Blood Fragments

Autorstwa senshi533

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Alma Joriz, voilà la personne que j'étais, lorsque mes seules préoccupations étaient de trouver un taxi après... Więcej

Prologue
Chapitre 1 : Je m'appelle Clarissa.
Chapitre 2 : Le numéro n'est plus attribué...
Chapitre 3 : La face cachée.
Chapitre 4 : Un bruit sourd.
Chapitre 5 : Une soirée sans les invités principaux ?
Chapitre 6 : La douche froide.
Chapitre 7 : Vengeance !
Chapitre 8 : Une cible.
Chapitre 9 : Anniversaire !
Chapitre 10 : Une flèche déviante.
Chaptitre 11 : La constellation de la flèche ->
Chapitre 12 : Le calme avant la tempête...
Chapitre 13 : Une sombre organisation.
Chapitre 14 : L'envers du décor...
Chapitre 15 : Fuir ou mourir ?
Chapitre 16 : Une fugitive malgré moi.
Chapitre 17 : Une cohabitation forcée.
Chapitre 18 : Fuir la réalité.
Chapitre 19 : Menotté.
Chapitre 21 : Risque ou vérité ?
Chapitre 22 : Un fragment du passé.
Chapitre 23 : Dos à la cible.
Chapitre 24 : L'insertion d'Alec.
Chapitre 25 : Goutte de sang.
Chapitre 26 : Un pied entre chaque monde.
Chapitre 27 : Décollage imminent.
Chapitre 28 : Affreuse réalité.
Chapitre 29 : Le silence.
Chapitre 30 : Folie malsaine...

Chapitre 20 : Prise au piège.

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Autorstwa senshi533

Je décide de me rasseoir en ravalant mon amertume pour faire bonne figure.

Leandro arque un sourcil sans détacher son regard, en se penchant légèrement pour me murmurer quelque chose, à l'oreille.

- Ça te tente qu'on aille faire un petit tour ? 

Je préfère éviter les iris malveillantes d'Alec, et puis cette petite sortie improvisée va me permettre de faire plus ample connaissance avec ce dernier et de mieux découvrir la ville.

- Je suis toute oui ! Je me lève accompagnée de Leandro à mon bras, quand le corps d'Alec s'interpose rapidement entre nous.
Pour nous demander où est ce qu'on compte aller.

- On va faire un petit tour mec, lui répond Leandro d'un ton autoritaire, comme s'il souhaitait l'intimider pour qu'il se rassoie.

Alec s'avance, lentement avec une assurance déconcertante. Il est très grand et musclé tendis que Leandro fait une tête de moins mais à tout de même un gabarit très large.

- Déjà, il n'y a pas de mec et ensuite, vous irez nul par seule. Alors commence par reposer ton cul rempli de merde sur la chaise !
Dicte Alec, avec un calme sidérant, ce qui est d'autant plus effrayant.

Je le sais qu'il ne souhaite pas que je sorte seule car je vais probablement me perdre et qu'il aura la flemme de me chercher.

Sauf je suis une grande fille et de plus, il fait jour, je n'ai nullement besoin de son autorisation.

- Tu n'as pas ton mot à dire, ajouté-je.

- Je fais ce que je veux avec qui je veux, c'est clair alors à part si tu te portes volontaire pour aller acheter des préservatifs on a rien à se dire ! Termine Leandro, je reste bouche bée face aux propos qu'il vient de dire.

Le sourire qui déforme les traits du visage d'Alec, à un très mauvais présage, cette histoire va mal se terminer.

Je n'ai même pas le temps d'exprimer le moindre mot, qu'Alec lui assaille un violent coup-de-poing au visage si fort qu'il vacille.

Toutes les personnes présentes dans le restaurant assistent à la scène, les enfants porte leurs mains au niveau de leurs bouches sans doute pour étouffer leurs cris.

