait de son rein et d'un poumon pour rentabiliser la perte d'argent, entame-t-il en respirant bruyamment, les mâchoires contractées.

- Soit, je m'engageais à travailler à ses côtés et à lui jurer fidélité, me dévoile Alec, le timbre de sa voix se brise dans un mélange de dégoût et de haine.

Ses traits sont durcis, une lueur de rage travers ses prunelles, ses jointures blanchissent en serrant fermement la rambarde, le fait d'évoquer ce sujet ne l'emballe pas et je le comprends.

Mais j'avais besoin de l'entendre pour comprendre, et lui faire confiance même si ce n'est qu'un fragment de l'histoire.

C'est donc ça le processus, de fonctionnement de cet enfoiré, exercer une pression psychologique en utilisant les liens sentimentaux d'autrui pour les faire chanter.

- Où est ton frère à présent ?
- Tu l'as déjà rencontré, m'affirme-t-il

Pardon ?

Je ne peux cacher la stupéfaction qui s'étale sur mon visage, il a bien dit que je le connaissais ?

Comment je pourrai, connaître son frère ? Je ne sors que très rarement de chez moi, mise à part pour aller à la fac, où retrouver Rebeka et Simon.

Les seules personnes que j'ai croisées depuis le rendez-vous pour le don de sang, ce sont ses criminelles qui travaillent avec lui, et...

Oh putain !

- Ton frère, c'est bien A... Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase qu'Alec me coupe l'herbe sous le pied.

- Alexe, déclare-t-il, je reste stupéfaite donc Alexe est son frère, c'est pour cela qu'il nous a aidés pour fuir, je pensais que c'était juste son ami avec un peu d'humanité.

Mais comment a-t-il pu me cacher une information aussi importante ?

Maintenant, que je suis au courant, je remarque qu'une certaine ressemblance plane entre eux.

Leurs cheveux d'ébène sont identiques, mais ils ne partagent pas les mêmes billes métalliques, celle d'Alexe son tiré vers un bleu foncé si mes souvenirs sont bons.

Alec a préféré se sacrifier, pour garantir une continuité de vie à son frère, quitte à travailler pour des criminelles, et avoir le sang de plusieurs personnes sur les mains.

Tout ce qu'il a fait en fin de compte, c'est sacrifié le monde, c'est-à-dire des vies humaines pour sauvé son frère, et non sacrifier son frère sauvé pour le monde.

Puis-je réellement le juger ?

J'aurais probablement fait la même chose si la vie de ma mère était menacée.

Nos émotions exerceront toujours un pouvoir sur nos décisions, c'est pour ça qu'elles resteront notre plus grande faiblesse. Il suffit d'émettre une pression sur ses dernières pour nous faire flancher.

- Désolé, murmuré-je sincèrement en relevant mon visage vers celui d'Alec.

- Désolé ? Répète Alec, en arquant les sourcils, les mâchoires contractées, sa pomme d'Adam saccager.

- Je suis désolé pour tout ce qu'il t'est arrivé, personne ne mérite d'affronter des épreuves aussi dures si jeune. Tu t'es sacrifié pour ton frère, Alec tu es...

- Épargne-moi ta pitié, tu veux ?! Gronde-t-il en me coupant la parole l'air irrité.

- On choisit qui l'on souhaite devenir en fonction de nos actes, pour ma part la rédemption n'est plus une option, grince ce dernier.

- Alec, nos actes passés ne définissent pas qui nous sommes, ce sont nos choix futurs qui détermineront qui l'on souhaite devenir.

Mécaniquement, sans que je ne réfléchisse ma main se pose sur son avant-bras, il me dévisage en plissant des yeux un long moment analysant chaque partie de mon visage.

Sans que je ne m'y attende, il me saisit violemment le poignet en exerçant une forte pression, à m'en faire grincer les dents de douleur, les sourcils froncés, son regard arbore une lueur glaçante.

- Tu fous quoi là ? Si tu cherches un quelconque fragment d'humanité, la réalité va vite te décevoir !
Crache-t-il en relâchant mon poignet.

