Elikya, enchantée.

By mkzz_n

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Je ne vous laisserai pas orphelins, je reviendrai vers vous. - Jean 14:18 More

1 - Au commencement, Elikya.
2 - Who is Elikya ?
3 - Anciens démons.
4 - Le cri de mon coeur.
5 - About the last night.
6 - Esprit endormi.
7 - Plus qu'un(e) ami(e).
8 - Erreur de jeunesse. Pt.1
9 - Le prix à payer.
10 - À ta merci.
11 - Erreur de jeunesse. Pt2
12 - D'autres paysages.
13 - Reçu 7/7.
14 - Coup de main.
15 - Hoje eu acreditei.
16 - Nouveau départ.
17 - Me donner entièrement à toi.
18 - Regards pleins de mépris.
19 - Dimanche.
20 - Identité.
21 - Miroir, miroir.
22 - Plus de nous.
23 - Libala nde.
24 - Liloba.
25 - Hostilités.
26 - Murmure du cœur.
27 - À ma propre table.
28 - Mini-justicier.
29 - La vérité nous affranchira.
30 - Peine.
31 - Retour à la racine.
32 - Jamais une de trop.
34 - Maman.
35 - Rappel à ton cœur.
36 - Bonne ou mauvaise surprise.
37 - À bout de force.
38 - Prends ton lit, et marche.
39 - Affaire de grands.
40 - Désir trompeur.
41 - Pour nous.
42 - Ainsi soit-il.
43 - Dans mon intimité.
44 - Peur & Égo
45 - Offre-lui ta main.
46 - Jahil.
47 - Réapparition.
48 - Il n'y a que toi.
49 - Querelles.
50 - Mieux qu'avant.
51 - Service.
52 - Responsabilité imposée.

33 - Passé.

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By mkzz_n

Good reading.

Dans la peau d'Elikya.

9h16.

J'ouvre les yeux, et regarde mon téléphone. Je m'aperçois que j'suis un peu en retard.

Mais franchement c'était prévisible, je suis rentrée quand le soleil se couchait enfaite !

Donc je me lève, et je prie.

Une fois terminé, je pars me brosser les dents, me laver ect.

Je sors pour me crémer, et je m'habille.

J'allume mon enceinte pour mettre une courte prédication. Et j'vous assure ça change vraiment la journée.

J'entre dans la cuisine pour me faire un thé, que je mets dans un gobelet histoire de me donner un genre hein.

Puis ensuite j'ai tout éteint, j'ai mis mes chaussures, pris mon sac et j'ai quitté l'appart, direction la boutique.








10h10.

Je venais d'arriver, je salue les filles qui étaient à l'accueil et qui m'attendait justement. Du coup je m'excuse.

Je vais à l'arrière pour déposer mes affaires personnelles.

Aujourd'hui, ça va être une longue journée.

Je reçois une dizaine de femmes pour les formations, suite à ma publicité sur les réseaux sociaux.

Je suis fière d'avoir réussi à réunir ces femmes pour quelque chose que j'aime enfaite.

J'ai l'impression que c'est déjà une petite victoire, et je suis contente.

J'avais déjà préparé mon speech, mes diapositives et touut !

Je rejoins la salle, elles étaient déjà presque toutes assises. Du coup je monte sur le « plateau », et je commence la soi-disante conférence.


[...]


Certaines d'entre elles commençaient la pratique aujourd'hui donc elles sont restées. Moi j'ai donc dû y aller.

A la fin de la matinée, je suis sortie pour prendre ma pause.

En sortant, je bouscule quelqu'un sans faire exprès, j'avais le regard sur mon téléphone.

Quand je lève la tête pour m'excuser, je tombe nez à nez sur Lyriah.

Mon ancienne amie, avec qui on s'est grave perdue de vue, on travaillait ensemble dans les boites avec elle, Victoria, Myriam, Glorya et Priscilla.

On s'est toutes déchirées après le décès de Priscilla.

