À L'OMBRE DES FLEURS DE CERIS...

By __meriah__

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Ses vacances étaient sensées être de tout repos sous le soleil Toscan en Italie, dans ce somptueux manoir je... More

Avant-Propos
PROLOGUE
01:LES FLEURS DE CERISER
02: Bienvenue en Toscane!
03: Le domaine, au loin.
04: Le monsieur qui vit là-bas.
05: La fille du manoir.
06: Le colis.
07: L'homme dans l'ombre.
08: Rendez-vous du soir.
09: Curiosité trop forte.
10: Effraction.
11: Insomnie et Visite Nocturne.
12: Zéphyr.
13: Retomber dans "tout ça"?
14: Coup de coeur artistique.
15: Pensées Nostalgiques.
16: Secrets Enfouis.
18: Folie ou Réalité?
19: Pacte.
20: Juste devant toi.
21: Réalisation?
22: Nouvelle Résolution?
23: Le goût du danger.
24: Attirance Malsaine
25: Cours de sculpture.
26: Souviens toi.
27:Confusion
28: Lyse.
29: PARTIE 2: Dénouement.
30: Inverse
31: Liés?
32: Lucy.
33: Haine envers soi.
34: Douce souffrance.
35: La réalité?
36: Main sur ton coeur.
37: Confus (e)
38:"Émeraude."
39: Humeurs Changeantes.
40: Amour printanier.
41: PARTIE 3: Sombre réalité?
42: Nina Ackwood?
43: Lily..!

17: PARTIE 1: Commencement.

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By __meriah__

( désolée pour les fautes, si il yen a)

Bonsoir! Certains ont dû se demander pourquoi est-ce que le chapitre 17 s'appelle comme ça!

Je vous explique: mon histoire se déroule en 3 parties,

Par exemple, quand vous verrez le titre de la partie 2 vous saurez que vous êtes vers le milieu de l'histoire, vous comprenez?

Donc en gros maintenant on rentre vraiment dans l'histoire avec la partie  1! Les chapitres précédents c'était l'introduction quoi!

Je ne vais pas dévoiler le titre des autres parties parce que après je vais peut-être être démasquée 🙅🏿‍♀️🤫

Bon j'espère vous avez compris mes explications approximatives!😭

Maintenant,

Rentrons dans l'histoire.

Bonne lecture 🫶🏿🌸!

_____________________

                   

            PARTIE 1: 𝖢𝗈𝗆𝗆𝖾𝗇𝖼𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍:

                 " 𝖠𝗎 𝖽𝖾́𝖻𝗎𝗍, 𝗅𝗎𝗂 𝖾𝗍 𝗆𝗈𝗂
                    𝖼𝖾 𝗇'𝖾𝗍𝖺𝗂𝗌 𝗊𝗎'𝗎𝗇 𝗃𝖾𝗎,
               𝗌𝖺𝗇𝗌 𝗉𝗋𝗈𝗂𝖾𝗌 𝗇𝗂 𝗉𝗋𝖾́𝖽𝖺𝗍𝖾𝗎𝗋𝗌,
        𝖾𝗇𝖿𝗂𝗇, 𝖼̧𝖺, 𝖼'𝖾𝗌𝗍 𝖼𝖾 𝗊𝗎𝖾 𝗃𝖾 𝖼𝗋𝗈𝗒𝖺𝗂𝗌..."

     
         𝖭𝗂𝗇𝖺.

             
      17: La maison au fond du jardin.

_______________________________

Souvenir de Nina, 10 ans , Paris.
3 jours avant la mort de Penelope.

Je suis au chevet de maman, attendant patiemment qu'elle se réveille.

Depuis quelques mois, maman est constamment malade.

Papa m'a dit en pleurant que elle avait le "cancer".

Alors j'ai chercher ce que c'était sur internet, les gens qui ont le cancer ils perdent tous leur cheveux!

Mais moi je suis persuadée que maman va guérir, c'est une battante!