J'avale difficilement ma salive, mes mâchoires serrées, nos regards remplis de haine et d'animosité, se percutent avec toute l'amertume du monde.

Il n'a clairement pas envie d'un quelconque soutien ou qu'on lui rappelle qu'il vaut mieux que ce qu'il laisse paraître.

Il voit ma compassion envers lui comme une sorte de pitié, il ne veut pas qu'on lui rappelle son humanité parce qu'il pense que le sang qui macule ses mains, efface l'entièreté de toutes ses bonnes actions.

Certaines personnes après avoir commis l'irréparable, reparte à zéro avec une toute autre personnalité, en se persuadant de ne plus valoir la peine d'être sauvé.

Il a juste évoqué son insertion dans cette organisation, mais il n'a pas évoqué les différents rôles ou crime qu'il a dû commettre.

Beaucoup de questions restent sans réponse.

Mais les gens mentent, trahissent et performent dans l'art de la manipulation, je ne peux m'empêcher, de remettre en doute tout ce qu'il sort de sa bouche même s'il dit la vérité.

Je quitte le balcon, pour aller me passer de l'eau froid, sur le visage, au moment où je relève la tête.

Mon cœur manque de s'arrêter quand j'aperçois le reflet d'Alec dans le miroir qui est juste derrière moi t-elle un prédateur.

Il fait quoi encore ?

Cette lueur qui traverse ses iris meurtriers on l'air de vouloir des réponses, aucun rictus ne plane sur son visage, les traits durcit son regard qui se percute au miens remplie d'amertume dans le miroir.

- Qu'est-ce que ça fait de vivre dans le déni ?

Toute l'empathie que j'éprouvais pour lui il y a quelques minutes plus tôt, c'est volatilisé.
Je pivote sur mes deux jambes en appuyant mes fesses contre le lavabo pour lui faire volte-face.

- Qu'est-ce que tu veux dire ? Demandé-je en grinçants des dents, tout en le toisant, une sorte de crainte et d'appréhension me bouffe au creux de mes entrailles.

- Arrête de faire celle qui ne comprend pas, t'es aussi perturber et atteint que moi.

- Tu penses vivre alors quand réalité, tu survis en effaçant les parties marquantes de ta vie, cette rage qui te consume lentement, tu la sens ? M'interroge-t-il, en inclinant légèrement la tête tout en faisant un pas dans ma direction.

- Bien sûr que tu la sens, un seul mètre nous sépare dorénavant, il effectue un dernier pas pour briser cette courte distance.

- Laisse cette colère s'exprimer, murmure-t-il prés de mon oreille, le souffle d'Alec percute ma nuque comme une plume gorgée d'épines.

Je médite et me laisse ensevelir par ses paroles, les pulsations de mon cœur manque de s'arrêter si je ne réagis pas.

- Ferme-là, tu joues à quoi espèce de taré ! Craché-je en le repoussant de toutes mes forces, reprenant le contrôle sur ma respiration, qui était complètement saccagée.

- Je joue à rien ! Question ? Tu crois que c'est un comportement sain, te prendre son pied en taillant la peau des gens ?

Mon corps se crispe, ma salive reste bloquer au niveau de ma gorge t-elle un chemin de fer.

Je savais qu'un moment où un autre, il allait évoquer cet incident si je peux appeler ça comme ça...

Au moment, où je détenais cette lame entre mes mains, je voyais un moyen de lui transmettre toutes les émotions que je ressentais à travers sa chair.

Je voulais le faire souffrir, lui faire mal, pars mes mains, j'ai laissé mes pulsions me guider, et ça n'a pas eu l'effet espérer.

- Je peux te retourner la même question, c'est normal de prendre son pied, en se faisant tailler la peau ?

- Je voulais mesuré, ton degré de sadisme, rétorque-t-il comme si c'était une évidence.

Mais qu'est-ce qui ne va pas chez lui, putain ?

Son arrogance et sa condescendance, me font bouillir les veines, dans un mouvement irréfléchi.

Je prends de l'élan pour lui asséner mon poing dans sa figure, sauf qu'il ne me laisse pas le temps d'arriver à mes fins en m'empoignant mon poing pour me le braquer fermement à l'arrière de mon dos.