Lyriah - Oh wow, excu- Elle lève le regarde vers moi. Elikya ? En riant légèrement.

- Ah, salut Lyriah, comment tu vas ma belle ?

Lyriah - Bah écoute, ça va super hein, et toi ?

J'hocha la tête et rétorqua :

- Qu'est ce que tu fais ici ? Je te croyais encore dans l'autre ville.

Lyriah - J'y suis toujours, je suis juste venu me faire les ongles. Et toi alors ?

- Ah mais moi je travaille ici. Je souriais. Je t'offre ta prestation si tu veux y a pas de soucis.

Lyriah - Oh c'est grave gentil, merci beaucoup.

Du coup, on retourne ensemble dans l'institut. On se pose et une de mes collègues la prend en charge, moi j'étais assise juste à côté d'elle, on discutait tranquillement.

- Et du coup, qu'est ce que tu fais maintenant ? Dis-je un peu perplexe.

Lyriah - Bah j'ai quitté tout ce mouvement là, les fêtes, les hommes, l'argent facile.. Je suis retournée vivre chez ma mère, je suis à la recherche d'un emploi même.

- Ah ouais ? Et dans quel secteur ?

Lyriah - Administration, comptabilité ect. J'avais commencé des études sur ça mais tu sais, j'ai très vite arrêté.

Vous ne le saviez pas, mais Lyriah avait commencé des études dans l'administration et la comptabilité. Elle avait même obtenue son diplôme. Mais dès le décès de son père, tout s'est effondré dans sa famille, il fallait bien qu'elle aide sa mère au foyer rapidement.

Rien de plus facile, pour avoir de l'argent, dans ce monde en tant que femme que d'être le produit.

Et c'est triste, très triste.

- Ouais je comprends.. Je peux te mettre en contact avec des gens si tu veux. Comme ça tu verras un peu.

Lyriah - En souriant. Tu fais déjà beaucoup pour moi Elikya, je veux pas te déranger dans ta nouvelle vie.

- Tu ne me déranges pas, t'inquiète pas laisse moi t'aider, ça va me faire plaisir.

Lyriah - Mais sinon dis moi, tu reparles à ta famille ?

- Euh bon.. grâce à Dieu on se reparle petit à petit sans forcer les choses tu vois.

Lyriah - Ah t'es devenue croyante ?

- Oui. Dis-je en souriant. Un de mes nombreux choix depuis.

Lyriah - Ah ça par contre. En riant légèrement. Je m'y attendais pas du tout. Ça te ressemblais tellement pas.

- Eh ouais je sais bien, mais Jésus a su me donner de la valeur et me restaurer. Il n'a pas fini de m'étonner, c'est de ça dont j'avais besoin.

Elle me regarda sans rien dire de plus, puis tourna son regard vers ses ongles qui était entrain de se faire limer.

Lyriah - Comment t'as fais pour passer outre après tout ce qu'il s'est passé..?

Je vous avoue je n'ai pas réussi à lui répondre tout de suite. J'ai simplement souris tristement.

- Tu parles de Prisca ?

Elle hocha la tête.

- Prisca était littéralement ma sœur, elle était tout pour moi, elle représentait tout. Quand elle est morte, mon monde s'est effondrée, j'étais perdue.
Je la regarde dans les yeux, pendant que les siens se remplissent de larmes.
J'ai eu mal autant que toi tu as mal aujourd'hui, mais par rapport à vous, cette fois-ci je me suis cachée. Et ça a été un des meilleurs choix de ma vie, parce qu'aujourd'hui je vais mieux, j'ai rencontré Dieu, de bonnes personnes, j'ai retrouvé ma famille aussi.

Elle me regarde et moi j'essuie ses larmes à l'aide d'un mouchoir.

- Lyriah, tout n'est pas fini, il faut que tu avances. Laisse une chance à Dieu de pouvoir t'aider.














































Dans la peau de Darius.

