EMPTY PLACES » Pierre Gasly

By Akhe59

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Seuls les lieux déserts chassent ce goût amer, seul un cœur brisé peut être recollé. More

prologue
un
deux
trois
quatre
cinq
six
sept
huit
neuf
dix
onze
douze
treize
quatorze
quinze
seize
dix-sept
dix-huit
dix-neuf
vingt
vingt-et-un
vingt-deux
vingt-trois
vingt-quatre
vingt-cinq
vingt-six
vingt-sept
vingt-huit
vingt-neuf
trente
trente-et-un
trente-deux
trente-trois
trente-quatre
trente-cinq
trente-six
trente-sept
trente-huit
trente-neuf
quarante
quarante-et-un
quarante-deux
quarante-trois
quarante-quatre
quarante-six
quarante-sept
quarante-huit
quarante-neuf
cinquante
cinquante-et-un
cinquante-deux
cinquante-trois
cinquante-quatre
cinquante-cinq
cinquante-six
cinquante-sept
cinquante-huit
cinquante-neuf
soixante
soixante-et-un
soixante-deux
soixante-trois
soixante-quatre
soixante-cinq
soixante-six
soixante-sept
soixante-huit
soixante-neuf
soixante-dix
soixante-et-onze
soixante-douze
soixante-treize
soixante-quatorze
soixante-quinze
soixante-seize
soixante dix-sept
soixante-dix-huit
soixante-dix-neuf
quatre-vingt
quatre-vingt-un
quatre-vingt-deux

quarante-cinq

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By Akhe59

Son corps entier est secoué par ses sanglots, sous les yeux bleutés d'un Pierre impuissant. Elle s'est assise sur son lit, avec l'aide du jeune homme et son regard larmoyant reste perdu dans le vide lorsqu'elle balbutie faiblement des onomatopées que Pierre ne peut distinguer.

Elle ne fait que pleurer tandis que Pierre ramasse son portable qu'elle a précédemment laissé tomber sur le parquet. L'écran de ce dernier est brisé et Pierre ne parvient pas à rallumer l'appareil électronique, il se pince les lèvres en avouant :

- Ton téléphone est mort.

Elle ne réagit pas à ses mots et lorsque Pierre relève la tête vers elle, il constate qu'elle se fait du mal. Ses ongles s'enfoncent dans la chair de ses cuisses et Pierre s'empresse d'attraper ses mains tremblantes dans les siennes pour l'en empêcher.

- Je vais réessayer de le rappeler, est-ce que tu connais son numéro, mon chat ?

Elle acquiesce, Pierre prend son propre téléphone afin de composer le numéro qu'elle bredouille d'une voix faible. Il ne lâche pas la brune du regard en entendant les sonneries se succéder jusqu'au moment où il tombe sur le répondeur. Les sanglots de la brune reprennent de plus belle et s'intensifient, tandis que Pierre tente de la rassurer comme il peut.

- Il faut attendre un peu. Il est sûrement pris en charge par les urgences et après, on nous contactera, d'accord ?

- Et si... il est...

- Regarde-moi, l'interrompt Pierre en encadrant son visage de ses mains. Nous n'en savons rien, mais n'imaginons pas le pire.

Isis ne répond rien tandis que le pilote tente maladroitement d'essuyer ses larmes qui reviennent continuellement à l'assaut. Il est pris au dépourvu, elle ne cesse de sangloter dans ses bras. Son corps continue de se secouer, comme une vulgaire poupée, et même les léchouilles que glisse la golden retriever sur ses mains ne parviennent pas à la calmer.

Durant deux heures entières, Isis pleure en restant blottie dans le lit. Elle pleure sans pouvoir s'arrêter, son mal de ventre ne fait que s'intensifier lui donnant la nausée et Pierre ne peut plus rien faire pour lutter contre son anxiété. Il se résigne à lui donner des anxiolytiques en début de matinée.

- J'avais un mauvais pressentiment, ne cesse-t-elle de répéter d'une voix faible.

Le cœur de Pierre se serre douloureusement dans sa poitrine, encore plus, lorsqu'il l'observe encercler la golden retriever de ses petits bras qui s'est allongée à ses côtés. Pierre ne fait qu'attendre des nouvelles qui ne viennent toujours pas et être impuissant est la pire chose qu'il connaît, encore plus lorsqu'il s'agit de Isis.

- C'est de ma faute, rajoute-t-elle.

Pierre n'a pas la force de contredire ses propos, il est bien trop submergé par les émotions. Il se contente de l'étreindre à son tour, ses doigts viennent se lier aux siens sur les poils de Joyce qui ne bouge pas et au bout de longues minutes, Isis finit par s'endormir. Sa respiration s'apaise et ses sanglots s'arrêtent enfin.