Ce qui m'arrache un gémissement de douleur, que j'essaie tant bien que mal de retenir.

- Si prévisible, et faible, susurre ce dernier avec un rictus méprisant incurvé sur ses lèvres.

Mon poing toujours pris en otage à l'arrière de mon dos, j'utilise mes autres membres dont Dieu m'a octroyé.

Je soutiens le regard d'Alec, quand un diabolique sourire naît sur mes lèvres, d'un mouvement rapide et déterminer, je lui assaille mon genou dans ses parties intimes.

Son sourire arrogant s'évapore, laissant un teint pâle faire surface, les muscles bandés, la mâchoire crispée, son regard n'aspire que noirceur en me promettant les pires souffrances.

J'incline légèrement ma tête en défiant ses iris.

- Toujours aussi prévisible ? Lancé-je en jouissant fièrement de la douleur que je lui ai provoqué.

- La seule position dans laquelle tu seras autorisé à toucher ma queue, c'est à genoux ! Rétorque-t-il en soulignant ces mises en garde avec une écaille de fureur qui s'enflamme dans ses yeux.

- Avec un couteau à la main ? Demandé-je ou plutôt affirmé-je en lui lançant, une œillade faisant référence à la nuit dernière ma menace lui étire la commissure de ses lèvres.

- L'envie de te buter augmente au même rythme que ma fascination, déclare-t-il intrigué en me dévisageant, cherchant une quelconque réponse sur mon visage.

- Et tu sais quoi ? On a plus de points communs que l'on puisse l'imaginer.

- Ne m'associe plus jamais à toi !
Nous sommes complètement à l'antipode l'un de l'autre, mais nos âmes se rejoignent dans les mêmes souffrances.
Quelque chose en moi a changé, je le sais, je le sens.

Et c'est ce qu'il me fait peur, voir cette part d'ombre avec laquelle j'ai frénétiquement persisté, à me dissocier toutes c'est année prendre le dessus aussi facilement m'effraye mais me rend plus forte.
Et j'aime ça.
**

Trois jours se sont écoulés depuis ses dernières révélations, et je n'ai pas eu l'occasion de goûter à l'air frais de l'extérieur, depuis cette dernière fois.

Alec m'a répété plus d'une fois que nous ne sommes pas des touristes qu'on devait se faire discret.

J'en ai marre de me torturer l'esprit avec ses mises en garde, savoir si je peux ou non lui faire confiance en sachant que je ne connais qu'un quart de l'histoire.

- J'ai faim, me plaigné-je, assise en tailleur sur mon lit, en train d'aiguiser la pointe des flèches de mon arc, ce qui m'occupe depuis un bon moment.

Je place la pointe sur une feuille pour voir si elle est assez aiguisée.

- Moi aussi, va préparer quelque chose, répond Alec, en s'affalant sur le canapé en sortant une cigarette de son paquet, qu'il n'a pas touché depuis un bon moment.

- À moins que tu veuilles attraper une intoxication alimentaire...

- Rappelle-moi à quoi tu sers déjà ? Lance-t-il agacé.

Alors qu'il allait porter la cigarette à ses lèvres, je tire la corde de mon arc, laissant la flèche s'élancer pour s'abattre sur ma cible.

- À ça, rétorqué-je, fière d'avoir eu la cigarette en plein dans le mille, la flèche, c'est planté dans le mur en appuie sur sa cigarette.

- Tu t'fou de moi là ? Gronde-t-il en me dévisageant avec un aura meurtrier.

- Oups, elle s'est mise sur mon passage.

- Quand tu seras sur mon passage pas sûr que je te rate, diablesse. Lance-t-il en me mettant en garde.

Je surfe sur le web pour voir les différents endroits où s'amuser à Rio, il ne me manquera plus qu'à convaincre Alec, chose bien difficile.

Après trente minutes de recherche d'investigation intensifie, je trouve une sorte de night-club qui a l'air plutôt classe vu les photos postées en ligne, et l'endroit est plutôt bien noté sur Google.