9h59.
Goma, Congo RDC.

Aaah purée il fait tellement chaud.
Enfaite comme tout les jours, mais je m'y habitue pas.

Tout les jours depuis 2 mois, évidemment.

Quand j'ai tenté de rentrer chez moi au bout de 2 semaines, en ayant cru que Dieu m'avait dit oui, je suis tombé malade foooort.

Ma mère a failli venir exprès pour me voir, mais Dieu merci je vais beaucoup mieux et j'ai compris que j'allais rester ici un bon moment.

Et là j'ai compris que mon retour ne dépendait clairement pas de moi, et que je devais prendre ce voyage plus au sérieux.

Fin bref.

Je me lève du coup, je prie, et je commence à aller me préparer.

Ensuite je descends rejoindre ma tante, je reste chez elle après qu'elle ait insisté de ouuuf.

C'est la sœur aînée de ma mère, ils sont vraiment accueillants ici. Depuis que j'suis ici j'suis traité comme un roi.

En parlant d'elle, elle sortait tout juste de la cuisine.

Tata Ursule - Ah bonjour yaya, tu as bien dormi ?

- Oui très bien Tata merci, et toi ?

Je viens lui faire un bisous sur la joue.

Tata Ursule - Oui ça va grâce à Dieu. Va t'installer déjà, on va pas tarder à déjeuner.

J'hoche la tête et je vais me poser à table, en attendant les autres à table, je parle avec ma mère en message.

? - Coucouu.

Je lève la tête et je souris à Merveille qui venait de faire son apparition à côté de moi.

- Ça va Merveille ? Bien dormi ?

Elle me fait la bise et s'installe à ma droite.

Merveille - Ouais ça va grâce à Dieu, et toi Darius ?

- Ça va aussi merci.

Au bout d'environ 20 minutes, tout le monde était assis autour de la table.

On a d'abord prié, puis ensuite on a commencé à manger dans une bonne ambiance ect.

Exaucé - Ya Darius, il faut que tu viennes à l'orphelinat aujourd'hui.

Ah oui c'est vrai, j'avais complètement oublié. Exaucé c'est mon cousin, au même titre que Merveille, Mawusi et Timothée.

J'devais faire un tour là bas, avec eux. Ils m'en avaient vaguement parlé mais ça m'a grave donné envie.

- Oui, problème eza te. To longwa heure nini ?*
[...], il n'y a pas de problème. Qu'on quitte ici à quel heure ?

Timothée - Ata ba 15h*, c'est bon hein.
*Même vers 15h [...]

J'hocha la tête, puis en buvant mon jus d'fruit, je reçois une centième appel d'Ornella.

Il faut que j'pense à balancer ma carte SIM dans le fleuve Congo quand j'y pense, j'vais commencer à consommer Lycamobile.

J'ai seulement laissé vibrer, puis j'ai mis mon mode avion.





































[...]

16h01.
Goma, Congo RDC.

Les paysages de ce pays c'est la folie j'vous promets.

Naaan, ma nation est en place faut se l'avouer sah.

Entre autre, on venait de descendre de la voiture. Nous étions dans un quartier de Goma, un peu plus loin de la maison.

Mawusi - Allez on y va. Maman Sarah nous attend la.

Merveille - Ah ye pe, a salika kaka pamba pamba hein*.
Dit-elle en roulant des yeux.
*Elle aussi, elle s'énerve toujours pour rien.

- Orrh Merva' c'est ça ton soucis aussi.

On entre dans l'orphelinat, tout de suite Maman Sarah arrive sans tarder.

On fait vite fais les présentations, puis elle nous amène dans la grande cour.

Ils étaient tellement nombreux.

Je parlais avec Maman Sarah. Pendant que les autres étaient allés saluer les plus jeunes.

Maman Sarah - Mais dis moi, c'est quoi ton nom ?

- Darius Keryani.