Le pilote se pince les lèvres en comprenant qu'elle n'a pas du dormir correctement de toute la nuit à cause de son anxiété pour cette réunion qu'elle avait préparé avec acharnement. Elle est épuisée et peut-être qu'au fond de lui, il préfère qu'elle se soit endormi pour ne plus entendre ses sanglots déchirants.

Il prend soin de ne pas la réveiller en s'extirpant du lit, Pierre quitte la chambre sans un bruit pour regagner la cuisine. A l'aide d'un cure-dent, il retire la carte sims de son téléphone personnel afin d'y glisser celle qu'il a récupérée sur le téléphone brisé de Isis Il la déverrouille, connaissant le code qui est le même que le téléphone de la brune.

Pierre ne tarde pas à chercher le contact d'une femme qu'il n'aurait jamais pensé appeler un jour. Il n'hésite pas une seule seconde en lançant l'appel, elle doit être la seule à avoir des nouvelles de son père, mais Pierre n'est pas surpris de tomber sur sa messagerie directement. Elle a du refuser son appel signe qu'elle n'est probablement pas au courant de l'accident.

Il soupire avant de se résigner à appeler la majorité des hôpitaux pour connaître les admissions aux urgences de la journée, mais aucun ne lui donne de nouvelles de Cédric De Beaumont. Aucun hôpital n'a admis le père de Isis depuis le début de la matinée et Pierre continue inlassablement de faire défiler la liste des hôpitaux et des secrétariats.

Il est surpris que Isis n'ait reçu aucun appel, cela signifie sans aucun doute qu'elle n'est pas le contact d'urgence sur le téléphone de son père et que ce dernier n'a pas été capable de donner son numéro lors de son admission aux urgences.

Pierre ne voit pas le temps passé, il est bientôt quatorze heures et après un énième appel passé, il finit par laisser tomber. Il soupire en s'appuyant sur le plan de travail, il n'a même pas pris le temps de manger un morceau, excepté son petit déjeuner qui n'était pas très copieux. Il était embarrassé par le fait que Isis ne veuille pas se lever.

- Pierre, lance une voix depuis la chambre.

Il se dirige vers celle-ci, Isis est toujours allongée sur le lit. Ses yeux rougis sont plissés signe qu'elle vient d'émerger d'un repos qui est tout sauf réparateur. Elle le questionne du regard mais la réponse silencieuse de Pierre est sans appel, il n'a toujours pas de nouvelles.

- J'ai appelé presque tous les hôpitaux et...

Ses sanglots reprennent, Isis est écrasée sous le poids de la culpabilité. Elle tente de se lever pour rejoindre la salle de bain afin de se rafraîchir les idées, mais elle manque de tomber en passant devant Pierre qui la rattrape tout juste pour la seconde fois de la journée.

- Je ne me sens pas bien, dit-elle à mi-voix en sentant sa tête tourner.

- Tu n'as rien mangé depuis hier soir, constate Pierre inquiet.

- Si je mange, je vomis...

Et le pilote la croit sur parole, il voit bien qu'elle n'est pas dans son assiette à cause de cette incertitude planant autour d'elle. Elle s'assoit de nouveau sur le bout du lit avec l'aide de Pierre qui reste à ses côtés.

- Il faut appeler Nathalie, avoue-t-elle finalement.

Ses mots brûlent presque sa gorge et Pierre est obligé de lui dire que c'est déjà fait et qu'à trois reprises, sa belle-mère n'a pas décroché. Elle encaisser sans broncher, elle n'est pas surprise mais c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.

- Et le numéro... de papa... tu as réessayé...

- Oui plusieurs fois, souffle-t-il en se pinçant les lèvres.

- Le... la secrétaire... de papa... il faut appeler... Émilie...

Pierre parvient à dicerner un nom de famille entre deux sanglots et il s'empresse de chercher le contact sur le téléphone qu'il tient entre ses mains. Il le trouve dans la liste des contacts de Isis, il ne tarde pas à l'appeler et Pierre ne patiente pas bien longtemps. Son interlocutrice décroche immédiatement pour la plus grande surprise de Pierre qui n'a pas le temps de parler.

- Isis ! s'exclame précitamment une voix féminine. J'attendais des nouvelles de ton père, Nathalie était supposée me rappeler depuis deux heures. Qu'est-ce qu'on dit les médecins ?

Pierre croise le regard de la brune qui a tout entendu puisque le son est mis sur haut-parleur. Elle semble sortir de sa trans puisqu'elle arrache le téléphone de la main du pilote qui reste sous le choc. Il n'écoute même plus les mots qu'elle prononce entre plusieurs hoquets douloureux, il n'entend que les réponses et Pierre croit halluciner.

- Je pensais que tu savais vu que tu n'es pas venue à la réunion, balbutie la secrétaire.