Maman ouvre ses beaux yeux couleur caramel.

Dès qu'elle me voit un grand sourire étire ses joues devenues maigres à cause de la maladie.

— Coucou maman, lancé-je avec enthousiasme!

— Coucou, toi!

Maman a l'air fatiguée même quand elle est reposée...

J'annonce précipitamment mon programme ayant peur qu'elle se rendorme:

— Je t'ai préparé des cookies avec papa  et après on va regarder la télé et ensuite on va-

Maman se met à tousser fortement.

Alors je me penche vers elle et met ma main sur son cœur pour la calmer.

Maman se calme quelques secondes plus tard et me regarde de ses yeux fatigués,

Ils ne brillent plus comme avant...

— Aujourd'hui, je retourne à Sienne ma puce.

– À Sienne? Mais non! C'est trop loin maman tu es malade!

— Ça va mieux, tu oublies que je prends mes médicaments.

— Mais...

— Papa est d'accord, je rentre dans 3 jours même pas, promis.

– 3 jours!? Mais qu'est-ce que tu va faire là-bas?

— Je dois rendre visite à....une personne qui m'est chère.

— C'est qui?

— Tu voulais regarder quoi sur la télé, toi déjà, demande t-elle un petit sourire collé sur son visage.

Alors je lui fis une liste de tous les dessins animés  que j'aimerais regarder avec elle cet après-midi.

Bientôt, je ne sais même plus la question que je lui est posé plus tôt.

C'était quoi déjà?

Je ne sais plus.

Ce que je sais c'est que...

Ce soir-là, maman est partie.

Elle n'a pas tenu sa promesse,

Car elle n'est  jamais revenue.

___________________

                               NINA,
                           PRÉSENT.

J'attache mes cheveux dans un chignon haut et laisse quelques mèches s'en échapper.

J'enfile un jean mom et une chemise blanche par dessus mon soutien gorge noir.

Je prends des lunettes de soleil et des tongs et me dirige vers le jardin.

Sur mon chemin je rencontre Mariam dans la salle de séjour qui s'entraîne sur ses appuis, je la salue rapidement et continue ma route.

Pas de Arnold en vue.

Je m'affale sur le transat et décide de profiter du soleil.

  

                                 ❀

De l'eau glacée est projetée sur mon visage.

Mes yeux s'ouvrent de stupeur.

Qu'est-ce qu'il se passe?

Quand ma vision devient plus nette j'aperçois Arnold devant moi, bien-sûr,

Qui d'autre?

L'ermite porte un jean blanc droit et un simple tee-shirt noir sans aucun pli.

Il me regarde de haut.

La fureur est empreinte sur son visage
mais c'est celle de d'habitude, enfin je crois?

Il me regarde de haut en bas avant de prononcer simplement:

— Ce soir, Auguste, thé.

Je le toise et hausse les sourcils attendant plus de précisions:

— Pardon?, prononcé-je simplement.

— Toi. Venir avec moi et Mariam, pour prendre thé chez Auguste, ce soir.

Il fait de grands gestes pour illustrer sa débilité.

Il est en train de se foutre de moi.

Je vais mettre ça sur le compte de la crise de la cinquantaine.

— Mmh. Je vois, tu nous fais une crise, Arnold?

L'ermite prend une mine satisfaite et rétorque:

— J'essayais de voir si tu comprenais ce que je disais, tu sais; comme c'est fréquent dans ta famille d'être des illettrés?

Mon corps se figea.

Ma mère était dyslexique, il l'a rabaissait constamment sur son "anomalie", comme il disait.

Voyant qu'il commence à être satisfait de sa pique, je me remet rapidement de mes émotions.

C'est ce qu'il veut, me faire souffrir, mais je ne lui laisserai pas ce plaisir.

– Fier de ta blague, c'est bon?

— Très fier, rétorque t-il un grand sourire collé sur son visage.

Soudain ce qu'il a dit me revient en mémoire:

— Donc, toi, moi et Mariam allons boire le thé chez Auguste?