Maman Sarah - Oh tu es l'un des enfants du couple pastoral ?

J'hocha la tête en souriant légèrement.

- Vous les connaissez ?

Maman Sarah - Ah oui oui, très bien. Nous avons grandi ensemble une partie de notre jeunesse.

J'hocha une nouvelle fois la tête, et elle continuait de détailler chaque traits de mon visage.

Pour éviter que la gêne continue, j'élève mon regard sur les enfants qui jouent ensemble.

J'sentais son regard encore sur moi, mais peu importe.

Certains petits jouaient aux cartes, d'autres à la marelle, puis d'autres jouaient avec leurs mains ou à pleins de jeux diverses.

A les voir, je dessinais doucement un sourire sur mon visage.

Juste se poser, et les regarder rigoler peut faire réchauffer profondément un cœur.

J'ai pas beaucoup d'attaches avec les enfants, en réalité je ne sais pas m'y prendre.

Les câlins, les bisous, les tendresses tout ça, c'est pas ma tasse de thé.

Mais je sais pas, j'aurais quand même du mal à comprendre les personnes qui laissent leurs enfants dans les bras de ce monde.

Bien évidemment, chacun a droit à sa légitimité.

Je quitta mes pensées quand on tapota mon épaule.

Je me tournais légèrement, et baissais mes yeux vers l'enfant qui me tendait un crayon avec sa main gauche, et une feuille à colorier dans la main droite.

Je saisis le crayon, puis il pose sa feuille sur le banc sur lequel j'étais assis. Lui il se met à genou face à ce banc puis se met à colorier.

Donc moi aussi je colorie avec lui. Il était pas bavard du tout, mais c'était reposant.

- Eh, comment tu t'appelles champion ?

Le petit garçon - Je m'appelle Livio. Dit-il le regard scotché sur son coloriage.

- Hmm.

Livio - Et vous monsieur ?

- Je m'appelle Darius. Dis-je en coloriant à ses côtés.

Livio - Hmm.

- Pourquoi tu es venu me voir moi ?

Livio - Il haussa d'abord les épaules. Je ne voulais pas colorier seul, et vous aviez l'air triste.

- Moi ? Triste ?

Livio - Oui un peu.

Je ne répondais rien, je continuais à colorier avec lui.

Il s'écoule quelques minutes de blanc entre nous, puis le jeune garçon reprit:

Livio - Vous avez l'air de servir Dieu vous.

- En riant. Pas tellement champion.

Livio - C'est pour bientôt j'en suis sûre moi.

- C'est bien qu'à ton âge tu connaisses déjà Dieu.

Il afficha un sourire puis je tapota son épaule.

- Quel âge tu as Livio ?

Livio - J'ai 8 ans, et vous ?

- Moi j'ai 23 ans.

Livio - J'aimerais trop avoir votre âge, ça doit être tellement bien d'être un homme.

Je rias légèrement face à son innocence.

- Et pourquoi ?

Livio - Je partirais enfin d'ici, et je ferais ce que je veux. Vous vous faites bien ce que vous voulez non ?

- Pas vraiment hein. Être adulte c'est avoir beaucoup de responsabilités quand même. T'es prêt à porter toutes ces responsabilités ?

Livio - Bah ouais, moi je suis le plus fort.

Je souris une nouvelle fois.

J'ai passé une bonne vingtaine de minutes avec Livio, on a parlé de pleins de choses.

De la France, du Congo, sa vie ici, puis ma vie a moi aussi.

J'ai tenu une conversation avec un gosse de 8 ans la, j'suis épaté.

Puis ensuite, il m'a tenu la main et m'a fait rencontré ses camarades de l'orphelinat en me citant tout leurs noms.

Je sais que si j'avais ramené une certaine personne ici, y a longtemps elle aurait versé des miyoyo*
*des larmes/de la morve.

J'aurais aimé qu'elle soit ici avec moi en vrai, j'sais qu'elle aurait kiffé.

Bref.