- J'étais au téléphone avec papa quand... débite Isis d'une voix tremblante. Je n'ai pas eu de nouvelles depuis, j'ai appelé tout le monde et...

- Il a été admis à l'hôpital George Pompidou, je l'ai appris vers onze heures par Nathalie qui doit me rappeler pour me donner des nouvelles.

A peine a-t-elle prononcé l'adresse que Isis se lève, animée par un regain d'énergie. Elle est déjà debout si bien que Pierre doit tempérer ses ardeurs lorsqu'elle se trouve dans le salon à enfiler ses chaussures à la vitesse de la lumière, tout en tenant le téléphone d'une main tremblante de nervosité. Elle siffle Joyce qui accourt dans sa direction et Isis lui enfile tant bien que mal son harnais.

- Attends tu ne peux pas partir comme ça, tu dois...

Isis lance un regard foudroyant dans sa direction tout en remerciant la secrétaire pour les informations. Cette dernière rajoute qu'elle n'a aucune information sur l'état dans lequel se trouve son père et Isis grimace en essuyant ses larmes.

Elle raccroche et une fois qu'elle est libérée du téléphone, la brune peut lacer ses Dr. Martens face à Pierre qui ne tarde pas à faire de même avec ses propres chaussures en comprenant qu'elle ne l'attendra pas et qu'elle ira seule s'il n'est pas prêt à temps.

- Isis, souffle-t-il en la retenant par le poignet.

- Qu'est-ce qu'il y a, encore ? s'agace-t-elle en se dégageant de son emprise.

- Laisse-moi deux minutes pour prendre des trucs à grignoter, tu n'as rien mangé depuis hier soir et prends au moins le temps de te changer, tu ne vas pas y aller en pyjamas.

Les yeux de la brune se posent sur ses vêtements, elle porte encore sa nuisette lui servant de pyjama et une simple culotte. Elle se sent soudainement idiote d'avoir ses chaussures aux pieds en étant à moitié dénudée. Elle finit par se précipiter dans son dressing et sans prendre le temps de retirer ses chaussures, elle enfile un short et elle jette sa nuisette sur une pile de vêtements pour revêtir un t-shirt appartenant à Pierre.

Lorsqu'elle rejoint le salon, Pierre l'attend dans l'entrée. Il a tout juste eu le temps de préparer un petit sac contenant de l'eau et divers sucreries et gâteaux. Il récupère les clés de la voiture de Isis qui ne proteste pas, elle n'est pas vraiment en état de conduire. Elle se contente d'attraper la laisse de la golden retriever et de quitter l'appartement, elle attend Pierre sur le palier lorsqu'il referme la porte d'entrée derrière eux.

La dizaine de minutes de voiture nécessaire pour se rendre à l'hôpital George Pompidou se fait dans un silence pesant, durant lequel Isis caresse la tête de Joyce tout en se mordant l'intérieur de la joue jusqu'au sang.

- Je viens voir Cédric De Beaumont, murmure-t-elle d'une voix frêle à l'accueil de l'hôpital. Il a été admis aux urgences ce matin.

- Et vous êtes ?

Isis perd sa contenance si bien que Pierre est obligé d'intervenir face à ses nombreux balbutiements. Il explique qu'il s'agit de sa fille et il ne tarde pas à sortir la carte d'identité de Isis de son portefeuille qu'elle tenait dans ses mains tremblantes.

- Chambre deux cent dix-sept, deuxième étage. Les visites sont autorisées mais les chiens ne sont pas admis, conclut-elle en posant ses yeux sur la golden.

Isis se pince les lèvres avant que le pilote n'intervienne une nouvelle fois. Il explique avec agacement qu'il s'agit d'un chien d'assistance en désignant son harnais, mais la femme face à lui n'est pas très coopérative. Pierre se résigne à sortir la carte mobilité et inclusion tandis que Isis attrape sa main dans la sienne pour se rassurer qu'elle pourra bien rentrer avec la golden retriever.

- Vous n'avez pas le droit de refuser ce chien, à part pour des questions d'hygiène mais je pense que ce n'est pas de votre ressort, souligne Pierre. Les médecins décideront eux-même des mesures à prendre.

Elle ne trouve rien à redire et Pierre prend cette absence de réponse pour l'autorisation de rentrer dans le service. Ses doigts s'entremêlent à ceux de Isis lorsqu'ils avancent vers la cage de l'ascenseur pour rejoindre le deuxième étage. Le couple traverse le couloir, et à aucun moment, un membre du personnel médical ne les interrompt face à la présence d'un chien d'assistance.

- Je n'ai rien à dire dans tes relations, glisse Pierre lorsqu'ils arrivent devant la chambre. Mais ce n'est pas pour autant que je veux me taire, je vais juste te faire remarquer que ce n'est pas normal ce qu'il vient de se passer aujourd'hui. Elle aurait dû t'appeler, c'est ton père.