— Tu vois que tu peux  comprendre quand tu veux!

Je le regarde de haut en bas et le congédie d'un geste vague de la main.

— Ok, c'est bon tu peux partir.

L'ermite s'offusque que je le congédie de son propre jardin.

Il me fusille du regard et après une longue minute il s'en va, vaincu.

Boire le thé chez Auguste?

Étrange.

À oui c'est vrai, il y a le jardin.

Mais pourquoi nous faire venir tous les trois?

Putain! Je réfléchis vraiment trop!

Il faut que je me laisse aller au lieu d'avoir mille et une pensée qui viennent constamment à mon cerveau.

Peut-être qu'il veut simplement découvrir les petites filles de son "ami"?

Je remets mes lunettes sur mon nez et continue à me prélasser au bord de la piscine.

On verra bien.

_______________________________

L'heure du thé venue, au moment du départ, chez Arnold.

J'ai troqué mon jean pour une jupe blanche qui m'arrive à la naissance des genoux et un tee shirt rose dos nu.

J'ai enfilé des sandales dorées et j'ai mis un peu de mon gloss transparent pour compléter le tout.

Je souris de toutes mes dents en voyant Mariam dans une petite robe blanche avec de petites sandales.

Elle est adorable!

Elle aussi me sourit quand elle me vois et me tend sa petite main ornée d'une petite bague rose.

Jentrelace nos doigts ensemble et me dirige vers la porte d'entrée.

L'ermite quand à lui est déjà dans la voiture.

Le couché du soleil teinte le ciel d'orange et de rose.

Nous sommes en fin d'après-midi.

Je monte Mariam dans la voiture, l'attache et monte à mon tour.

Sans que j'ai le temps de m'attacher Arnold démarre.

Il fait vraiment tout pour m'énerver.

Je souffle d'exaspération et finalement, je  réussi à m'attacher.

Le trajet se passe dans un silence apaisant.

Une fois sur le chemin robuste du domaine un frisson parcourt mon échine à l'idée de le revoir.

Mais je me rappelle que ce n'est pas dans ses habitudes de se montrer.

Arnold se gare vers une étendue d'herbe, coupe le moteur et détache Mariam pour la descendre délicatement de la voiture.

Je n'ai pas le droit au même traitement, il s'en va avec Mariam sans même s'assurer que je sors de la voiture.

Super.

Je sors finalement, lisse les pans de ma jupe et me dirige vers le grand et sombre domaine.

Quand Mariam découvre le chien elle crie de stupeur et se cache derrière Arnold.

Arnold, surpris se retourne pour me questionner du regard.

Alors je lui dis que le chien a foncer sur Mariam pendant l'une de nos sorties.

Arnold répond par un simple hochement de tête, vu qu'il n'a aucune empathie, et soulève Mariam pour la porter.

Le chien grogne à son passage et Arnold se contente de le toiser.

Mais à mon approche....

Le chien se calme tout de suite.

Voilà, c'est ça que je dis!

Il grogne avec tout le monde sauf avec moi.

Je décide d'ignorer son comportement étrange et continue mon chemin.

Le jardin est immense! On dirait le jardin d'un roi ou d'une reine.

L'herbe est parfaitement taillée.

Il y a sa grande chaise qui trône vers le grand cerisier, le chat de la dernière fois et encore une fois posé nonchalamment sur celle-ci.

Sur une petite table à côté il y a des crayons de couleur, tous allignés.

Il dessine aussi, je suppose.

Un verre contenant un liquide ambré est à peine entamé,

Il a du partir en coup de vent.

Auguste est au milieu du jardin droit comme un i attendant patiemment notre avancée.

Il salue Arnold d'une bref accolade.

Il pince les joues de Mariam d'un geste attentionné.

Ce qui fait rougir les joues de ma petite sœur.

Il s'avance vers moi me regarde droit dans les yeux et me dit:

— Bonjour, mademoiselle Nina.