On a passé toute l'après-midi ici, et à 18h, c'était le moment pour eux d'aller manger.

Avec mes cousins, maman Béatrice et certains de ses accompagnateurs, on s'est réunis devant la cantine.

Afin de garder quand même un œil sur ces enfants.

J'avais une idée.

Une grosse idée même, voire même une bêtise ça s'trouve.

Mais je m'en fiche, ce que j'ai expérimenté durant cette journée, c'était merveilleux.

Ils parlaient tous entre eux, mais je ne disais pas un mot. Mon regard se portait sur Livio, qui mangeait son repas avec sa peluche à ses côtés.

Mawusi - Ya Darius ?

- Hum? Dis-je en sortant de mes pensées.

Merveille - Il faut qu'on décolle maintenant. J'espère que t'as aimé hein.

- Attendez d'abord. Il me faut mon chéquier.

Timothée - J'vais te le prendre j'arrive.

- Merci encore Tata, que Dieu vous garde et vous bénisse.

Maman Sarah - Amen mon fils.

Timothée revient avec mon chéquier. Je pris le stylo accroché dessus et remplis le chèque.

Je ne l'ai pas remplis en mon nom, ni celui de mon père, mais au nom de l'église.

L'église de mon père.

J'vais tellement me faire finga*.
*menacer.

Puis j'ai pas mis une petite somme. J'ai mis 5500€.

Et je signa. Puis j'arracha le chèque ensuite, j'ai fermé les yeux et j'ai prié.

Tous ceux qui étaient avec moi, se sont mis à prier aussi. Et j'ai remis le chèque entre les mains de Maman Sarah.

Elle vint dans mes bras et s'effondra en larmes.

J'ai resserré l'étreinte, en souriant.

- C'est normal maman, prends soin de ces enfants, leurs avenirs sont entrain de vos mains.

Maman Sarah - Nzambe a tombola yo ! A pambola yo mwana na ngai ! S'exclama-t'elle en sanglotant.
*Que Dieu t'élève ! Qu'il te bénisse mon enfant !

- Amen maman, amen. En souriant.

Toutes ces amies s'exclamaient et me prirent chacune dans leurs bras pour me remercier.

Avant de partir, je dis au revoir aux enfants, sans oublier Livio. Je lui est promis de revenir avant mon départ à Paris.

Puis on a décollé avec mes cousins.













[...]

On était en route pour rentrer à la maison, avec Moise Matuta - Libaku Malamu qui résonnait à fond dans la voiture.

On était tellement heureux, on chantait et tout. Puis je saisis mon portable en tenant le volant.

Je retire le mode avion pour voir.

Tous mes appels manqués défilent : Mes parents, Anna, Karl, Joël mon autre petit frère, Tracy ma grande sœur, mes potes...

Bon je décide de rappeler Ornella, parce qu'elle m'avait vraiment harcelé de messages et d'appels.

Je la rappelle, dès la première sonnerie, elle décroche. Très paniquée.

Appel téléphonique | 'Nella

Ornella - DARIUS A QUOI TU JOUES LÀ ?!

- Eh crie pas déjà, tu veux que j'raccroche. Dis-je en riant. Qu'est ce qui a sœurette ?

Ornella - Eli-.. Elikya... Elle est..

- Nan mais si c'est à propos d'elle c'est pas la peine Ornella laisse tomber.

Ornella - En éclatant en sanglots. Elle est à l'hôpital Darius.

Tout de suite, mon sourire a disparu, l'information est restée bloquée.

Bien difficile à digérer.












































La loi de Moïse ne pouvait pas faire cela, parce que la faiblesse des êtres humains l'a empêchée d'agir. Mais Dieu a pu le faire: il a envoyé son Fils dans un corps semblable à celui des pécheurs pour les libérer du péché. Par là, Dieu a condamné le péché qui agit dans les êtres humains.
Romains‬ ‭8‬‬:‭3‬

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