- J'ai cru mal entendre, tu me donnes des ordres enfant de putain ?
Il lui met un second coup au ventre, sous l'effet de la douleur Leandro se plie sur lui-même et sort un couteau de nulle part.

Il essaie une première fois de lui planter la lame au niveau de l'abdomen en vain.

Alec lui saisit rapidement le poignet avant même qu'il ne lui frôle la peau, il lui arrache le couteau des mains et le jette au sol.

- Tellement prévisible, peste Alec d'un air faussement exaspéré.

Il lui assaille un coup de pieds au niveau du tibia qu'il le fait directement tomber au sol.

Les techniques qu'aborde Alec pour le frapper ne pas sont communs, il arrive à anticiper la moindre attaque avant même qu'il ne le touche.

Il s'est parfaitement où frapper, tous ses coups sont calculer au millimètre près, pour l'immobiliser.

Puis il se baisse et une fois à sa hauteur, il lui inflige un coups, puis un deuxième.

Leandro est en sang, putain, mais il va le lâcher !
Je reste pétrifier part la violence de cette scène qui se déroule face à moi.

- Putain, mais tu vas le tuer ! Hurlé-je entre deux tremblements.

Alec le regarde avec un espèce de sourire sociopathe, en contemplant les dégâts qu'il a laissés sur son visages.

Je me précipite sur Leandro pour l'aider à se relever, en lui tendant un mouchoir, mais ce dernier m'ignore complètement.

- Dégage de ma vue ne m'approche plus jamais ! Me hurle Leandro en grinçant des dents.

Je ne peux acquiescer sa colère, mise à part avoir crié, « mais tu vas le tuer !» je n'ai rien fait d'autre.

Une voix intérieure, me disait de sauter sur le dos d'Alec pour qu'il arrête de le frapper.

Mais cette erreur m'aurait probablement causé des dégâts corporels, qui auraient entraîné probablement un chemin vers mon cercueil.

- Je suis vraiment désolé, dis-je une dernière fois, il ne me répond pas, et tente de se lever avec difficulté puis quitte la pièce sans m'accorder le moindre regard.

Je pars rejoindre Alec dans la voiture bien décidé à lui faire part de mon mécontentement, les clients ont sûrement du appeler la police.

- Tu n'es qu'un putain d'inconscient qu'est-ce qu'il t'a pris de le frapper ? En plein milieu d'un restaurant et devant tout le monde !

- Il saura comment s'adresser à moi la prochaine fois, crache-t-il avec énervement.
C'est le monde à l'envers ou quoi ?
C'est moi qui aie  toutes les raisons d'être en colère !

- Toi, c'est terminer les sorties, peste-t-il.

- Quoi, tu va me dire que c'est de ma faute si t'a fallut tuer un mec à mains nue !

- Il m'a dit d'aller chercher des préservatifs pour te baiser, gronde Alec ses jointures blanchisse autour du volant. Son regard alterne entre la route et moi, ces émotions ne sont plus que colère et fureur.

- Et alors c'est ton problème qui t'a dit que je n'en avais pas envie ! Comme si je l'avais déjà fait.

- Tu vas nulle part avec un inconnu !

Je n'ai pas même plus envie d'argumenter, je suis trop fatigué pour ça, dès que nous sommes arrêtés au feu rouge, j'en profite pour descendre de la voiture.

- Remonte de suite ! M'ordonne Alec, je continue mon chemin en lui offrant mon majeur en guise de réponse.

- Va te faire foutre ! Je peste entre mes dents.

Il pense réellement que je vais rester avec lui après son comportement de bête sauvage heureusement pour moi, la circulation est bouchée, il ne peut donc pas me rattraper.

Je marche sans butte précis, j'ai pris soin d'éteindre mon téléphone pour éviter d'être dérangé par une certaine personne.
Après avoir parcouru plusieurs kilomètres à pied, j'aperçois la statue du Christ Rédempteur.