- Je sais, souffle-t-elle en se pinçant les lèvres.

Ils ne font que chuchoter afin de ne pas être entendu par des oreilles indiscrètes, elle acquiesce en comprenant ce que tente de dire Pierre. Elle ne doit pas se laisser marcher sur les pieds, cette situation est inacceptable.

Dans la dernière étreinte encourageante qu'elle reçoit de la part de Pierre, Isis prend le temps de glisser le harnais de Joyce entre ses doigts. Elle s'éloigne à regrets avant de pousser la porte de la chambre, elle y rentre et elle ne tarde pas à croiser le regard larmoyant de Nathalie assise sur une chaise, mais Isis n'a d'yeux que pour son père.

Il se trouve allongé, son visage est affreusement pâle, marqué de contusion mais le plus horrible à constater est le fait qu'il soit intubé et endormi. Isis déglutit difficilement, ses yeux deviennent humides et un sanglot s'échappe de ses lèvres lorsqu'elle détourne précitamment le regard de cet image choquante.

- Assis louloute, reste assise, supplie une voix.

Elle croise le regard de bleuté de Pierre qui vient de donner cet ordre, il a pris me soin de ne pas s'avancer dans la pièce. Il est resté près de la porte et il tente de calmer la golden retriever qui voudrait rejoindre la brune en sentant sa détresse. Elle couine à de nombreuses reprises quand Pierre l'en empêche.

Pierre observe Isis revenir vers eux et il comprend que cette vision lui est insupportable, encore plus quand elle ne connaît pas l'état de son père. Il passe un bras autour de ses épaules pour la rassurer qu'il se tient à ses côtés, elle tente de dire quelques mots mais ces derniers sont incompréhensibles, elle ne cesse de balbutir.

- Je...

- Nous allons trouver un médecin qui pourra nous expliquer la situation, rassure Pierre.

Le couple commence à se diriger dans le couloir quand la voix de Nathalie intervient dans leur dos. D'un geste simultané, les deux amoureux se retournent pour faire face à la belle-mère de Isis qui déclare d'une voix frêle inhabituelle :

- Il a une commotion cérébrale et...

- Je ne veux rien savoir venant de toi, interrompt Isis. Si j'ai besoin d'une information, j'irai demander aux professionnels qui sont ici et c'est bien ce que je compte faire maintenant.

Son regard est glacial et même Pierre tressaille. Il n'est plus habitué à cette facette de la brune qu'il a connu lors des premières semaines où elle était distante et qu'elle semblait intouchable et insensible.

- Comment peux tu avoir l'audace de ne pas me prévenir alors que mon père se trouve à l'hôpital ?

Les deux femmes continuent de s'affronter du regard et Pierre tente d'extraire Isis de cette pièce remplie d'une tension qu'il n'a rarement expérimentée. Il encourage la brune à le suivre en posant sa main sur sa taille mais Isis ne semble pas vouloir s'arrêter ainsi.

- De nombreuses personnes m'ont dit que j'étais égoïste mais alors toi tu dépassés le summum ! s'exclame-t-elle devant sa belle-mère stupéfaite. Je ne t'ai jamais rien fait et ton comportement a changé du jour au lendemain avec moi, t'as pas le droit de te comporter comme ça. Je n'ai jamais été irrespectueuse avec toi, mais toi...

Isis effectue un geste de la main pour exprimer ses pensées qu'elle ne parvient pas à formaliser. Elle ne compte plus les fois où Nathalie était intrusive, moralisatrice et méchante, sans justification. La brune est brisée par le silence de sa belle-mère qui ne parvient pas à répondre, elle ne fait que la fixer avec son regard de biche apeurée.

- Et t'as rien à me répondre, souffle-t-elle en sanglotant. Je ne mérite aucune réponse...

Nathalie hausse les épaules, ne sachant quoi dire et ce geste brisé un peu plus la brune qui s'empresse de détourner les talons pour rejoindre le couloir. Elle éclate en sanglots et Pierre ne peut plus retenir la golden retriever qui tire son harnais, ce dernier s'échappe de ses mains et Joyce court rejoindre sa propriétaire.

Le jeune pilote reste interdit, ne sachant comment réagir. Il est envahi par l'amertume, par la rancœur envers cette femme et il finit par déclarer d'une voix froide avant de suivre la brune à son tour :

- Entre ce que son père lui a dit ce matin et vous, elle a tout gagné. C'est sûr qu'elle est vraiment aidée pour aller de l'avant avec un entourage comme vous, Isis est incroyable mais continuez de la traiter comme une moins que rien et vous finirez par tomber sur moi.

Outch

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