Il le fait encore. Son air glacial qui me fait froid dans le dos.

Je me contente d'un mince sourire.

Il nous somme de le suivre et tourne à gauche, à l'opposé du grand arbre.

Mariam suit Arnold qui discute avec Auguste.

Quand à moi je reste un peu en retrait regardant une des fenêtre du deuxième  étage, sa fenêtre.

Mais il n'est pas là.

Alors je me retourne et suit le reste du groupe.

Auguste nous mène finalement à une autre partie cachée du jardin.

Sur celle-ci, il y a une grande fontaine blanche qui coule à flot et une magnifique table en verre en forme de rose.

Des chaises à la même apparence accompagne celle-ci.

Émerveillée, par l'architecture de cette table je m'approche pour la toucher du bout des doigts.

Le thé est servi dans une théière et il y a des petits biscuits dans une assiette scintillante.

Plus loin je remarque une petite maisonnette, à l'écart du domaine.

À côté de celle-ci il y a un petit cour d'eau.

Ils doivent sûrement ranger les outils de jardinage la bas me dis-je.

Tout est si beau ici.

Cette partie du jardin est très agréable, il fait bon, ni trop chaud, ni trop froid.

Auguste me désigne une place à côté de Mariam tandis que lui s'installe à côté d'Arnold.

                                 ❀

Pendant au moins 40 minutes Auguste nous raconte la beauté de la Toscane et à quel point il adore vivre à Sienne.

Il joue aussi un peu avec Mariam et est fasciné d'apprendre qu'elle pratique la danse classique.

Et parfois il me regarde, pas d'un regard dur, non, d'un regard désolé ou plutôt confus?

Moi je m'occupe à: manger les biscuits, qui sont d'ailleurs très délicieux, fusiller Arnold du regard et continuer à fusiller Arnold du regard.

Pas grand chose quoi.

Mariam brise la conversation ennuyante d'Arnold et Auguste en demandant:

— Elle est grande votre maison! Tout ça c'est à vous tout seul?

Auguste me fixe quand il lui répond:

— Oui, je vis seul ici.

Vous devez beaucoup vous ennuyer!

— Oh je n'ai pas besoin de grande compagnie, ne t'en fais pas, rigole t-il.

Mariam l'observe avec une petite moue, peu convaincue.

Finalement après environ 10 autres longues minutes Arnold s'excuse en disant qu'il commence à se faire tard et que nous allons rentrer.

Arnold se lève salue Auguste, prends la main de Mariam et avance vers l'intervalle qui délimite cette petite partie du jardin avec l'autre.

Je m'apprête à le suivre quand Auguste dit:

— Attends, Arnold je dois te rendre les fleurs qui ne m'ont pas plu la dernière fois.

Arnold se retourne, et dis simplement:

— Nina, attends Auguste pour prendre les fleurs, nous t'attendons dans la voiture.

Toujours moi.

— Ok, dis-je platement.

Arnold et Mariam continuent sur leur lancée tandis que je reste plantée là en attendant qu'Auguste aille chercher les fleurs.

Cette fois-ci il ne profite pas de l'absence d'un public pour me mettre en garde ou un truc du genre.

Il avance tout simplement vers "sa maison" et referme la porte derrière lui.

Je souffle d'exaspération devant les choix d'Arnold qui ont toujours pour but de m'embêter et attends patiemment le retour du vieil homme.

Je tourne sur moi même, ennuyée et me retrouve finalement face à la petite maisonnette blanche.

Je la regarde passivement, elle est toute blanche avec un toit bleu en tuile.

Elle est vraiment belle.

Soudain quelque chose attire mon attention, alors je plisse les yeux, essayant d'y voir plus clair...

Mais...

Près de celle ci se dessine une silhouette.

Je pousse un petit cri surpris et met une main sur mon cœur.

Mais?

La silhouette s'apparente à une femme.

Une femme frêle ayant les épaules voûtées et le regard bleu azur posé droit sur moi.