Elle est moins impressionnante en vrai, elle ne doit pas dépasser les 40 mètres quand je la voyais à la télé, je l'imaginais plus beaucoup plus grande.

Je continue m'a randonner, et me retrouve tout en haut d'une falaise, il n'y a pas un chat à l'horizon, mais de là où je suis, j'aperçois toute la ville.

On dirait une carte postale cet endroit est tout bonnement magnifique, j'aurais aimé visiter ce pays dans d'autres circonstances.

Après avoir marché pendant plusieurs heures, le soleil s'est enfin couché laissant place à un ciel étoilé.

Je décide de rallumer mon téléphone, il est 22 heures, j'ai reçu de nombreux appels, ainsi que nombreux des messages tous du même destinataire, Alec.

Alec : Remonte dans la voiture !

Alec : T'ES OU PUTAIN, JE NE VAIS PAS TE CHERCHER PAR TOUT !

Alec : Tu veux des excuses pour avoir brisé le corps de l'autre guignol ? Flash info, tu n'en auras pas !

Alec : Tu es morte ? Bon débarra !

Et c'est comme ça qu'il compte me donner envie de lui répondre cet abruti ?

Je m'en veux un peu d'avoir fait la morte toute l'après-midi, je me résous à l'appeler pour lui confirmer que je suis toujours vivante.

Je cherche son numéro dans mon répertoire au milieu de mes quatre contacts enregistrés. Une fois l'appel lancé il ne tarda pas à décrocher.

- T'as fini ta crise d'ado putain !?

- Je n'ai pas le droit à un, je suis heureux que tu sois en vie ? Le titillé-je pour détendre l'atmosphère.

- Ferme cette putain de bouche et dit moi t'es où ? Bonne question, je ne sais même pas où je suis, j'espère que je ne suis pas perdu.

- Je sais pas, j'ai beaucoup marché.
- C'est très précis, envoie-moi, ta localisation. Me dit-il, je m'empresse de lui envoyer.

Pendant que je suis assise sur un rocher, à attendre Alec, un bruit strident résonne en écho, on aurait dit le bruit d'un coup de feu.

Je ballai l'horizon des yeux pour m'assurer qu'il n'y a personne, le bruit avait l'air proche beaucoup trop proche.

Mais je ne vois personne à proximité.

Il fait nuit, l'endroit est éclairé par la lune et les étoiles, je décide de me lever pour parcourir les environs quand du mouvement se fait entendre un peu plus bas.

Ma curiosité prend le dessus sur ma raison, je me résous à aller voir ce que c'est de plus près, tout en restant sur mes gardes, la plus discrète possible.

En avançant j'aperçois de la lumière, je décide de m'abriter derrière un arbre sans faire de bruit, pour être caché, et avoir un meilleur angle de vue.

Il y a quatre hommes autour d'un camion, en train de décharger des caisses.

Mon cœur loupe un battement quand j'aperçois un homme à genoux qui presse son flan à l'aide de sa main, pour compresser la flotte de sang qui en jaillit.

Merde !
Merde !
Merde !

Je dois dégager maintenant avant qu'ils ne me voient, au moment où je m'apprêtais à retourner d'où je suis venu.

Un homme pointe son arme au niveau du front du garçon qui est en train d'agoniser, il doit à peine avoir la vingtaine.
Un hoquet de terreur s'échappe de mes lèvres au moment où il presse la détente.

Je reporte rapidement ma main sur mes lèvres pour étouffer mon cri.

Les regards des hommes se braquent vers ma direction, je reste immobile, paralysé, je ne respire même plus de peur qu'ils ne m'entendent.

Les seules bruits qui résonnent sont les battements de mon cœur qui menace de s'échapper de ma poitrine.
Je suis toujours derrière l'arbre, ils m'ont entendu, mais ne m'ont pas vu.

Une peur silencieuse commence à gagner de la place puisque que mes membres commencent à tremblés.

Dans un désespoir, je saisit mon téléphone pour prévenir Alec, les doigts tremblants, je cherche son nom dans mon répertoire téléphonique.