Je ne sors jamais dans des clubs, où boite, mais vue les circonstances, on a besoin de relâché la pression l'un comme l'autre.

Je me retourne vers Alec, il est assis sur le canapé avec son verre à la main, c'est le moment de lui demander tant qu'il est encore calme.

- Alec ?

- Non, me répond-il, je n'ai même pas encore fait de proposition.

- Je ne t'ai encore rien dit !

- T'as dix secondes, dit-il, bon, c'est le moment ou jamais.

- Il y a un night-club à une vingtaine de minutes et je me demandais..

- Non, crache-t-il en allant dans la salle de bain.
C'est une blague ?

Ça fait beaucoup trop longtemps que je suis enfermé dans cette maudite chambre.

J'ai besoin de sortir prendre l'air, avoir un contact humain même si je suis enfermé avec Alec, c'est comme si j'étais seul.

Il n'est pratiquement jamais dans la chambre, et quand il est là c'est à peine si on s'adresse, la parole c'est comme si j'étais invisible.

Il faut que je trouve une autre alternative, pour pouvoir le convaincre.

Je profite du lapse de temps qu'il est dans la salle de bain pour me préparer, comme ça une fois qu'il sera sorti, il verra que je suis déjà prête à partir.

Heureusement que j'ai une deuxième trousse de toilette dans mon sac.

Je rate pour la deuxième fois mon trait d'eye-liner. D'un geste rapide je m'empare du couteau traînant sur la table, et plaque la paroi métallique lisse sur le coin de mes yeux me facilitant le trait.

Je laisse simplement mes cheveux détachés, et pour ce qui est de la tenue, je dégotte une robe noir près du corps, une fois mes talons enfilés.

Je m'assois sur le bord du lit, une boule se loge dans mon estomac, attendant qu'Alec sorte de la salle de bain.

Le jet d'eau s'arrête de couler, signe qu'il vient de terminer. La porte s'ouvre en laissant le corps d'Alec, torse-nu au passage apparaître dans la chambre, il me dévisage de longues secondes en me sondant entièrement dans un silence effrayant.

Le visage crispé, me perçant de son regard accusateur, me coupe tout maîtrise sur ma respiration.

- Je peux savoir, tu comptes aller où comme ça ? Demande-t-il, avec un regard accusateur en tout en s'approchant de moi.

- Je te l'ai dit, il y a déjà un quart d'heure ! Rétorqué-je d'un air innocent.

- Dans cette tenue où tu donnes libre accès à ton corps ?

- Personne n'est propriétaire de ce corps mise à part moi, dis-je, en soutenant ses iris, il avance le pas dangereusement.

Un vent glacial réveil chaque terminaison nerveuse de mon échine. Quand Alec passe lentement ses doigts le long de ma colonne vertébrale, à travers le fin tissu de ma robe.

Ma dentition se percute, et mes ongles s'enfoncent plus profondément dans mes pommes.
Pourquoi est-ce que je me sens si vulnérable et sensible à son touché ou à sa présence ?

- Tu ne sortiras pas, déclare-t-il d'un ton catégorique.

- Mais... protesté-je, il me coupe dans mon élan.

- Sans moi !

- Aller s'il te pla... Attends quoi ? Demandé-je sonné par son accord.

- Merci ! Je t'attends le temps que tu te changes ! Dis-je en dissimulant mon sourire triomphant, pour éviter qu'il ne revienne sur sa décision.

Dix minutes plus tard, Alec apparaît avec un pantalon noir, accompagner d'une chemise noire avec les trois premiers boutons ouverts rentrée dans son pantalon.

Cette aura de testostérone qui s'émane de lui manque de me faire disjoncter, grand autoritaire, puissant, et son regard d'acier ténébreux qui peut emprisonner n'importe quelle âme
se trouvant sur son passage.

Ça en est presque déstabilisent, je n'arrive pas à décrocher mes yeux de son corps, il est vraiment déstabilisant.

Arrête de baver, Alma bon sang.

- Allons-y, bafouillé-je, il saisit les clés de la voiture et quittons l'hôtel.

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