Ses yeux ne sont pas d'un bleu réconfortant comme celui des yeux de Zéphyr, ses yeux sont d'un bleu translucide, effrayant et saisissant.

La femme penche la tête me détaillant de haut en bas.

Quand à moi, je suis pétrifiée, mon corps ne répond plus.

Elle est habillée d'une petite robe blanche qui ne cache pas du tout ses jambes très maigres pour sa taille.

Mon corps tremble sous le coup de la peur.

Elle n'a pas l'air vraiment humaine...on dirait un fantôme.

Mes yeux sont équarquillés, je n'arrive plus à bouger.

La peur a paralysé tout mes organes.

Je n'ai jamais connu cette sensation.

Ce genre d'effroi poignant, j'ai envie de hurler mais aucun son ne sort de ma cavité buccale.

La femme a de longs cheveux roux qui atteignent presque ses pieds.

Ses cheveux sont si longs qu'ils cachent presque ses yeux.

Ses clavicules sont visibles sous sa robe, elle est d'une minceur inquiétante.

Quand je relève les yeux vers son visage elle affiche un sourire terrifiant sur ses levres fines et gercés qui me glace le sang.

Ses dents sont d'une blancheur éclatante.

Je m'apprête à lui parler quand quelqu'un me somme:

Ne vous approchez pas de la maison!

Je tourne la tête tétanisée, et découvre Auguste tenant fermement les fleurs dans ses mains.

Je regarde devant moi et me rends compte que je me suis avancée sans le vouloir près de cette femme....

Attirée par sa silhouette fantomatique et son aura.

Quand je relève la tête vers la maisonnette, tout ce que je vois c'est l'ombre d'une maigre main agrippée au bord du mur qui disparaît rapidement.

Je balbutie alors:

— M-mais il y- il y avait-

Je reprends mon souffle sous le regard indéchirable d'Auguste.

— Il y avait une femme là-bas...j-je je l'ai vue.

— Mais qu'est-ce que vous dites, enfin? se moque t-il.

Quoi?

— Le thé à la menthe vous donne des hallucinations, mademoiselle Nina, dit-il dans le plus grand des calme.

Putain, non pas cette fois-ci!

— Arrêtez de vous jouer de moi! Je sais ce que j'ai vu, la femme rousse habillée en blanc! Qui c'est?

— Vous vous sentez bien mademoiselle Nina, demande t-il, l'air vraiment inquiet.

— Arrêtez j'ai dit! Dites moi la vérité, je ne suis pas encore folle.

— Je suis confus mademoiselle Nina.

— Alors pourquoi est-ce que vous m'avez demander de ne pas m'approcher de cette maison?

— Car, c'est dans mon droit là-bas se trouve mes outils de jardinage, je suis ici chez moi, ma maison, mes règles, prononce t-il dans le plus grand des calme.

— Mais vous êtes-

— Je vous rappelle que vous avez imaginez une femme devant ce que je considère comme ma cave.

— Je-

— Prenez vos fleurs et partez s'il vous plaît.

— Mais laissez moi parl-

— Tenez, me dit-il en me tendant les fleurs.

Cet homme a tellement de contenance que je m'avoue vaincue en le toisant du regard.

Je lui arrache les fleurs des mains et me retourne sans oublier de lancer un dernier un regard derrière moi à la maison qui a l'air vide de toute présence, maintenant.

Je ne le salue même pas et continue mon avancée vers le grand portail, perdue dans mes pensées.

Est-ce que je deviens folle?

Les hallucinations recommencent ou bien cette femme était réellement devant moi?

Qu'est-ce qui vient de m'arriver?

_____________________________

À SUIVRE!!! 🌸🫶🏿

Olala la partie 1 débute tellement  bien!

Les histoires avec de l'intrigue et des plot twist sont vraiment mes préférées, pas vous?

Je trouve que ça rend la lecture plus intéressante!

Écrivez moi vos hypothèses si vous en avez ✍️🏿!

À plus!

Meriah 🌸🫶🏿

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