Je plaque le téléphone à mon oreille espérant qu'il décroche rapidement, et au moment ou c'est le cas.

- A...Alec, s'il te plaît...D, je déglutis le souffle coupée, sauf que je n'ai pas le temps de continuer, qu'on m'empoigne violemment mes cheveux.

- J'arrive tiens bon putain ! Gronde Alec au même moment où mon téléphone glisse entre mes doigts pour tomber au sol.

- E aqui que você se esconde, rugit un homme derrière mon oreille, tout mon corps se raidit me rendant compte que je suis foutue.

Mes pieds ne sont plus sur le sol, étant donné qu'il me jette sur son épaule pour m'amener vers les trois hommes qui se tiennent à côté du camion.

J'essaie de griffer ses bras de mordre son épaule, espérant qu'elle me lâche en vain.

Il me jette violemment par terre, le regard des hommes appuyé sur moi me retourne l'estomac, mon cœur n'arrête pas de pulser, mes tremblements de terreur ne me quittent pas.

J'essaie de ravaler mes émotions pour ne pas laisser paraître la peur sur mon visage.

- Quem é você, me hurle un des hommes marquer d'un tatouage de scorpion en bas de l'œil droit. C'est lui qui a assassiné ce jeune garçon.

- Je... Je ne comprends pas, bafouillé-je.

- Qui es-tu ? Me répond-il en anglais avec un accents prononcé voyant que je ne comprends pas le portugais.

- Je ne suis personne.
J'ai juste été au mauvais endroit au mauvais moment.
Mon instinct de survie est trop faible, voilà ce qui arrive quand on écoute sa curiosité on finit dans des situations comme ça.

- Menteuse, tu nous espionnais ! M'accuse l'homme au crâne rasé, qui m'a amené ici.

- Non, je ne mens pas, j'ai entendu du bruit et je suis venu, je vous le jure ! M'exclamé-je en avalant difficilement ma salive, ma curiosité m'a mené à ma perte.

Pourquoi ai-je été si imprudente ?
Je me suis jeté dans la gueule du loup, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. C'est comme ça que dans les films d'horreur le personnage principal se fait tuer.

L'homme marqué d'un tatouage au visage, me maintient fermement la mâchoire, j'ai l'impression qu'elle peut se briser d'une seconde à l'autre.

- Qui t'a envoyé ?

- Personne ! Je répète en grinçant des dents.

- Qui t'a envoyé ? Répète-t-il, en hurlant.

- Comment ça qui m'a envoyé, vous croyez qu'on est dans un de ses films de cartel ?

- Personne ne dépenserait une minute de son temps pour s'intéresser à une bande d'abrutis qui s'amusent à jouer aux gangsters. Et je le répète une dernière fois personne ne m'a envoyée vous espionner.

Le monde qui m'entoure cesse de tourner. Mes yeux s'écarquillent et mon souffle se coupe, réalisant ce que je viens de dire dans un effet de colère.

Je dois m'enfuir maintenant avant qu'il ne soit trop tard. Je cherche autour de moi, mais tout paraît si loin, j'aperçois un pied-de-biche, mais il est beaucoup trop loin pour que je l'attrape.

J'empoigne une poignée de sable au sol et lui lance dans les yeux, je me lève pour pouvoir m'échapper.

Mais mon geste n'a pas eu l'effet espéré parce qu'au même moment on me freine dans ma course, en me maintenant par les cheveux.

Je porte mes mains sur les siennes en le griffant pour l'inciter à me lâcher en vain, il me projette violemment par terre.

La seconde qui suit, il m'envoie un violent coup de pieds au visage, je sens le goût métallique de mon sang couler en flèche de mon nez et de mes lèvres.

- Puta suja ! Hurle-t-il je n'ai pas besoin d'avoir pris des cours de portugais pour comprendre que c'est une insulte.

Avec un effort surhumain, je trouve la force de me relever, je me précipite sur le pied-de-biche que j'avais aperçu, comme si ma vie en dépendait

Je le prendre et le tiens fermement entre mes mains, pour me protéger d'une attaque.

Je garde un œil sur l'homme marqué d'un scorpion au visage, il se met à pouffer de rire, en me voyant.

- Tu crois blesser qui avec ça ?

- J'en suis sûr de pouvoir te refaire une dentition avec, le menacé-je en soutenant son regard.

J'aperçois un de ses compagnons au crâne rasé a disparu de sa place, la peur et le stresse, reprennent leur chemin dans les veines.

Je me tourne quant au même moment, je reçois un coup sur le dos qui me fait valser sur plusieurs mètres.

J'ai mal, la douleur m'est insupportable, il m'empoigne mes cheveux d'une si forte brutalité que j'ai l'impression que mon cuir cheveux vas s'arracher.

J'ai toujours une immense douleur au crâne dû au coup de pieds qu'il m'a octroyé.

Je suis à la merci de ses salopards, l'impuissance et la détresse que je ressens, me donne l'impression d'être renvoyé plusieurs années en arrière.

« Les mauvais souvenirs, nous aident à aller de l'avant. »

Cette horrible sensation de ne rien pouvoir contrôler, d'être maintenu en captivité contre son gré sans aucun moyen de pouvoir se défendre ni s'enfuir.

N'avoir aucun contrôle sur son propre destin, juste être spectatrice de sa propre mort.

Ne pleure pas.
Ne leur montre pas que tu as peur.
Personne ne doit lire tes émotions comme dans un livre ouvert sur ton visage.

Reste impassible quelle que soit la douleur, encaisse le coup comme tu l'as toujours fait.

Je ne souhaite pas leur donner satisfaction en les suppliant ou en leur montrant ma peur et encore moins mes larmes.

Je serre fermement, mes dents et réfléchis à comment je pourrais me dédouaner de cette situation dans laquelle je me suis mise toute seule.

Il y a personne à proximité, mis à part les trois hommes qui se tiennent devant moi.

Il y a un homme juste à côté de celui au crâne rasé qui a une arme accrochée à sa ceinture.

Si j'arrive à l'attraper rapidement, je pourrai peut-être l'utiliser.

J'ai une chance sur 1 million de me l'accaparer sans me faire tuer avant pour pouvoir m'échapper à temps.

C'est foutu, je vais mourir ici seul sans que personne ne le sache.

Ces hommes sont persuadés que j'ai été envoyé pour les espionner par je ne sais qui, alors que je voulais juste voir quel était ce bruit de détonation que j'avais entendu quelques minutes plus tôt.

Bordel je suis trop conne !

Ce n'est pas possible. Je ne peux pas mourir dans des circonstances aussi stupides et maladroites, je me dois de me battre jusqu'au bout.

- Je me répète pour la dernière fois qui t'en... Il n'a pas le temps de terminer sa phrase que mon visage se fait éclabousser de sang, sans que je comprenne ce qui se passe l'homme s'écroule face à moi.

Mes yeux s'écarquillent, quand j'aperçois Alec devant moi.

Généralement je n'arrive pas à lire sur son visage mais à cet instant, je pourrais même dans le noir, ressentir la colère qui anime ses iris.

Les autres hommes se dépêchent de prendre leurs armes, manque de temps et de rapidité.
Alec les vise l'un après l'autre, n'en laissant aucun en vie.

Un vent de soulagement s'extirpe de mon cœur en l'apercevant, je me relève, tant bien que mal pour m'avancer vers Alec.

- A...Alec, soufflé-je la voix tremblante, sa silhouette devient de plus en plus floue, ma tête devient plus lourde, je perds l'équilibre de mes jambes et m'écroule au sol.

- Scheisse, Alma ! Entendis-je Alec hurlait au loin avant de sombrer dans l'incontinence.

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